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La culotte de bain

Chapitre 1

Travesti / Trans
Cela fait bientôt six mois que ma fille m’a présenté son nouveau copain.
Comme tous les pères, je suppose, je ne l’aime pas. On dirait qu’elle a fait exprès de choisir l’inverse complet de moi, tant sur le plan intellectuel que sur le plan physique.Je fais 1m95 pour 110 kilos, barbu avec les cheveux poivre et sel. J’ai 50 ans et je suis divorcé depuis 10 ans, sans aucun contact avec la mère de ma fille. Je dirige une entreprise de BTP avec un effectif de 50 mecs.
Lui, il s’appelle Brian, encore des parents fans de série américaine, il est roux avec un catogan, il a 25 ans et fait dans les 1m75 pour 75 kilos. On dirait qu’il est toujours en mode hippie même si c’est fini depuis plus de 50 ans.
Son boulot est étudiant à temps plein dans les sections littéraires. Je n’ai jamais rien compris à ce qu’il faisait, mis à part qu’il poursuit ses études et qu’il n’est pas près de les rattraper !
J’ai la "chance" de les avoir chez moi tous les week-ends à partir du printemps parce que j’habite une villa avec piscine sur un grand terrain ombragé. Pour l’hiver, c’est mon ex-femme qui habite en montagne. Loin de moi de penser que leurs visites sont intéressées !!!
Ma fille Charlotte, c’est une jolie blonde de 25 ans qui poursuit des études de droit international et qui est magnifique, intelligente, sûre d’elle... ma fille quoi. C’est visiblement elle qui dirige leur couple depuis le début et je pense que cela arrange son copain.
Je me suis permis des allusions auprès de ma fille sur la façon dont Brian s’habillait ou se comportait, sa nonchalance m’exaspère. Mais elle trouve cela normal et bien. A mon avis, elle veut me provoquer et cela fonctionne.
Depuis, je fais les mêmes réflexions à lui aussi en direct et il s’en fout. Il me sourit bêtement et acquiesce à mes remarques avec un :
— Vous avez raison, Monsieur.
Ah oui j’oubliais, il me vouvoie et m’appelle Monsieur depuis le début. Pourquoi pas ? Pourtant je lui ai demandé de m’appeler par mon prénom de nombreuses fois.
Tout a commencé en mai, la piscine est en chauffe depuis mi-avril et on peut profiter des journées ensoleillées pour se baigner. Ma fille et son copain passent les quatre jours du week-end de l’ascension chez moi. Travaillant le vendredi, j’ai réussi à rentrer vers 16h pour profiter moi aussi de ma piscine.
J’ai vite mis un short de bain et mon peignoir pour rejoindre ma terrasse. Je prends une bière dans la cuisine et regarde par la baie vitrée. Ma fille est allongée sur le ventre avec une culotte de maillot de bain noir et sans haut, comme à son habitude. A ses côtés, je vois un joli cul dans une culotte de bain rouge sans le haut également, et je pense qu’elle a invité une copine.
Je sors sur la terrasse.
— Salut les filles.— Salut papa.— Bonjour Monsieur.
C’est quoi ce délire, c’est la voix de Brian que je viens d’entendre. Au vu de la tête que je dois faire, ma fille ajoute :
— Il avait oublié son maillot et les tiens sont beaucoup trop grands pour lui, il a pris un des miens dans mes vieilles affaires.
Je suis estomaqué de m’être fait avoir comme cela. Pour me remettre, je m’installe sur un transat avec ma bière avec un regard sur eux. Ils se lèvent tous les deux pour aller se baigner et je les regarde de dos. Ils ont la même silhouette avec une taille fine et un joli cul bombé.
Des épaules fines et de longues jambes finissent de compléter le paysage que j’ai devant moi. En plus, Brian a lâché son éternelle queue-de-cheval, et je vois ses cheveux roux ondulés qui tombent sur ses épaules. On dirait deux femmes côte à côte. Elles sont mignonnes.
Je suis fou de penser cela de ma fille et encore plus d’un mec !
Ils plongent et chahutent dans l’eau pendant que sirote ma bière avec l’esprit qui vagabonde sur mes obligations professionnelles. Au bout d’un quart d’heure, ils sortent de l’eau en me faisant face. Ma fille a de jolis seins 90 B je pense, et lui rien du tout bien sûr.
Elle a la peau mate comme sa mère et lui est blanc laiteux. Je m’aperçois qu’il n’a pas de poil, sans doute la mode actuelle des mecs qui s’épilent. Mon regard descend sur leur entrejambe. Ce sont les mêmes !
Avec l’eau et le froid, les bites se réduisent, mais là, on dirait qu’il n’en a plus. Ma fille ne doit pas grimper aux rideaux souvent avec lui. Puis ils retournent vers leur transat et mon regard s’attarde sur leur cul. Merde, je crois que je bande !
Il faut dire que niveau sexe, je suis à la diète depuis bientôt six mois et des branlettes devant des films pornos ne suffisent plus à calmer ma libido qui reste active pour un vieux. J’essaye de les oublier et je replonge dans mes pensées. La bière, les émotions et ma journée de travail me font vite plonger et je m’endors.
— Papa, papa, on prend l’apéro dehors ?
Je me réveille en sursaut. Ils sont devant moi. Ils ont mis des tee-shirts par-dessus leur maillot.
— Préparez tout, je vous rejoins.
Je m’étire et sors de ma torpeur en les regardant s’affairer pour installer l’apéro sur la table de la terrasse. Elles sont vraiment excitantes !!! Il faut vraiment que j’arrête mon délire, mais ma libido travaille plus vite que mon raisonnement qui devrait me laisser dans la normalité. Je me lève et les rejoins autour de la table.
— Me voilà les "filles"— Arrête papa, c’est pas drôle.— Désolé ma belle, amis en arrivant tous à l’heure j’ai cru que tu avais invité une copine en vous voyant de dos.— Tu vas le mettre mal à l’aise avec tes remarques.— Je dis ce que j’ai vu, c’est tout. Au fait Brian, je ne savais pas que tu avais les cheveux aussi longs.— Je les laisse pousser depuis deux ans, mais je préfère les avoir attachés, c’est plus discret.
Nous commençons à échanger de tout et de rien, nous rions beaucoup autour de nos verres d’alcool et pour la première fois, j’apprécie la compagnie du copain de ma fille. Quelque chose a changé.
— Bon, on mange les "filles"— Putain, tu exagères.— Ça me fait rire et Brian n’a pas l’air offusqué, n’est-ce pas.— Non Monsieur, en effet.— Charlotte, je m’en occupe, reste avec ton père.
Nous commençons à parler de la fin de sa formation et des stages qu’elle va devoir effectuer à l’étranger pour avoir de nombreuses opportunités d’emploi.
— Au fait papa, tu pourrais trouver un boulot à Brian stp.— Je croyais qu’il continuait encore ses études.— Non, il a décidé d’arrêter pour l’instant et de mettre de l’argent de côté.— Mais avec son gabarit, je ne peux pas le faire travailler sur mes chantiers.— Oui, je sais, mais un travail de bureau au siège de ta boîte, ce serait sympa.— Je vais y réfléchir ma belle.— Je dois partir dès demain pour l’Angleterre pour 1 mois.— Et tu me le dis que maintenant.— Je l’ai appris en début de journée quand tu étais au boulot, ce serait sympa qu’il reste ici pour travailler avec toi.— Tu n’as pas l’impression de me le faire à l’envers ma chérie.— Allez mon papa adoré.— OK, je réfléchis ce soir et je te dis demain.
On entend de la vaisselle qui se casse dans la cuisine
— Charlotte, à l’aide.— Laisse ma belle, je vais l’aider.
En arrivant dans la cuisine, je vois quelques assiettes explosées au sol, mais surtout Brian sur la pointe des pieds retenant une pile d’assiettes prête à tomber et son autre main avec deux verres en équilibre instable. Son tee-shirt est remonté sur sa taille et une fesse "mange" la culotte rouge. Je bande direct.
Je m’approche de lui. Je me colle à son dos. Une main sur son ventre et la deuxième qui retient la pile d’assiettes en l’air. Je mets ma bouche au niveau de son oreille.
— J’adore ton cul dans cette culotte de cochonne.— Mais...— Chut salope, je suis certain que tu as aimé la porter sinon tu te serais changé.— Non, vous...— Tais-toi, tu me fais bander, tu sais.— Pardon, vous...
Je lui lâche le ventre.
— C’est bon, lâche la pile d’assiettes, je m’en occupe.
Il me fait face avec un regard perdu.
— On continuera cette conversation plus tard.
Il sort avec les verres
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