Quand mon père rentre le soir, jovial comme à son habitude, il embrasse ma mère. Moi je ne peux m’empêcher de revoir quelques heures auparavant la bouche de sa femme remplie du foutre de deux vieux mâles en rut !— Alors David t’a ramené ta voiture ? Ils l’ont bien réparée ? — Oui, oui, ils l’ont déposé dans l’après-midi, c’est bon ! — Tu as de la chance que j’ai des amis qui ont pu t’arranger ton aile et ton pare-chocs gratuitement, ma chérie !— Ah oui c’est vrai ! Merci de me les avoir envoyés cela m’a évité des frais ! Dit ma mèreEn entendant ça, j’ai compris que ma mère avait payé ses « réparations » avec son cul et que mon père pensait que ses « amis » les faisaient pour lui faire plaisir !Quels autres services a-t-elle pu régler avec ses charmes ? Il allait falloir qu’elle m’en dise plus sinon je dis tout à mon père.Elle pouvait le remercier de les avoir envoyés et c’est vrai qu’ils s’étaient bien occupés de son pare-chocs arrière, la salope !— Il est venu avec Farid ? Continue mon père— Oui, mais tu sais…— Je sais que tu ne l’aimes pas trop mais c’est gentil de leur part de l’avoir ramené à domicile, non ?— Ne t’inquiète pas je les ai bien reçus, même si je n’apprécie pas les Arabes !La menteuse, à voir comment il l’a faite reluire, elle n’ apprécie pas, elle adore !Après le repas je décide de passer à l’offensive, mon père devant la télé, je rejoins ma mère dans la cuisine.— C’est vrai qu’ils se sont bien occupés de toi, les amis de papa ! Dis-je en entrant— Hein, de moi ? Non de ma voiture tu veux dire ? — Non, non de toi dans le salon, je vous ai vu par la fenêtre !— Quoi qu’est-ce tu as vu ?...— Que tu aimes plus les Arabes que tu ne le dis, surtout par derrière !— Non tu t’es trompé, tu racontes n’importe quoi ! — Et David il a bon goût ? Vu ce que tu as avalé, tu en avais encore partout quand je t’ai embrassé !Sur ces mots, elle s’approche pour me gifler.— Je ne ferais pas ça si j’étais toi !— Et pourquoi ? Qu’est-ce tu veux à la fin ? Interroge-t-elle en s’arrêtant près de moi— La même chose qu’eux ! Toi !— Mais ça ne va pas non, je suis ta mère ça ne se fait pas !!!— Et moi je peux sortir de la cuisine et raconter à papa comment ses amis s’occupent de sa femme !Ne sachant plus quoi dire, elle reste debout devant moi les bras ballants comme KO. La voir dans cet état m’excite, je décide d’enfoncer le clou :— Ce soir tu vas faire l’amour à ton mari, tu vas laisser la porte ouverte pour que je te voie sinon je balance tout, et mets-y tout ton cœur, maman !Sur ce je retourne dans le salon regarder la télé au côté de mon père qui ne sait pas ce qui l’attend ce soir.Ma mère en passant devant nous encore sonnée par mes révélations, nous dit qu’elle va se coucher et invite mon père à ne pas trop tarder. Il acquiesce, j’espère qu’elle va faire ce que je lui ai ordonné, rien que le fait qu’elle ne m’ait pas giflé me laisse penser qu’elle va accepter.Quelques minutes plus tard, mon père la suit, je lui laisse un peu d’avance avant de monter, dans le noir, à l’étage. La lumière de la chambre de mes parents est ouverte, porte n’est pas fermée, je m’approche doucement. A l’intérieur je vois mes parents allongés sur le lit.Une nuisette mauve pour unique vêtement, ma cochonne de mère s’approche de mon père et lui caresse le torse.— Mais qu’est-ce que tu fais ? Lui dit-il— J’ai envie de te remercier pour la voiture ! Tu n’as pas envie ? Répond-elle— Si bien sûr !— Alors laisse-toi faire !Elle continue à ses caresses, sa main descend sous les draps qu’elle rejette au pied du lit.D’où je suis, je peux voir la main de ma mère sortir le sexe de mon père de son pyjama, elle le branle tout en lui embrassant le corps, lui fait jaillir les seins de la nuisette pour les essayer de les prendre dans sa bouche. Un peu maladroit il les attrape et tète les mamelles comme un petit veau.Levant la tête en direction la porte, elle regarde si elle me voit, je me déplace un peu, elle m’aperçoit !Baissant la tête elle prend la bite de mon père dans sa bouche et commence à le sucer, elle sait que je la regarde. Elle s’interrompt pour changer de position, face à moi elle s’assoit sur sa queue qui me semble beaucoup moins grosse et épaisse que celles qui l’ont remplie dans l’après-midi et moins longue que la mienne ! Pas étonnant qu’elle cherche ailleurs.Elle commence des va-et-vient réguliers qui font disparaitre la bite de son mari dans le sexe qui m’a vu naitre. Ses seins se soulèvent en cadence, elle les prend dans ses mains et en caresse les bouts bandés son regard fixé sur la porte.Mon père jouit rapidement dans sa chatte, la laissant insatisfaite. Elle se rallonge à ses côtés, il s’endort comme une masse. Je pousse un peu la porte, elle me regarde, ouvre les cuisses et commence à se branler, son sexe dégouline du foutre de son mari.Je sors ma bite et me branle sur le pas de la porte. Décalottant mon gland le plus loin possible pour faire gonfler au maximum ma queue je lui montre que moi aussi je suis mieux monté que mon père et que je peux la faire reluire.Nous jouissons en même temps, elle à côté de mon père endormi et moi dans ma main que je tends vers elle comme une offrande.Vivement demain !
