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Je me croyais sage

Chapitre 4

Hétéro
Finalement, Diane et moi nous sommes levés et avons pris notre petit-déjeuner avec Marion. Impossible de savoir ce que Marion peut avoir entendu ou non. Le programme de la journée se dessine entre balade, pique-nique et accrobranche. La journée file et on passe tous un bon moment. Pour ma part, je ne pense qu’à notre réveil câlin et chaque fois que je me tourne vers Diane, j’espère échanger avec elle un regard complice chargé de désir, mais rien. Diane est un sphinx, ce qui attise un sentiment de frustration, mais aussi de doute. Ai-je imaginé son plaisir, suis-je le seul à avoir envie de retrouver un moment d’intimité?
Le soir arrive, apéro, dîner, partie de cartes et épisodes de Buffy (oui, ça passait tous les samedis sur M6 et on aimait bien). Nous sommes tous les 3 assis sur le canapé sous un grand plaid. Diane à ma droite, Marion à ma gauche. Sous le plaid, ma main est posée sur la cuisse de Diane. Au bout de quelque temps, je sens la main de Diane attraper la mienne et la glisser entre ses cuisses. Doucement, je sens sa main gauche glisser sur ma cuisse et remonter vers mon entrejambe. J’ose à peine bouger de peur que Marion, tout contre moi à ma gauche ne remarque le moindre mouvement. C’est tout juste si je respire.
Même avec la seule lumière et le son de la télévision, je n’imagine pas que Marion ne voit pas les mouvements de la couverture quand Diane défait mon pantalon, il me semble impossible que Marion n’entende pas la braguette qui s’ouvre, le bruissement des tissus. Je sens la main droite de Diane qui ouvre son jeans et le baisse autant que possible. Elle écarte sa culotte pour me donner accès à sa petite chatte alors que de sa main gauche, elle fait jaillir de mon caleçon mon membre gonflé.
La situation me semble d’autant plus excitante que Marion est juste à côté, son bras collé au mien, sa jambe à la mienne. Il lui suffirait de bouger sa main de 10 centimètres pour qu’elle se pose sur ma verge. Et je réalise à ce moment-là que quand Diane a ouvert mon pantalon, le pan qu’elle en a écarté est venu se poser sur le poignet de Marion qui ne dit rien, ne montre rien.
Pourtant, Diane commence à me prodiguer du bout des doigts des caresses douces sur le sexe. De mon côté, je titille maladroitement son clitoris difficilement accessible. La bosse mobile que mon sexe et la main de Diane dessinent sous le plaid me semble évidente, ostentatoire même. Diane enserre doucement ma tige et lui prodigue quelques va-et-vient lents et doux. Je sais déjà que ses caresses vont m’emmener juste au bord de l’orgasme sans jamais me le faire atteindre. Un supplice de Tantale qui me frustre autant qu’il m’excite.
Je retiens ma respiration, j’ai mal au poignet à force de caresser Diane qui ondule juste assez pour me faire comprendre qu’elle apprécie ce que je fais. Lentement, progressivement, je la sens s’avachir dans le canapé pour m’offrir un meilleur accès à son intimité. Sa respiration me semble un peu plus intense et je vois sa main droite qui serre son sein à travers les vêtements.
Marion ne dit toujours rien, ne bouge pas. Ce que nous faisons est un secret de polichinelle, situation devenue évidente quand la page de pub commence et que personne ne dit rien comme si le fromage tartare et les assurances étaient aussi intéressants que les vampires. Je me demande ce que Marion pense, j’ai peur de passer pour un obsédé alors même que je ne suis pas l’instigateur de cette situation.
Je me fige littéralement quand je sens Marion réajuster sa position contre moi. Mais la main de Diane n’a pas même ralenti et rend inconcevable que Marion ne voit pas ou ne sente pas la couverture bouger.
Si les caresses de Diane ne suffisaient pas à me faire jouir, le fait que Marion assiste à tout ça, complice de nos câlins fait croitre mon excitation, rendant mon gland sensible à chaque effleurement, même celui de la couverture. Et quand je sens Diane se crisper, serrer ses cuisses autour de ma main, qu’au bord de mon champ de vision, je la vois écraser son sein de sa main, je n’y tiens plus. Je sens ma semence jaillir de mon gland et couler le long de ma hampe, sur les doigts de Diane jusqu’à mes couilles. Mes jets me semblent plus abondants que d’habitude et je sens bien que tout ce sperme rend les caresses de Diane d’autant plus délicieuses. Difficile de contrôler les spasmes que chacun de ses gestes envoie dans mes jambes pour ne pas alerter Marion plus qu’elle ne doit l’être déjà. J’en viens à me demander s’il ne faut pas tout simplement assumer, mais je me retiens.
Je sens la main de Diane se détendre autour de ma queue redevenue plus souple. L’odeur de sperme m’emplit les narines. Diane dessert les cuisses et me libère la main. Je commence à m’inquiéter de savoir comment on va bien pouvoir se rhabiller discrètement quand Marion pose sa tête sur mon épaule et nous demande :
— C’était bon ?
Je suis tellement pris de court que j’éclate de rire. Je suis surtout totalement estomaqué quand Diane répond nonchalamment.
— Très bon. — Bon ben si ça ne vous ennuie pas, je vais aller me détendre dans ma chambre parce que si ça vous intéresse, moi je suis venue seule ce week-end.— Bonne nuit.— Bonne nuit.
Je me sentais tellement sur une autre planète que je ne dis rien. J’étais partagé entre prendre conscience que je fantasmais maintenant très sérieusement sur les 2 sœurs, mais aussi que ni Diane ni Marion n’avaient douté un seul instant de ce qui se passait. Il ne restait que Diane et moi au salon et nous laissâmes tomber Buffy pour aller nous coucher.
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