Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 361 J'aime
  • 24 Commentaires

J'ai craquè !

Chapitre 1

Avec mon collègue de travail.

Hétéro
Bonjour, Je ne sais par où commencer tellement cela me gêne encore. J’ai quarante ans, mariée depuis dix-neuf ans à un homme que j’aime de tout mon cœur... Pourtant, en vieillissant mes envies, mes besoins sont devenus plus forts, plus présents... À l’inverse, mon mari se montre plus calme, plus rangé, au point qu’il m’arrive depuis pas mal de temps de fantasmer sur des interdits bien hard me mettant en scène pour des parties de jambes en l’air complètement folles.
Cela faisait quelque temps que "X", un homme de dix ans mon aîné, me taquinait en me parlant de ses exploits, ses conquêtes et autres... Je me disais depuis tout ce temps qu’il n’était qu’un vicieux cherchant à se soulager auprès de femmes mariées ou non, juste pour afficher leurs noms à son tableau de chasse ! Je ne l’appréciais franchement pas, mais j’étais contrainte de le supporter vu qu’il faisait partie de mes contacts professionnels. Il venait régulièrement à l’agence pour le travail. Une fois le côté pro en place, il me posait un tas de questions plutôt du genre personnel à savoir si, sexuellement, tout allait bien pour moi ? Quelque temps avant les faits, il avait forcément remarqué mon mal être, mon désarroi que je dissimulais bien mal j’en conviens. Le fait était que l’abstinence de mon mari me troublait énormément... Je me posais un tas de questions et surtout j’avais des envies grandissantes, m’excitant au moindre petit fait me rappelant mon manque.
C’est un jeudi matin que "X" est passé me voir me trouvant terriblement séduisante comme à son habitude. J’ai rigolé plus que d’ordinaire sous les questions osées qui pleuvaient... J’ai dû le mettre en confiance sans même m’en rendre compte. Pourquoi ai-je d’accepté son invitation à prendre un verre le lendemain soir ? J’étais en manque, certes, mais de là à accepter l’invitation de ce type qui ne me plaisait en rien si ce n’est son humour et sa curiosité...
Mon mari travaillait jusque tard le soir le vendredi et je lui inventai une sombre histoire de dossier en retard pour justifier mon écart d’horaire du lendemain. La situation m’excitait à vrai dire et, dans un souci de ne pas faire de bêtises, le soir-même je tentai une énième approche de mon chéri au lit. J’essuyai un revers de plus prétextant la fatigue.
Le lendemain, pour être franche, j’étais très excitée à l’idée de me faire draguer par cet homme qui, même s’il ne me plaisait pas, avait des propos plutôt osés, un regard très perçant et toujours très indiscret. Bref, pour le plaisir, pour le jeu de séduction, j’avais enfilé une petite robe noire en portefeuille m’arrivant au dessus du genoux sous laquelle je m’étais orné les cuisses de superbes bas noirs à large jarretière de dentelle ; un joli string de la même matière terminait la féminité que j’étais heureuse d’afficher. Je me dandinais devant mon grand miroir toute fière de l’image que celui-ci me renvoyait. Une touche légère de maquillage et j’étais prête. Je ne pensais franchement pas à aller plus loin avec cet homme, je vous assure, mais juste pour le plaisir d’être désirée, complimentée, regardée comme la femme parfaite que je ne suis pas, loin de là.
Bref, le soir venu, j’étais dans mes petits souliers le rejoignant dans le parking souterrain de la boîte. Nous avons laissé ma voiture sur place pour ne pas risquer d’être vus. Un verre puis deux dans un café pas très loin.Un moment très agréable au fond, empli de compliments, de regards et de confessions... J’ai été jusqu’à lui avouer les difficultés de mon couple, le manque de piment, etc. Il me rétorquait simplement que je devais profiter de ma jeunesse, de ma beauté qui n’est que de passage ... Une heure trente à discuter, à subir ses regards de braise sur mon corps à la moindre occasion. Oups, je cachais mon excitation, rougissant plus d’une fois devant ses avances. Vers vingt heures, "X" m’a raccompagnée très gentiment à ma voiture dans le parking. Il faisait bien sombre et j’étais stationnée tout au fond. Il s’est garé juste à côté de moi, nous nous sommes fait la bise dans sa voiture, je l’ai remercié pour ce moment sympa passé en sa compagnie avant de filer à mon véhicule. Là, je ne l’ai pas vu arriver... "X" m’a rejointe, montant côté passager. J’ai ri en lui demandant ce qu’il faisait... Il m’a alors répondu :
— Je ne peux pas te laisser partir comme cela !
Tout en me saisissant la nuque, m’attirant à lui. Je n’ai pas pu, pas su le repousser. Nos langues se sont nouées dans un long baiser fougueux ! Une main s’est enfouie dans l’ouverture de ma robe me fouillant l’entrecuisse. Je n’ai eu aucune réaction de refus, j’ai même plus ou moins écarté les cuisses lui cédant le passage en ronronnant de plaisir. J’étais folle et je sombrai dans le plaisir interdit, mais tans désiré. Je pressai ma main sur son sexe qui déformait déjà son pantalon. En quelques secondes, je me tortillai de plaisir sous l’action de ses doigts entre mes cuisses, ses doigts qui déjà glissaient sur mes lèvres trempées ! Je m’ouvris davantage alors qu’il me pinça le bouton tout en le roulant entre ses doigts. Je l’entends encore me dire :
— Ce n’est que sexuel, ma chérie ! Tu en veux, je le sais… donne-toi ! Laisse-toi aller !
J’ai perdu la tête, ondulant des hanches malgré le peu d’espace. Je me suis retrouvée sa queue en main, le masturbant comme une folle. L’instant était plutôt bestial, mais tellement bon et chaud. J’avais passé la jambe par dessus la console centrale, lui offrant mon entrecuisse qu’il doigtait furieusement ; je gloussais comme une folle sous ses coups de boutoir. « X » a bien compris mon envie flagrante de me faire prendre. En quelques secondes, je me suis retrouvée les hanches entre les deux sièges, guidée par ses mains puissantes. La robe sur les hanches, le string écarté, il avait baissé son jeans et se frottait le gland sur ma vulve trempée et gonflée de désir. Je me déhanchais de plus belle, me surprenant même à lui demander :
— Prends-moi fort ! Oui vas-y !
Je fus servie ; "X" m’a pénétrée d’un coup sec en se ruant en moi comme jamais. Ses doigts enfoncés dans mes hanches, il me remplissait de bonheur, je rugissais sous ses coups de reins, de grands claquements sur mes fesses me faisaient bondir en avant. Je hurlais de plaisir grognant des : « Encore » confus et étouffés. Accrochée aux appui-têtes, je me cambrais comme jamais, les fesses offertes à cette queue qui me transperçait les entrailles… De longs spasmes m’ont secouée à en perdre la tête ! Une jouissance comme je ne l’attendais plus. Il s’est ensuite retiré comprenant que j’avais eu un orgasme monstrueux et a éjaculé sur mes fesses, me souillant d’une énorme coulée de sperme bouillant tout en râlant son plaisir...
J’étais plus que confuse, cherchant à m’essuyer les fesses avec du papier éponge sans souiller la voiture. "X" m’a gentiment aidée avant de me rassurer en me disant que cela resterait entre nous, mais qu’il avait adoré ce moment de folie et qu’il adorerait remettre cela. Bref, qu’il aimerait me revoir.
Je suis rentrée chez moi peu avant mon époux, juste le temps de me changer et cacher les preuves de mon méfait... Honteuse, j’ai eu peine à soutenir le regard de mon mari qui, évidemment, ne savait rien… Cela ne s’est pas arrêté là, bien évidement. J’avais mis les pieds dans un bel engrenage que je ne maîtrisais pas réellement !

Honteuse, je le suis encore… Pourtant j’espère que d’écrire ici cette partie de ma vie m’aidera à garder le cap…
Diffuse en direct !
Regarder son live