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Covoiturage vers un shooting un peu spécial

Chapitre 2

Shooting avec Antoine

Voyeur / Exhibition
Cette histoire en grande partie vécue, m’a été confiée par une sympathique jeune femme qui m’a demandé de lui en écrire une version romancée. Le thème m’intéressant, je l’ai rédigée avec beaucoup de plaisir en me substituant à la narratrice.
***

Épisode 2 : Shooting extérieur avec Antoine
Je suis réveillée par la main d’Antoine qui me tapote doucement l’épaule
— Nous sommes tout proche de l’étang de Lacanau, me prévient-il
— J’ai dormi longtemps ?, m’étirais-je en faisant jaillir mes seins qui tendent le tissus de mon corsage
— Une grosse demi-heure. Je te dépose où ?, me m’interroge-t-il
— Tu ne m’accompagnes plus ? Tu as changé d’avis ?, je lui répond le cœur un peu serré par la déception assez perceptible 
— Non ! Non ! Je ne savais pas trop si tu étais encore partante !
Moi, que la séquence de tout à l’heure n’a fait qu’aiguiser l’appétit : 
— Si bien sûr, au contraire ! Roule, je t’indique le chemin
Je crains qu’il me prenne pour une sacrée égoïste. D’un mouvement un peu irréfléchi, je me penche vers son oreille en posant une main sur l’épaule et l’autre sur le haut de sa cuisse. Le sein légèrement écrasé contre son bras, je lui glisse suavement à l’oreille :
— Tu as été très attentionné et parfait tout à l’heure ! Merci !

Le doux sourire qui éclaire son visage et ses beaux yeux bleus qui plongent dans les miens achèvent de me faire perdre la tête. Je l’embrasse sur l’oreille et ma main glisse jusqu’à la bosse qui déforme son pantalon. Je caresse lentement son sexe qui durcit sous ma main.Je n’ai qu’une envie, c’est de le déboutonner et de jouer avec son sceptre à main nue, voir même avec la bouche. Mais bon, là il conduit, ce ne serait pas très prudent.
Si avec cette démonstration, il n’a pas compris que notre séance photo peut déraper et que je n’attends que ça ! 
(Je sais que certains vont se dire que je suis une belle sal*pe de le provoquer ainsi et d’avoir envie de baiser avec cet inconnu. Parce que je suis une femme je n’aurais pas le droit d’avoir une libido très active, ou du moins je devrais m’en cacher ? Mon corps et mes envies n’appartiennent qu’à moi et j’en fais ce que j’en veux, et avec qui je veux !)
Quelques kilomètres plus loin, je lui indique un chemin creux que j’ai repéré lors d’un WE précédant. Nous roulons un peu dans le sous bois, puis nous continuons à pied chargés chacun de notre matériel photo.
Je marche devant, lui un pas en arrière. Je sens son regard bien accroché à mon derrière que je tortille un peu plus que nécessaire.Mais qu’est ce qu’il attend pour me passer la main sous la jupe et me caresser les fesses ! Me coller contre un arbre ! M’arracher ma culotte et enfouir sa tête entre mes jambes ! Il est timide ou quoi ?
Dix minutes de marche et nous arrivons au bord de l’eau. Un sous-bois un peu clairsemé que le soleil déjà bien haut dans le ciel éclaire idéalement. Totalement désert comme je l’espérais.
Pourvu qu’il me propose que nous restions ensemble ! Il l’a sous entendu tout à l’heure dans la voiture. Mais va-t-il oser ? Je veux bien qu’il soit gentleman, mais quand même ! Il faudrait qu’il se lâche un peu !
Des pensées très coquines m’assaillent. Je me projette déjà dans ce décor, nue sous l’œil attentif et inquisiteur de son appareil. Les caresses de son regard au travers de l’objectif qui explore mon corps offert dans la plus totale indécence.
C’est la première fois que je vais me laisser photographier nue par quelqu’un d’autre. Et par un homme qui plus est. Une petite excitation intérieure de franchir un nouveau cap dans mes pulsions exhibitionnistes.
 Moi qui prétends ne faire que des clichés pas toujours softs mais jamais vulgaires, là je pense que je lui tolèrerais d’être beaucoup plus intrusif. A vrai dire, j’ai même secrètement très envie qu’il joue avec chaques détails les plus intimes de mon corps, et je serais prête à toutes les impudeurs.

 Je ris dans mon fort intérieur : ma libido fonctionne à son maximum aujourd’hui !
Nous posons nos affaires et discutons sur la manière de procéder.
— Écoute ! Si tu en es d’accord, je te propose que nous soyons chacun, à tour de rôle, le photographe et le modèle de l’autre. À moins que cela ne te dérange et que tu préfères le faire seule ?, me suggère-t-il 
— Non ! Non ! Je t’ai expliqué que ça ne me gênait pas. Et puis, je crois que nous en avons envie tous les deux, non ?
Lui, avec un large sourire tout en me déshabillant du regard :
— tu as tout à fait raison ! Alors pour que ce soit plus facile, je te propose qu’on débute le shooting par moi
Nous nous mettons d’accord sur la vingtaine de poses que nous voudrions prendre, et nous convenons que nous le ferons en deux séries : en sous-vêtements, puis nus.La première série se passe facilement. Il se montre très coopératif à chacune de mes exigences d’éclairage et de pose.
Nous rions beaucoup du plaisir pris à le faire. Ce qui nous aide à rester décontractés pour cette première à tous les deux.
Je dois bien reconnaître qu’il est plutôt bien foutu, beau même. Ce qui est loin de me laisser indifférente. Quelques envies très coquines me trottent dans la tête pendant que je le shoot : caresser et embrasser son torse musclé, peloter son petit derrière, glisser ma main dans son slip pour le faire se dresser. Ma petite culotte en est ruinée !
Je profite de la moindre occasion, à chaque pose où je trouve que la position de son corps doit être rectifiée, pour le toucher délicatement. J’adore la sensation du grain de sa peau bronzée qui s’électrise sous le bout de mes doigts.
Lui aussi doit apprécier cette sensation, car souvent, presque trop souvent pour être un geste anodin, sa main effleure la mienne. Ses tétons se dressent sur son torse et la bosse de son caleçon gagne en volume. Son sexe de belle facture est parfaitement dessiné par son boxer moulant.
Et que dire de la pose où il est attaché dos à un arbre les yeux bandés ! Lorsque j’effleure son bas-ventre - malencontreusement, vous imaginez bien ! - pour lui repositionner le bassin et les jambes, son phallus a bien du mal à contenir dans son sous-vêtement !
Assis par terre côte à côte, penchés sur ma tablette, nous examinons les prises de vue pour les dernières rectifications avant la séance finale. Délicatement il glisse son bras sur mes épaules, tourne ma tête et m’embrasse délicieusement.
Son autre main caresse doucement mon sein dont le téton s’érige instantanément, puis se dirige vers mes cuisses attisant le feu qui brûle déjà dans mon ventre. Je lui griffe un peu le torse et la nuque pour lui signifier mon contentement. Mais je resserre mes jambes lorsque sa main s’aventure un peu loin en direction de mon intimité, lui susurrant à l’oreille :
— Pas maintenant, sois patient ! J’ai vraiment très envie de cette séance photo ! Pas toi ?
Je ne voudrais pas qu’il se rende compte à quel point ma petite chatte est mouillée.Il se lève face à moi et ôte le dernier vêtement qui le couvrait encore.
— Bon, on y va pour la séance finale ? Il me tarde à moi aussi Lucile !
— Tu veux que je me déshabille aussi pour te sentir moins seul ?, lui dis-je en regardant son joli membre parfaitement épilé surgir de son caleçon.
J’éprouve une furieuse envie de le prendre en main et pas que ! 
— Comme tu le sens toi ! Mais je crains de ne pouvoir tout maîtriser si tu te mets nue pour me shooter. Ça va compliquer les cadrages !, éclate-t-il de rire en me regardant droit dans les yeux.
— Au contraire justement ! Je veux saisir l’image de ton corps transpirant le désir !
Mais tu ne comprends pas que je veux que tu aies envie de moi ? Que tu bandes pour moi ? Que tu me fasses connaître mille extases ?Je me lève d’un bon pour me coller à et lui passer un bras autour du cou. En saisissant son sexe de l’autre main, je lui murmure à l’oreille : 
— Je veux que tu aies envie pendant la prise, c’est tellement plus érotique ! Non ?
Sous mes lentes allées venues, son membre durcit et se dresse dans ma main. Dans un grognement, il me débarrasse adroitement du peu de vêtements que je porte. Sa main tente de se glisser entre mes cuisses serrées. Je recule de deux pas avant qu’il ne se montre trop entreprenant. 
J’ai envie de jouer avec toi, que tu me désires vraiment beau gosse ! Séduis-moi ! Mais ne sois pas trop pressé, j’aime que la tension monte petit à petit.Je contemple le résultat de mon petit travail. Mmmmm ! Son sexe est assez fièrement dressé et il me tarde quand même un peu qu’il remplisse son office sur moi ! Pourvu que mon petit jardin ne luise pas trop d’humidité, ça ferait un peu mauvais genre.
Antoine, lui, ne se prive pas trop pour détailler mon anatomie. Il faut dire que je ne suis pas trop mal foutue, même si je me trouve bien quelques défauts. Je suis son regard qui explore mes seins avec envie, glisse sur mon ventre et s’arrête sur mon entrejambe tout lisse, un peu impudiquement entrouvert. A ses yeux qui brillent et son membre qui se redresse encore, je devine qu’il est plutôt satisfait et intéressé du résultat de son examen de mon corps.
Je m’accroupis en me retournant pour ramasser mon appareil. Il peut profiter de mes fesses, mais pas plus que mon derrière si vous voyez ce que je veux dire ! (je ne l’aime pas trop celui-là, je le trouve un peu gros et pas assez ferme)
— On attaque la prise de vue ?, je lui propose en me relevant 
— Tu veux vraiment me shooter dans cet état ?, me répond-il en faisant allusion à son membre qui présente une vigoureuse bandaison
— Sauf si ça te gêne ou que tu n’en as pas envie ! Parce que si tu voulais m’épargner la vue de ton beau sexe en érection, c’est un peu raté !, lui répliquais-je le regard gourmand fixé sur son phallus 
— Après tout, pourquoi pas ! Mais pour une première en extérieur avec « une » photographe, avoue que ce n’est pas banal ! 
— Je te restituerai tous les clichés si c’est ça qui t’inquiète ! C’est juste pour le plaisir transgressif du moment et l’érotisme qui s’en dégage, en ce qui me concerne !, je lui dis en riant
Je regrette presque aussitôt mes paroles. Je crains qu’il interprète que je ferme la porte à une suite beaucoup moins sage de notre séance photos.
— Transgressons ! transgressons ! alors ! C’est très excitant !, cède-t-il en riant également
Nous reprenons le shooting.
Les premières poses sont assez simples : debout de dos ou de trois quarts, dans l’herbe, au bord de l’eau, sous les arbres. Bon sang qu’il a un joli petit cul ! Ses fesses sont joliment dessinées, bien musclées et bien fermes. Ce doit être un régal d’y planter les ongles pour s’y agripper pendant qu’il fait l’amour.
Puis les clichés de face.
Il est quand même pas mal ! Tout en étant de taille respectable, son sexe n’est pas énorme, mais ce n’est pas ce que je recherche. Les très grosses dicks, c’est juste bon pour les films porno et pour les fantasmes.
Je reconnais qu’au début, lorsque je dois m’accroupir pour rectifier sa position ou le shooter, je fais attention à tourner les jambes serrées de côté. Mais assez vite, prise par la séance, je me montre assez impudique. Accroupie jambes ouvertes, je surprends ses yeux se glisser entre mes cuisses pour explorer mon petit jardin qui n’est plus si secret pour lui.
J’avoue que son regard insistant me provoque quelques picotements dans le ventre et une nouvelle poussée de cyprine qui inonde ma vulve ouverte et qu’il ne peut ignorer. L’envie de lui et de son sexe dressé dans mon ventre, ou toujours l’excitation de m’abandonner à mes pulsions exhibitionnistes ? Honnêtement ? Un peu des deux sans aucun doute.
Vient enfin la pose « attaché dos à un arbre avec les yeux bandés ».
Lorsque je lui attache le bandeau, collée à lui, je sens son sexe bien dur contre moi. Sa peau est douce, brunie par le soleil. Je savoure sa délicieuse odeur. Il s’empare de ma bouche et m’embrasse délicatement, longuement, déclenchant une irrépressible envie de m’occuper de lui.
Je caresse son torse et joue avec ses tétons tandis que je me déhanche pour me frotter contre sa queue dressée entre nos deux ventres.
Je le sens frémir et sa peau se hérisser, tout comme la mienne à notre contact. Lentement je me laisse tomber à ses genoux non sans dessiner de la bouche, des arabesques sur son ventre.
Son sceptre ardemment dressé tressaute légèrement lorsque ma main se pose sur lui. J’entame une sarabande de délicats baisers tout autour, sur son pubis rasé de près, ses hanches, le haut de ses cuisses, ses parties les plus intimes. Il gémit et se dandine sous les assauts de ma main qui ne reste pas inactive et coulisse sur sa colonne bien dure.
Un peu espiègle, je retarde le moment où je m’emparerai d’elle. Ma bouche n’est toujours pas en contact avec son sexe que je frôle tantôt de la joue, tantôt du bout des lèvres, parfois de la pointe de la langue. A chaque toucher son corps se tend et ses gémissements se font plus rauques.
Je choisis cet instant où il se tord et où un léger rictus déforme son visage, pour reprendre mon appareil et le mitrailler sous tous les angles.
— Surtout garde la pose !, lui intimai-je toute excitée
Gros plans sur sa bouche tordue et son nez aux narines pincées, sur son bassin arque bouté le sexe tendu vers moi. Prises de vues en pied, de face, de trois quarts, de dos, à la recherche du meilleur rendu érotique que la situation me suggère. Oui ! Je suis une femme et je ne vois pas pourquoi je devrais faire preuve d’une pseudo retenue à adorer l’érotisme de ce moment !
Allongée sur le dos, je mitraille en gros plan son sexe et ses bourses gonflées, totalement folle d’excitation de ce bel engin offert sans défense. Cette tige couronnée d’un beau gland turgescent me fait penser à mon gode caché au fond du tiroir de ma table de nuit, le compagnon de mes plaisirs solitaires.
Mais là ce n’est pas mon gode, mais mes doigts que j’insinue entre mes lèvres à la recherche de mon clito et des profondeurs de mon vagin. Je profite qu’il soit aveuglé pour satisfaire mon envie déchaînée en me masturbant, et jouir brièvement en quelques secondes.
La voix chaleureuse d’Antoine rompt le silence qui s’était installé.
— Tu aurais pu m’enlever le bandeau que je profite de ce délicieux spectacle !, me lance-t-il gentiment
— Quel spectacle ?, tentais-je de masquer d’une voix ingénue, tout en lui débandant les yeux et en le libérant
— Allons ! Celui de te regarder te caresser !, sourit-il. Tu avais peur de te laisser voir ?, me taquine-t-il
— Comment tu as deviné ?, tentais-je une nouvelle fois de détourner la question
— Ooooh certains bruits humides ne trompent pas voyons, Lucile !
— Et ça te fait bander de regarder ça ? Il ne manque pas de vidéos porno pourtant ?!, le titillais-je essayant de profiter de mon avantage
— Oui j’adore ça, mais uniquement en réel. Les vidéos, c’est fade et impersonnel. Et au fait, tu aimes, toi, regarder un homme se branler ?, poursuit-il
Ce qu’il me demande là est très personnel. Nous débordons de notre petit jeu de photos exhibitionnistes, pour rentrer dans l’intimité des désirs et des pratiques sexuelles. J’hésite un peu à lui répondre, mais comme il s’est montré ouvert à mon égard :
— Je pense comme toi pour les vidéos pornos, je trouve que ça fait étalage de viande. Maintenant, dans la vie réelle, aussi surprenant que cela puisse te paraître, je t’avoue que ça ne m’est jamais arrivé. Aucun de mes amants ne l’a fait pour moi. Mais je crois que j’aimerais, oui !, lui avouais-je honnêtement
— Et toi, tu l’as déjà fait en réel ou en virtuel, pour un mec ou pour une fille ?, insiste-t-il
Je me doutais bien qu’en répondant à sa première interrogation, cette question allait inévitablement venir sur le tapis. Sous ses airs un peu sérieux, c’est un sacré coquin plutôt malin le garçon ! Pas difficile de deviner où il veut en venir ! Bon ! Après, je l’ai quand même pas mal chauffé aussi, je dois bien le reconnaître.
Je pourrais facilement éluder sa question, mais je crois que j’ai autant envie que lui de ne pas en rester qu’à un shooting photo aussi érotique soit-il. Aussi je biaise une nouvelle fois, même si mes limites exhibitionnistes risquent de voler en éclat :
— Je ne l’ai fait qu’une seule fois dans ma vie ! Devant un mec ! Mais le pauvre était à l’aveugle et il a sûrement été extrêmement frustré de deviner que je me caressais sans pouvoir me voir !, me moquais-je, rieuse et espiègle en repensant à ce qu’il venait de se produire quelques instants auparavant  
Antoine percute sur le sens de mon allusion et éclate de rire en rentrant dans mon jeu :
— C’est clair qu’il a dû être totalement frustré ! Surtout si en plus il était attaché et qu’il ne pouvait que regarder ! Tu aurais pu lui offrir ce plaisir quand même !
— Oui tu as raison, j’aurais sans doute dû !
Ouuuuups !!! Ça y est, je me suis lâchée ! Maintenant je vais devoir assumer alors que c’est tout juste si je ne me cache pas sous mes draps quand je me masturbe ! Comme si quelqu’un pouvait m’observer toute seule dans ma chambre ! Mais, au fond, l’idée ne me déplaît pas avec lui. À condition qu’il en fasse autant !
Mais après tout, à lui de prendre l’initiative si c’est un « face to face » qu’il veut. Et comme il ne se conduit pas du tout comme un « mort de faim » pervers, je me sens en sécurité avec lui.
— Tu sais que tu as un beau sexe très photogénique en érection ! Et que tu sois rasé ajoute une délicieuse touche d’érotisme ! J’aime bien !, lui dis-je en m’agenouillant de nouveau devant lui
— Si tu aimes le sexe d’homme autant que je vénère la petite chatte épilée d’une femme, je te comprends parfaitement !
Souriante et satisfaite de le voir bander toujours aussi fort, je le saisis à pleine main et lui octroie quelques petits coups de langue sur son gland luisant. Il frémit, sensible à cette caresse que je lui prodigue sur toute la longueur de son membre.
— Viens ! À moi de jouer les photographes de ton corps maintenant !, m’enjoint-il alors qu’il me relève et ramasse l’appareil posé au sol
Dommage qu’il m’interrompe en si bon chemin ! P*utain, je l’aurais bien sucée sa belle queue moi ! Elle me fait envie ! Et l’occasion était trop belle de l’immortaliser en train de gicler - je n’avale pas - comme il ne porte pas de condom !
— Tu veux qu’on fasse ma séance de poses ?, je l’interroge, un peu frustrée du coup
— Plus tard ! Là, tu m’as mis le feu et j’ai vraiment envie de quelque chose d’autre !, me répond-il en me tirant par la main vers l’endroit où nous avons déposé nos sacs.
— Quelque chose d’autre au sujet de notre conversation ?
— Oui ! Tu veux bien ?
— Ooooooh ouiiiiii !!! J’ai très envie d’en faire l’expérience ! Qui plus est avec toi !
(À suivre)
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