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La croisière s'amuse

Chapitre 1

Travesti / Trans
Je ne prénomme Gersais. Je suis un homme indépendant de trente ans, célibataire, amoureux de la vie. J’adore le sexe et plus particulièrement la sodomie. J’exerce la profession d’agent immobilier sur Paris et je possède un carnet d’adresse assez imposant, qui va de la bourgeoise affamée au séducteur richissime.Mon plus grand plaisir et de me transformer le soir venu, pour satisfaire mon appétit d’ogresse. Je deviens, alors une femme, très séduisante. J’ai la chance d’avoir gardé un corps parfait, presque sans pilosité. Je m’entretiens régulièrement et je ne fais jamais trop d’excès. Mon seul pécher mignon, c’est le champagne. Le Dom Pérignon, cuvé impériale.Ces derniers jours j’ai été submergé par mon boulot, ne pouvant profiter de la vie comme je l’aime. Il est grand temps après ce débordement d’activité de me m’octroyer une semaine de vacances.Et quoi de mieux pour se refaire un moral d’acier, qu’une croisière en méditerranée à bord d’un luxueux bateau privé appartenant à un conte.Je n’ai pas oublié, ni égaré, la carte de visite que m’a remis le conte de Foideu. Je suis resté en contact avec lui. Il se trouve qu’il organise une échappée vers les Cyclades. Le rêve tout simplement !Départ de gêne, le 05 au matin, il ne me reste plus qu’à boucler mes valises et me rendre dans cette belle ville italienne au plus vite, au volant de ma porche noire, rutilante.Qui a dit qu’à Gêne, il n’y a pas de plaisir. Je pense que nous allons prouver le contraire. Je vous passe, mes longues heures de voiture sur les autoroutes, ainsi que les bouchons habituels des grandes villes. Me voici enfin, le 04 en fin d’après-midi sur le quai où est amarré « Le prince des mers ».Comme nous sommes au moi de Juillet, j’ai opté pour une tenue légère et sexy. Petite robe noire, chapeau de paille et lunette noire. La robe moulante m’est en valeur mes formes, laissant deviner mes fesses glabres. J’échange mes chaussures de sport, pour une paire de mocassins à haut talons.Avant de grimper à bord du navire, j’appel le conte sur son portable et il envoi à ma rencontre deux marins pour porter mes bagages et me diriger.Comme je n’ai pas mis de culotte, je sens bien que lors de la montée des marches, le spectacle ne doit pas laisser indifférent les deux mâles.Le conte en personne me reçoit sur l’arrière du bateau dans le salon. Il a laissé pousser une fine moustache, qui lui donne un air de skipper anglais. Il porte un blaser croisé, ainsi qu’une casquette galonnée de commandant.Son épouse, que je ne connais pas encore, se trouve lové dans un sofa en cuir rouge. Elle a le regard salace, qui me laisse présager des heures de sexe torride.« Je vous présente mon épouse, Monika. Elle est russe, mais parle le français avec aisance. Juste un petit accent délicieux, qui me fait craquer.A mon tour de me présenter.« Appelez-moi Luce. C’est un sobriquet.En effet, je préfère Luce, à suce ou à cul, beaucoup plus vulgaire.« Je vais vous accompagner à votre cabine, vous êtes le premier.Le mot cabine est ici galvaudé, il s’agit à première vue, lorsque j’y entre, plus sûrement d’un appartement. Le conte en profite pour me caresser les fesses et en se penchant sur moi, me déclare dans un souffle.« Nous sommes impatient avec Monika mon épouse, de vous recevoir en particulier.Il me laisse là, juste le temps de défaire mes valises et de me détendre, dans un bain parfumé. Je suis allongé sur le lit King size, nu lorsque le téléphone intérieur sonne. Je décroche, un petit sourire au coin des lèvres.« Allo, très cher Luce. Rejoignez nous sur le pont supérieur. Il y a mes appartements privés. Nous vous attendons, une coupe à la main.Une invitation ne se refusant pas, je me prépare prestement. Je me vêts, d’une robe longue à dos nue, d’escarpins brodés, des bas coutures, un maquillage léger, juste plus de rouge sur mes lèvres pulpeuses.En avant pour de nouvelles aventures sexuelles. Je me présente au pont supérieur, un valet, m’annonce et je pénètre dans une suite royale.Monika entièrement nue se trouve allongée sur un canapé couvert de peau de bête. Le conte, s’approche de moi et m’enlace avec fougue.
« Nous rêvons de vous depuis notre dernière rencontre au château de nos amis.Monika mes tend les bras, elle veut que je m’occupe d’elle, car déjà son corps ondule sous le désir. A mon tour je me défais de ma robe et je me pose devant elle. Ses jambes s’écartent, son sexe épilé avec une fente rose, embuée de perles, s’offre à moi.Évidemment pour ce faire, je me suis mis en position de la levrette. Ma bouche s’incruste dans la fissure de la belle. Un râle s’échappe de son corps. Elle prend ma tête à deux mains, ma langue s’insinue dans ses moiteurs.Je trouve le clitoris et le fait rouler entre mes pouces. Le conte ne reste pas de marbre devant ce délicieux spectacle, il écarte mes fesses des ses doigts impatients et me salive l’anus d’importance. Je m’ouvre à mon tour, comme une huître devant un écailler.« Je vais t’enculer et te remplir de ma semence.Pour ce faire, il commence un délicieux travail de sape de ma rosette. Un doigt, puis deux. Pour ma part, je ne vois pas grand-chose. Mon visage est collé au sexe de mon amante.Celle-ci se pâme de plaisir, elle laisse échapper une douce mélopée, moitié russe, moitié amour. Les doigts du conte laissent la place à son gland bien rond. Il a un sexe d’une belle grosseur, bien veiné, comme je les aime.Il s’accroche à mes hanches et pousse sa bite dans mon cul, centimètre par centimètre. Je suis envahi par le meilleur des mes ennemis. J’ouvre en grand mes frontières. Que l’armée s’avance, je me rends.A mon tour, je joui, le visage et la langue en mouvement. Nous joignons, nos plaisirs avec Monika. Le conte me sodomise avec lenteur, il profite du panorama offert.Il doit être excité, car je sens grossir, l’engin en moi. Il racle mon intimité, me procurant, un orgasme puis un autre simultanément. Monika relève ses jambes sur sa poitrine, elle veut que je lui lèche l’anus.Je ne me fais pas prier. A son tour elle s’ouvre et mes doigts cheminent dans son puits d’amour. Voyant arrivée l’orgasme final, j’accélère les mouvements de langue, mes doigts plantés dans son cul.Mon enculeur lui-même, me laboure l’anus à grand coup de rein. Un soleil noir explose dans ma tête. Je me liquéfie dans un ultime soubresaut.Puis le calme revient, mon anus grand ouvert, déverse le trop plein de liquide chaud et gluant. Monika me caresse les cheveux tendrement. Le conte est affalé sur moi, le souffle court.« Pour un début de croisière, nous commençons vertement.« Champagne !!

Je rejoins ma cabine, en chancelant sur mes talons aiguilles. Mon cul défoncé par le conte clapote à chaque pas. Je croise un marin dans une coursive qui me propose son bras pour m’aider à marcher.Mon dieu que le matelot est beau le soir au fond du boat. Je ne peux me retenir de lui caresser son manche à air à travers sa tenue. « Puis-je me permettre de vous toucher le pompon. Il paraît que cela porte chance.Comme il me sourit sans me répondre, je présume qu’il y consent. Je l’entraîne donc, dans ma cabine. Nous voilà sur le grand lit, aussi nu que le jour de notre naissance.Ce bel apollon, à un regard noir, le corps musclé, la peau mate. Il ne porte aucun poil sur lui et je le trouve très à mon goût.Me voilà au-dessus de lui et son sexe d’une taille imposante se dresse comme l’obélisque sur la place de la victoire. Déjà sa langue s’occupe de ma fente, nul besoin de l’agrandir, elle bien assez ouverte comme cela.Mes mains décapuchonnent le gland violacé. Je vais le gober entre mes lèvres et le sucer jusqu’à la moelle. Il a un petit gout de framboise, très agréable. Ma langue descend le long de la hampe. Je le sens frissonné d’aise.De son côté malgré l’insistance des mes caresses, il ne reste pas de marbre. Ces deux pouces s’insinuent dans mon anus, pour mieux me déguster la rondelle.Je flatte les bourses gonflées de liqueur, tout en pompant mon marin. Ma tête monte et descend en rythme. Je peux scruter l’image polissonne dans la glace accrochée au mur.Mes joues gonflées par l’absorption, je bave de plaisir.« Ne bouge pas, je vais me sodomiser.Je rampe jusqu’à ces pieds et mon trou du cul se pose sur la grosse fève de mon futur enculeur. Après un léger mouvement de bassin pour me mettre à califourchon, je commence la descente.Il participe de son mieux en écartant mes fesses. Mais, la sodomie est difficile, car le marin est fortement armé, un beau canon, je dirais de vingt-cinq centimètres. Je ne vais pas me laisser impressionner par une grosse bite, j’en ai vue d’autre.Alors, lentement, je m’écarte la rondelle et je progresse par petites saccades. Enfin, me voici arrivée à destination. Mes fesses viennent en contact de la peau musclé de mon amant.Me voici chevauchant le pur-sang. Le visage dans le vent, je parcours, le chemin qui longe le précipice de l’inconscience. Une douce chaleur me parcourt.L’image de mon cul distendu dans le miroir et d’un érotisme sans nom. Il faut que je me mette en mouvement, car je sens venir un orgasme, que dis-je, un cyclone, dans mon ventre dévasté.A chaque contact de nos peaux, j’entends de grands « ploc ». Mon baiseur me pousse et me retiens, des ses mains ferment. Ma bouche s’ouvre pour chercher un peu d’oxygène et je m’écroule dans un spasme foudroyant.Je viens de jouir enfourné par une belle queue bien raide. La sodomie fut grandiose, je suis épuisé, toujours planté sur le sexe gluant de mon enculeur.« Je n’ai pas joui.« Pas de soucis, je me défais de l’étreinte et je vais te vider les bourses.Je me retourne et je gobe à nouveau le gland. Ma langue tourne autour du méat. Mes mains glissent le long de la peau veinée. Elles pressent les couilles pour faire sortir le jus.Un râle, puis un geyser de foutre qui vient arroser mes lèvres et mon visage. Je lèche le miel qui s’échappe de son sexe et je m’en délecte.Mon beau marin m’a laissé là. Il lui fallait retourner au travail. Un peu de repos, me fera le plus grand bien après, cette double sodomie. Je vais dormir et faire certainement des rêves érotiques.Le voyage commence à peine, je suis bien. Je peux sombrer dans les bras de Morphée.« Bonne nuit, petite chatte !!
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