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Je me croyais sage

Chapitre 10

Hétéro
Pour ceux qui prennent le train en marche, tout ce que je vous raconte ici est vrai. Ma découverte de la sexualité, d’une sexualité en tout cas, assumée, épanouie, mais sans cacher mes doutes, mes incertitudes, mes ratés.En résumé, c’est une amie de ma mère qui m’a initié au sexe tandis que je découvre que Diane, ma copine de l’époque, est plus sauvage que je ne l’imaginais.
Lundi soir, apéro. Demain, nous rentrerons à Paris. Depuis que nous sommes rentrés de notre excursion qui a pris une tournure inattendue, pour moi du moins, Diane et Marion ne semblent absolument pas considérer que ce qui s’est passé mérite une conversation. Marion se comporte avec moi comme à son habitude, un mélange d’intimité et de distance qui me donne en permanence un sentiment d’insécurité avec lequel elle joue. La nonchalance, le détachement et l’attitude de Diane ont exactement le même effet. Et très bizarrement, j’adore ça. J’ai l’impression d’avancer dans le brouillard, de suivre une direction sans savoir laquelle et qu’il se cache dans la brume des choses délicieuses, mais inconnues et donc effrayantes.
Je ne sais pas ce que je dois penser de ce que nous avons fait sur les rochers. D’abord, est-ce qu’il s’agit d’inceste puisque Diane et Marion ne se sont quasiment pas touchées. Oui, j’imagine que oui. Mais je ne suis pas aussi choqué, aussi scandalisé que je l’aurais cru. D’ailleurs, comme beaucoup de garçons de mon entourage, l’idée de coucher avec deux jumelles est une sorte de fantasme que je nourris depuis quelque temps. Finalement, je n’ai fait que franchir un premier pas dans cette direction. Et puis est-ce qu’on peut parler d’un plan à trois vu que je n’ai même pas vraiment couché avec les deux à la fois ? Je n’ai pas pénétré Diane, elle n’a même pas touché à mon sexe, je n’ai pas touché au sien... Et en même temps, je me rends bien compte que je me torture le cerveau pour rien. Profite de ce que tu as fait, vécu et arrête. Diane ne se montre pas moins tendre ou amoureuse après ce qui est arrivé, alors pas de panique, profite de l’apéro.
Apéro, donc : kir, pistaches, chips, olives, tarama et bâtonnets de carottes. On passe à table autour d’un poulet avant de se lancer dans une soirée jeux de société. Je me demande si le Uno va être ressorti, mais non. Dommage, je l’espérais presque.On finit une partie de Cluedo quand Diane part aux toilettes. Je me retrouve seul avec Marion qui farfouille dans une étagère pour ranger la boîte du jeu. Je me lance.
— Je peux te poser une question ?— Une seule ?
Elle revient s’asseoir à côté de moi.
— Oui, bon, je sais pas.— Allez vas-y. T’inquiète pas.— À propos de cet après-midi... Je... Est-ce que...
Je me rends compte que je ne sais absolument pas par quel bout prendre la question. Heureusement, c’est Marion qui vient à ma rescousse.
— Si ça peut te rassurer, tu es vraiment le premier garçon avec qui Diane couche.— Non, c’est pas ça. Enfin, si, un peu. C’est plutôt que je me demandais si c’était déjà arrivé avec François par exemple ?— Non. Du tout.— C’est la première fois que vous faites ça ?

J’étais assez incrédule et en même temps, il faut bien qu’il y ait des premières fois.
— Oui. Écoute, je pense que c’est avec Diane que tu devrais parler de tout ça, d’accord.— Je sais, je sais. Et je le ferai. Mais j’ai juste une question, OK ?— Je t’écoute.— Ça change quoi, entre nous ? Entre toi et moi, je veux dire ?— J’avais compris. Ça ne change rien.— Ah bon ? On a couché ensemble quand même.— Je veux dire que tu es toujours le copain de Diane, je suis toujours avec François. Pour le reste, tu devrais parler avec Diane, OK ?
Je n’ai pas le temps de répondre que Diane revient dans la pièce. Marion se lève et baillant ostensiblement, déclare qu’elle va se coucher. Elle dépose un petit baiser sur mes lèvres et file. Rien que ce baiser me laisse encore plus perplexe que tout le reste. Diane vient s’asseoir et se blottir dans mes bras. Je n’ai pas le courage d’affronter une deuxième conversation et je glisse ma main sous son t-shirt pour lui faire des caresses douces dans le dos. Il ne faut que quelques minutes pour qu’elle s’endorme. Je suis coincé avec sa tête sur mes genoux, la télécommande trop loin pour allumer la télévision. Je m’endors à mon tour.
Il est je ne sais quelle heure quand je me réveille, la nuque raide, le dos douloureux. Diane est recroquevillée de froid, mais dort toujours sur mes genoux. Je me décide et essaye de la réveiller. Elle se contente de soulever la tête pour me laisser me lever et se rendort sur le canapé. Je m’imagine en chevalier servant, l’emmenant dans mes bras jusqu’à sa chambre pour la glisser sous les couvertures. Et je me lance. Je la soulève. Elle pas à peine 42 kilos, mais quand même. Bon, il faut passer la porte. Manoeuvre latérale en crabe. Les escaliers...
Putain, la galère. Ils n’en chient pas autant dans les films ! OK, je suis à la porte de la chambre qui est fermée, nique ta mère ! OK, on passe. Je l’allonge sur le lit. Délicatement, je lui défais son jean, mais l’enlever sans la réveiller...
Minutieusement, délicatement, je parviens à passer ses petites fesses musclées, les jambes sont plus simples. OK, le t-shirt maintenant. Je m’apprête à renoncer quand je réalise qu’elle a un soutien-gorge. Ben oui, c’est une fille, qu’est-ce que je suis con ! Ça ne doit pas être confortable de dormir avec ça. Donc, le t-shirt, je n’ai pas le choix...
Elle grommelle dans son sommeil, mais j’arrive à passer ses bras dans les manches. Mais pourquoi les filles portent des t-shirts si serrés ?!?! Alors maintenant, la tête...Comment je fais ça, moi ?Je prends mille précautions, mais sans succès, Diane ouvre des yeux embués de sommeil. Elle finit elle-même d’enlever son t-shirt, se cambre, défait l’attache de son soutien-gorge et fait à peine l’effort de l’enlever. Elle se rendort déjà alors qu’une bretelle est toujours prise dans son bras. Elle est là, devant moi, dans une petite culotte en coton avec des petits oursons qui tiennent un cœur rose comme un ballon au-dessus de leurs têtes. Je trouve ça mignon et sexy.
Je ne sais combien de temps je la regarde comme ça, si douce, si belle, un peu vulnérable, mais confiante. J’écarte son soutien-gorge, je défais son éternelle queue-de-cheval et dépose un baiser sur ses lèvres. Sa jolie poitrine, petite et ferme, ronde et saillante me fascine. Je vois ses petits tétons roses qui pointent d’autant plus qu’il fait un peu frais. J’hésite. J’ai envie d’elle. Elle a moins de formes que sa sœur, mais elle est si galbée que son corps semble parfait.
J’ai envie de son corps, de son être, de sa folie. C’est ça. Je suis avec une sorte de folle qui, depuis des jours, me pousse dans les bras de sa sœur et se caresse en regardant nos ébats. Avec une folle qui me demande de la mordre, de la griffer, de lui écraser les seins et qui me gifle et me crache dessus quand on fait l’amour. Avec une folle qui...
Une folle que j’aime comme un dingue. Me voilà à bander juste en regardant ma copine...Je n’y tiens plus. Je prends mon sexe dans la main et commence à me branler tout en déposant des baisers langoureux sur ses fesses. Doucement. Je respire son odeur, un mélange de sexe et de sueur. Une odeur douce, unique, entêtante. J’essaye de lui enlever sa culotte, mais elle a passé la couette entre ses jambes et impossible de faire descendre ce petit bout de tissus. Je continue mes baisers tout en branlant mon sexe totalement gonflé et sensible à l’extrême. Mes baisers partent explorer ses bras, ses épaules, son cou. Un petit gémissement endormi et elle se tourne sur le dos. Mes lèvres descendent vers sa poitrine où je m’attarde avant de couvrir son ventre de caresses et de baisers. Mes lèvres se posent sur le coton au travers duquel je sens sa petite toison, la forme et la souplesse de ses grandes lèvres. J’appuie un peu plus mes baisers et je sens ses jambes s’écarter légèrement pour m’accueillir. Mais cette fichue couette continue à me gêner.
Diane laisse échapper un léger gémissement, une sorte de miaulement câlin et je sens ses doigts venir s’emmêler dans mes cheveux pour me garder entre ses cuisses. Je ne me fais pas prier et continue mes baisers. J’essaye d’écarter sa culotte pour accéder à son intimité, mais d’un petit « Tss tss tsss » elle me fait comprendre que nous n’en sommes pas là. Elle me tire les cheveux pour me faire signe de remonter jusqu’à son visage. Face à face, elle passe une main qui me caresse le visage avec une tendresse inhabituelle. Elle m’attire pour un baiser d’une infinie douceur.
— Tu m’aimes ?— Quoi ? Évidemment que je t’aime.— Alors, baise-moi comme tu l’as baisée.— Quoi ?— Baise-moi. Baise-moi fort. Comme tu l’as baisée.— Je... OK.
Je descends en embrassant son ventre et m’apprêtant à lui enlever sa culotte. Mais de nouveau « Tsss tsss tsss ».
— Tu sais, faut l’enlever pour ce qu’on a à faire.— Tu ne me fais pas l’amour. Tu me baises. Et tu as commencé par sa bouche.— Je... Mais...
Diane se tourne sur le côté, boudeuse.
— Laisse tomber.
Je ne sais pas vraiment comment ou pourquoi, mais je sens que je l’ai blessée. Je veux rattraper la situation. Je viens fais le tour et m’installe à genoux face à elle, ma queue à quelques centimètres de son visage.
— Qu’est-ce que tu veux ?
Je ne réponds pas, attrape ses cheveux d’une main, ma bite de l’autre et force ses lèvres de mon gland. Elle fait à peine mine de résister et m’avale tout entier d’un coup avec des va-et-vient gourmands. Elle passe une main derrière mes fesses et m’incite à lui prendre la bouche. Poussant toujours plus loin dans sa gorge. Je me laisse aller à ce délire et bouge dans sa bouche comme je le ferais dans sa chatte ou son cul, en longs coups de bite profonds et intenses. Je sens que je bute au fond de sa gorge, mais elle n’indique rien pour que j’arrête, au contraire. Je pousse plus loin, plus fort. Je sors ma queue couverte de salive et la bifle dans un bruit humide avant de replonger au fond de sa bouche et d’y rester, poussant encore et encore. Je la vois chercher à respirer et pourtant, elle aussi pousse pour que j’aille plus loin jusqu’à ce que je la libère. Elle reprend une goulée d’air alors que je branle ma queue juste devant son visage.
Je sens entre mes doigts sa salive qui rend cette branlette exquise. Je me penche et l’embrasse à pleine bouche, sauvagement, sans douceur. Elle en profite, attrape mon poignet et plaque ma main sur sa poitrine.
Je la connais. J’empoigne ses seins sans douceur et les écrase entre mes doigts. Elle se cambre de satisfaction et glisse une main dans sa culotte. D’elle-même, elle reprend ma bite en bouche comme une insatiable. Je l’accompagne, baisant sa bouche, maltraitant ses seins, regardant, totalement fasciné, cette fille qui perd le contrôle et se caresse avec une sorte de rage primaire. Mon excitation n’en est que plus intense.
Je ne me retiens plus et baise sa bouche littéralement jusqu’au moment où je sens que je vais jouir. J’ai envie de ce fantasme alimenté par le porno et alors que je sens que je ne tiendrais plus, je m’extrais de sa bouche pour me branler sans pudeur. Il ne faut que quelques gestes pour que je jouisse, éclaboussant son visage et ses cheveux d’un jet chaud, épais et visqueux qui s’étale sur ses lèvres, ses joues, son front et ses belles mèches blondes. Un deuxième jet moins abondant. Elle se lèche les lèvres de mon foutre et gémit de plaisir. C’est moins bon que sa bouche et je finis cette éjaculation dans sa bouche en m’enfonçant encore au plus profond. Tout en m’avalant, elle se cambre, se cabre, est prise de spasmes alors que ses cuisses enserrent sa main plongée dans sa culotte. Elle m’offre son visage et sa bouche, mais le reste de son corps est tout à son orgasme.
Nous retombons, l’un et l’autre. Je me sens vidé et pourtant, j’ai encore envie d’elle avec mon sperme qui s’étale sur son visage, ses cheveux en bataille et souillés. Et puis, je lui ai promis de la baiser. Et ce n’est pas fait. Je me penche et l’embrasse à pleine bouche, faisant exprès de mêler à nos baisers le sperme qui est près de sa bouche.
Je me redresse et attrape son bassin pour la tourner face à moi. J’écarte sa culotte sans même prendre la peine de l’enlever et sur la fin de mon érection, je la prends. Elle est si humide, son orgasme l’a si bien préparée que je glisse en elle sans résistance, presque trop facilement. Mais cette caresse sur mon gland tout juste rassasié me fait un effet d’une intensité rare. Une fois passée cette sensation, j’empoigne ses chevilles comme je l’ai fait pour Marion et lui soulève les jambes, permettant une pénétration plus profonde, me donnant un peu plus grand contrôle sur ce qui va venir. Mon érection ne tarde pas à revenir et je lâche sur elle de prodigieux coups de bassin qui la font gémir puis crier. Dans cette position, je peux parfaitement voir ma bite épaisse écarter ses grandes lèvres et son petit clitoris qui saille. Du bout d’un doigt, je le caresse, provoquant un petit cri et des soubresauts à chaque fois que je le titille.
Je la défonce littéralement, balançant les coups de queue aussi fort que possible, tenant ses jambes en l’air. Elle m’est totalement offerte. Ses mains serrent et pincent ses seins. Je n’arrive pas à déterminer si elle a joui, mais je sens bien que, pour ma part, d’avoir joui quelques instants avant va me permettre de lui donner ce qu’elle attend et même plus.
Alors qu’elle semble chercher de l’air pour respirer, je calme mes coups de bite et ralentis. Elle reprend son souffle, les yeux fermés. Je m’amuse à gonfler mon gland au fond de sa chatte, lui provoquant un gémissement à chaque fois.
— Tu sais que je lui ai baisé le cul aussi ?— Hum ?— Si si. On en n’a pas fini tous les deux...— J’espère bien.
Je me retire de sa chatte baveuse et profite de sa caprine qui trempe littéralement son anus pour venir glisser mon gland à l’entrée de son cul. Doucement, je caresse l’orifice du bout de ma verge.
— Tu n’as pas pris autant de précautions tout à l’heure...
Et de ses mains, elle écarte ses fesses pour m’offrir l’accès à son anus.Je regarde ma queue, pas si longue, mais surtout épaisse, et son anus qui semble minuscule en comparaison.Je prends ma queue en main et place mon gland juste sur la petite rondelle et pousse. Je surveille le visage de Diane pour arrêter au moindre signe, mais Diane s’offre entièrement. Je vois bien qu’elle a un peu mal, mais elle semble savourer cette douleur comme elle aime que je lui maltraite les seins.
Néanmoins, je ne me presse pas. Mon gland est passé, ma queue s’enfonce doucement. L’expression de douleur de Diane semble se transformer en une sorte de plaisir étonné. Un « Oooooh » guttural s’échappe de sa bouche alors qu’elle bascule son visage en arrière, continuant d’écarteler son cul pour me l’offrir. Je fais un premier va-et-vient qu’elle accueille d’un puissant râle de plaisir totalement primaire. Très vite, les râles sont remplacés par des « Oh oui » totalement assumés. Son anus est si serré autour de ma queue que malgré mon orgasme récent, je sens bien que mon contrôle sera mis à rude épreuve.
Notre rythme s’accélère, l’intensité des échanges aussi. Je sens son cul un peu moins serré, mais toujours aussi délicieux. Les râles et gémissements de Diane sont tels que je reconnais à peine sa voix. Je m’essaye à me retirer et revenir en elle, mais la largeur de ma bite me force à plus de douceur. L’effet n’en est pas moins instantané pour elle comme pour moi. Elle pousse un petit cri qui se finit dans un grognement de plaisir alors que ma bite reconquit son cul. Je recommence, nouveau cri, nouveau grognement. Je n’en peux plus. Mon excitation est telle que je n’ai plus aucune retenue, aucun égard pour elle. Je m’active en elle à la recherche de mon orgasme, jouant avec ce petit clitoris tout dur sous mes doigts. À mon tour de grogner, de râler.
L’imminence de mon plaisir semble intensifier celui de Diane. Encore quelques grands coups de queue, et soudain, je le sens, je jouis. Je grogne, je râle, tout mon corps se contracte, se crispe, chaque mouvement de mon sexe m’envoie une décharge telle que je manque de tomber sur Diane qui laisse s’échapper un long gémissement, ses seins ratatinés entre ses mains.
Je me laisse retomber sur elle. La tête me tourne, mon sexe semble d’une sensibilité insoutenable. Alors qu’il jaillit du cul de Diane, il m’envoie une nouvelle décharge électrique dans le dos tandis que Diane soupire de plaisir à ce dernier passage de mon gland.Je la prends dans mes bras.
— Mademoiselle est-elle satisfaite ? L’ai-je baisée comme elle le mérite ?
Diane se recroqueville dans mes bras.
— Mieux encore. Je me suis senti une vraie petite chienne.— Quoi ?— Ta petite salope, mon chéri.— Je... Ce...
Je ne sais pas quoi dire. Toujours ce sentiment d’avancer dans le brouillard sur un chemin mystérieux... Toujours aussi grisant !
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