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COVID et grande-tante

Chapitre 1

Inceste
Je suis tombé malade il y a quelques jours. Après plusieurs jours, alité, j’ai découvert qu’il s’agissait d’un COVID. Avec le repos forcé, les courbatures qui ont suivi et les pics de température, mon corps entier était très douloureux.
Pour me présenter rapidement, je suis originaire des îles, j’ai le teint bien noir et un corps relativement sculpté du fait d’une pratique assidue du sport. De nature enjouée, j’ai toujours entretenu de bonnes relations avec les différents membres de ma famille, même les cousins, cousines et tantes les plus éloignés. Famille nombreuse oblige, les réunions de famille ressemblent parfois à des mini-banquets.
Pour revenir à mon histoire, après plusieurs jours, toute ma famille a appris que j’avais le COVID. J’ai ainsi reçu plusieurs appels de cousins inquiets, de cousines qui me conseillaient tel ou tel traitement. Une grand-tante m’a appelé pour me proposer des massages pour m’aider à récupérer plus rapidement. On ne se parlait pas souvent, mais nous avons toujours eu une bonne relation. J’ai été étonné par sa proposition, mais tout de même ravi. On s’est convenu que j’irais dès le lendemain. Elle m’a assuré qu’après une ou deux séances, je serai à nouveau sur pied.
Elle est dans le début de la soixantaine, mais a su très bien se conserver. Elle a le teint caramel, les hanches larges, bien que son corps soit assez fin. On distingue très peu de rides et elle a l’air toujours en pleine forme. On voit qu’elle a été une très jolie femme dans sa jeunesse. Je vais l’appeler tante Élise pour ce récit.
Le lendemain, je me suis présenté chez elle en début d’après-midi. Le soleil était haut, les nuages peu nombreux. Il faisait chaud et l’air était très dense. Elle habitait dans une maison dans les hauteurs de l’île, j’ai dû marcher un peu pour arriver jusqu’à chez elle, les transports en commun n’arrivant pas jusque-là.
Après avoir toqué à sa porte, elle m’a ouvert la porte et je l’ai découverte vêtue d’une longue robe blanche à boutons, avec une ceinture au niveau de la taille. Malgré la chaleur, elle portait un châle qui recouvrait la partie supérieure de sa tête. Je l’ai toujours vue avec des vêtements amples, sans réellement chercher à mettre en valeur son corps. Toutefois, ce style sobre lui va à merveille et sied avec son attitude simple et joviale.
Elle m’a accueilli avec une bouteille d’eau et une seconde bouteille aux reflets dorés. Elle me dit alors : "L’eau c’est pour la marche, la bouteille c’est pour ton corps". J’ai trouvé cette phrase très énigmatique, mais je me suis empressé de boire la deuxième bouteille d’abord. Il s’agissait en fait d’un mélange d’eau, de cannelle, de vanille et de miel. Le goût était exquis.
Elle sourit immédiatement lorsqu’elle m’a vu finir la bouteille d’une traite. Elle m’a fait rentrer dans son salon et me dit de m’installer sur une grande table en bois, avec un coussin au bout. Je me suis assis sur la table en question et elle est alors ressortie du salon pour aller dans une pièce adjacente. Je ne l’avais pas vue depuis plusieurs mois et j’ai remarqué quelques changements physiques : ses seins sont devenus un peu plus gros, du 90B, et sa chevelure d’un noir de jais lui arrivait maintenant presque aux hanches. Toute sa maison sent la vanille.
Elle est revenue quelques minutes plus tard avec une huile de la même couleur que la boisson qu’elle m’a proposée plus tôt. Elle s’est rapprochée de moi et m’a dit de me déshabiller. J’ai retiré mon t-shirt et me suis allongé sur la table en bois, le ventre contre la table et la tête posée sur le coussin. Elle m’a tapoté l’épaule pour me dire qu’il fallait aussi que je retire mon pantalon. J’étais extrêmement gêné par sa demande, mais face à son air sérieux, j’ai accepté et ai retiré mon pantalon.
— Le travail peut commencer ! s’est-elle exclamée, tout enjouée. Effectivement, l’huile était fraîche sur ma peau et ses doigts minces me faisaient un bien fou. Elle savait exactement quelle pression exercer sur les différentes parties du corps. Elle a commencé par mes épaules et mes trapèzes pour descendre le long de mon dos, quelques pressions sur mes fesses, et finir par mes mollets. Elle appuyait sur chaque articulation avec une telle délicatesse que j’avais l’impression de planer dans l’air. Elle a répété cette opération en sens inverse, en s’attardant cette fois-ci sur l’intérieur de mes cuisses. Elle a répété cet aller-retour pendant une quinzaine de minutes.
J’étais totalement détendu. Les odeurs de l’huile et de vanille qui flottaient dans la pièce, les passages répétés de ses doigts sur mes cuisses et la pression du bois contre mon pénis commençaient à me donner un début d’érection. Je m’en amusais. Après encore quelques minutes de ce traitement, elle a annoncé "C’est bon !".
Pensant qu’elle avait fini, j’ai commencé à me relever du bout des bras quand j’ai senti ses doigts tels des aiguilles m’appuyer sur mes épaules pour que je me rallonge. Quelques instants plus tard, ses mêmes doigts exercent une pression comme pour me retourner sur le dos. Je me retrouve donc face à ma grand-tante, allongé sur la table en bois de son salon, en caleçon, la bite légèrement excitée.
Elle a toujours son châle, mais j’ai l’impression que sa robe est un peu ouverte sur le haut. Elle m’a souri et m’a regardé dans les yeux pendant qu’elle reprend son massage. Comme tout à l’heure, elle a commencé par mes épaules avant de redescendre sur mes bras avant de redescendre vers mes jambes puis la plante de mes pieds. Très minutieusement, elle s’est appliquée sur chaque articulation et sur mes muscles. À nouveau, j’ai l’impression d’être sur un nuage. Contrairement à tout à l’heure, elle me fixe à intervalle régulier avec un grand sourire, comme pour s’assurer que ce qu’elle faisait me convenait. Au troisième passage, lorsque sa main remontait en massante cuisse, elle m’a fixé intensément et a glissé sa main sous mon caleçon et a saisi ma bite. J’ai écarquillé les yeux de surprise, mais elle m’a donné pour seule réponse son sourire et "Tu vas voir, tu te sentiras mieux".
Elle a alors retiré mon caleçon de son autre main et commençait à me masturber. Tout en gardant son châle sur sa tête, elle commence à défaire les boutons suivants de sa robe, si bien que je peux maintenant voir son soutien-gorge. Elle s’est remis un peu d’huile sur les mains et m’a masturbé doucement. L’huile est fraîche et ses doigts fins sont exquis. Peut-être face à mon visage étonné, après quelques minutes elle rapprochait son visage du mien et m’a susurré un doux "Respire mon enfant..." languissant. Elle s’était baissée et je pouvais donc voir la naissance de ses seins.
Son ton ressemblait à un ordre, je me mis alors à respirer à pleins poumons et cela a été une tornade de senteur : la vanille, la cannelle, le miel, le citron du jardin, le bois de la table, le cuir des fauteuils, l’huile, le liquide préséminal de ma bite... tout ça, mélangé à son éternel sourire, je finis par éjaculer dans ses mains dans une expiration. Je l’entendis s’exclamer de joie aussi. Elle m’a alors dit "Maintenant, ferme les yeux". J’ai fait ce qu’elle me dit.
Elle a pris des mouchoirs sous la table, m’a essuyé avant de finir son massage sur le haut de mon corps. J’étais totalement détendu et mon corps ne me faisait plus mal du tout. Après avoir fini, elle m’a raccompagné jusqu’à la porte et m’a fait un bisou sur la joue avant de me dire "Reviens dès que tu te sens mal mon fils".
Elle avait raison, j’étais totalement remis.
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