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Je découvre de mon cul

Chapitre 20

Hétéro
Birgit et Julia –Elles sont en fac aves nous, elles ont un an de plus que nous, je présume que vous avez vu qu’elles étaient homozygotes comme nous.–Ça, elles ne peuvent pas le cacher.–Elles connaissent notre histoire, nous discutons souvent toutes les quatre à la fac, nous leur avons tout raconté, elles sortent de boîte pour nous rejoindre, mais elles ne se sentent pas à l’aise, elles ont un peu peur de toutes ces personnes nues qui circulent pour baiser ou se faire baiser. Elles devaient rentrer chez une copine mais elles voudraient rester avec nous.–Tu ne leur avais pas dit de l’ambiance du coin ?–Mon petit papy, je te signale que nous aussi nous venons pour la première fois.–Et que comptez vous faire toutes les quatre.–L’amour bien sûr, nous ne leur avons encore pas brouté le minou alors qu’elles, elles nous l’on déjà fait.–Pas ici je présume.–Non, je pense qu’elles préféreraient à la maison.–Ok, on rentre si vous le désirez, mais nous vous avons dit comment on rentre à l’appartement, tes copines seront d’accord ? Je les regarde, Alice leur explique, mais je les sens assez perturbées par la perspective de traverser le Pont-Neuf à poil. Mon regard est plus insistant, elles se regardent, Birgit se tourne vers moi. –Ok, on vous suit, ça va être une sacrée expérience. Doriane va récupérer nos affaires dans sa voiture, nous nous dirigeons vers le Pont-Neuf, mais ce que je n’avais pas réalisé, c’est qu’il est beaucoup plus tôt que d’habitude, minuit et demi. Nous sommes à peine au début du Pont-Neuf qu’une voiture arrive en nous faisant des appels de phares. En nous croisant, les gens applaudissent. Arrivés au bout, cette fois c’est deux voitures l’une derrière l’autre, même réaction. Nous arrivons sans encombre à l’appartement, Alice et Louise prennent la main de Birgit et Julia pour aller les allonger sur les transats de la terrasse. Elles leur écartent les jambes et plongent sur leurs sexes. Birgit et Julia semblent beaucoup aimer, mais Marie me désigne leurs mains. Elles se tiennent la main et se regardent comme Alice et Louise, serait ce une caractéristique des jumelles homozygotes ? Nous les laissons faire l’amour entre elles, Doriane me caresse les fesses, elle passe même sa main sur ma bite. –Tu n’aurais pas un petit moment à m’accorder ?–Quand tu veux ma chérie. Elle me prend la main et m’amène sur la terrasse, elle s’assoie sur un ancien transat de Jean, ils sont solides. Elle m’attire à elle pour me gober la bite et la mettre au garde à vous. Une fois bien raide, elle s’allonge sur le transat en ouvrant ses jambes.
 –Viens me baiser, j’en ai besoin, après cette soirée, il me faut une bite dans la chatte, même si je devient de plus en plus lesbienne. Je me couche sur elle, elle m’enlace, ma bite trouve tout de suite le chemin du bonheur et s’enfonce dans un tube chaud et très glissant. J’entends les filles jouir à côté de nous, ça a l’air d’exciter Doriane. Je suis concentré sur l’orgasme de Doriane quand je sens des doigts en pointe venir se glisser entre mes fesses. –Birgit, Julia, venez voir ce que je peux faire à mon papy. C’est Louise qui m’enfonce sa main dans le cul, deux mains écartent bien mes fesses, celles d’Alice je présume. La main s’enfonce jusqu’à ce que je sente le coude sur mes fesses. Elle me défonce le cul comme elle aime le faire, assez violemment mais j’adore ça. Le problème, c’est qu’elle va me faire jouir trop vite. Effectivement, je me lâche dans le vagin de Doriane, elle n’a pas encore jouit. –Désolé Doriane, je n’ai pas pu résister à ce bras d’enfer.–Pas de problème si Alice prend le relais avec son bras. Louise me libère, je suis à peine descendu du transat qu’Alice enfonce sa main dans la vulve de sa grand-mère. Elle la pistonne énergiquement jusqu’à ce qu’elle explose dans un énorme orgasme en s’exprimant. Je vois que Birgit et Julia regardent leurs amies d’un air bizarre. –Vous faites ça à beaucoup de monde ?–Quoi donc ?–Votre main dans l’anus où le vagin ?–Oui, à notre grand-père et notre père dans le cul, à notre grand-mère paternelle dans le vagin, comme tu as vu mais aussi dans l’anus, notre mère, notre autre grand-mère dans le vagin et dans l’anus à toutes les deux et à nous dans le vagin, mais pas dans l’anus, nous n’aimons pas nous faire enculer.–Vous avez essayé ?–Oui et nous n’en avons tiré aucun plaisir, bien au contraire, nous ne recommencerons plus.–Vous avez de la chance de ne plus être vierges, vous pouvez faire l’amour avec des hommes.–Faites vous dépuceler.–Nous n’avons pas trouver d’hommes qui nous plaisent assez pour ça, tous nos copains sont un peu justes sur la question et notre père ne serait pas d’accord, pourtant, il a une belle bite.–Tu l’as vu à poil, vous n’êtes pas naturistes pourtant.–Oui, un jour qu’il se douchait dans la salle de bain, nous l’avons vu, la porte était mal fermée.–Et comment tu trouve celle de mon papy ?–Tu voudrais que nous nous fassions dépuceler par ton papy ?–Et mon père, comme nous deux, c’était génial de se faire exploser l’hymen à la même seconde. –Il est là ton père ?–Oui, dans sa chambre, il a un problème de dos, c’est pour ça qu’il n’est pas venu avec nous ce soir. Elle a à peine fini sa phrase que nous entendons Charlotte hurler sa joie. Birgit regarde sa copine avec un petit sourire en coin. –Je crois que son dos va mieux. Tout le monde rigole, mais le problème n’est pas réglé, il faut trouver quelque chose. –Ce que je propose, c’est que nous attendions demain, papa et papy seront en pleine forme, si vous voulez perdre votre pucelage ensemble, c’est la seule solution.–Il faudrait tout de même en parler à ton père, il ne sera peut être pas d’accord.–Ne t’en fais pas ma chérie, je pense que dès qu’il te verra, il sera d’accord, il adore les belles femmes, et vous êtes toutes les deux de très belles femmes.–Ça, je peux le confirmer, il n’y a qu’à regarder ma bite. Birgit vient vers moi, elle se saisie de ma bite et commence des allers-retours. Je l’arrête, je ne veux pas jouir comme ça, en plus, j’ai autre chose en tête, je veux faire l’amour à ma femme, tout seuls dans notre chambre, lentement, tendrement. –Excuse moi Birgit mais même si tu m’excite un max, j’ai la tête ailleurs.–Ok, mais j’aimerais bien que tu sois celui qui ferra de moi une femme.–Je suis à ton entière disposition, et je pense que Michel se fera un plaisir de m’accompagner avec Julia.–Je peux prendre un acompte ? Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle passe ses bras autour de mon cou, se plaque contre moi pour poser ses lèvres sur les miennes. Sa langue discute âprement avec la mienne, mes mains glissent sur ses fesses fermes, elle pousse un peu son pubis contre mon sexe qui évidemment réagit, il remonte lentement entre ses cuisses qu’elle ouvre un petit peu. Elle joue avec moi, elle lâche mon cou pour descendre ses mains sur mes fesses, elle insiste avec son baiser jusqu’à ce que mon gland entre en contact avec sa vulve inondée. Je sens ses lèvres entourer mon gland qui continue sa progression. Elle abandonne ma bouche, se recule un peu, se penche pour me gober le gland, et y donner deux coups de langue, elle se redresse. –Super, j’ai récupéré mon jus en te nettoyant. Tu vois que tu n’auras pas de difficultés à me rendre femme demain, ça va rentrer comme dans du beurre.–Oui, mais après une bonne nuit de sommeil.–Oui, après une bonne nuit de sommeil, mais c’est toi qui t’occupe de moi, promis ?–Promis. Elle va rejoindre sa sœur allongée sur un transat avec Alice entre ses cuisses. Louise est entre les cuises de sa grand-mère qui jouit quand elle arrive à côté d’elles. Elle s’allonge sur le transat d’à côté, une fois que Marie a récupéré, Louise va se mettre entre les cuisses de Birgit qui lui pose les mains sur la tête. Marie se lève, vient vers moi, me prend la main et m’emmène vers notre chambre. –Viens t’occuper de moi mon amour, je vois que Birgit t’a mis en forme, viens faire l’amour à ta femme chérie.–Avec le plus grand des plaisirs. Nous fermons la porte de notre chambre, ça veut dire que personne ne doit y venir, c’est un code. Nous faisons l’amour tendrement, comme deux êtres qui s’aiment passionnément. Quand nous sommes repus du corps de l’autre, nous nous enlaçons dans les bras l’un de l’autre pour dormir. C’est sans compter les échos des cris de jouissance émis par les filles et Doriane qui est apparemment avec elles, mais Morphée finit par gagner. Le lendemain, nous nous réveillons vers neuf heures, nous entendons les filles rirent dans la grande salle de bain de l’ancien appartement de Romy et Jean. Depuis que j’ai fait tomber la cloison séparant les deux salons, ça nous fait un salon de soixante-dix mètre carrés avec deux grandes baies vitrées. L’appartement est immense avec sept chambres, dont trois avec salle d’eau, deux grandes salles de bain et quatre toilettes dont deux individuelles. Nous avons aménagé l’ancienne chambre de Jean et Romy pour les filles avec un grand lit rond, comme chez elles. Arrivés à la cuisine, nous tombons sur Doriane et Charlotte qui préparent le petit déjeuner, j’enlace ma fille pour déposer un baiser sur son cou. –Tu va bien ma chérie ?–Oui mon papa d’amour, très bien, Michel s’est bien occupé de moi cette nuit.–Ce n’est pas la peine de le préciser, nous sommes tous au courant, comme pour les filles et Doriane d’ailleurs.–Ces filles sont des folles de sexe, elles m’ont toutes fait jouir chacune une fois en moins d’une heure pendant qu’elles se faisaient jouir elles-mêmes, ce n’est plus de mon âge.–Peut être, mais on t’a bien entendu cette nuit, tu semblais y prendre plaisir. –Oui, un plaisir immense. Je viens vers elle pour lui caresser les fesses. –Il faut dire qu’avec des fesses pareilles, tu ne devrais pas être étonnée.–On me l’a dit, et je suis prête à recommencer quand elles veulent, tu t’en doutes bien.–Oui. Nous allons déjeuner dans le salon, les filles nous rejoignent, elles semblent tout de même un peu fatiguées, Birgit vient se mettre à côté de moi, elle pose rapidement ses lèvres sur les miennes. –Bonjour Alain, tu as bien dormi ?–Oui, bien que vous ayez tout fait pour m’en empêcher.–La découverte des corps demande de l’investissement, nous avons investi sur le magnifique corps de Doriane et les nôtres.  Le petit déjeuner se passe bien, je sens les filles un peu excitées, elles doivent penser à ce qui va se passer tout à l’heure. Une fois tout débarrassé, Louise et Alice emmènent Birgit et Julia dans leur chambre pour les allonger sur leur lit. Elles plongent entre leurs cuisses pour les préparer à la suite des événements. Nous arrivons tous dans la chambre, je vois les rondelles et les vulves brillantes de mes deux petites filles à genou entre les jambes de leurs copines et penchées sur leurs sexes. Cette vue me fait bander, je remarque que Michel est comme moi, sa bite se redresse lentement. Elles se redressent, les deux filles ruissellent de cyprine, elles sont prêtes à recevoir nos bites. Nous nous allongeons au dessus d’elles les bras tendus. Elles se regardent en ce tenant la main, c’est du mimétisme. Une main dirige ma bite pour l’amener au contact des lèvres de Birgit, elle ne bouge pas. Je force un peu, son sexe s’ouvre pour laisser rentrer le mien. Cette fois, elle réagit en avançant un peu son pubis, la main quitte ma bite pour venir caresser mes fesses. –Vas-y mon papy, fais lui péter l’hymen. J’appuie un peu plus, je m’arrête quand je sens une légère résistance. Je regarde Michel, il est lui aussi arrêté, il me regarde. –Maintenant. Nous donnons un léger coup de rein, je sens l’hymen de Birgit craquer, je la regarde, elle fait une légère grimace en regardant toujours sa sœur, leurs mains sont blanches tellement elles les serrent. Elles se sourient, elles sont devenues femmes. Je sens le pubis de Birgit contre le mien, je reste un petit instant immobile. Elle donne un petit coup de rein pour me faire comprendre que je peux y aller. Je vois que Michel aussi commence des allers-retours dans le sexe de Julia, nous leur faisons l’amour de conserve, la différence avec Louise et Alice, c’est qu’elles nous font nous redresser pour venir présenter leurs vulves à bouffer à leurs amies. Birgit et Julia se lâchent la main pour agripper les fesses de leurs copines. Louise qui s’est mise sur Birgit m’enlace pour poser ses lèvres sur les miennes et m’embrasser passionnément. Je sens le corps de Birgit commencer à se tendre, elle va jouir, elle donne des coups de rein de plus en plus violents, moi-même je commence à avoir des difficultés à résister. Soudain, ses cuisses se serrent, son corps se tend, elle est secouée de spasmes de plaisir, elle jouit en grognant dans la vulve de ma petite fille qui jouit à son tour. Je me vide en elle, cela a pour effet de décupler son orgasme. Nous restons en elles jusqu’à ce que nos bites sortent d’elles-mêmes de leurs sexes. Louise s’agenouille entre les cuisses de Birgit, Alice en fait autant avec Julia. Elles plongent sur leurs sexes. –Nous récupérons le sperme de nos hommes. Je suis stupéfait, elles nous considèrent comme leurs hommes, il est vrai qu’elles n’en veulent pas d’autres. Je vais prendre une douche, je tombe sur Charlotte, Marie et Doriane en train de se faire plaisir sous la douche, elles jouissent à tour de rôle. Je me joins à elles, mais mon sexe ne répond pas à leurs avances, trop tôt. Nous allons dans le salon, les filles sont dans leur salle de bain, nous entendons couler l’eau mais aussi quelques râles de plaisir. Vers onze heures, elles apparaissent, Birgit se précipite sur moi pour m’embrasser. Quand nos lèvres se séparent, elle me regarde, ses yeux sont d’une grande tendresse. –Merci chéri, tu as fais de moi une femme, mais tendrement, doucement. Est-ce que vous pourriez faire la même chose avec nos culs, nous voudrions connaître ça aussi.–Bien sûr, mais un peu plus tard, cet après-midi ça te va ?–Ok, cet après-midi, mais avant la sieste.–Ok, avant la sieste. Elle pose une dernière fois ses lèvres sur les miennes avant d’aller rejoindre sa sœur et ses copines. Après le déjeuner, je sens les filles fébriles, elles vont dans leur chambre tout de suite après avoir tout débarrassé. Je regarde Michel, nous prenons notre temps, je veux les faire languir un peu, nous ne sommes tout de même pas leurs esclaves sexuels. Au bout de cinq minutes, Alice arrive, elle vient vers nous.  –Les filles attendent, que faites vous ?–On se détend avant de faire notre devoir, il nous faut aussi un peu de calme. Elle nous regarde avec un sourire en coin. –Bon, ça suffit, elles meurent d’impatience venez s’il vous plait.–Demandé comme ça ! Nous la suivons dans leur chambre, Birgit et Julia sont allongées avec un gros coussin sous leur ventre, leur culs sont bien graissés, ils n’attendent que nous. Alice et Louise s’agenouillent devant nous pour nous gober nos bites un peu molles. Quand elles les jugent suffisamment raides, elles nous libèrent et nous amènent vers elles. Nous nous allongeons sur les filles, des mains guident nos bites entre les fesses offertes. Je sens mon gland écarter les fesses de Birgit, il arrive sur sa rondelle. –Vas-y chéri, défonce moi l’oignon. Ce langage me déstabilise un peu mais je force, sa rondelle s’ouvre assez facilement, je pense que les filles les ont un peu préparées avec leurs doigts. Mais je sens que c’est de plus en plus difficile de progresser, je m’arrête. Birgit ne bouge pas, elle reste inerte. Au bout de quelques secondes sa rondelle s’est détendue, elle bouge un peu ses fesses, je recommence à pousser. Son sphincter se referme d’un seul coup sur ma bite, le gland est passé. Je m’enfonce en elle jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses. –Oui, vas-y, enfonce toi bien au fond, c’est bon, j’ai mal, mais c’est bon. Je commence à la pistonner en cadence, contrairement à ce qui c’est passé avec nos filles, elles réagissent à nos sexes en se donnant encore plus. Je sens que le corps de Birgit vit sous mes coups de butoir de plus en plus amples et violents. –Oui, oui, tu vas me faire jouir, continue, continue, je jouis, je jouis. Elle explose dans un sublime orgasme, me faisant jouir moi aussi. Julia est un peu plus lente mais exprime elle aussi sa joie de se faire enculer. Alice et Louise les regardent un peu jalouses, on sens une certaine frustration. Nos bites finissent par quitter ces culs accueillants en se ramollissant. Nous quittons la chambre pour aller prendre une douche. Quand nous revenons dans la chambre, Birgit et Alice ainsi que Louise et Julia sont tête-bêche et se donnent du plaisir. Je regarde les corps de ces magnifiques filles, je ne peux tourner les yeux, elles m’aimantent. Une fois qu’elles ont joui, Alice se lève et vient vers moi. –Papy, serait il possible que Louise et moi venions vivre chez vous pendant que nous faisons nos études, la fac est juste à côté, c’est chiant de venir de la maison tous les jours.–Il suffit de demander à vos parents, tu penses bien que ta grand-mère et moi-même seront très heureux de vous avoir avec nous. Elle me saute au cou pour me faire deux bises. –Merci mon papy chéri, merci.  Elle va dans le salon pour voir ses parents et Marie. Elle revient quelques minutes plus tard pour se jeter dans les bras de sa sœur. –Ils sont d’accord chérie, nous pouvons rester là.–Pendant vos études, c’est bien ça.–Et aussi maintenant, on s’emmerde dans ce patelin pommé.–Ok, va pour les vacances aussi, si je comprends bien, ça veut dire toute l’année.–Oui, c’est quand même mieux de vivre à Toulouse que dans ce patelin nul.
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