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Le cul d'Adèle

Chapitre 1

Erotique
Au début du printemps, je dormais sur le canapé. Adèle et Jérôme étaient des hôtes charmants et je ne me sentais jamais de trop. L’appartement n’était pas grand, mais meublé avec goût. Le matin, nous avions pris l’habitude de descendre prendre le café dans la cour. Il y avait du soleil à partir de 11 heures. Un chat errant pointait souvent le bout de son museau. C’était un vieux chat tigré, gris et noir avec des yeux d’un bleu lavande. Il était digne et méfiant, et ne se laissait approcher qu’avec réticence.
L’après-midi, le soleil passait au-dessus de l’immeuble. Quand il faisait suffisamment chaud, Adèle et moi allions nous allonger dans le jardin des voisins. Ils étaient absents depuis de longs mois et le courrier s’amoncelait sous leur porche. Nous nous amusions à imaginer où ils avaient bien pu passer, et ce qui les avait poussés à délaisser leur grande maison parisienne.
Je travaillais quelques heures au réveil, à la table du salon, et le reste de la journée, je pouvais l’occuper comme bon me semblait. Je lisais les journaux, faisais la sieste ou me promenais dans le quartier. Une fois par semaine, je jouais au tennis aux Lilas avec Jérôme. C’était un très bon joueur, mais il prenait garde, avec sa délicatesse coutumière, de ne pas me battre trop sèchement.
Jade commençait à comprendre que je ne reviendrais pas. Elle pleurait quelquefois au téléphone, et moi, je la laissais pleurer sans rien dire. Je ne pouvais rien faire pour elle. Pour l’instant, elle ne voyait pas plus loin que sa tristesse, mais ça lui passerait. Dans quelques années, elle repenserait à notre histoire avec tendresse.
— Et toi, se tourmentait-elle, tu ne ressens rien ?
Je lui répondais que je serais triste plus tard. Et c’était vrai. Au début de l’automne, sans crier gare, elle me manqua soudain terriblement et je passai une semaine à la pleurer et à la regretter. Mais pour l’instant, je me sentais seulement soulagé que notre histoire ait pris fin, car au cours des derniers mois, nous passions plus de temps à nous déchirer qu’à être heureux.
Ça n’allait pas non plus très bien entre Jérôme et Adèle. Un jour, ils se disputèrent pour une broutille et Jérôme quitta l’appartement en claquant la porte. Sans que j’eus rien provoqué, Adèle se confia à moi. Cela faisait plusieurs semaines qu’il y avait de l’eau dans le gaz. Elle était sans cesse agacée par Jérôme, mais n’avait rien de concret à lui reprocher.
— Il doit bien y avoir une raison, dis-je.
Je voyais bien qu’elle tournait autour du pot. Mais finalement elle me livra le fond de sa pensée :
— Il ne sait pas me donner de fessées, dit-elle. Moi, c’est quelque chose dont j’ai besoin, qu’on me donne des fessées. Mais lui n’en a pas envie. — Tu ne peux pas le forcer, ai-je répondu. On ne peut forcer personne pour ces choses-là. — Bien sûr. S’il n’aime pas donner des fessées, il n’a pas à m’en donner. Mais moi j’en ai envie, voilà tout. Ça fait une éternité que je n’ai pas reçu une bonne fessée. Tu ne sais pas à quel point ça me manque.
Quelques jours plus tard, Jérôme travaillait tard, Adèle et moi trouvâmes l’occasion de nous accoupler. Nous bûmes d’abord quelques verres pour nous donner du courage puis nous passâmes dans la chambre. Quand je retirai mon caleçon, mon sexe était déjà dur et dressé.
— Je savais que tu aurais une belle bite, me dit-elle en la caressant du bout des doigts.
Je lui fourrai dans la bouche. Elle me suça doucement, précautionneusement, comme si je n’étais pas là. Pendant qu’elle s’affairait sur mon gland, je lui caressais les cheveux. Puis vint le moment où je l’allongeais sur le ventre, nue et échevelée. Je passai un doigt sur sa vulve trempée et commençai à malaxer puis à frapper ses fesses.
À chaque coup que je donnais, elle gémissait davantage. J’essayais de penser à d’autres choses – au tennis, par exemple – pour ne pas me sentir trop excité. Je la caressai longtemps tout en continuant à la frapper régulièrement. Ses fesses étaient marquées, mais pas trop, car je frappais de façon mesurée. Au bout d’un long moment, ni elle ni moi n’y tenions plus et je la pénétrai. Nous ne mîmes pas plus d’une minute à jouir de concert et nous avachîmes l’un contre l’autre. Son dos était couvert de sueur et ses fesses cramoisies.
— Ça fait des semaines que tu reluques mon cul à la moindre occasion, dit-elle en riant. Tu crois que je n’ai rien remarqué ?
Pendant quelque temps, la vie suivit son cours, comme si de rien n’était. Jérôme me battait toujours au tennis et Jade me téléphonait de moins en moins. Adèle rompit avec Jérôme au début du mois de juin. Sans en faire toute une histoire, il déménagea ses affaires quelques jours plus tard. Moi, je passai du canapé à la chambre conjugale.
Nous n’interrompîmes pas nos parties de tennis hebdomadaires. Jérôme continuait à me laisser chaque fois quelques jeux et, pendant les changements de côté, ne manquait jamais de me demander des nouvelles d’Adèle. Il trouva bientôt une nouvelle amie. Il était séduisant, et sa réussite professionnelle était exemplaire. Du plus loin que je me souvienne, Jérôme avait toujours beaucoup plu aux femmes.
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