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covoiturage et séduction

Chapitre 2

Erotique
Après encore quelques minutes de trajets, les deux covoitureurs arrivèrent en périphérie de Caen. Là où ils s’étaient convenu de se quitter sur l’application. Pierre déposa Lucile, lui donna son numéro, si à l’occasion elle voulait remettre le couvert. C’était un vrai gentleman, il avait conduit sa passagère à destination et l’avait même rendu avec le plein. La jeune femme vit la 207 s’éloigner, un sourire sur le visage, le voyage avait été bien agréable.

Quelques kilomètres plus loin, la voiture de gendarmerie était toujours dans la clairière, où Pierre avait déboîté Lucile. En effet, les agents de la paix avaient besoin de reprendre des forces pour poursuivre la patrouille mobile, car en voyant la jeune brunette aux mèches blondes se faire ramoner, la brigadière Maëva n’avait pas pu s’empêcher d’ouvrir son treillis, et de se caresser délicatement, s’imaginant à la place de la jeune covoitureuse. L’adjudant Paul, en écho de sa partenaire, avait aussi ouvert la braguette de son treillis et avait sorti son sexe pour se masturber, s’imaginant déboîter la jeune femme écrasée contre le parechoc de la 207.
Soudain, il avait senti sur son gland un contact humide, la jeune brigadière venait de déposer ses lèvres sur son sexe. Il poussa un soupir de plaisir, totalement pris par surprise. Dans la caserne, la brigadière Maeva était plus connue pour aimer manger des moules que des merguez... Finalement, il fallait croire que la jeune femme avait une alimentation variée.
La jeune gendarmette bavait allègrement, sur le sexe de son compagnon, qui pour l’aider la tenait par le chignon, lui indiquant ainsi le rythme de la fellation. Elle produisait un bruit de déglutition absolument indigne d’un agent des forces de l’ordre, mais bon, avec un sexe qui tapait au fond de la gorge il fallait la comprendre et l’excuser.
Pendant que Maeva suçait consciencieusement et avec passion, l’adjudant, lui était subjugué par le spectacle sous ses yeux et n’en perdait pas une miette. Si le jeune baiseur avait commencé à prendre sa compagne avec respect en la déposant délicatement sur le capot, les jambes de sa passagère autour du cou, il avait rapidement changé d’avis pour adopter une posture plus bestiale. En pleine étreinte, il avait retourné sa partenaire pour la plaquer avec force contre le capot de la 207. Elle s’était laissé faire, se cambrant même d’elle-même davantage pour faciliter la pénétration.
Si le spectacle avait commencé par ressembler à un film érotique d’après minuit sur la TNT, il ressemblait maintenant à une production du net, où la femme ressemble plus à un objet qu’une amante. Ce qui était loin de déplaire à l’adjudant Paul, grand misogyne dans l’âme et doté d’une faible estime de la gent féminine. À se demander pourquoi ses conquêtes ne restaient pas dans le temps...
Lucile se faisait littéralement ravager le cul, Pierre l’agrippant régulièrement par les hanches ou les cheveux pour venir la faire s’empaler sur son dard. Elle était écartelée en deux, repoussée par la bite, tout en étant rabattue sur elle, un délicieux supplice. La petite clairière était remplie du bruit des grosses burnes de Pierre claquant vigoureusement et en rythme sur le fessier blanchâtre de sa partenaire, sans oublier les hurlements de la femme, dignes des meuglements des célèbres vaches normandes comme celles dans les prés à proximité. Toutefois, en tendant l’oreille, on pouvait entendre aussi les déglutitions pénibles de Maeva, mais personne ne faisait attention à la toute jeune recrue des forces de l’ordre...
Pauvre petite Maeva, l’adjudant était tellement excité par le spectacle se déroulant sous ses yeux, qu’il n’avait pas la moindre considération et attention pour sa généreuse bienfaitrice, qui lui déroulait pourtant sur un tapis rouge sa pipe la plus baveuse. Il ne se rendait pas compte que la tête de Maeva était écrasée sur son sexe, depuis plus de trente secondes, et que la gendarme commençait à avoir du mal à respirer, tapotant légèrement des points pour essayer de se dégager de l’étreinte virile. Au contraire, Paul accompagnait maintenant le rythme de Pierre, imaginant que la bouche de sa collègue était la chatte touffue de Lucile. Chaque assaut poussant le gland à taper contre la glotte de la suceuse.
Mais aucun homme ne pouvait tenir le rythme sans craquer, même le plus endurant du monde. En quelques secondes, la bouche de Maeva fut inondée de sperme, elle en avala la moitié de travers. Le reste fut régurgité et une partie s’échappa même par son nez, un spectacle magnifique. Heureusement qu’elle n’avait pas mis de mascara, car il aurait été ruiné par ce mélange de salive, de jus d’homme et de biles somme toute très féminines.
Par une étrange coïncidence, les deux hommes avaient coordonné leurs jouissances, chacun remplissant presque au même moment leur partenaire de leur foutre épais. Les deux femmes eurent presque les mêmes réactions après avoir été prises avec tant de virilité, elles s’effondrèrent. Maeva était à quatre pattes, rouge, toussant et vomissant ce qu’elle pouvait. Elle cherchait à reprendre son souffle et dire qu’après les hommes s’étonnaient qu’elle préfère la délicatesse des femmes... quant à Lucile, ses jambes ne le portaient plus non plus, elle était agenouillée au sol, en sueur, moite, et à l’aide d’un petit mouchoir, elle tentait d’enlever le sperme chaud, qui sortait de sa fente. Malheureusement, une partie avait déjà gagné sa toison pubienne, la rendant poisseuse et odorante. Un bien moindre mal, pour un tel plaisir, à bout de force, elle avait un grand sourire sur les lèvres.
Une fois que sa chatte et son pubis furent bien épongés, Lucile rejoignit Pierre. Elle l’embrassa tendrement pour le remercier de l’avoir si bien chevauchée et les deux amants reprirent leur voyage en direction de Caen. La jeune femme n’était pas très écologique, elle avait abandonné les mouchoirs dans la clairière, détail qui n’échappa pas à Paul. Une fois qu’il fut sûr que la 207 était suffisamment loin, il s’empressa d’aller ramasser les précieux objets et de les porter à son nez. Il respira un grand coup la remarquable odeur de l’antre féminine et du sperme d’homme, la plus belle odeur du monde. Il était fou, s’imaginant ses simples objets aux contacts de la vulve de la passagère qui l’avait chauffée en début de journée. Il venait de mettre la main sur un véritable trésor.
En revenant vers la voiture, il vit Maeva, allongée sur le capot, les jambes ouvertes, la chatte lisse, le treillis et la culotte sur les Rangers.
— À ton tour de me rendre la pareille, s’exalta la jeune brigadière, je ne vais quand même pas être la seule à ne pas jouir aujourd’hui.— Tu ne penses quand même pas que je vais m’abaisser à te lécher ! Tu m’as pris pour qui ? J’ai des valeurs moi. Prends ta matraque télescopique et fourre-toi là où je pense, si tu es tellement en manque.
Je vous avais prévenus, un vrai misogyne, et beauf de surcroît, quarante ans et toujours célibataire, il n’y a pas de secret.
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