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Crime Parfait

Chapitre 3

Hétéro
Sans aucune manière, il la jeta sur le lit. A peine eut-elle le temps de se retourner pour faire face à celui avec qui elle allait coucher, qu’elle le vit en train de déboucler sa ceinture et baisser son pantalon avec un petit sourire au coin des lèvres. Voyant ce qu’il allait se produire, elle ne perdit pas de temps. Elle retira ses vêtements en vitesse et s’allongea face à lui prête à l’accueillir entre ses cuisses écartées. Bertrand la tira par les pieds pour rapprocher son entrejambe du bord du lit. Il se mit à genoux devant « l’entrée du plaisir », posa ses mains sur les cuisses d’Elodie et commença à la lécher.
Elodie était aux anges, Bertrand lui faisait du bien et elle en redemandait. Elle ne cessait de répéter « oh oui c’est bon. Continu ». Elle sentait les mains de Bertrand monter le long de son corps pour arriver jusqu’à sa poitrine qu’il s’est mis à palper avec gourmandise. Elle fut malgré tout vexée quand il stoppa pour monter sur le lit et lui présenter sa queue. Elle avait bien compris que c’était à son tour de lui faire du bien. Bertrand lui a alors tenu la tête pour qu’elle ne se fatigue pas trop, mais aussi pour qu’elle tienne la cadence pendant que son autre main retournait lui titiller l’entrejambe. Bien élevée malgré son passé difficile, elle restait silencieuse, bouche pleine oblige. Bertrand quant à lui ne cessait de grogner. Ses grognements étaient ponctués de phrases du genre « Bon sang ce que tu suces bien » ou alors « si j’avais su que t’étais aussi bonne, je t’aurais culbuté avant ».
Quand Bertrand se retira de la bouche d’Elodie, elle fut contente, car elle savait que la suite qu’elle attendait tant n’allait pas tarder. Et en effet elle n’eut pas à attendre pour que Bertrand se positionne entre ses cuisses, allongé sur elle et qu’elle sente son vagin se faire envahir par le puissant piston de son amant.
Elodie était heureuse. Bertrand était en train de la saillir. A peine avait-il commencé ses va-et-vient qu’elle le bloqua avec ses jambes style « maintenant que je t’ai, je te garde ». Elle arborait un large sourire, ce que Bertrand n’a pas manqué de remarquer.
— Mais c’est qu’elle aime vraiment ça la petite cochonne.— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Ne t’arrête pas.— Oh oh ! En plus elle en redemande.— Si tu savais depuis combien de temps j’attends ça.— Ah peu près 2 ans ?— Oui pas loin ..... Ne ralentit pas, continu.— Je sens qu’avec toi je vais me régaler.— Moi aussi ! Tous les soirs dans ce lit ...— Pas que le soir. Autant te le dire, avec moi tu vas en bouffer de la saucisse.— Ou tu veux, quand tu veux ..... Ne faiblit pas, vas-y à fond !— Houlà, molo ma belle. Je vais à mon rythme. T’es p’tete toute jeune, mais ce n’est pas mon cas. Mais je sens qu’avec toi je vais retrouver une toute nouvelle jeunesse.— Du moment que tu me fais l’amour ... Oh bon sang c’est tellement bon. Je t’aime mon Chéri !— Pas moi.— Hein ? Comment ça pas toi ?— Toi t’es peut-être du genre à avoir besoin d’être amoureuse avant de coucher, mais moi c’est le contraire. J’ai besoin de baiser pour tomber amoureux.— ..... Ah ...— Mais ne t’en fais pas, je sens que si tu me laisses faire tout ce que je veux, je serais très bientôt amoureux.
— Super ! Fais ce que tu as à faire alors.
Ainsi Bertrand avait changé d’avis ? Eh bien oui. Après les obsèques de Christine, il voulut participer à une soirée Poker avec ses amis pour se changer les idées, comme il en avait l’habitude, mais ce soir-là, tout ne se passa pas comme c’était prévu. Pour le Poker, ça s’est passé comme d’habitude, mais c’est après que ça s’est compliqué. Ce n’est que quelques dizaines de mètres après voir démarré, au moment du retour, qu’il s’aperçut avoir une roue crevée. Comme changer une roue la nuit c’est plus facile à plusieurs, il retourna chez son ami pour de l’aide, l’organisateur de cette soirée, mais n’osa pas entrer. La fenêtre était ouverte et il entendait ce que ses amis disaient. Ils étaient partis dans une conversation où il apprit que Christine n’en était pas à son coup d’essai et que son infidélité était connue de beaucoup d’homme et que même certains de ses amis l’avaient cocufié eux même. Il tenta de se calmer en prenant une grande respiration.
Il ne voulait pas réagir la rage au ventre comme le soir du drame. Il entra alors en plein milieu de leur conversation et ne leur adressa que quelques mots : « J’étais revenu parce que j’avais crevé non loin. Je comptais demander de l’aide à mes amis, mais je constate que je n’en ai plus aucun. A peine, suis-je parti que non seulement vous me vomissez à la gueule, mais en plus j’apprends que vous m’avez cocufié... OK …. Je n’aurais jamais cru que vous m’auriez fait une telle crasse. Je vous demanderai donc d’oublier même que j’existe. Inutile de venir vous excuser. Si jamais vous essayez quand même, je balance tout à vos femmes respectives. ». C’est la larme à l’œil qu’il est reparti à sa voiture. Il a pu tant bien que mal changer sa roue dans la pénombre et est reparti. Quand il est revenu, il a éclaté en sanglots seul dans sa chambre. Ce n’est qu’après avoir repris ses esprits qu’il s’est dit « Si tout le monde m’a craché à la gueule, j’en ai plus rien à foutre.
J’ai la petite Elodie qui est là, elle n’attend qu’une chose, c’est que je la baise. Je ne vois pas pourquoi je n’en profiterais pas ».
C’est ainsi qu’Elodie put enfin vivre une folle passion avec Bertrand, « ENFIN ! » s’écriait-elle. Pour Bertrand, c’était surtout l’occasion de s’envoyer en l’air, mais pas seulement. Il avait toujours regretté de ne pas avoir eu d’enfant et cette fois il disposait « d’un four qui marche » comme il disait. Il allait enfin pouvoir faire ce qu’il voulait. Durant les quinze jours qui suivirent, pour lui c’était la fête à popaule plusieurs fois par jour. Chaque soir, il la sautait et chaque matin, il se faisait sucer. Il n’était pas rare qu’il aille déranger Elodie dans son travail pour « un petit coup vite fait » sur la paille, sur une table ou contre un mur. Toutefois, il fut vexé quand elle a eu ses règles. Déjà, parce que ça voulait dire que ça n’avait pas marché et puis que, durant cette période, il ne pouvait plus rien tenter. C’est là qu’il tenta de passer par-derrière.
Elodie ne voulait pas. Elle avait déjà essayé une fois et elle avait eu mal. Bertrand lui dit alors que ce n’était pas bon de le contrarier. Ses sentiments naissant pour elle pouvaient alors changer à cause de la contrariété. C’est ainsi qu’elle accepta de se laisser faire. Une fois cette mauvaise période passée, Bertrand se mit en quête de ce qu’il pensait être le seul élément bloquant son rêve : les pilules d’Elodie. C’est après les avoir trouvées et jetées qu’il s’est dit, maintenant c’est à moi de jouer. Restait maintenant à faire accepter la chose à Elodie et ce moment ne se fit pas attendre. C’est en effet le lendemain que l’occasion se présenta.
— Oh bon sang, mais c’est pas vrai. Mais où elles sont ? demanda-t-elle alors avec anxiété.— C’est quoi ce bordel dans la salle de bain ? dit-il en entrant dans la salle de bain.— C’est rien chéri. Je ne retrouve plus mes pilules.— Ah ça ! Bah ne cherche pas. Je les ai jetées.— Quoi ? Mais pourquoi ? Si je ne les ai pas, je vais ...— Précisément.— Ah ... OK ... Je comprends. Mais moi je ne veux pas devenir grosse comme une vache.— Peut-être, mais moi je veux un gosse. Je ne vois pas où est le problème.— Bah tu aurais pu me le dire. Ça me concerne aussi.— Oh voyons je t’aurais cru plus maline, d’autant que c’est aussi dans ton intérêt.— Comment ça ?— C’est simple. Un enfant c’est sûrement ce qui me rendra amoureux de toi, même si c’est déjà bien avancé.— Admettons, mais ce n’est pas sûr.— Pour moi c’est sûr. D’autant qu’y a un autre élément qui devrait te plaire là-dedans.— Ah oui et quoi ?— Tu n’aimes pas la sodomie ? Ne le nie pas j’ai vu tes grimaces.— C’est que ça fait mal.— Si tu ne veux plus te faire enculer, il ne faut plus avoir tes règles. Si tu tombes enceinte, tu ne les auras plus donc plus de sodomie et donc plus de douleur.— Mais tu es sûr ?— Certains. En plus, si j’ai un môme je ne suis pas du genre à me débarrasser de sa mère. Je vais avoir besoin de toi. Donc tu auras tout gagné.— Je ... Je reste sceptique, mais si c’est ce que tu veux ….
Suite à cette conversation, Elodie accepta en espérant qu’enfin, Bertrand lui tombe dans les bras et ce fut fait quelques semaines plus tard, car ses règles ne sont pas réapparues. Elle a fait un test qui s’est avéré positif. Quand elle annonça la nouvelle à Bertrand, elle le voyait, tenant le test du bout des doigts et ne pouvant empêcher les larmes de couler tellement il était content. Il la prit alors dans ses bras, lui roula une grosse pelle monumentale et lui dit alors « Ma chérie, tu n’imagines pas à quel point je suis heureux. Je t’aime ... Viens on va fêter ça. Je vais t’aimer encore plus au lit ».
Enfin la phrase était lâchée. Elodie était contente. A peine eut-elle le temps de réaliser ce qu’il venait de se passer qu’elle fut tirée par le bras, direction la chambre. Bertrand lui retira ses vêtements avec une telle dextérité qu’il ne lui fallut pas plus de quelques secondes pour se retrouver nue et balancée sur le lit Admirant Bertrand se déshabiller devant elle et avancer sur elle à la manière d’un gros chat qui ronronne. Pour Elodie ce fut le plus beau jour de sa vie. Elle avait enfin son homme. Pour Bertrand aussi, car il allait bientôt réaliser son rêve ; plus que quelques mois à attendre.
Voici donc l’histoire de ce couple atypique. Chacun a pu avoir ce qu’il a voulu, mais à quel prix ? Elodie est heureuse, car elle a celui qu’elle voulait. Bertrand, lui, a quand même des regrets. Quand il regarde la photo de Christine, à la fois il verse sa petite larme et à la fois il a envie de la briser en deux. Il se demande encore pourquoi celle qui l’aimait l’avait trompé et avec plusieurs hommes dont certains furent ces amis en plus. Au fond de lui, il regrette d’avoir tiré. Enfin bon ...
Tout ça c’est passé. Aujourd’hui il a une petite jeunette qui ne refuse pas sa queue quand il a envie de la lui mettre. Il garde, malgré tout, les aveux d’Elodie et les seaux hermétiques qu’il a cachés, juste au cas où. Aujourd’hui encore il se demande si Dimitri était encore vivant quand les cochons se sont occupés de lui. En tout cas, même s’il les a soignés en donnant de la bouffe premier choix, ça ne l’a pas empêché de les faire passer à la boucherie. Que voulez-vous ? Business is business. Et puis comme ça ils ne sont que tous les deux à connaître la vérité. Enfin, tous les deux ...
Et vous maintenant.
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