Depuis que j’ai léché le foutre de Farid sur les seins de ma mère, nous sommes devenus plus que complice.Elle continue de voir ses amants, je l’accompagne quelques fois pour que ces sorties tardives n’éveillent pas les soupçons de mon père. J’essaye de m’arranger pour la mater le plus possible en pleine action. Quand j’y arrive, je me branle en regardant ma génitrice se faire pilonner par des hommes de tous âges plus ou moins bien montés mais toujours vaillants ; quand je ne peux pas la voir je lui demande de me raconter. Elle me raconte ses « exploits » dans la voiture en me caressant avant de rentrer retrouver son mari, mon père !J’ai de la chance d’avoir une mère aussi salope, aussi je n’ai pas été très surpris lorsqu’elle m’a proposé de l’accompagner se faire masser.- Accompagne-moi, je suis sûr que tu vas apprécier et en plus tu vas être surpris !- Tu vas toujours dans le salon de la mère de Mathieu ?- Oui justement ça va te plaire !Mathieu est un de mes copains d’école, un de ceux qui fantasme sur ma mère, d’ailleurs il m’a déjà confié que de la voir allongée en maillot de bain dans mon jardin lui avait donné des envies. Il a eu l’air un peu gêné quand je lui ai demandé s’il avait bien joui en s’imaginant entrain de la baiser,mais il m’a répondu quand même qu’il n’était pas le seul de la bande à penser ça et qu’il en parlait souvent avec les autres.La mère de Mathieu, petite boulotte blonde aux cheveux frisés, tient un petit salon d’esthétique : massage, épilation, soins etc. …, ma mère s’y rend régulièrement pour j’imagine « décompresser » et rester toujours au top pour ses amants !Donc en ce début d’après-midi de septembre, nous nous rendons au salon.- Arrange-toi pour regarder ce qui va se passer, je sais que tu aimes ça, je te ferais signe de venir quand cela sera bon ! me dit ma mère- Qu’est-ce que tu as prévu ?- Tu vas bien voir, mais ne te caresse pas trop en attendant.Pas le temps d’en dire plus que nous sommes dans le salon. Anne-Marie, la mère de Mathieu nous accueille. Sa blouse rose est tendue à craquer, il faut dire qu’à tous niveaux elle est bien pourvue, des seins jusqu’aux fesses on dirait que tout veut sortir, quitte à faire exploser le tissu léger.- Bonjour, tu es venu avec ton fils ! Il va devoir t’attendre un peu, on en a pour un petit bout de temps !- Ne t’inquiète pas il a l’habitude d’attendre ! N’est-ce pas ?Je réponds qu’il n’y a pas soucis et je vais m’assoir tranquillement en attendant la suite.Les deux femmes s’éloignent et passent dans une cabine, j’attends, il n’y a pas l’air d’avoir d’autres clients pour l’instant. Je me dis que, connaissant ma mère, un de ses amants va surement arriver et la rejoindre dans la cabine mais au bout de plusieurs minutes, rien, personne n’arrive.Au bout d’un moment, je décide d’aller discrètement voir ce qui se passe dans la cabine où se trouvent ma mère et celle de mon copain. Je pousse un peu la porte, sans bruit, ma mère est allongée nue sur le ventre une serviette sur les fesses. Anne-Marie masse les épaules huilées, ses mains descendent lentement sur le dos de maman. Les seins d’Anne-Marie ballotent doucement. L’esthéticienne se déplace, elle demande à ma mère de se retourner, se faisant elle en profite pour déboutonner deux boutons de sa blouse. Ma mère en s’exécutant regarde vers la porte, elle sourit quand elle m’aperçoit et se rallonge.Anne-Marie, toute à son affaire, étale un peu d’huile sur les seins de ma mère et commence à les masser, doucement d’abord puis avec un peu plus de fermeté.Ma mère pousse un petit gémissement quand sa masseuse pince les aréoles dressées, la petite serviette cachant son sexe glisse rapidement à terre. Anne-Marie se recule et finit de déboutonner sa blouse rose, ses seins énormes jaillissent et retrouvent la liberté. Elle se rapproche et reprend son massage. Ses seins contre le corps de ma mère, elle caresse maintenant plus qu’elle ne masse les cuisses de sa cliente, cuisses qui s’écartent lentement sous les mains expertes de la mère de Mathieu !Ce que je vois m’excite et m’interpelle, non seulement ma mère est une salope mais celle de mon copain aussi ! Est-ce que toutes les mères sont comme ça ?En attendant une hypothétique réponse, je continue de mater. L’esthéticienne, devant ma mère les cuisses largement écartées, masse le sexe de ses doigts agiles et huilés. Je pousse un peu plus la porte, ma mère relève la tête et me fait signe que ça n’est pas encore le moment d’entrer, n’y tenant plus je sors mon sexe et commence à me branler.J’ai déjà vu ma génitrice avec des hommes mais là, se faire caresser par une femme qui en plus est la mère d’un de mes amis d’enfance je n’en peux plus.La tête d’Anne-Marie a pris la place de ses doigts maintenant, elle lèche sa cliente qui n’en peut plus et me fait signe d’entrer, ce que je fais sans me faire prier.Je me place derrière Anne-Marie et lève la blouse découvrant son gros cul blanc, elle relève la tête brusquement.- Mais qu’est ce qui se passe, qu’est-ce que tu fais ! dit-elle en s’adressant à moi- Et vous qu’est que vous faites toutes les deux ?Voyant mon sexe dressé elle dit :- Tu ne vas pas faire ça devant ta mère ?- Mais oui il va le faire et toi tu vas continuer à me lécher, tu ne vas pas me laisser dans cet état-là ! lui répond ma mère.L’esthéticienne interloquée un moment remet sa tête entre les cuisses mouillées de ma mère pendant que je la prends en levrette. Je m’enfonce en elle sans ménagement, je n’aurais jamais pensé qu’un jour je serais dans cette situation.Je n’ai même plus besoin de bouger, Anne-Marie est déchainée, c’est elle qui donne le rythme maintenant, mon sexe sort et disparais entre ses deux gros hémisphères qui rougissent au fur et à mesure des aller et retour. Ses coups de langues font jouir ma mère, je ne peux plus me retenir, je jouis à mon tour dans la chatte trempée de l’esthéticienne.La surprise passée, Anne-Marie nous donne rendez-vous pour bientôt. Je serais à l’heure ce jour-là à n’en pas douter !
