Le Covid 19 n’était pas éradiqué en 2020 et il s’est mis à muter alors que les premiers vaccins faisaient leur apparitionC’est en 2023 qu’il a pris sa forme définitive.Désormais nous avions affaire au covid 23 et c’était le début de la fin. A croire qu’il était intelligent, et plein d’humour, car ce virus avait la particularité d’attaquer les chromosomes sexuels de l’homme (paire 23). Seuls les humains étaient attaqués. Comme vous le savez les chromosomes sexuels chez la femme sont XX et chez l’homme XY.Mais il existe aussi des personnes qui ont 3 voir 4 chromosomes au lieu des 2 habituelsChez la femme cela fera des femmes XXX ou XXXX, mais cela ne va pas trop changer leur vie.Chez l’homme, lorsqu’on a XXY on est atteint du syndrome de Klinefelter et plein de problèmes de santé divers. Notamment, de petits testicules et une stérilité. On peut cependant vivre normalement. Avec XYY, il y a peu d’inconvénients. On peut aussi avoir un seul chromosome et seule la femme peut y survivre, mais avec de nombreuses maladies.Pour ma part, je suis atteint de Klinefelter et ai passé la soixantaine. J’ai deux garçons que j’ai adoptés. Covid 23 a entraîné une rapide saturation des hôpitaux, tout le monde était atteint, mais pour les femmes c’était comme une légère grippe alors que les hommes mourraient en masse. Seuls les hommes Klinefelter arrivaient à survivre. Le virus attaquait les chromosomes X sauf s’ils étaient protégés par un deuxième X, ce qui est le cas chez les femmes et les Klinefelter. Mais là où on pouvait penser qu’il avait une sorte d’intelligence, c’est que chez les hommes Klinefelter il allait ensuite fusionner avec le chromosome Y. Cette fusion faisait de ces hommes des hommes parfaits, leur formule chromosomique devenait XXYc23Ces hommes améliorés rajeunissaient et guérissaient de toutes les maladies. Il en faisait des hommes immortels, qui ne vieillissaient plus. Au point de vue sexuel, tout allait pour le mieux, ils avaient un pénis légèrement plus gros que la moyenne et de grosses couilles. Après 6 mois à l’hôpital, j’étais dans une forme éblouissante. Cela faisait déjà 2 mois que ma femme (elle était venue à l’hôpital me soutenir dès que j’avais contracté le virus) me faisait des pipes tous les jours, sans compter les moments où je pouvais la baiser tranquillement. Elle était épuisée, à 60 ans on n’a plus la même vitalité qu’à 30. Elle me donna sa bénédiction pour me soulager avec d’autres femmes. Le virus me donnait une pêche d’enfer et j’avais tout le temps envie de baiser. Ainsi, je séduisis sans problème l’infirmière de nuit, Cindy, une ravissante rousse. Elle me faisait bander, rien qu’en la voyant et un jour ou plutôt une nuit, j’étais allé aux toilettes et en revenant je l’ai vue penchée sur ma table de nuit. Elle préparait mes vitamines et un léger sédatif me permettant de dormir tranquillement. A la vue de son popotin callipyge, je l’ai saisie par les hanches. En un tournemain, je lui écartai la culotte et m’engouffrai dans sa chatte. Elle ne protesta même pas, son mari était mort depuis plus de 6 mois, les hommes étaient déjà presque tous ou morts ou très malades, elle n’avait donc plus copulé depuis trop longtemps. Je me mis à la tringler avec vigueur et détermination. Ses cris qu’elle étouffait de la main allaient s’amplifiant. Voulant profiter du reste de son joli corps, nous basculâmes sur le lit. Je me mis à l’embrasser à bouche que veux-tu, sa langue n’étant pas en reste. Elle n’avait pas de soutien-gorge et ses jolis seins tenaient parfaitement dans mes mains. Sa culotte que j’avais maintenant enlevée était maintenant sous mon oreiller. Je voulais pouvoir la tripoter en toute impunité le reste de la nuit. Après l’avoir pelotée dans tous les recoins, je la fis mettre à 4 pattes, je voulais l’enculer, ce que je fis sans tarder et sans trop de difficultés. Enfin, je sentais mes couilles frémir et dans un grand bond en avant, je lâchais plusieurs jets dans sa jolie chatte. Le surlendemain, elle faisait un test de maternité qui se révéla positif.Au petit matin, après l’avoir tripotée plusieurs fois pendant la nuit, après l’avoir fait jouir souvent, après qu’elle ait avalé ma semence plusieurs fois, elle est partie pour se coucher et récupérer de cette nuit. Je lui interdis de mettre une culotte lorsqu’elle travaillait. Ma nouvelle formule chromosomique me donnait une autorité naturelle sur toutes les femmes que je baisais. Elles étaient « marquées », et ne pouvaient baiser avec personne d’autre. Quelques jours plus tard, la médecin-chef, Roxane, grande blonde aux formes élancées vint pour m’expliquer mon état de santé. Roxane était chef, faute de combattants. Auparavant, il y avait plusieurs médecins qui détenaient des postes supérieurs, mais c’étaient des hommes et ils étaient morts. Elle était la maîtresse attitrée du médecin-chef qui ne voulait pas qu’elle évolue pour la garder à porter de queue. Celui-ci était mort depuis 4 mois, elle avait donc pris sa place et avait aussi des fourmis entre les jambes. Après qu’elle m’ait annoncé que j’étais dans une très grande forme et, qu’elle ne voyait pas comment on pouvait me tuer, le virus empêchant que cela se fasse ; je n’eus aucun mal à la basculer sur son canapé. Ma femme qui était présente s’empressa de lui faire un cunnilingus de folie pendant que je l’enfilai. Puis elles échangèrent leurs rôles et, ma femme ayant préparé le terrain, je l’enculai d’un seul trait. Après de nombreux allers-retours dans son cul, je me vidai au fond de son vagin. Tout comme Cindy, trois jours après le test de maternité se révélait positif... Ma semence était magique. Une de plus dans mon sérail.
