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Cuisine et déviance

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Je m’appelle Maxime, mais tout le monde m’appelait Max. J’avais 22 ans et cela faisait six mois que j’avais rencontré Delphine. Entre nous, ça collait vraiment pas mal, et c’est pourquoi elle voulait me présenter à sa mère.

Au début, un peu réticent, j’ai vite compris que je n’aurai pas le choix, tant Delphine était insistante sur le sujet. Nous voilà donc devant la porte, main dans la main, comme deux parfaits amoureux. Delphine appuya sur la sonnette.
DRIIIIIING !
— T’inquiète pas mon chéri, ça va bien se passer. Ma mère n’est pas si méchante que ça.
Elle avait dit ça sur le ton de la plaisanterie, mais en y réfléchissant un peu plus, il me semblait déceler une pointe d’autopersuasion. Je n’eus pas trop le temps de m’attarder sur la question, que la porte s’ouvrit sur une femme qui... comment dire... semblait aux antipodes de la belle-mère.
— Bonjour ma chérie ! Haaa, et voici le fameux Max !
La mère de Delphine, bien qu’aux alentours de la quarantaine, était une très belle femme. Elle était de ces femmes, pour lesquelles, chaque année qui passe forge assurance et prestance. Elle dégageait ainsi un charme indéniable et rien que sa bouche prononçant le mot "fameux" ne me laissait pas indifférent. La manière avec laquelle elle me regardait à ce moment-là, me fit même douter du sens premier du mot, à la faveur d’un sens bien plus... ambigu.
Nous rentrâmes alors dans la maison. La suivant dans le couloir, je pouvais sentir son parfum... organique... charnel...
— Entrez ! Entrez les enfants ! Alors, vous avez fait bonne route ? — Oui oui maman, ça a été. — Haaa, très bien. J’étais en train de préparer le dîner.
C’est vrai que ça sentait bon. Elle avait déjà commencé à couper des légumes en petits morceaux. Des œufs étaient sortis, ainsi qu’une boule de pâte, reposant sur un lit de farine.
— Quiche lorraine et salade composée, ça vous va ? — Parfait madame.

Sa mère se tourna alors vers moi et me fixa. Elle avait une telle prestance, que pendant une fraction de seconde, je me sentis comme un enfant qui allait prendre une fessée. Mais elle me fit un grand sourire.
— Ha non, pas de "madame" ! Moi c’est Barbara. — D’accord Mada... Heu Barbara.
Delphine m’avait lâché la main et repartait à la voiture pour chercher quelques babioles qu’elle avait oubliées.
— Je reviens tout de suite, mon cœur.
Barbara souriait d’un air attendri.
— Mon cœur ? Comme c’est mignon. On dirait que ma fille t’aime vraiment bien, mon garçon.

Je rougis légèrement, ne sachant pas quoi répondre.
— Allez, tu ne vas pas rester là sans rien faire. Viens m’aider un peu. Tiens, mets ce tablier.
Elle me tendit un grand couteau de cuisine et le pointa vers un tas de légumes encore entiers. Je le pris et commençai à découper...
— Mais non, pas comme ça ! Tu n’as jamais coupé des légumes de ta vie ou quoi ?
Elle me regardait d’un air consterné. Puis elle sourit, à la manière d’une maîtresse d’école qui va aider un enfant, et s’approcha. Elle se plaça derrière moi et prit mes mains dans les siennes. Je me retrouvai ainsi, enlacé dans ses bras. Ses doigts, posés sur les miens, guidaient mes gestes. Sans un mot, elle coupait le concombre en petits dés.
Je pouvais sentir la pression de sa poitrine contre mon dos, ainsi que sa respiration dans mon cou. Je ne savais pas vraiment quand la situation avait basculé, mais je sentais bien que l’atmosphère avait changé. Bien qu’agréable à dire vrai, cela devenait tout de même un poil malaisant. Je voulus alors gentiment me dégager...
— Hey ! Mais tu vas où comme ça ? Attends, je ne t’ai pas dit, mais j’ai aussi besoin d’œufs pour ma quiche.
De sa main gauche, elle attrapa deux œufs et de sa main droite... elle l’enfonça dans mon pantalon et dans mon caleçon. Elle agrippa alors mes testicules, tout en me regardant, comme si je n’étais que le prochain ingrédient de sa recette. J’étais paralysé, tétanisé par la surprise. Elle tenait maintenant mes couilles dans sa main et les serrait à les faire éclater.
— Aïiiiie !— Ho, mais dis donc, tu as de bien gros œufs. On pourrait en faire une bonne omelette.
Tandis qu’elle me tiraillait les bourses, elle approcha son visage à quelques centimètres du mien. Elle avait posé sur moi un regard dominateur, qui semblait dire "tu es ma chose". Un de ses regards durs, avec lesquels on ne transige pas.
— Lesquels vont casser les premiers d’après toi ? Ceux de gauche ou ceux de droite ? — Aïe ! Aïe ! Non, pas ça ! Pitié !
Elle avait dit ça avec un sourire qui en disait long. Et plus elle serrait les œufs de sa main gauche, plus elle broyait les miens de sa main droite. Je commençai à vouloir me tortiller, tellement la douleur était intense. Mais elle me reprit, d’un geste sec.
— Non non non ! On ne bouge pas avant la fin de la recette.
Malgré la douleur, je commençais à ressentir des ondes de plaisir. Je regardais ses ongles rouges, recourbés sur les œufs, telles les serres d’un dragon, et j’imaginais les mêmes, au fond de mon pantalon, pénétrant la chair de mes bourses. Même si la situation était pour le moins gênante, cette vision m’excitait comme un fou. Mon sexe ne tarda pas à devenir dur comme la pierre.
Mon gland laissait maintenant couler quelques gouttes le long de mon pénis, et sûrement sur sa main. La pression était devenue si forte que les œufs bientôt éclatèrent... ceux de sa main gauche heureusement.
Le jaune et le blanc giclèrent entre ses doigts. Cette vision, des plus sexy, faisait penser à s’y méprendre à un tout autre genre de scène... et un autre genre de liquide. Dans ma tête, j’imaginais sa main recouverte de mon sperme.
Elle mit ses doigts dans sa bouche et commença à les lécher. Dans mon imaginaire, c’était mon foutre qu’elle avait sur ses lèvres et sur sa langue. Mes visions, mélangées au réel, me firent vaciller d’excitation. Mais elle me rappela à l’ordre de sa main droite, me montrant d’une pression accrue, qui était le dominé et qui était la dominante.
— Viens par ici mon garçon.
Elle avait pris le contrôle total de mon corps. Au creux de sa main, j’étais à sa merci. Elle faisait de moi ce qu’elle voulait. Elle mit alors ses doigts, encore dégoulinants d’œuf, dans ma bouche. Elle joua un instant avec ma langue et mes lèvres, puis s’amusa à enfoncer ses doigts dans ma gorge, limite à me faire vomir. Je pouvais voir le plaisir sadique dans son regard. Puis, par-dessous ma mâchoire, elle attrapa mes joues et appuya assez fort pour me forcer à ouvrir grand la bouche.
— Aie ! Cha fait maaal ! — Ferme-la gamin ! Tu es à moi.
Me tirant par les testicules, elle me fit m’approcher, jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Puis, elle enfonça sa langue le plus profondément qu’elle put. Elle me labourait à présent la bouche, tandis que sa main droite jouait avec mes parties génitales.
J’étais maintenant très dur et je sentais le liquide qui enduisait ses doigts autour de ma queue. Elle me tenait toujours le visage de son autre main, la langue fourrée dans ma bouche, le tout dans un bruit de succion indécent. Soudain, Delphine appela depuis le couloir.
— Ça y est, je suis là ! Alors, vous avez pu faire connaissance ?
Barbara eut juste le temps de retirer sa main de mon pantalon, que Delphine arrivait dans la cuisine.
— Oui oui ma chérie. Ton Max était en train de m’aider à faire la quiche.
Je restais là, sans trop savoir si je devais tout raconter à Delphine, ou garder ça pour moi. Sans se soucier de la présence de sa fille, Barbara avait placé sa main droite, encore enduite de mon jus, sous son nez, pour en humer l’odeur. Elle me regardait droit dans les yeux, d’un air satisfait. Puis, elle entreprit de lécher un à un ses doigts. Pendant toute l’opération, son regard, qui me fixait, semblait me dire : "regarde comment je suis en train de te goûter".
— Ha, c’est cool maman. Comme ça, vous avez pu papoter de plein de choses, j’imagine...— Oh oui, de plein de choses.
Barbara profita que Delphine fut retournée quelques instants, pour me mettre un doigt devant la bouche, comme pour me faire taire. Elle me chuchota alors à l’oreille : "Si tu lui dis quoi que ce soit, je lui dis que c’est toi qui m’as tripoté". J’étais piégé. Elle avait trouvé le moyen de me faire chanter. La soirée risquait d’être éprouvante.
Delphine, qui s’était approchée de moi, me fixa d’un air interrogateur. Elle passa alors un doigt sur mes lèvres pour y essuyer l’œuf qui s’y trouvait, et le lécha.
— Tu manges vraiment comme un cochon toi !
Barbara, qui regardait la scène d’un air amusé, mit alors Delphine à contribution :
— Ma chérie, tu veux bien mettre la pâte sur la console, à côté du plan de travail, il faut que je la pétrisse.
Delphine mit un peu de farine sur la planche en bois du petit meuble, qui se trouvait à hauteur de hanches. Elle attrapa la boule de pâte et la plaça sur la farine. Je m’étais approché pour aider, mais ne trouvais pas vraiment quoi faire. Delphine, dont les doigts collaient à présent à cause de la pâte, se retourna et alla à l’évier se laver les mains. C’est là que tout alla très vite...
Barbara me chuchota à l’oreille, d’une voix suave : "j’ai besoin de viande pour ma quiche". D’un geste, elle écarta mon tablier, me tira par le pantalon pour me plaquer contre la console, dézippa ma fermeture Éclair et sortit ma queue encore toute dure. Elle l’écrasa alors avec force dans la pâte, puis rabattit les bords sur ma bite. Mon tablier eut juste le temps de retomber sur la base de mon sexe, que Delphine se retourna.
Comme si de rien n’était, Barbara était en train de pétrir la pâte, et par la même occasion ma queue, sous les yeux de sa fille. Delphine n’avait rien remarqué et vint me faire un tendre baiser.
Je sentais avec délice les doigts de la mère me pétrir le sexe à travers la pâte, pendant que la fille mélangeait langoureusement sa langue avec la mienne. Ce cocktail à trois, limite incestueux, était divin... Soudain, j’ouvris grand les yeux et étouffai un cri dans la bouche de Delphine. Je venais de sentir de vives piqûres sur mon pénis. Je vis alors Barbara qui s’était emparée d’une fourchette et qui donnait des coups dans la pâte.
— C’est pour aérer la pâte.— Ha ouais, ça a l’air drôle ça, maman. Fais voir que j’essaye.
Delphine s’était mise à enfoncer les pointes de la fourchette dans la pâte, pointes qui terminaient leur course, plantées dans la peau de ma bite. Je me retenais pour ne pas crier.
— Tu as l’air crispé mon chéri... Si elle savait...
Puis elle arrêta et Barbara reprit le pétrissage. Après cette séance de torture, ce massage n’était pas de refus. Le roulis de ses doigts experts sur ma queue me faisait un effet dingue. Je sentais la pâte envelopper mon sexe, tandis que ses doigts le malaxaient fermement et sans relâche.
Barbara me lança alors un regard intrigant, qu’on aurait pu interpréter comme... sadique, encore une fois. D’une main, elle attrapa un rouleau à pâtisserie.
Non, elle ne peut pas faire ça ?! Elle ne va pas faire ça ?!
Mais elle semblait bien déterminée. Elle le posa sur la pâte, puis me fixant du regard, pour ne pas perdre une miette de mon supplice, commença à appliquer une forte pression sur le rouleau. Elle démarra alors les mouvements de va-et-vient pour aplatir la pâte.
À chaque passage, je pouvais sentir le rouleau m’écraser la bite. Tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre. Tantôt, le rouleau me décalottait, laissant mon gland en contact avec la pâte tiède, tantôt, il rabattait mon prépuce autour de mon gland et l’écrasait comme un vulgaire tube de dentifrice. Malgré le caractère imposé de la situation, je ne pouvais nier que la séance de masturbation que cette femme pratiquait sur moi était la plus divine que je n’ai jamais eue de toute ma vie.
Les mains de Barbara tenaient fermement les poignées du rouleau, tandis qu’elle me broyait littéralement le chibre, un petit sourire dessiné sur ses lèvres rouges.
Cela faisait de longues minutes que le traitement durait et je ne faisais plus la différence entre la pâte et mon sexe. Ce n’était plus qu’un tout, que ma belle-mère travaillait avec assiduité. Puis elle s’arrêta, estimant sûrement la texture à son goût. Elle profita que Delphine regarde ailleurs, pour planter ses dix longs ongles rouges à la base de mon sexe, telle une mâchoire qui se serait refermée sur sa pitance. La morsure fut tellement vive, qu’un frisson de douleur mêlée d’excitation me parcourut l’échine.
Elle tira alors la pâte vers elle, tout en raclant la peau de ma verge de ses ongles tranchants. Je pouvais les sentir me labourer la chair. Une fois la pâte extraite, je pus voir les lignes rouges que ses griffes acérées avaient laissées, sur tout le long de ma queue. Reprenant mes esprits, je rangeai immédiatement mon sexe dans mon pantalon. Delphine venait de se retourner.
— Tu feras attention mon chéri, tu as de la farine sur ton pantalon. — Ha oui, j’avais pas vu. — Ha la la, quelle tête en l’air celui-là.
Barbara termina la quiche et l’enfourna. Je pouvais voir sur son visage que le petit sourire sadique n’avait pas disparu. Je sentais, au fond de mon caleçon, mon sexe toujours en érection. Cette femme avait une telle emprise sexuelle sur moi, que je bandais, rien que de la regarder. Sûrement parce que mon esprit imaginait avec crainte, mais aussi envie, ce qu’il pourrait encore m’arriver.
En la voyant, penchée sur le four, les fesses en évidence, je n’avais qu’une seule envie : la prendre avec force, là, tout de suite. Elle n’aurait même pas le temps de poser son plat, que je ferais déjà de longs va-et-vient à l’intérieur de sa chatte. Mais ça, c’était dans ma tête, car pour l’instant, Delphine était là. Et même si elle ne le savait pas, elle servait de garde-fou, à la suite des événements.
— Mince ! Le pain ! Chéri, on a oublié le pain ! Allez, j’y vais. Je reviens tout de suite. En attendant, vous n’avez qu’à continuer à faire connaissance.
Ça y est, le garde-fou avait sauté. J’entendis la porte claquer. Maintenant, tout pouvait arriver.
— Max, amène-moi les légumes ! Ils ne vont pas se couper tout seuls.
Aussi étrange que cela puisse paraître, Barbara ne semblait pas tenir compte de ce qui s’était passé, il y a encore quelques minutes. C’était assez troublant. Je lui amenai donc les légumes, qu’elle commença à découper. Mais l’illusion fut de courte durée. Je venais juste d’attraper le dernier concombre sur la table, qu’en me retournant pour lui tendre, je me retrouvai nez à nez avec la pointe du long couteau, touchant mon torse.
— Mais tu crois que tu vas t’en tirer comme ça, mon garçon ? Il va falloir s’occuper de la salade composée, à présent.— Oui, bien sûr...
Je lui avais répondu le plus naturellement du monde, comme si tout était normal. Mais je sentais bien qu’elle ne parlait pas du tout de la même chose. Elle accentua la pression et je dus faire un pas en arrière, pour éviter de me faire transpercer. Mais elle continua à avancer... Je fis alors un deuxième pas en arrière et c’est là que je trébuchai. J’étais maintenant couché sur le dos, surplombé par cette femme, armée d’un couteau long comme l’avant-bras.
Elle s’accroupit alors, pour s’asseoir sur mon bas-ventre, puis posa la pointe du couteau contre ma gorge, afin que je ne bouge plus.
— Ne remue pas comme ça, voyons, ça serait dommage que je te fasse du mal sans le vouloir. Je ne te veux que du bien, tu sais ?
Son sourire disparut instantanément. Il ne restait plus que son regard froid, teinté de folie, qui me glaçait le sang. Je sentais bien qu’elle ne rigolait pas et que je ne devais pas jouer avec le feu. D’un geste sec, elle remonta mon t-shirt jusqu’à mon cou et pointa mes tétons de sa lame. Passant de l’un à l’autre, elle jouait avec la pointe d’acier. Le contact du métal froid les raidissait d’autant plus. Malgré la peur, l’excitation gagnait inexorablement du terrain.
— Allez, occupons-nous de la salade. Tu aimes les tomates ? — Heu... oui. — Très bien alors...
Mais bientôt, je compris mieux de quelle salade elle voulait parler. Toujours en plantant la pointe du couteau dans ma chair, elle avait attrapé une grosse poignée de tomates cerise. Elle écarta alors les jambes et laissa découvrir, juste en face de mon visage, son sexe, parfaitement épilé. Elle ne portait pas de culotte, bien sûr. Étrangement, cela ne m’étonna pas. Elle commença alors la préparation, toute particulière, de sa “salade”. Une à une, elle présentait les petites tomates sur sa vulve et d’une pression de l’index les faisait disparaître entre ses lèvres. On aurait dit qu’elle nourrissait un animal. Une, puis deux, puis trois, quatre, cinq... elle enchaînait les insertions, comme si sa chatte avait une contenance infinie. Au fur et à mesure, son sexe se lubrifiait, provoquant des dégoulinures le long de ses cuisses. Quand elle eut fini, elle me demanda :
— Tu crois que ça suffira ? — Heu... oui... je pense. — Moi, je ne pense pas. Ajoutons-en encore un peu.
Attrapant une deuxième poignée, elle réitéra l’opération. Je ne comptais plus les tomates, mais au bout d’un moment, je vis comme une certaine résistance à les faire entrer. Quand la dernière fut en place, elle me regarda droit dans les yeux, d’un regard avide de sexe, et me lança :
— C’est pas le tout, il va falloir la goûter cette salade, maintenant.
J’eus à peine le temps de comprendre ce qu’elle avait en tête, que d’un coup, elle pivota de 180 degrés et s’assit littéralement sur mon visage. Elle venait de plaquer son sexe contre ma bouche. Je ne pouvais plus émettre aucun son. Je sentais déjà du liquide me couler entre les lèvres. Trouvant sûrement que je me débattais un peu trop, elle dézippa ma fermeture Éclair, pour la seconde fois de la journée, et poussa mon pantalon ainsi que mon caleçon jusqu’à mes genoux. Je sentis alors la tranche froide d’une lame se placer sous mes bourses. La peur m’envahit. Cette femme était définitivement folle.
— Allez mon petit, on ne bouge plus. Il est temps de goûter la bonne salade que belle-maman a préparée pour toi.
C’est quand je la sentis serrer les cuisses autour de mon visage que je compris ce qu’elle entendait par là. Une première tomate sortit d’elle et entra dans ma bouche. Le fruit entra en contact avec ma langue. Une deuxième pression en éjecta une autre. Je compris vite que je devais les avaler, si je ne voulais pas mourir asphyxié. Je croquai alors les tomates. Leur jus, qui se mélangeait au fluide de ma belle-mère, coulait dans ma gorge. J’avalai le tout sans trop attendre. Mais les petites boules rouges sortaient à un rythme soutenu et je ne pus bientôt plus les avaler assez vite. Je commençais à suffoquer et à m’agiter.
— Ha non, pas bouger !
L’ordre qu’elle venait de me lancer, comme à un chien, s’était accompagné d’une pression accrue de la lame, contre mes couilles. Si elle avait tiré le couteau d’un coup sec, elle me les aurait sûrement tranchées. Puis, de son autre main, elle attrapa ma bite qui était dure depuis un bon moment. La serrant assez fort, elle descendit sa main violemment, me décalottant sans pitié. Je sentais mon gland à l’air libre. Sans pouvoir voir la scène, j’imaginais Barbara fixer ma verge, ainsi exposée, avec un regard trahissant un appétit carnassier.
Le plaisir que je ressentais était intense, mais dans le même temps, je me sentais mourir, étouffé par la chair juteuse sortant de son sexe. Je n’eus pas d’autres choix que d’accélérer la mastication. Au gré des mouvements de ma bouche, je pouvais sentir le contact de son clitoris qui frottait tantôt sur ma langue, tantôt sur mes lèvres. Ces frictions devaient lui faire de l’effet, car il me semblait bien sentir des frissons entre ses reins. Le mélange de la chair des tomates et du jus de son sexe coulait dans ma gorge et sur mon visage. Des râles de plaisir sortaient de sa bouche...
— Mmmm, oh oui... C’est bon ça... Allez, mon garçon, tu dois finir ton assiette, sinon maman ne va pas être contente.
Juste après ces mots, je sentis un de ses ongles entrer dans mon urètre. Un pic de douleur traversa ma queue. La salope ! Elle n’avait vraiment aucune pitié.
— Hmmmm, nnmm !— Si tu n’es pas un gentil garçon, maman devra te punir.
Elle fit alors tourner son ongle planté dans mon gland, comme pour me donner un avant-goût de ce qui m’arriverait si je ne terminais pas tout.
— Tu as compris ? — Mmmn hummm...
Semblant ne pas avoir eu ce qu’elle voulait, elle enfonça alors son doigt jusqu’à la première phalange. J’eus alors l’impression de me faire déchirer le sexe de l’intérieur. Mais mes cris restèrent au fond de ma gorge, du fait du bâillon de chair qui obstruait ma bouche. Je dus me contorsionner afin d’émettre un semblant de réponse.
— Quand maman te pose une question : tu réponds ! — Mmmm... moui mmoui... — Haaa, je préfère.
Je m’activai alors pour engloutir tout ce qui sortait de son vagin, et éviter qu’elle ne finisse par enfoncer son doigt en entier. Bientôt, toutes les tomates furent éjectées et avalées. Je continuais pourtant de lécher sa vulve, de peur d’être réprimandé. Ma langue s’enfonçait entre ses deux lèvres, frottait son clitoris puis s’engouffrait dans son vagin. Puis, elle ressortait et recommençait de plus belle. Je pouvais sentir l’excitation de ma belle-mère à travers ma bouche. Sa chatte était maintenant débarrassée de tout résidu de nourriture, un peu comme si je nettoyais les couverts après le repas.
— HAAA, bah voilà, c’est bien mon chéri, tu as tout fini. Mais à présent, c’est à maman de manger. Et maman a très faim !
L’instant d’après, je sentis sa bouche s’empaler sur ma bite, d’un coup sec. L’onde de plaisir fut intense et brutale. Je pouvais sentir le fond de sa gorge au bout de mon gland, tandis que la lame du couteau n’en finissait pas d’entrer dans la chair de mes couilles pleines. Cette scène, érotico-gastronomique, était d’une bestialité terrifiante. Je pouvais mesurer l’appétit de ma belle-mère, à la quantité de salive qui coulait de sa bouche, le long de ma queue.
Cette femme était en train de me dévorer le sexe, comme on dévore un bon steak. Je sentais ses dents contre la base de mon pénis et m’attendais, à tout moment, qu’elle le morde jusqu’au sang, qu’elle le déchiquette, qu’elle le mâche et enfin qu’elle l’avale comme un vulgaire morceau de viande... l’envoyant directement au fond de son estomac.
La vision de ce festin cannibale, qu’elle semblait apprécier plus que de raison, fut soudain trop forte pour moi. Je sentis alors monter en moi le jus, stocké dans mes couilles, telle une sauce qui mijotait depuis un long moment. Belle-maman paraissait avoir compris que je ne tiendrais pas une seconde de plus. Elle lâcha le couteau par terre et agrippa mes fesses de ses deux mains, comme pour être sûre de ne pas en perdre une goutte. Le changement de position libéra ma bouche, juste à temps pour que mes râles de jouissance puissent enfin sortir.
— Oh Merde ! Putain... je vais jouir ! Ho ouiiiiii... HAAAArrrg !
J’éjaculai alors dans sa bouche, ou plutôt dans sa gorge, tellement ma queue était enfoncée profondément en elle. Je sentais le flux saccadé de sperme qui passait directement de mes couilles à son estomac, tandis qu’elle plantait ses griffes vernies dans la chair de mon cul. Après quelques salves, elle recula la tête de quelques centimètres, comme pour en récupérer dans la bouche. Bouche que je sentais d’ailleurs se remplir au fur et à mesure des derniers jets, encore bien fournis.
Les spasmes s’étaient arrêtés et les lèvres de ma belle-mère, toujours bien refermées autour de ma queue, retenaient comme il faut la totalité du sperme ainsi accumulé. Seul un petit filet, que je pouvais sentir couler le long de ma verge, s’en échappait. Relevant la tête en faisant glisser mon membre entre ses lèvres, elle maintenait une certaine pression pour ne pas perdre une goutte du précieux jus. Puis, elle se leva, attrapa le saladier et fit couler le contenu de sa bouche sur les dés de légumes fraîchement coupés.
— Et voilà pour l’assaisonnement !
Je voyais les longs filets de sperme couler de ses lèvres, jusque dans le saladier. Quand elle eut fini, elle passa un doigt sur ses lèvres pour essuyer les dernières traces de semence. Elle reposa le saladier et se tourna vers moi. Elle avait le regard d’une folle, qui n’en avait jamais assez. Mais moi, je n’en pouvais plus. Alors, à l’instant où elle retroussa sa robe et commença à s’accroupir pour la seconde fois, j’attrapai le couteau, posé à côté de moi, et le pointai vers elle. Elle avait interrompu son mouvement, sa chatte à quelques centimètres de la lame.
— Stop, j’en peux plus ! STOP ! Pitié...— He bein va-y ! Qu’est-ce que tu attends ? Tranche-moi la chatte !
J’étais paralysé par sa réponse et ne pouvais plus faire un geste, restant dans cette position grotesque. C’est alors qu’elle attrapa ma main. Mais au lieu de dégager l’arme, comme je m’y attendais, elle inséra la pointe entre ses deux lèvres et l’enfonça. J’étais abasourdi. Elle commença alors un ballet, d’avant en arrière, en me fixant d’un regard qui sentait la provocation. La lame d’acier entrait et sortait librement dans son sexe, bien lubrifié depuis le temps.
À chaque fois qu’elle tirait ma main vers elle, la lame s’enfonçait un peu plus loin dans son vagin. À chaque passage, le métal écartait légèrement ses lèvres, pour s’engouffrer un peu plus dans ses entrailles. On aurait dit un boucher découpant deux escalopes. La lame se trouvait maintenant à mi-longueur, quand une goutte de sang perla sur la tranche. Elle retira alors le couteau de sa chatte, essuya la goutte de son majeur, puis mit son doigt dans ma bouche. Après ses sécrétions, je goûtais maintenant son sang. Malgré moi, ma queue s’était raidie. Il n’en fallait pas plus pour donner des idées à belle-maman.
— Non ! Non Barbara ! Je n’en peux plus ! S’il vous plaît, NOOOON !
Mais elle avait déjà fourré mon membre dans sa chatte et s’était littéralement assise dessus. Ma bite était rentrée entièrement, sans aucune résistance. Bien que réticent au départ, je ne pouvais nier le plaisir que cela me procurait. Son sexe, plaqué contre mes couilles, ne pouvait aller plus bas. Elle se releva alors, ne laissant que le sommet de mon gland effleurer ses lèvres... le frotta contre son clitoris... puis sans prévenir, se laissa retomber d’un coup. Sa chatte avait englouti ma bite en une fraction de seconde. Elle commença alors, mécaniquement, à monter et descendre... monter... descendre...
Je sentais l’intérieur de son vagin, frotter contre ma queue... encore et encore...En voyant mon sexe dégoulinant, apparaître puis disparaître de la sorte, on aurait dit un morceau de viande se faisant enduire de sa marinade. Belle-maman mettait du cœur à l’ouvrage... sans pause... sans interruption... sans pitié...
Mon corps ne répondait déjà plus et s’abandonnait à cet animal à l’appétit insatiable. C’est alors que j’entendis la porte claquer.
— Coucou, c’est moi ! Vous êtes où ?
C’était Delphine !
— Barbara, arrêtez ! Il ne faut pas qu’elle... hmmm... mmmm...
Barbara venait de me plaquer une main contre la bouche. L’arrivée de sa fille ne semblait pas la perturber le moins du monde. Elle continuait inlassablement de limer la pièce de chair qu’était mon sexe.
— Mmmm Hummmmmm !
J’essayais, comme je le pouvais, de lui faire entendre raison, mais elle mit fin à mes tentatives en me bouchant le nez de sa deuxième main. Je ne pouvais plus respirer. Le sang commençait à me monter à la tête, tandis que les mouvements de Barbara s’étaient sensiblement accélérés, dans une danse frénétique et irréelle... Je jouis alors pour la deuxième fois ! Je giclai deux ou trois fois dans son vagin, avant que ma bite ne retombe, comme morte.
Les pas de Delphine se rapprochèrent. D’un aplomb à toute épreuve, Barbara se leva. Delphine entra alors dans la cuisine.
— Salut maman. Il est où Max ?
J’entendais Delphine, mais hésitais sur la réaction à avoir. D’où j’étais, allongé par terre derrière le plan de travail, j’avais une vue imprenable sur les cuisses de sa mère, ruisselantes de sperme. Les dégoulinures atteignaient bientôt ses pieds. Heureusement que Delphine ne pouvait pas voir le spectacle. J’attrapai le couteau et je me relevai.
— Salut chérie, je ramassais le couteau que j’avais fait tomber. Sinon, t’as trouvé du pain ? — Ha la la, quel maladroit tu fais. Oui oui, j’ai du pain. J’espère que je n’ai pas été trop longue. Si elle savait...
Faisant face à Delphine, le meuble nous séparait. Elle ne pouvait pas voir mon pantalon sur mes chevilles et ma queue pendante, encore humide de l’expérience qu’elle venait de subir. Elle ne pouvait pas voir non plus le sperme qui coulait sur les talons aiguilles de sa mère.
Si elle avait pu voir ça... mon Dieu, si elle avait pu...

À table, l’ambiance fut un peu spéciale. Barbara me faisait face et ne ratait pas une occasion pour me lancer des regards complices et aguicheurs, ce qui me mettait dans une gêne absolue. Nous mangions la quiche... des images me revenaient constamment en tête.
— Ben alors mon amour, tu ne manges pas ta quiche ? dit Delphine. — Non, je n’ai pas trop faim.
Barbara attrapa le saladier et mélangea le tout.
— Delphine, un peu de salade avec ta quiche ? — Oh oui, avec plaisir maman.
Je regardais la scène, impuissant. Qu’aurais-je pu dire ? Qu’aurais-je pu faire ? Sa mère la servit. Delphine en prit une bouchée... puis une deuxième... et une troisième...
— Huumm, c’est super bon, maman ! T’as mis quoi dedans ? — Haaa, tu sais ma chérie, tout est dans la sauce... mais c’est un secret.
Sa mère m’avait regardé d’un air gourmand tandis qu’elle lui avait dit la phrase. Delphine semblait se régaler. Dans la commissure de ses lèvres, apparaissait, de temps à autre, la fameuse sauce. Delphine ne manquait alors pas de passer un coup de langue, pour nettoyer le tout. J’eus un haut-le-cœur.
— Tu sais maman, le goût me rappelle quelque chose, mais je n’arrive pas à savoir quoi. — Oh, ma chérie, c’est peut-être Max qui t’en a déjà fait goûter. — Ho, Max ? Ça ne risque pas. Lui, faire la cuisine... Ha ha ha. — Qui te parle de cuisine...
Les allusions allaient vraiment trop loin et ma gêne était à son comble. Même Delphine n’avait pas trop compris ce que sa mère avait voulu dire... moi, si. Delphine termina toute son assiette. Je ne sais pas quelle quantité de sperme, elle avait pu avaler. Quant à sa mère, elle savourait cette salade en me fixant des yeux, jouant avec les filaments de sauce, sur sa langue et se léchant les lèvres plus que nécessaire. À chaque fois qu’elle avalait une bouchée, les images remontaient. Je suais... Vivement la fin du repas...

Delphine tourna la clé dans le démarreur. Le moteur vrombit.
— Alors, t’as vu, ce n’était pas si terrible ! Elle ne mord pas ma mère ! Elle ne t’a pas mangé ?! Si elle savait...— Je suis contente que ça se soit bien passé. Elle a l’air de bien t’aimer. À n’en pas douter...— J’avais un peu peur à vrai dire, car ça ne s’était pas très bien passé avec mes ex. Je n’ai jamais su pourquoi. Oh, j’imagine...— Elle m’a dit qu’elle avait hâte de te revoir. Tu lui as fait quoi au juste ?
Delphine me taquinait avec de fausses allusions, sur le ton de l’humour. Mais si elle avait tout su, ses paroles auraient eu un tout autre sens.
Elle fit une marche arrière, puis nous nous engageâmes sur la route. Le regard dans le vague, j’imaginais déjà, avec crainte et une pointe d’excitation, le prochain déjeuner chez belle-maman.
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