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Crier avec un noir

Chapitre 2

en sandwich

Avec plusieurs hommes
J’avais l’habitude de travailler tard et de rentrer à la maison à la nuit tombée. Comme ma femme n’était pas très forte sur la cuisine, cela faisait plutôt son affaire - elle n’avait pas à se préoccuper de préparer à manger. Elle m’attendait parfois, elle était parfois couchée quand je rentrais, on avait pris l’habitude de se voir le matin et si on baisait c’était plutôt au réveil ou les jours où on pouvait faire une sieste ou une grasse matinée.
Un soir, je suis rentré sans qu’elle s’en rende compte, et comme je voyais une lumière dans la chambre à coucher, je suis monté tranquillement pour lui dire bonsoir. En fait elle n’était pas dans la chambre à coucher mais dans son bureau, en chemise et cul nu, en train de se toucher tout en regardant un porno que j’avais récemment vu disparaitre de ma collection de DVD de cul - on y voyait des blanches aux fesses rondes se faire tringler par des noirs bien membrés des deux côtés. Elle était assise devant l’écran, elle avait des écouteurs sur les oreilles - ce pourquoi elle ne m’avait pas entendu - et là elle frottait vigoureusement son clitoris et son entrecuisse en regardant un noir enculer une petite blonde sur l’écran. Une fille un peu comme elle, en fait. On dit que souvent les femmes regardent du porno en s’identifiant à une des actrices - là c’était patent, elle se frottait en regardant une petite blonde aux fesses rondes et au ventre bien lisse se faire mettre dans le cul par un noir vigoureux qui devait lui rappeler Malcolm X.
Personnellement je trouve déplaisant qu’une femme se masturbe - il y a assez d’hommes bien bâtis pour que si elle a un besoin elle ait juste à ôter sa culotte et se faire mettre. Surtout une femme mariée évidemment. Mais de toute évidence ma femme était en manque de quelque chose que ma queue de mâle blanc ne pouvait lui offrir: une quéquette de couleur. On dit souvent qu’une fois qu’une blanche est passée sous un noir, elle ne peut plus s’en passer. Dans son cas au moins, c’était vrai. Mais il n’y avait pas beaucoup de noirs dans notre coin, et les quelques-uns qu’on connaissait avaient peut-être de belles queues mais ma femme ne les trouvait pas sympas, et nous étions d’accord que, pour qu’un homme la baise, on devait s’entendre que c’était quelqu’un de sympa.
A un moment, ses mouvements sont devenus plus lents, de toute évidence elle calottait de décalottait le gland de son clitoris, et là elle a apparemment tiré sur la petite peau comme si elle éjaculait et a crié avec son ventre en avant et son gland tout nu. Je me suis retiré sur la pointe de pieds mais...j’avais décidé de trouver un nouvel amant pour la baiser vigoureusement et par tous les trous. J’avais en tête un ami ghanéen qui ne cracherait certainement pas sur une blanche...même s’il avait clairement indiqué qu’il ne lécherait jamais une femme, à ses yeux c’était humiliant et sale - par contre je l’avais vu nu et il était non seulement bien membré mais il avait baisé pas mal de filles, mais pas assez de blanches, selon ses confidences. Pour une raison ou une autre il les trouvait plus serrées et du moment qu’elles ne voulaient pas se faire lécher elles gardaient un souvenir ému d’être passées à la casserole avec lui.
Il me restait juste à trouver le bon moment, inviter mon ami, et laisser les choses suivre leur cours. Je décidai cependant de mettre toutes les chances de mon côté: une de mes amies avait couché avec ce Ghanéen, et elle en avait gardé un excellent souvenir...malheureusement elle avait dû déménager. Or elle se trouverait dans notre coin pour quelques jours. Je l’ai invitée à manger en tant qu’ancienne collaboratrice, et je me suis arrangé pour m’éclipser alors qu’au dessert elle partagea avec ma femme des confidences intimes sur le pénis noir et particulièrement sur ce Ghanéen. Le lendemain les deux filles allèrent faire des courses et les confidences devinrent encore plus intimes....Inutile de dire que mon ancienne collaboratrice recommanda fortement à ma femme de coucher avec ce Ghanéen bien membré, lui disant clairement qu’elle ne le regretterait pas. La seule chose, lui dit-elle, qu’elle ne devait pas faire, était de lui demander de la lécher ou de tripoter son clitoris...dans sa culture ce sont des parties jugées sales et autant il aimait baiser autant il ne prêtait aucune attention au petit bazar. Ma femme rigola et dit qu’en fait les Arabes n’étaient pas très forts là-dessus non plus, et que s’ils donnaient de grands coups d’une belle queue c’était infiniment mieux de toute façon.
Bref...elle était prête! Quand elles sont rentrées, cela sentait franchement le fond de culotte humide tant chez l’une que chez l’autre! Surtout quand j’ai annoncé que la semaine prochaine Oumar (il était musulman et avec un prénom arabe) allait venir travailler avec moi sur un projet pendant quelques jours, est-ce que cela dérangeait quelqu’un?
Est-ce que cela dérange un ours qu’on amène un pot de miel chez lui?
En attendant, j’eus droit à une scène assez surréaliste. Ma collaboratrice resta chez nous trois jours; le second, je dus m’absenter en soirée et ne revins que tard, un peu après minuit. Ma voiture ne faisait pas de bruit et la porte étant ouverte je ne dus ni frapper ni sonner pour entrer dans la maison. En montant je constatai que les filles étaient apparemment ensemble dans le bureau de ma femme, dont la porte était entrebâillée. Il ne me fallut pas longtemps pour constater qu’elles étaient déculottées toutes les deux et se masturbaient mollement en regardant la même vidéo que j’avais surpris ma femme à regarder la fois d’avant. Sauf que là ma femme haleta doucement et, prenant la main de Suzie lui demanda doucement si cela l’embêtait de la lécher puisque les hommes n’aimaient apparemment pas beaucoup cela....En un instant Suzie était entre les cuisses délicatement écartées de ma femme et tout doucement se mêlèrent aux gémissements de la vidéo les gémissements de ma femme alors que Suzie retroussait la peau de son clitoris et lui suçait délicatement le gland. J’ignorais tout du fait que Suzie était bisexuelle....et lorsque ma femme eut repris ses esprits après avoir crié comme une folle elle murmura - mais assez fort pour que je l’entende - "tu sais, c’est la première fois que j’écarte les cuisses pour m’offrir à une femme....Merci de m’avoir initiée". Sur quoi elles se firent un long baiser, et changèrent de position...Lorsque Suzie eut joui à son tour, elle rigola et dit doucement "Maintenant, te voilà lesbienne, toi aussi, et là au moins tu es sûre de te faire lécher....et de voir comment une autre fille est faite!".
Je me retirai, à nouveau, sur la pointe des pieds. On n’envahit pas un jardin secret....
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