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croisière super

Chapitre 1

Lesbienne
J’en rêvais depuis longtemps et j’ai gagné. Une croisière sur un beau bateau ne se refuse pas. Bon, ce n’et pas le super grand luxe comme cabine. Je la partage avec deux autres femmes de mon âge. A 35 ans, on se supporte encore. L’embarquement a lieu vers 9 heures : le temps d’arriver en train après une nuit presque blanche. Je passe une journée dans le coaltar à croire que j’ai fait la bringue. Le train me met toujours à plat : j’ai horreur des arrêts…. du voyage…Enfin le lendemain je me réveille en pleine forme. Je vais faire un footing sur le pont coté opposé au vent du large. Petit déjeuner pantagruélique. Flirt avec un autre passager bien comme il faut avec juste un petit baiser sur les joues, comme s’il ne savait pas embrasser sur la bouche. Un repas passable. Retour à la cabine où les deux autres filles semblent s’entendre comme des pies. Je suis prise comme arbitre. Quel maillot pour Jeanne ?Jeanne est nue au milieu de la pièce, elle passe un maillot une pièce qui enveloppe bien son corps en laissant voir ses formes. Pas mal du tout. L’autre tient du string minimaliste. Il ne cache rien, même pas le début de la chatte. Que choisir entre un modèle pudique et l’autre assez pousse au crime. J’aime les belles femmes, mon choix se porte vers le tout petit. Du coup Jeanne reste nue jusqu’au soir. L’autre fille Lorry peste un peu avant de se calmer quand à mon tour je passe mon maillot presque le même que celui de Jeanne.Pour corser la chose, sans le faire exprès nous commandons les repas dans la chambre. L’hôtesse qui nous sert nous regarde les deux filles nues. Son regard est très coquin, si elle pouvait elle resterait avec nous pour faire des sottises. Si Lorry est vêtue, elle reste quand même du genre mi-nudiste, avec ses seins à la vue de tous. En dinant nous bavardons comme toutes les filles, mais en plus nous parlons de ce que nous aimons. Pour les trois c’est l’amour, pas avec un grand A, l’amour simple ou compliqué, au lit seule au à plusieurs. C’est Lorry qui aime à plusieurs. Je préfère avec un partenaire homme, Jeanne avec une femme. Au moins tous les gouts sont représentés. Nous sommes en croisière, nous allons en profiter. Je retrouve mon flirt qui n’embrasse pas mieux que dans l’après midi. Je ne lui donnerais pas mon cul, il doit être d’un triste pendant une baise !Ce soir il y a un bal offert par le commandant. Nous nous méfions de ce genre de divertissements. Retour dans la cabine cers 23 heures. Lorry déclare solennellement que c’est son heure. Son heure de quoi ? De jouir. Et Alors ?— Je vais me branler sans partenaire.— Tu es forcé de faire ça seule ?— Qui baiserait avec moi, personne.— Comment personne, et moi déclare Jeanne.— Et moi, à mon tour.Nous sommes trois nanas chaudes, nous nous posons des questions idiotes : à trois filles c’est bon aussi. Pour montrer son désir, Jeanne toujours à poil écarte ses cuisses, nous montre sa chatte. C’est vrai elle est assez mouillée. Je dois lui plaire puisqu’elle vient tout près de moi. Elle prend ma main la pose sur son sexe. Là elle me donne envie. Je suis prête à me sacrifier. J’ai envie moi aussi. Je voudrais bien qu’elle s’amuse avec moi.Je me lève, me colle contre elle. Il y a fort longtemps que je n’étais pas ainsi contre une autre femme. Je retrouve des sensations oubliées. Sa poitrine est dure contre la mienne. Ses fesses sont prisonnières de mes mains. Elles sont dures, je passe la main dans sa raie. Si je m’écoutais je la passerais en entier vers son petit endroit. Jeanne m’embrasse la première. Ses lèvres sont douces, presque maternelles. Nos langues s’entendent fort bien. Sa bouche est sur mes épaules. Elle me fait frissonner, j’en ai la chair de poule. Alors quand elle entoure la taille, je me laisse totalement aller. Jeanne sait bien caresser les filles. J’en profite. Je reçois avec plaisir sa main sur le pubis, un doigt dans ma fente Il descend vers le bas, vers mon sexe qui doit être drôlement mouillé. Enfin il est sur mon intimité ; Il caresse doucement en longs mouvements rotatif le petit clitoris. Je me laisse aller sur le lit où elle me suit. Son poids sur moi est léger. Je sens sa peau un peu mouillée de transpiration. Son odeur est excitante. Mon Dieu fait qu’elle me caresse bien là où j’aime. Dieu est de mon coté. La main remplace le doigt. Elle m’envoie au paradis, le notre, celui des lesbiennes. Elle n’enlève pas la main, elle continue sa caresse : je jouis encore une fois puis encore une fois. Je restais immobile cloitrée dans mon plaisir égoïste. Je réagis enfin : je me mets à l’envers, ma tête entre ses magnifiques jambes. Je déguste sa fragrance, toutes ses odeurs féminines. J’admire la dentelle de son sexe, la douceur du périnée et plus loin la beauté animale de son anus. J’ai faim d’elle. Je la veux, je veux en diner. Et Lorry ? Elle nous regarde, elle se caresse sans scrupule devant nous qui l’avons oubliée. Elle sort de son sac, un gros gode. Elle va se défoncer totalement avec cet engin. Je lèche la chatte d’une femme, de Jeanne, je regarde l’autre se goder. Pourtant je n’ai pas envie d’être godée : des doigts, une langue dans le con me suffisent. Je lèche la moule de Jeanne. C’est appétissant, ça me donne envie de plus. En plus elle coule sans cesse, alimentant ma faim de cyprine. Qu’il me semble loin le temps où j’avalais avec gourmandise le sperme de mon mec, de celui que je sucerais encore à mon retour dès qu’il me le demandera. Mais avec Jeanne, son jus n’est pas gluant, il est léger, filant sur la langue comme un cru de grande qualité. Ce n’est plus faire l’amour, c’est être gourmand.La langue de Jeanne me fait un bien extraordinaire. Je m’ouvre d’avantage. Elle semble insister pour aller plus loin. Je la laisse faire, j’aime sa suite. Ca y est, elle y est, elle me souffle sur l’anus, sa langue s’en approche. Elle lèche doucement le cul. Je l’ouvre our la laisser passer. Elle entre dans mon cul, je me laisse aller en criant un peu : je jouis du cul. Merveilleux. Je le lui rends pendant ce 69 de folles.Je m’endors en pensant que les nuits suivantes seront aussi chaudes.
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