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Je me croyais sage

Chapitre 7

Diane est indomptable

Hétéro
Passé la première gêne de la remarque de Marion, elle plaisante sur le fait qu’on en profite et que c’est bien normal. La journée semble se diriger vers glande / jeux de cartes au bord de la piscine. Il fait beau, chaud et dimanche, tout est fermé dans ce coin perdu de campagne. Par contre, avant de partir, personne ne m’avait dit qu’il y avait une piscine. Marion me dit que je n’ai qu’à y aller à poil. Voyant mon air sceptique, elle me suggère de mettre un caleçon.
Mais à quoi elle joue, Marion, à souffler sur les braises ? Je suis le copain de sa sœur après tout. Bref, jus de fruit, parties de cartes, plongeons, caleçon qui se plaquent sur ma bite et j’essaye de cacher tout ça avec ma serviette. Les filles, bien entendu, sont venues équipées. Marion a un bikini dont le bas blanc tient avec un anneau en bambou de chaque côté et un haut bleu marine dont les deux bonnets tiennent entre eux avec un même anneau en bambou. Très élégant, très féminin. Diane, elle, porte un bikini plus sportif. Une culotte dans une espèce de tissu noir transparent seulement opaque au niveau du sexe avec des surpiqures blanches et une petite brassière assortie dont la touche de fantaisie est que seuls les bonnets sont opaques.
On enchaîne sur un barbecue. Et comme je suis « l’homme de la maison », je suis désigné volontaire à l’allumage de barbecue. Oui, mais alors, ce que j’ai oublié de vous dire, les filles, c’est que les barbecues, d’habitude, ce n’est pas moi qui les allume... Mais je m’y colle quand même. Travers de porc marinés, purée de patates douces, sieste sur les transats à l’abri de deux immenses parasols.
Je fais partie de ces gens qui s’endorment en quelques secondes. Quel que soit le moment, quel que soit l’endroit. Mais la contrepartie, c’est que je me réveille et suis sur mes pieds en quelques secondes. Ainsi, je dors depuis je ne sais combien de temps quand je suis réveillé par Diane qui a pris mon téton dans sa bouche et le suçote doucement. À peine ai-je ouvert les yeux qu’elle me fait signe de me taire. Elle a le regard joueur, le clin d’œil complice et malicieux. D’un coup d’œil, je vérifie derrière elle : Marion semble effectivement dormir derrière ses lunettes de soleil.
Je bande déjà au réveil. Et avec le caleçon, ça se voit. Je comprends que Diane a voulu profiter de cette érection spontanée. Sa main glisse le long de ma jambe et passe sous le tissu du caleçon pour se refermer sur mes couilles qu’elle masse doucement.
Elle jette un œil en direction de Marion et voyant que tout va bien, descend les bretelles de son haut de maillot pour révéler ses seins. J’ai un petit élan d’inquiétude. Après mes assauts du matin, elle a un bleu assez marqué sur le sein gauche.
— Oh merde. Ça va ?— T’inquiète, c’était très bon. Et puis je marque vite.— J’veux bien, mais quand même.— J’ai aimé ça, j’te dis. Arrête de flipper sinon elle va se réveiller.
À peine a-t-elle dit cela qu’elle me prend la main pour la porter à ses seins et me faire signe de les masser fermement. Je m’exécute et les empoigne avec plus de ménagement qu’elle ne semble le vouloir. Elle fait une moue boudeuse et me fait signe d’y aller pour de bon. OK, puisque c’est ce qu’elle veut, je ne veux pas la contrarier. Je n’ai pas de seins, mais vu comme je les pétris, les écrase presque, j’ai beaucoup de mal à comprendre comment je peux ne pas lui faire mal et au contraire, lui faire du bien. Tout le monde m’a toujours expliqué que les seins d’une femme, c’est fragile, délicat et qu’il faut y aller avec douceur, prudence et tendresse. Mais pour Diane, non. Il me faut les maltraiter, les violenter toujours plus pour la stimuler. Et de toute évidence, je commence à avoir le truc. Elle ferme les yeux et bascule légèrement la tête en arrière, sa respiration plus intense, plus profonde.
Elle retire sa main de la jambe de mon caleçon et le baisse carrément pour en faire sortir ma bite qui surgit comme un diable d’une boîte. Elle empoigne la bête et commence à lui prodiguer des caresses maladroites, mais efficaces.
Dans le même temps, elle glisse son autre main entre ses cuisses et masse sa vulve à travers le tissu. Elle appuie presque aussi fort à travers le tissu que ce que je prodigue à sa poitrine. Je pince d’ailleurs un téton et elle tressaute de plaisir. Satisfait, je renouvelle, nouveau sursaut.
— Si tu recommences, je vais me venger.— J’attends que ça.

Je repince son téton. Ni une, ni deux, elle plonge sur mon torse et aspire mon téton avant de le mordiller.
— Aïe !— Chut !!! (Coup d’œil à Marion)— Oui, mais ça fait mal.— Je t’avais prévenu...— Vas-y plus doucement, ça fait vraiment mal.— Ça te plaît pas, ce que je te fais ? Je peux arrêter si tu veux.
À mon tour de jeter un coup d’œil à Marion. Je réalise qu’avec ses lunettes de soleil, impossible de savoir si elle dort vraiment. En tout cas, elle est parfaitement immobile.
— Alors, je continue ou pas ? me demande Diane. Et elle fait mine de remettre mon caleçon en place.— Mais non, vas-y...
Elle me fait un sourire moqueur et ressort mon sexe. Maladroitement, j’essaye d’accéder à son entrejambe d’une main. Mais ça me force à tordre mon poignet et je n’arrive à rien. Diane se décide et s’installe à califourchon au-dessus de moi. Elle jette un dernier regard à Marion et me demande de la surveiller.
J’avoue qu’à ce moment-là, je ne sais plus quoi penser. Cherche-t-elle à se faire mâter par sa sœur, peut-être même à provoquer un plan à 3 (je ne serais pas contre, mais avec sa sœur, c’est déroutant) ? Ou alors c’est le danger, l’interdit qui l’excite ?
Elle s’installe donc sur moi et écarte son maillot sur le côté. Elle tient ma queue debout et la frotte à sa chatte dévoilée. Maintenant qu’il est difficile de cacher la situation à Marion, je flippe un peu beaucoup et je sens que ça m’inhibe. Au contraire de Diane qui s’amuse à faire claquer ma queue sur son ventre et regarde jusqu’où elle monte sur son bas-ventre pour se figurer jusqu’où elle la prend en elle. Elle se penche en avant et me glisse à l’oreille :
— On va vérifier jusqu’où ça va, ton équipement.
Et elle me guide d’un mouvement de bassin, amenant mon gland gonflé en face de sa caverne d’amour. De toute évidence, la marée est haute. Sa tête dans mon cou, elle descend, irrémédiablement ; d’un seul mouvement, elle me fait entièrement disparaître en elle. Je sens, à la crispation de son corps, que l’épaisseur de ma queue n’est pas sans difficulté pour elle. Mais l’étroitesse de sa chatte est tout simplement ingérable pour moi. Une fois au fond, elle pousse encore, effectue une rotation du bassin qui nous gagnait encore quelques millimètres, accentuant l’effet déjà insoutenable de cette longue pénétration. Je retiens un gémissement et la serre contre moi à l’en écraser quand je sens les spasmes qui parcourent ma verge, mon sperme s’écouler en elle en jets puissants. Elle aussi le sent et s’en amuse.
— Eh ben... Tu n’as pas été long. Je te fais tant d’effet ?— Ben, euh... Oui. Vois ça comme un compliment, ajoutais-je pour me donner une contenance.
Heureusement, à cet âge-là, j’étais déjà prêt pour repartir au combat et je le lui fais comprendre en bougeant doucement sous elle, toujours allongée sur moi. Je tiens son maillot écarté et glisse un doigt pour caresser son anus tout en accentuant mes va-et-vient. Je sens en bougeant mon sperme suinter de sa chatte et imbiber nos vêtements, se mêlant à sa cyprine. Je trouve ça incroyablement excitant que ce soit mon sperme qui serve à lubrifier notre pénétration. Je la serre fort contre moi et accentue mes coups de bite. Dans cette position, je contrôle tout, vitesse, force, amplitude. Elle n’a pas son mot à dire et ça semble très bien lui convenir, car à part soupirer des « oui » de plaisir dans mon oreille, elle se laisse totalement faire.
Au fur et à mesure que je la pilonne, ses soupirs se font plus fort, le bruit de nos ébats augmente. Je réalise qu’ainsi enlacés, aucun de nous ne peut voir Marion. Si elle se réveille, elle aura la vue directe sur notre pénétration, façon peep-show. Mais peu importe, l’excitation du moment l’emporte sur tout. Et puis Diane gémit sans retenue alors merde, je ne me retiens plus. Je la baise pour de bon au rythme des claquements humides de mon bas-ventre contre sa chatte mouillée. Je me laisse aller à glisser une phalange dans son cul et c’est comme si j’avais déclenché un interrupteur. Diane me mord l’épaule comme une lionne en grognant dans mon cou.
La première chose qui me passe par la tête, c’est « Ça y est, je l’ai fait jouir »... C’est con, mais c’est comme ça. Je la sens tendue comme une corde d’arc, prise de véritables convulsions, ses mains me tirent les cheveux et me griffent tout à la fois. J’ai l’impression qu’elle m’a mordu jusqu’au sang et bizarrement, je trouve ça terriblement excitant. Je lui inflige un nouveau grand coup de bite et elle pousse un nouveau grognement dans mon cou. On dirait une bête blessée. Nouveau coup de reins et si elle ne me mordait pas, elle crierait « putain » au lieu de l’étouffer dans mon cou. Encore un coup de bite et elle se redresse et me gifle, plantant les ongles de son autre main dans mon pectoral droit.
Elle me regarde, un mélange de colère, de provocation et de folie pure dans les yeux. « Si tu recommences, je te tue » et elle me crache au visage. Évidemment, j’envoie un nouveau coup de bassin. Bien loin de me tuer, elle s’effondre sur moi tout en trouvant le moyen de me gifler. Je ne sais pas pourquoi, j’adore ça, les gifles, sa salive qui coule sur ma joue, ses ongles qui me lacèrent, ses dents qui me blessent. Nouveau coup de bite et elle me traite de connard tout en me mordant la lèvre inférieure sans ménagement. J’adore aussi ce que je découvre d’elle. Cette jeune fille de bonne famille bourgeoise dont le père totalement snob trouve mon côté skateur insupportable et plouc est en fait une sauvage assoiffée, une fille qui me fait assez confiance pour se livrer à moi sous son jour le plus déluré. Je passe mes mains sur son dos et ses fesses en lentes caresses douces. Je lui assène un dernier mouvement de pénétration doux et profond et ses baisers deviennent doux, aimants.
Je me souviens très bien m’être dit « Quelle salope ! » Et d’avoir trouvé ça génial.
Je ne bouge plus, elle se calme, son corps se détend. Je n’ai pas joui une deuxième fois avec elle, mais je m’en fous. Elle redevient ma copine un peu sage, mais malicieuse et m’embrasse dans le cou, lèche sa salive sur ma joue et nous échangeons tendrement un baiser. Comme un secret, elle me chuchote à l’oreille qu’elle a joui et que c’était très bon. D’un geste souple, elle fait sortir ma queue de son vagin et replace son maillot de bain et fait disparaître mon engin dans son garage, accompagnant le geste de 2 petites tapes comme un maître flattant un bon chien. Son sourire inaltérable, sa queue-de-cheval impeccable...
Mais comment fait-elle ? J’en profite pour vérifier où en est Marion. Bien que si elle est réveillée, il n’y aura plus rien à faire, je jette un œil. Elle semble toujours dormir, mais cachée derrière ses lunettes de soleil, mais j’en doute : Marion a clairement changé de position de telle sorte qu’elle était franchement tournée vers nous et ses cuisses sont assez largement écartées.
Diane et moi rentrons dans la maison pour que je me change. Mon caleçon laisse apparaître une grosse trace blanche et poisseuse au niveau du sexe. Quelques minutes seulement après, Marion nous rejoint dans la cuisine où nous préparions un goûter. Le timing est si juste que j’acquis la quasi-certitude qu’elle ne dormait effectivement plus... Et même si elle dormait, j’ai la joue rouge, de grandes marques de griffure sur le torse et une trace de morsure sur l’épaule. J’ai même l’impression que c’est écrit sur ma figure.
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