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La cul-poncture

Chapitre 1

Erotique
LA CUL-PONCTURE


Ma femme et moi visitions pour trois semaines le Laos et la Birmanie, pays merveilleux avec des paysages époustouflants et un accueil charmant des villages traversés.Lors de la visite de la pagode de Shwezigan, au royaume de Pagan, notre guide nous proposa de nous faire masser.Devant les réticences de mon épouse, il nous vanta les bienfaits de ces massages traditionnels et rassura celle-ci en disant que nous pouvions parfaitement être massés ensemble si elle craignait d’être seule.
Nous nous laissâmes tenter et le guide nous conduisit au village de Tangbi dans une petite maison au toit de feuilles de palmiers où nous fûmes accueillis par une charmante jeune birmane qui nous fit entrer et nous offrit un thé local délicieux.
Elle nous expliqua dans un anglais approximatif que le massage proposé combinait de l’acupuncture traditionnelle et des manipulations manuelles avec des huiles chaudes. Elle nous invita à prendre une douche puis à nous allonger côte à côte sur le ventre sur un matelas très doux composé de ballots de coton recouvert de feuilles odorantes.
Elle alluma deux encensoirs qui rapidement diffusèrent de suaves senteurs dans la petite pièce aux fenêtres closes et je crus percevoir une odeur de feuilles de coca dont la région était grande productrice.
La masseuse se retira de la pièce pendant que ma femme et moi sombrions tout doucement dans une relaxation béate et embrumée.Elle revint quelques minutes plus tard avec un petit plateau dans lequel se trouvaient de fines aiguilles baignant dans une solution, pour leur désinfection pensai-je.Très doucement, elle nous planta les aiguilles sur tout le corps, en commençant par les mains et les épaules, puis le long de la colonne vertébrale en finissant par la plante des pieds.
Je sentais progressivement un grand bien-être m’envahir et en tournant la tête, je voyais ma femme partir dans des rêves cotonneux.La masseuse commença alors à tourner les aiguilles qu’elle avait plantées, ce qui provoquait de véritables décharges électriques qui remontaient dans tout le corps pour atteindre le cerveau où elles explosaient en feu d’artifice.J’avais l’impression de baigner dans un océan de béatitude, alors que mon pénis prenait une érection phénoménale.
Avec l’aide d’une assistante, on nous retourna sur le dos et je pus me rendre compte que nos deux masseuses étaient à présent nues.Elles se ressemblaient beaucoup, menues, mais avec des proportions parfaites, des seins lourds, mais bien accrochés et des chattes épilées ressemblant à deux abricots bien mûrs et appétissants.Je n’osais imaginer la réaction de mon épouse, généralement assez prude, mais à ma grande surprise, je la vis sourire béatement, probablement sous l’effet conjugué des aiguilles plantées dans son corps – et dont j’appris plus tard qu’elles avaient été trempées dans un puissant désinhibiteur – et des vapeurs opiacés qui emplissaient la chambre.
L’une des masseuses noua un bandeau sur les yeux de ma femme et commença à l’enduire d’huile chaude, pendant que l’autre entamait sur moi un body body sensuel.
Je n’en revenais pas de voir ma femme se laisser ainsi faire. Bien plus, elle commençait à geindre doucement et se laissait écarter les cuisses où l’on apercevait sa toison s’humidifier.
Les seins huilés de ma masseuse entouraient à présent mon sexe turgescent, mais à chaque fois que je m’approchais de l’orgasme, elle arrêtait ses caresses et reprenait un massage plus appuyé sur le reste de mon corps.Elle remit quelques boulettes dans l’encensoir et planta de nouvelles aiguilles sur mes tempes, le coin de mes lèvres et les paumes de mes mains.L’effet en fut une paralysie presque complète dont elle profita pour m’attacher les poignets et les chevilles avec des sortes de manchons en bambou.J’étais complètement immobilisé, mais voluptueusement hagard quand je vis la masseuse de mon épouse qui avait été attachée de la même manière, mais jambes largement écartées, se retirer et être remplacée par un homme asiatique en pleine érection.
Son sexe n’était pas très épais, mais extraordinairement long et surmontait un paquet de couilles hors normes. Il dégageait une impression de puissance et de vice avec ses petits yeux bridés qui regardaient ma femme avec concupiscence. Celle-ci, qui avait toujours les yeux bandés, ne se rendit compte de rien quand le masseur commença ses caresses sur l’intérieur de ses cuisses, avant que d’atteindre les lèvres de sa chatte, procurant des gémissements de plus en plus accentués.
Cette situation provoqua en moi un surplus d’excitation, quand je compris que ma femme allait se faire prendre et jouir devant moi.Ma masseuse qui avait recommencé son body-body, empoigna mon sexe et se le planta dans son vagin. Commença alors un extraordinaire massage, sa chatte serrée coulissant sur ma queue tout en étant animée de contractions presque violentes de ses muscles vaginaux.Je sentais que je ne tiendrais pas longtemps et attendais la délivrance. Elle sut cependant me faire patienter, presque douloureusement, en alternant l’excitation et le relâchement de mon enserrement.
A ce moment, je vis l’homme couvrir ma femme de son corps, puis la pénétrer profondément sans qu’elle ne proteste, l’accompagnant au contraire de mouvements de son bassin et prononçant des mots inarticulés.Quelques minutes plus tard, ma masseuse me vida les couilles au tréfonds de son vagin, pendant que je voyais ma femme se faire remplir la chatte par le foutre de son étalon birman.Nos orgasmes respectifs furent fabuleux et même s’ils avaient été séparés, nous avions l’impression d’avoir joui ensemble. Nos masseurs nous détachèrent et nous laissèrent l’un contre l’autre avec encore une envie pressante de copuler.Nous refîmes alors l’amour très doucement et sensuellement en continuant à respirer l’air de la chambre, chargée d’odeur de sexe et d’opium.La sensation de pénétrer la chatte de mon épouse encore pleine du sperme de son amant fut un moment extraordinaire, jamais je n’avais joui comme cela.
Sur la route du retour vers notre hôtel, notre chauffeur qui nous avait attendus nous dit qu’à l’étape du lendemain, il connaissait un salon de massage de même nature. C’est ma femme qui lui répondit : « oui, pourquoi pas, j’ai vraiment aimé aujourd’hui la cul-poncture..."
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