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Le covoitutrash

Chapitre 1

Hétéro
Le covoitutrash
Aujourd’hui, enfin, je pars en vacances. Un mois de vacances après une année de dur travail non-stop à enchaîner les problèmes de chantiers en chantiers.Premier juin, les bagages sont faits, la voiture est chargée, alors direction la Marne pour ma première étape du road trip.Pendant tout mon parcours, j’ai prévu de faire du covoiturage. Pour réduire les frais et aussi parce que la route est plus sympa à plusieurs.
Il est 11h, je pars chercher mon seul passager de cette étape. Elle s’appelle Marie et à 18 ans. Je la retrouve devant la gare de la ville. Je mets sa valise dans le coffre, elle monte dans la voiture, s’attache, et nous voilà partis.
À peine partis, je vois qu’elle regarde mes livres posés devant elle avec attention.
— Tu peux lire si jamais il y en a un qui t’intéresse, lui dis-je.— Ah mais c’est le livre de... Celle qui fait le compte, là... Charline !— Oui c’est bien celui-là, je ne l’ai pas encore commencé, mais j’ai hâte.— Je vois que tu as une belle collection sur la sexualité, dis donc.—  C’est sûr, c’est un sujet que j’aime beaucoup, et étant curieux, j’aime en apprendre tous les jours.—  Ah oui ! J’ai appris tellement aussi grâce à elle et d’autres, comme “Jouissance club”, dont tu as le bouquin, ou Masha, encore le bouquin. En fait tu les suis toutes.—  En même temps, je trouve ça magnifique : qu’elles osent parler de sexe naturellement, et surtout, qu’elles veuillent et qu’elles fassent changer les mentalités.
Nous discutons ouvertement de sexualité, de ce que nous avons déjà essayé, nos fantasmes, tout y passe.
Vers 12h30, nous nous arrêtons à un supermarché pour acheter à déjeuner. Nous faisons nos courses chacun dans notre coin avant de nous retrouver à la voiture. On reprend la route en essayant de trouver un coin sympa où s’arrêter.
En plein milieu des champs, à l’orée d’une forêt à travers laquelle la route trace un sillon, un petit parking en gravier juste à côté d’un cours d’eau.
— Ça me paraît sympa ici. Ça te va ?
— Oui très bien. C’est calme et très joli.— Ça ne t’arrive pas à la cheville.
Marie rougit et baisse les yeux
— Oh... elle fait sa petite timide, dis-je sur un ton moqueur.
Comprenant que je me moque, elle me pince le bras. Elle a bien pincée avec les ongles, aïe.
Je me gare le long de la rivière, coupe le moteur, me détache, et sors de la voiture. J’ouvre la porte arrière et m’installe.
Pratiques les voitures de grand-père...
J’ai la petite tablette pour manger. Marie, qui n’avait pas fait attention qu’il y en avait une, me rejoint à l’arrière et commence à manger également.
Le repas est silencieux, chacun dans son coin, dans ses pensées. Enfin, je suis plus en train de la détailler qu’autre chose. Elle est très jolie, très attirante. Marie doit faire quelque chose comme 1,60/65, un joli petit ventre coincé entre son débardeur coupé haut, et sa jupe noire. Elle a de belles jambes bronzées. Ses cheveux sont bruns, coupés en carré aux épaules. Sa poitrine doit faire un bon 85/90 C, voir même D. Son tour de taille : je ne saurai dire, je suis une quiche pour ça, un 40 je dirais.
Marie lève les yeux et voit que je la regarde. Elle me sourit, je lui souris en retour.
— Que regardes tu ?—Toi, je te regarde, je regarde ta beauté. Ne rougis pas. C’est la vérité. Tu es très belle et tu sais te mettre en valeur dans de jolis vêtements. Tu dois faire tourner des têtes à l’école.
En disant cela je pose une main sur sa joue et lui relève la tête pour le lui dire dans les yeux.
Je ne sais ce qui me traverse l’esprit, mais j’approche mon visage du sien et l’embrasse délicatement. Elle se laisse faire. Puis, je sens sa main caresser mon bras, ses lèvres s’ouvrir pour laisser sa langue venir à la rencontre de la mienne.
Je mets fin à ce baiser, me recule, et m’excuse :
— Excuse-moi. Je n’aurai pas dû. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais parler sexualité avec une aussi belle femme m’a quelque peu émoustillé.— Ne t’excuse pas. J’ai adoré toute la douceur dans ce baiser. Tu m’as mis des papillons dans le ventre avec ta bouche. D’ailleurs, ça s’est trop vite arrêté.
À ces mots, Marie prend les devants et m’embrasse. Un baiser un peu incertain quand même, un peu "tendu", "stressé" on va dire. Quand sa langue trouve la mienne et qu’elles se mettent à danser ensemble, Marie se détend et l’échange devient plus torride. Nos langues tournent et retournent, un coup dans sa bouche, un coup dans la mienne. Ma main se pose sur sa nuque, la sienne me caresse les cheveux.
Avec la violence de l’échange, nous nous poussons tour à tour. Je finis par l’allonger sur les sièges arrière. Ma bouche quitte la sienne pour glisser sur son cou. Je l’embrasse sur le côté, remonte vers son oreille. Je lui en lèche le lobe, le suce, le mord.
Marie a l’air d’aimer car elle se dandine sous moi, sa respiration s’accélère. Sa main qui me caressait les cheveux descend pour me caresser le dos. Son autre main se faufile entre nous, jusqu’à mon bas ventre. Quant aux miennes : la gauche est coincée sous moi et me sert d’appui pour éviter de tomber des sièges. L’autre prend délicatement son sein en main, et titille son téton au travers du tissus de son haut.
Marie passe sa main dans mon pantalon et caleçon, et caresse mon pénis à moitié coincé entre nous. Elle commence à soupirer, à lâcher des "Oui j’aime ce que tu fais, continue."Je lâche son oreille et retourne l’embrasser. Je lâche son sein, chope son poignet et retire sa main de mon entre-jambe. Je m’arrête, me redresse, et me rassois en la regardant.
— Ça va loin là. Tu es sûre que tu veuilles ça ?— Tu en as envie alors allons y.— Oui mais la question c’est est-ce que toi tu en as envie ?— Hum, laisse-moi réfléchir... Bien sûr que je veux. Je veux sentir la chaleur de ton corps contre le mien, ton souffle à mon oreille, ta langue danser avec la mienne. Te sentir dans ma bouche, sentir ta langue me goûtant, tes mains sur mon corps, tes doigts en moi, ta bite en moi. Alors maintenant viens.
Marie me chope par le col et me tire vers elle, m’embrasse de manière assez hard, puis m’enlève mon t-shirt. Elle en fait de même avec le sien.
— Tes seins sont magnifiques.— Je sais merci. Déshabille-toi et viens les manger.
Je ne me fais pas prier et retire mon pantalon et caleçon vite fait. Je l’embrasse, descends dans son cou, puis l’épaule, le haut de son sein. Je m’arrête sur son téton pour y jouer avec ma langue, pour le faire rouler entre mes dents. Je continue de descendre, vais jouer avec son nombril, repars. Je chope sa jupe sur les côtés, et la tire doucement vers le bas. Je découvre un petit string bleu turquoise en dentelle. L’odeur qui s’échappe du saint graal est enivrante.Je descends sa jupe tout le long de ses jambes, l’enlève et la fais rejoindre son haut.
Je colle ma bouche à ses lèvres intimes au travers du tissus. Je prends une grande inspiration.
Bon Dieu ! Quelle odeur !
J’embrasse son clitoris au travers du string. Ma bouche lui provoque une sorte de décharge électrique dans tout son corps.
— James vas-y, m’implore Marie dans un soupir, bouffe-moi s’il te plaît.— Tu es pressé que je te fasse ta fête ?— Ooooh... oui alors.
J’écarte son sous-vêtement et attaque direct son clitoris déjà bien sorti de sous son capuchon. J’y vais du bout de ma langue, par petits coups. Chaque attaque a pour réponse un petit gémissement. J’enchaîne avec ma langue fouillant son antre, allant se déshydrater à cette source non tarissable. Les mains de Marie se posent sur ma tête.
Le cunni ne dure pas longtemps. Trop excité, je me redresse et recule.
— Retourne toi ! Mets-toi à quatre pattes !—  Hum, oui monsieur.
C’est parti pour une grosse levrette. Je pose mon gland juste entre ses lèvres.
Bon dieu elle est en eaux.
Je pousse d’un coup et l’enfourne. Marie répond d’un fort gémissement. J’attrape alors ses hanches et fais de gros allers-retours forts. Je la serre fort, recule jusqu’à presque sortir, et rentre en totalité d’un coup. Marie a l’air d’aimer vu comment elle grogne à chaque fois.
— Hum qu’est-ce que j’aime être en toi ! Qu’est-ce que j’aime voir ton cul bouger comme ça !— Oh oui ! Moi aussi j’aime ça ! J’aime que tu me possèdes. J’aime être ta grosse pute de salope.
J’adore ça. Elle arrive à me booster encore plus.
Voir son cul bouger comme ça m’invite à le fesser. Je claque chaque globe qui lui arrache un cri aigu à chaque fois.
Oh ! Qu’est-ce que ? Tiens... en voilà un joli petit œillet.
Je lâche une de ses hanches et caresse son anus de l’index. J’en fais le tour du bout du doigt plusieurs fois, avant de glisser mon pouce doucement dedans. Il fait chaud ici dis donc.
Pendant que je besogne Marie qui en grogne et crie de plaisir, mon pouce fait des allers-retours dans son cul. Je retire et le remplace par deux doigts, puis trois. Les va-et-vient se font plus fort dans son petit trou ouvert.
— Oui ! Vas-y ! Baise-moi mes trous ! Possède-moi ! Je suis ta chienne vide couilles !— Oh oui ! Tu es ma chienne ! Tu vas voir je vais te remplir. Viens me vider les bourses avec ta bouche salope.
Aussitôt dit aussitôt fait, Marie s’avance pour me sortir et se retourne pour prendre mon pénis dans la main avant de le gober direct en gorge profonde. Ma petite chienne fait des allers-retours avec sa main, synchronisée avec sa bouche pour mon plus grand plaisir. Elle s’amuse à me faire des gorges profondes de temps en temps et vient me caresser les boules avec sa langue.
— Oh !!! Je vais venir, je vais me vider dans ta bouche de garage à bite.— Humpff... Hum oui.
Le premier jet n’est même pas encore sorti qu’elle le sens et me pompe comme si sa vie en dépendait. Je me vide jet après jet dans sa bouche.
Bon dieu que c’est bon !
Marie sort ma bite et ouvre grand la bouche pour montrer son trophée avant d’avaler. Elle rouvre la bouche, vide.
— Nettoie-moi et remets-moi en forme maintenant.— Oui maître, avec grand plaisir maître.
Je m’assois, et c’est partie pour une bonne pipe. Pas besoin de beaucoup de temps pour que je sois de nouveau d’attaque. Je lui dis d’arrêter. Je me lève et sors de la voiture. Marie ne comprend pas. Je fais le tour, lui tends la main pour qu’elle sorte de la voiture.
Une fois sortis, je l’emmène vers la forêt. À peine cacher derrière un arbre, je me retourne et l’embrasse sauvagement.
— Ici ?— Oh oui alors ! Tu sais faire plaisir à ta chienne.— Alors mets-toi contre l’arbre et tends-moi tes fesses de p’tite pute.
Les deux mains posées sur le tronc, le bassin bien reculé, elle m’offre une très belle vue de son antre.
Mais non ce n’est pas de toi dont je vais m’occuper mais de ton voisin du dessus.
Je pose mon gland contre son anus encore ouvert de mes trois doigts. Je pousse tout doucement et voilà mon gland aspiré dans cette chaleur. Je profite de l’endroit et laisse Marie s’habituer à son nouvel ami.
— C’est bon de te sentir dans mon cul. J’aime ta bite en moi.— C’est pas fini ! Il n’y a que le gland.— Ah ?! Bah alors vas-y, pousse et mets-toi au chaud dans ta soumise.
Je ne me fais pas prier et avance mon bassin jusqu’à le poser contre ses fesses. Je commence des allers-retours que j’accélère rapidement. Je finis par la "bourrer" vraiment hard, lui claquant les fesses. Je la baise comme la chienne qu’elle est. Je la fais crier son plaisir à pleine voix. Elle m’encourage à le faire :
— Oui vas-y bien ! Tapes au fond ! J’aime que tes couilles me claquent les lèvres. Encule-moi comme si ta vie en dépendait.— Oh oui ! Et je vais te remplir le cul de ma sève maintenant.— Ah non alors !
Marie se redresse ce qui me retire de son cul. Elle se retourne, s’agenouille devant moi et prend mon pénis en main pour le branler énergiquement.Ça suffit pour que je lâche tout, je lui asperge les seins et le visage dans un râle de plaisir.
Quand je reprends mes esprits, elle est toujours à genoux à récolter mon jus du doigt et à le sucer pour se nettoyer.
— Waouh, t’es vraiment une salope dis donc. Tu as l’air toute gentille comme ça. Comme quoi l’habit ne fait pas le moine.— Oui, je suis timide en général. Mais au lit je suis plutôt baise sauvage. Et puis on était dans l’ambiance dès le début du trajet.— Oui effectivement. Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.— Oh oui, faudra qu’on se refasse des trucs comme ça.
Je prends sa main pour l’aider à se relever et nous retournons à la voiture pour nous rhabiller. Une fois habillés, on s’embrasse, sympa ce petit goût de sperme en fond. On reprend la route pour finir le trajet tout simplement.
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