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Crème fouettée

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
La sonnerie retentit. Tous les élèves se ruent vers la sortie de la salle de cours. Pendant que je range mon manuel d’Histoire-Géographie, j’entends Alizée et ses pintades glousser auprès de Benjamin et de ses potes.
— Tu es vraiment la fierté de notre lycée, mec ! s’exclame l’un de ses amis.— Alizée, tu as vraiment de la chance de sortir avec un futur nageur olympique !— Oui, je sais. C’est pour ça que je l’ai choisi, car c’est le meilleur !
Alizée pose une main parfaitement manucurée sur le torse de son copain. Ce geste marque aussi son territoire. Elle me lance un coup d’œil rapide, vérifiant que je ne loupe rien du spectacle. Son visage se fend d’un sourire démoniaque quand elle croise mon regard.Je ferme mon sac en bandoulière, passe la bretelle par-dessus mon épaule et lance d’un ton sarcastique tout en me dirigeant vers la sortie :
— Heureusement qu’on l’a aidé à se libérer de tout son stresse avant la compétition. Il faudrait remercier cette personne, pas vrai, Alizée ?
Tout le groupe me regarde sans comprendre, sauf Benjamin qui dissimule un sourire aux coins des lèvres, comprenant parfaitement à quoi je fais allusion.
— Oui, c’est bel et bien grâce à ma copine que j’ai pu gagner, dit-il fièrement.— Oh là là ! Alizée, dis-nous ton secret ! demande l’un des garçons.— Eh bien, je lui ai juste donné un baiser d’encouragement, dit-elle d’une voix faussement timide.— Je te revaudrais ça plus tard ma chérie, je te le promets.
Benjamin enlace Alizée tout contre lui, mais me zieute discrètement. Un sourire narquois se dessine sur mes lèvres au moment où je leur tourne le dos. J’ai bien compris que c’est à moi qu’il s’adresse. Une fois hors du lycée je prends une grande inspiration, non mécontente d’être sortie de cette prison scolaire.
— Angie ! Par ici !
De l’autre côté de la route, Tim me fait de grands gestes de la main avec un sourire rayonnant. À côté de lui se trouvent Greg et Arthur. J’attends qu’il n’y ait plus rien sur la voie rapide avant de traverser pour aller à leur rencontre.Sans perdre de sa bonne humeur, Tim se penche vers moi.

— Tu vas bien ? Je suis trop content que tu viennes avec nous chez Arthur !
Son enthousiasme fait plaisir à voir. Cela change de l’aura d’Arthur qui est toujours aussi imperturbable.
— C’est sûr que c’est une première. Arthy n’invite jamais de fille, me dit Greg tout en posant une large main sur mon épaule.
Je jette un rapide coup d’œil vers Arthur pour sonder ses pensées, mais il se contente de hausser les épaules avant de se détourner.
— Allons-y, ne perdons pas de temps.— Toujours aussi loquace, celui-là. Ne t’en fais pas Angie, derrière sa carapace se cache un cœur tendre.
Je me contente d’offrir à Tim un sourire amical. S’il savait tout ce qui s’est passé depuis une semaine. Depuis ce fameux jour où Arthur et moi, nous nous sommes mutuellement sautés dessus dans les vestiaires.Nous n’avons pas tenu un jour de plus avant de nous ressauter dessus. Je dois dire que le sexe avec lui est juste sensationnel ! Peu importe le nombre de fois où on le faisait, j’en voulais toujours plus. De son côté, Arthur n’était pas resté pas de marbre non plus. Il m’avait emmené dans des endroits dont j’ignorai l’existence pour assouvir nos désirs ; dans une réserve entourée de filets et de ballons, sous le bureau d’une classe de science, et même derrière une étagère au C.D.I. Arthur et moi, avons pratiqué plusieurs techniques et positions différentes. L’une d’entre elles était la pénétration anale, avec laquelle j’avais le plus douillé. Vu la taille de son engin, ça n’avait pas été aussi simple. Heureusement qu’Arthur est attentionné, il avait amené son propre tube de lubrifiant. Je me souviens quand je l’avais fait avec Lionel la première fois dans la cuisine, dire que je ne voulais pas recommencer. Mais avec Arthur, j’ai vraiment su prendre du plaisir quand il passait par-derrière.

Nous suivons Arthur à travers le centre-ville, riant aux éclats à l’écoute des blagues de Tim. Mon rire s’arrête net quand je vois un immense building se dresser face à moi.Euh… Dites-moi que c’est une plaisanterie !Je sais que je suis invitée chez Arthur, mais je pensais me rendre dans une grande villa dans l’un des quartiers chic de la ville. Pas directement à l’hôtel que gère sa famille ! De grandes baies vitrées recouvrent l’ensemble de la tour, réfléchissant majestueusement la lumière du jour. Au premier coup d’œil, on pourrait croire que c’est la tour d’une grande entreprise, remplie de bureaux à chaque étage. Mais la devanture est sans aucun doute celle d’un grand hôtel avec sa devanture digne d’un des grands casinos de Las Vegas.
Pendant que je reste bouche bée devant cet édifice, Tim me tire par la main.
— Ne reste pas plantée là, allez, viens !
Je le suis sans savoir quoi rappliquer, encore sous le choc. Nous entrons dans un spacieux hall aux murs marbré, brillant de mille feux grâce à de magnifiques lustres en cristal. Le sol est recouvert de plusieurs tapis déroulés comme au festival de Cannes ; tout est pensé pour mettre la clientèle sur un piédestal.Arthur passe devant la réception sans y accorder un seul regard, tandis que plusieurs réceptionnistes nous jettent de rapides coups d’œil curieux. J’imagine qu’ils ont dû reconnaitre le fils de leur patron, c’est pour ça qu’ils ne nous disent rien. Arthur s’arrête devant l’une des portes d’ascenseur et appuie sur le bouton pour en appeler un.Une fois arrivés à notre étage, qui est l’un des derniers, nous entrons dans un sublime séjour.
— Bienvenue chez Arthur, Angie ! me fait Tim.— Attends, on atterrit directement dans son salon dès qu’on sort de l’ascenseur ?!— Bien sûr ! Il faut un code spécial pour s’y rendre. Tu n’as pas vu Arthur le taper dans l’ascenseur ?
Je secoue la tête négativement. Je dois dire que je n’ai pas trop fait attention, j’étais encore en état de choc. J’avance timidement dans ce somptueux salon meublé d’ustensile de luxe. Je n’arrive pas à y croire qu’Arthur vive ici. Je comprends mieux sa réticence à faire confiance à autrui.
— Où sont tes parents, Arthur ?— Ma mère voyage sans cesse dans le monde entier, je ne pense pas que tu la verras un jour. Quant à mon père, il doit être à l’étage inférieur, dans son bureau avec mon frère.— C’est un peu dommage que je ne puisse pas les voir, j’aurais au moins aimé les remercier de leur hospitalité.
Greg éclate de rire tout en passant un bras autour des épaules d’Arthur.
— Tu n’auras pas à le faire, ils ne mettent jamais les pieds ici !— Comment ça ?
Arthur se dégage des bras de son ami et sort du salon sans un mot.
— Greg ! Ne dis pas ça devant Arthur ! Tu le sais bien que c’est un sujet sensible !— Désolé.— Pourquoi est-ce un sujet sensible ? demandé-je.
Tim affiche un air sombre tout en fixant son demi-frère au loin.
— Tout simplement, car cet étage est exclusivement réservé à Arthur. Celui du dessus est privatisé pour mon demi grand-frère et mon père habite tout au sommet.— Tu veux dire qu’Arthur vit ici tout seul ?!— Oui, soupire tristement Tim.
Je commence à comprendre pourquoi Arthur est si froid à l’extérieur. Il n’a pratiquement jamais reçu d’affection de qui que ce soit.
— Eh, Tim ! On se fait une session jeux vidéo ? Cette fois-ci, je vais te battre à plate couture ! dit Greg d’un ton plein de défi.— Ah ouais ? C’est ce qu’on a voir ! On fait le pari ? Le perdant devra boire un shoot d’alcool à la fin de chaque partie !— Je suis partant !— Angie, suis-nous !
Je suis les deux garçons de dix-huit ans à travers ce grand espace devenu trop vaste à mon goût, pour rejoindre la chambre d’Arthur. Ce dernier est couché sur le dos sur son lit king size, un bras derrière la tête tandis qu’il pianote sur son téléphone mobile.
Tim et Greg se chamaillent tout en s’installant sur le canapé devant le lit. Tim allume le grand écran plat fixé au mur pendant que Greg prépare le jeu vidéo en question. Personnellement, je ne suis pas très jeux vidéo, et vu comment la flamme du défi brule dans leurs pupilles, je vais me tenir à distance de ces deux compères.
Je m’assois timidement au bord du lit, pendant que Tim et Greg lancent le jeu auquel ils vont jouer. Une douce caresse sur le dessus de ma main me fait quitter l’écran des yeux. Je croise le regard d’Arthur, toujours allongé sur le dos. Son téléphone repose à côté de lui. Toujours avec un bras derrière la tête, il attrape délicatement ma main et me tire lentement à lui. Arthur m’approche suffisamment près de son visage, à tel point que j’en vois les traits qui le caractérisent.
Quand la partie de Tim et Greg commence, Arthur passe sa main derrière ma tête et me presse contre ses lèvres. Son baiser est d’abord délicat, puis il s’amplifie au fur et à mesure. Nos langues finissent par se trouver et entament leur danse sensuelle. C’est très excitant de s’embrasser en présence d’autre personne.
Quand la première partie se termine, Tim se lève victorieux. Je m’écarte d’Arthur juste à temps pour apercevoir le sourire malicieux de Tim.
— J’ai gagné ! Je vais aller chercher ton gage !
Il sort de la chambre pour en revenir avec deux verres de shoot et une bouteille de whisky. Tim remplit le verre de Greg et lui tends. Ce dernier l’avale cul sec.
— Je veux ma revanche, grogne-t-il.— Pas de problème !
Ils s’enfoncent de nouveau dans le canapé et lancent une nouvelle partie. Arthur me tire à nouveau à lui. Je perds l’équilibre et me retrouve contre son torse. Une lueur sauvage apparaît dans ses yeux.
— J’ai envie de te prendre, me susurre-t-il à l’oreille.
Il s’approche de mon visage ; je ferme les yeux et attends que ses lèvres se posent sur les miennes. Seulement, elles n’arrivent jamais, un souffle brûlant se pose sur mon oreille.
— Je ne sais pas si je vais arriver à me contenir plus longtemps, me chuchote Arthur tout en me mordillant l’oreille.
Je retiens tant bien que mal des petits gémissements, cependant, avec le son de la télévision je ne pense pas qu’ils soient audibles. Arthur libère son bras de derrière sa tête et vient malaxer mon sein à travers mon uniforme. Mon corps réagit à son toucher ; je n’ose pas imaginer comment mon corps réagira quand il touchera directement ma peau.La réponse ne se fait pas attendre plus longtemps. Arthur passe la main sous mon chemisier, baisse le tissu de mon soutien-gorge et vient caresser mon sein gauche. Un délicieux frisson passe à travers mon corps. Ses doigts font le tour de la forme de mon sein, puis il saisit le bout de mon téton et le pince entre deux doigts. Je plonge ma tête dans son cou pour étouffer un couinement.
— Arthur…
Ce dernier continue de me pincer le bout de mon sein en silence. Tout en retenant mes gémissements, l’une de mes cuisses rencontre son entrejambe gonflé d’excitation. Ce n’est pas juste que je sois la seule à être torturée délicieusement. Je pose la paume de ma main sur son sexe à travers son pantalon. Il sursaute, puis caresse mon téton avec son pouce d’une lenteur des plus insupportable.
— J’ai encore gagné ! s’exclame Tim.
Je m’écarte à nouveau d’Arthur tout en ajustant ma chemise. Arthur se redresse sur les coudes.
— Bah, alors, Greg ? Qu’est-ce qui se passe ? demande Arthur.
Greg râle dans sa barbe pendant que Tim lui tend un nouveau shoot rempli de whisky.
— Je n’ai pas dit mon dernier mot ! dit-il avant de boire son verre.
Lors de la partie suivante, Arthur s’assoit au bord du lit à côté de moi. Je le fixe curieusement, me demandant à ce qu’il s’apprête à faire. Alors que les commentaires orageux de Tim et Greg remplissent la chambre, Arthur glisse une main sous ma jupe et la passe ensuite dans ma culotte. Je me pince les lèvres pour m’empêcher à nouveau de gémir. Le regard d’Arthur se pose sur l’écran devant lui, se désintéressant de moi. Sauf que ses doigts caressent mon entrée humide entre mes cuisses. Il le fait exprès ! Je lui lance un regard furieux, mais il reste focalisé sur l’écran derrière moi. J’attrape son avant-bras pour l’inciter à se concentrer sur mon plaisir personnel, mais il ne mord pas à l’hameçon. J’écarte les jambes et pousse mon bassin contre sa main. Je ne supporte plus d’être négligée de la sorte !C’est alors qu’il n’enfonce pas un, mais deux doigts en moi. Ma respiration se bloque sous cet assaut offensif, prise par surprise.Arthur se penche vers moi.
— Ce n’est pas ce que tu voulais ?
J’articule en suffoquant.
— S-si. — Alors dorénavant, ne t’éloigne plus de moi. Montre-moi ce que tu veux.
En guise de réponse, j’écarte encore plus mes cuisses devant sa main. Arthur agite ses doigts tout en caressant mes parois lubrifiées. Des frissons érotiques se concentrent tous sur mon entrejambe. Arthur n’arrêtera jamais de me surprendre. Lui qui était si timide lors de notre toute première fois, est maintenant très confiant et avenant.Mon corps se renverse en arrière sur le lit, j’ai de plus en plus mal à me retenir de gémir. Mes deux mains se plaquent sur ma bouche dans une tentative désespérée d’étouffer mes halètements. Les doigts d’Arthur s’enfoncent profondément en moi, me prodiguant une sensation des plus fortes que je n’ai jamais eue. Je distingue faiblement le son des va-et-vient provoqué par son doigté habile et le mélange de ma cyprine. Je le sens… il arrive… L’orgasme me submerge subitement, me faisant arquer le dos au-dessus de la surface du lit. Mes yeux convulsent en arrière pendant que Tim saute de joie devant le canapé, fêtant sa nouvelle victoire.
— Ce n’est pas possible, tu triches ! hurle Greg.
Arthur retire sa main de mon sous-vêtement, lèche ses doigts et se lève du lit pour me cacher.
— À ce rythme, tu ne vas jamais pouvoir gagner si tu es bourré, Greg.— Je t’y verrai bien, Arthy. Ça se voit que ce n’est pas toi qui joues !— Allez, Greg ! Ton verre de la défaite ! dit Tim en se moquant de son ami.
Mon souffle revient à la normale. Le corps tremblant, je me redresse tant bien que mal au bord du lit. Je tente de me mettre debout, mais je fais à peine deux pas que je m’écroule au pied du lit. Arthur se tourne vers moi pendant que je me relève maladroitement, l’entrejambe trempé plus que jamais.
— Allez, c’est parti ! hurle joyeusement Tim.
Arthur ancre son regard dans le mien. Je lui tends la main, pour l’inviter à se rapprocher de moi. Il s’exécute et me prend la main tout en se laissant guider vers moi.Le plan que nous avons échafaudé ensemble est sur le point de s’amorcer.Pour patienter encore quelques minutes avant de le commencer, j’ouvre le pantalon d’Arthur et libère son sexe. Il pose une main sur ma tête pendant que lèche toute sa longueur, puis je suce son gland avec envie. Le visage d’Arthur se déforme sous les coups de langue que je lui donne. Je n’en reste pas là, je le prends plus en profondeur et entame des allers-retours sur son manche. Mes yeux fixent Arthur tandis que ma bouche fait disparaître sa queue de son champ de vision. Les hanches de mon amant commencent à s’accorder au même rythme que ma tête. Son sexe brûlant grossi au fur et à mesure, il ne faut pas que ça traîne, j’ai besoin de le faire jouir avant la fin de la partie de la console de jeu. Contrairement à Ben et Lionel, Arthur est doux. Il a conscience que son sexe est imposant pour une petite bouche qu’est la mienne. C’est pourquoi il me laisse gérer la profondeur que je désire en faisant ma fellation. Arthur est réellement le partenaire le plus attentionné que j’ai connu jusqu’à présent.
Après un dernier aller-retours sur sa queue, il s’immobilise et éjacule à l’intérieur de ma bouche. Arthur se fait violence pour ne pas gémir après une si bonne pipe. Ses mains maintiennent ma tête alors que les derniers spasmes de sa jouissance commencent à s’évanouir. Je me recule, avale, et ouvre la bouche bien en grand pour lui montrer qu’il ne reste plus rien des preuves de notre culpabilité. Je m’essuie les coins de ma bouche pendant qu’Arthur referme son pantalon.
— J’en ai marre à la fin !— Allez, Greg, encore un verre !— C’est le dernier je te garantis ! Je ne joue plus avec toi !— Mauvais perdant, va !
Tim se tourne vers moi en me souriant.
— Désolée, Angie, tu as dû t’ennuyer, non ?— Pas vraiment.
Arthur et moi échangeons un regard complice. Ce dernier interpelle Greg.
— Tu restes lucide, mec ?— Ne t’en fais pas pour moi, Arthy, il en faut plus que ça pour que je sois bourré.— Heureusement que ce n’est pas moi qui ai perdu, car j’aurai été saoul au bout de trois verres ! dit Tim en s’esclaffant.
Sa bonne humeur disparaît soudainement après avoir regardé son téléphone.
— Merde ! J’ai eu un appel en absence de mon boss ! Lui, quand il m’appelle ce n’est pas pour rien. Je reviens tout de suite !
Tim sort en trombe de la chambre nous laissant tous les trois.
— Tim travaille ici ? questionné-je.— Oui, il travaille à mi-temps dans la sécurité, me répond Greg en se tenant la tête.
Il se lève du canapé et vient s’allonger sur le lit. Arthur s’assoit à mes côtés au bord du lit.
— Tout va bien, Greg ? demandé-je inquiète.— Juste un petit mal de crâne qui me lancine, mais sinon ça va. Par contre, je meurs de chaud.
Il se redresse et retire le haut de son uniforme scolaire. Je me lèche les lèvres devant ce torse parfaitement dessiné avec son appétissante tablette de chocolat. Arthur le fixe avec autant d’avidité. Greg jette au loin son haut avant de se relaisser tomber sur le matelas. Je rampe lentement vers lui.
— Désires-tu que je te masse les tempes pour faire passer ton mal de tête ?
Greg me jette un coup d’œil d’abord surpris par ma demande puis me sourit.
— Ça ne serait pas refus.
Je m’agenouille près de son torse, de telle sorte que mes genoux puissent entrer en contact avec sa peau. Puis, je me penche en avant et commence à lui masser les tempes.
— Ha, ça fait du bien.
Greg ne peut pas s’empêcher de me dévorer des yeux pendant que je le masse. Je sens son regard se poser sur mon visage, puis glisser vers mon cou pour finir sa course sur ma poitrine. L’ambiance est plus sensuelle que jamais. Je me baisse pour l’embrasser. Greg me rend immédiatement mon baiser, faisant passer ses bras autour de ma taille.
— Finalement, peut-être que je suis torché, suis-je en train de rêver ? me demande Greg entre deux baisers.— Non, tu ne rêves pas. C’est bel et bien la réalité.— Alors je veux continuer à t’embrasser.
Je lui redonne mes lèvres, notre baiser s’intensifie. Nos langues se trouvent, entament une danse folle. Greg passe une main sous ma chemise et agrippe insatiablement ma poitrine. Je gémis doucement contre ses lèvres, puis me recule pour retirer mes vêtements. Hypnotisé à la vue de mon corps nu, j’aide le jeune homme à retirer son pantalon ainsi que son boxer. Nous sommes à présent tous les deux à poil. Les doigts de Greg malaxent mes seins dont les tétons sont durcis par l’excitation. J’attrape son érection et commence à le caresser sur toute sa longueur. Greg soupire de plaisir pendant que je le masturbe. Ces mains quittent ma poitrine, je profite de ma liberté pour me baisser au-dessus de son sexe.
— Puis-je te masser ici ? demandé-je tout en soufflant de l’air chaud sur son gland.— Bien sûr que oui, quelle question !
Je souris devant son énorme queue avant de déposer des baisers et de commencer à le lécher. Greg tremble sous mes coups de langue qui parcourt sa virilité.Le matelas s’affaisse à ma droite, Arthur me rejoint nu comme un ver. Son regard est posé sur le sexe de son ami que je lubrifie avec ma salive. Je lève une main vers le visage d’Arthur ; ce dernier entrouvre les lèvres et suce mes doigts avec envie. Greg n’en perd pas une miette, sa respiration est de plus en plus rauque. Il observe Arthur qui lèche mes doigts avant de reposer son regard sur moi.
— Cela ne te dérange pas que je demande un peu d’aide, Greg ?
Greg secoue négativement de la tête. Je pense qu’il n’est plus en état de répondre. Je retire mes doigts de la bouche d’Arthur pour me décaler sur le côté. Je saisis le poignet d’Arthur pour le rapprocher de l’entrejambe de son ami.
— Aide-moi, Arthur, lui dis-je avant de lui donner un baiser.
Arthur me rend mon baiser puis se baisse pour lécher le sexe de Greg. Nous léchons tous les deux la queue du joueur de football américain comme si c’était une crème glacée. Les gémissements de Greg sont un délice aux creux de nos oreilles. Il aime vraiment que l’on s’occupe de lui, peu importe si c’est moi ou son ami qui lui lèche la bite.Je commence les festivités en le prenant en bouche la première. Je le suce entièrement, ne lui laissant aucun moment de répit.
— Oh, oui ! Putain !
Greg jure sous mes assauts, il s’agrippe aux draps. Son sexe grossi dans ma bouche, il ne va pas tarder à venir. Sauf, que je m’arrête avant qu’il éjacule. Greg me regarde sans comprendre, le visage rouge et transpirant.
— Pourquoi tu t’arrêtes ?! J’allais jouir dans ta petite bouche de salope…— C’est justement parce que j’en suis une que je me suis arrêtée.
Je rampe jusqu’à sa tête et le fixe d’un regard vicieux.
— Il faut le mériter, mon cher Greg.— Comment ?
Je me redresse tout en écartant mes cuisses. Greg ouvre de grands yeux face à mon sexe mouillé plus que jamais. Comme captivé, il ne lâche pas des yeux mon attribut féminin.
— Tu dois bien avoir une petite idée de ce que j’attends de toi.
Je m’avance, me soulève et m’assois sur son visage.
— Lèche, ordonné-je.
C’est comme s’il avait attendu que je lui intime l’ordre de le faire. Sa langue trouve immédiatement mes lèvres pour y goûter avec avidité. Ma tête part en arrière accompagné d’un soupir d’extase. C’est la première fois que l’on me fait un cunnilingus dans cette position. Et je dois l’avouer, ce n’est pas si mal de dominer pendant qu’on me lèche en bas. Pendant que Greg me donne des coups de langue, je fais signe discrètement à Arthur pour qu’il puisse prodiguer une fellation à son crush du moment. Le grognement qui vibre contre mon sexe m’indique que l’opération suit parfaitement son cours. Arthur n’aurait pas rêvé mieux. Grâce à moi, il peut sucer son ami sur qui il fantasmait depuis un moment déjà. Mais je ne veux pas qu’il en reste seulement aux préliminaires, autant y aller jusqu’au bout.
— Arthur… fais-le… c’est le moment…
Je gémis doucement entre chaque souffle. Greg continue à me promulguer du plaisir, la tête toujours entre mes cuisses. J’entends vaguement au loin un bruit de plastique que l’on décapsule avant de me concentrer de nouveau sur les sensations intenses qui m’assaillent en bas du corps. Greg arrête ses coups de langue.
— Mais, qu’est-ce que…
Je l’empêche de terminer sa phrase en appuyant mon sexe contre ses lèvres
— Tu n’as pas fini de t’occuper de moi. Détends-toi et profite.
Greg ne bouge plus pendant quelques secondes, puis il enfonce sa langue en moi. Je me cambre tout en gémissant fortement. Derrière moi, j’entends les soupires d’Arthur qui s’intensifient progressivement. Ça y est ! Il l’a fait ! Il chevauche Greg !Arthur passe ses bras sous les miens pour venir attraper mes seins. Je le sens remuer du bassin sur le sexe de son ami. Son rythme régulier m’excite encore plus, je me mets donc à danser au même rythme que lui. Greg grogne en dessous de nous, ma voix s’harmonise avec celle d’Arthur : nous ne sommes pas loin d’atteindre le nirvana à nous trois !
— Qu’est-ce qu’il se passe ici, bordel ?!
Nous nous figeons. Je découvre un Tim stupéfait debout à l’embrasure de la porte de la chambre. Greg râle depuis mon entrejambe.
— Ça ne se voit pas ? On baise ! Alors, laisse-nous finir pigé ?!
Il replonge sa langue à l’intérieur de ma chatte, je gémis, surprise. Arthur reprend ses va-et-vient sur la queue de Greg, ne désirant pas s’en arrêter là. Tim se laisse tomber à terre, tétanisé par la vision remplie de luxure que nous lui offrons. Il n’était pas censé revenir aussi rapidement.
Arthur et moi-même avions tout orchestré depuis le début. Rien n’a été fait au hasard : le pari qu’on fait Greg et Tim, l’idée du gage venait d’Arthur. On devait trouver un moyen de détendre Greg pour qu’il accepte plus facilement ce plan à trois. D’après Arthur, Greg tenait très facilement l’alcool à l’inverse de Tim. C’est pour cela que l’on a fait exprès de laisser en vue les jeux auxquels Tim surpassait Greg. On voulait que ça soit Greg le perdant à chaque manche. Et enfin, le coup de fil qu’a reçu Tim de son chef n’était pas non plus un hasard. J’avais demandé à Arthur un moyen de faire partir Tim sans qu’il ait des soupçons sur ce que nous allions faire. C’est là qu’est venue l’idée de passer par son grand frère pour qu’il puisse changer les horaires de travail de son demi-frère. Quand on a du pouvoir, c’est assez facile d’obtenir ce que l’on veut. 
Seulement, ce n’était pas prévu que Tim revienne si tôt. Pauvre Tim, je l’aime bien, cela me fait mal de le voir si chamboulé.Sans réfléchir, je tends la main vers lui.
— Rejoins-nous.
Il pose ses yeux horrifiés sur moi.
— Q-quoi ?— Viens, lui dis-je d’une voix qui se veut rassurante.
Tim se relève lentement, puis s’approche timidement du lit. Les fesses d’Arthur claquent fortement sur Greg tandis que celui-ci explore toujours aussi intensément ma chatte.Le bras toujours tendu vers Tim, je soupire de plaisir tout en ancrant mon regard dans le sien. Délicatement, il entrelace ses doigts aux miens puis se laisse guider jusqu’à nous. Une fois proche de moi, je glisse sensuellement ma main dans le creux de son cou. Il frissonne sous mon contact. Tim m’observe alors que je gémis de plus en fort face à lui. Ses joues se teintent de rouge ; il est mignon à croquer comme ça. Ses cheveux châtain clair bouclés en bataille lui donnent un petit air de chien battu. Pourtant son visage rempli d’innocence contraste avec son corps de sportif. Aussi musclé qu’Arthur et Greg, Tim n’a rien à les envier non plus. J’ai très envie de lui, mais je ne veux pas le forcer non plus.
— Tim… c’est comme tu veux. Si tu ne veux pas… ha… tu es libre de partir…
Je retire ma main de son cou pour lui montrer la sincérité de mes propos. Cependant, il attrape ma main au vol.
— Ce n’est pas vraiment ce que je m’étais imaginé, me confit-il.— Quoi donc ?— Je ne l’imaginais pas comme ça… notre premier baiser.
Il plonge sur mes lèvres pour m’offrir un baiser enflammé. Sa langue se fraie un passage entre mes lèvres pour venir caresser la mienne. Tim me montre une nouvelle facette de sa personnalité, et j’aime ça.Je glisse une main sous son uniforme, caressant du bout des doigts ses abdominaux si parfaitement dessinés. Tim grogne contre mes lèvres. J’abandonne son torse pour descendre au niveau de sa ceinture. Il ne fait aucun doute qu’il a très envie de moi.
— Tim, soupiré-je, je veux te prendre en bouche.
Pour appuyer mon envie de le goûter, je plaque ma main sur son érection qui ne demande qu’à être libérée. Maladroitement, Tim défait les boutons de son pantalon et le baisse au niveau de ses cuisses. Son sexe se dresse fièrement entre nous. Je prends en main sa queue, la respiration haletante.
— Mets-toi debout…
Tim se lève en tâchant de garder l’équilibre sur le matelas qui tangue sous les ondulations du bassin d’Arthur. Les mains de Tim se posent sur ma tête alors qu’il me présente son sexe. Sans hésiter, je le prends en bouche lui arrachant un râle de plaisir.
— Si j’avais su que tu me sucerais quand je t’ai vu tout à l’heure à la sortie du lycée, je ne l’aurai jamais cru ! me dit-il.
Je me contente de le sucer plus hardiment dans l’incapacité de répondre. Moi non plus je ne pensais pas que ce plan à trois finirait en plan à quatre. Greg enfonce aussi loin que possible sa langue en moi, tandis qu’il grogne tout en tremblant. Arthur gémis fortement derrière moi, sa respiration se saccade tandis qu’il jouit. Quant à moi, j’explose sur Greg, mon dos se cambre sous ce puissant orgasme.Je suis obligée malgré tout de lâcher la queue de Tim, qui n’a toujours pas joui, libérant au passage le visage de Greg. Je m’écroule aux pieds de Tim tandis qu’Arthur s’allonge tout à droite du lit. Nous sommes ruissèlement de sueur, épuisés, mais comblés plus que jamais. Enfin pas tout à fait.Tim finit par se déshabiller entièrement puis écarte mes jambes avant de frotter son sexe contre le mien.
— Angie, tu ne saurais pas où sont les capotes ?— Tu n’en as pas besoin, mets-là en moi.
Tim fuit mon regard, légèrement embarrassé.
— Moi, ça me va, mais toi ? Tu n’as pas peur de tomber enceinte ?
Je caresse son genou que je peux atteindre du bout des doigts.
— Je prends un contraceptif intramusculaire tous les mois. Tu peux y aller sans crainte.— Ne viens pas te plaindre si tu te retrouve avec un marmot !
Sur ce, il glisse aisément en moi. Je gémis en ressentant l’épaisseur de son sexe, même s’il n’a rien à envier à celui d’Arthur. Cependant, j’attendais avec impatience que l’on me comble à cet endroit.
— Tu es si mouillée que j’ai pu entrer facilement !— Tais-toi, et baise-moi !
Tim m’écarte les jambes avant de me pilonner sans pitié. Merde ! C’est trop bon ! Mes seins dansent au rythme de ses coups de bassin. Je suis terriblement excitée, c’est la première fois que je me fais prendre par un homme devant un public. Être exhibée à la vue de tous est véritablement très stimulant !
— Eh ! Laisse ta place un peu !— Non, Greg, tu attends ton tour ! grogne Tim.
Mais Greg ne l’entend pas de cette oreille. Il rampe vers moi et me pince un téton tout en se masturbant.
— Ma jolie, tu n’as pas envie d’avoir deux bites en même temps ?
Qu’est-ce qu’il ne me dit pas là ? Bien sûr que oui !
— O-oui ! Mets-là moi !— Tim, couche-toi sur le dos, je vais la prendre par-derrière.
À contrecœur, Tim se retire, se laisse tomber dos contre le matelas et m’invite à le chevaucher. Je prends appui sur ses pectoraux pendant qu’il enfonce de nouveau sa queue en moi. Bordel ! Que c’est bon !Greg me pousse en avant, de telle sorte que je puisse lui offrir une magnifique vue sur mes fesses. Même si j’ai beaucoup pratiqué le sexe anal avec Arthur tout le long de ces derniers jours, j’appréhende un peu.Greg frotte son érection contre mes fesses tandis que Tim continue de me faire perdre la tête. Cependant, Greg descend son sexe un peu plus bas.
— J’ai déjà rempli le cul d’Arthy, ça serait dommage de ne pas goûter cette chatte ruisselante.
HEIN ?!Je commence à m’agiter, mais Tim me maintient en place tout contre lui. Voyant que je ne suis pas tranquille, Greg ricane :
— N’aie pas peur, tu as assez de place pour nous accueillir tous les deux en même temps. Regarde !
Il commence à enfoncer son gland dans mon sexe, juste au-dessus de la queue de Tim qui continue de bouger. C’est comme la première fois où Lionel est passé par mon deuxième trou, la sensation est similaire. Néanmoins, je suis lubrifiée plus que jamais.
— J’en suis presque à la moitié, grogne Greg dans mon dos.
Tim sent la tension qui occupe mon corps. Il agrippe mes fesses pour me faire rapprocher de lui, et dès que je suis suffisamment proche de lui, il m’embrasse. Je lui rends désespérément son baiser sans pour autant oublier la présence de Greg qui s’enfonce encore plus en moi.
— C’est presque entièrement dedans. Il faut dire que tu mouilles abondamment, n’est-ce pas ma petite salope ? En fait, ça te plaît de nous avoir tous les deux dans ta chatte !
S’il savait… S’il savait que la première fois où je suis venue leur parler, j’avais imaginé furtivement me faire prendre en sandwich entre leurs magnifiques corps de taureau ! Pas étonnant que je mouille autant !Une fois dedans, Greg commence ses va-et-vient à l’instar de ceux de son ami. Mon Dieu ! J’ai deux bites dans la chatte ! Je gémis, je grogne de plaisir, ne sachant plus où me donner de la tête. C’est la sensation la plus divine que je n’ai jamais connue de toute ma vie ! Être prise par deux hommes simultanément, c‘est vraiment quelque chose !
Arthur s’approche sur ma droite et saisit mon menton pour m’inciter à le regarder. Lui aussi il est excité plus que jamais. Il plaque ses lèvres contre les miennes puis me roule langoureusement une pelle. Ensuite, il s’écarte et me présente son sexe que je connais que trop bien. Les mains sur ma tête, il me guide vers son érection. Je comprends très bien qu’il désire que je lui fasse une fellation. J’ouvre la bouche et l’accueil en le suçant goulument. Il me donne de faibles coups de bassin tout en haletant au-dessus de ma tête.
— Ouah ! Trois bites à la fois ! Quelle cochonne ! dit Greg tout en accentuant ses coups de reins.
Arthur retire sa queue couverte de salive hors de ma bouche. Poussant à nouveau des gémissements à l’air libre, je le dévisage sans comprendre son geste. Pourquoi s’est-il arrêté, alors qu’il n’a pas encore joui ? Mon ami attrape le tube de lubrifiant sur sa table de nuit et s’en applique sur la longueur de son sexe. Que compte-t-il faire ? Prendre Greg par-derrière ?Arthur disparaît de mon champ de vision, je me reconcentre à nouveau sur ces deux délicieuses queues qui se meuvent en moi.
— Arthy ! Qu’est-ce que tu fous, mec ?!
Je me doute bien que Greg ne devait pas s’attendre à se faire sodomiser juste après avoir sodomisé Arthur. Une main se saisit de ma taille tandis que la deuxième écarte l’une de mes fesses sur le côté.Ne me dites pas que…Mais je n’ai pas le temps d’aller au bout de ma pensée. Arthur vient de m’enfoncer sa queue dans mon deuxième trou.Putain de merde ! Je ne m’y attendais pas !Trois bites me pénètrent à présent à l’arrière : deux dans mon sexe et un entre mes fesses. Bordel, bordel, bordel, BORDEL !!! Je n’arrive plus à penser ! Je suis prise d’assaut par trois mecs qui font le triple de mon épaisseur musculaire ! J’ai arrêté de gémir ; je halète comme une chienne, une putain de chienne qui se fait monter par trois molosses à la fois ! J’ignore où je suis, perdue sous toute cette luxure. Je ne sais plus non plus qui je suis, et le pourquoi de ma venue. Ces corps brûlants qui remuent sans cesse autour de moi, en moi, sont plus moites que jamais. Nous ne faisons plus qu’un…
— J-je jouis !!!
Une violente sensation s’empare de nos corps et nous paralyse soudainement. Je vois blanc, mon esprit s’envole au-delà de mon enveloppe charnelle : je suis au septième ciel.Je m’écroule contre Tim reprenant difficilement mon souffle. La respiration de ce dernier caresse mes cheveux, son corps est secoué de spasmes ainsi que sa queue. C’est étrange de ressentir trois fois cette sensation, déjà qu’une fois c’est assez puissant, alors là c’est tout un autre niveau.Greg est le premier à se retirer, suivi d’Arthur. Cela me demande beaucoup d’effort pour remuer de ce qu’il en reste de mon bassin afin d’en sortir le sexe de Tim avant de m’écrouler sur le côté.
— Qu’est-ce qui vient de se passer ? demande Tim, encore l’esprit embrumé.— C’était une putain de partouze que l’on vient de faire ! s’exclame Greg avec un sourire béat aux lèvres.
Arthur attrape délicatement ma main et enlace ses doigts aux miens.
— Ça va, Angeline ?— Oui et non…
Je redoute surtout les courbatures de mon corps demain matin !Il rit doucement avant de me chuchoter :
— Merci.
Sa tête se pose contre mon épaule puis il ferme les yeux, épuisé. Je sais ce que ça signifie pour lui, après tout j’ai réalisé son rêve. À présent, c’est à mon tour de réaliser le mien : me venger d’Alizée une bonne fois pour toutes. Le bal du lycée approche à grands pas, qu’elle profite de ses derniers instants de répit, car je ne vais pas lui faire de cadeau.
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