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La culotte de bain

Chapitre 3

Travesti / Trans
— Bonjour, ma belle, je suis là dans 1 heure, j’espère que tu seras encore là.
Avec ce message, je serais vite fixé. Soit il est parti comme je l’imagine, soit il est encore là et je sens que je bande plus fort.
Je prends la route pour rentrer chez moi en me posant 1000 questions et surtout qu’est-ce que je dois faire s’il est encore là. Je me demande si ce ne serait pas mieux qu’il soit parti, au moins tout rentrera dans l’ordre. Bercé dans mes réflexions, je ne vois pas la route défiler et je me retrouve chez moi. On dira que le parcours a duré 5 minutes.
J’ouvre le portail et je rentre ma voiture. La sienne est encore là. J’ai une énorme bouffée de chaleur et une érection immédiate. J’essaye de me reprendre en surfant sur mon smartphone. Je tape le mot "travestis" et je commence à regarder des photos. Je suis épaté par leur côté très féminin et je bande encore plus fort.
Il, elle, je ne sais pas sont toujours très sexy avec des bas ou des talons, c’est vraiment très tentant. En lien associé je découvre les shemales et les femboy. J’imagine très bien Brian dans ces tenues et ces positions très sexy.
Je passe sur un site d’histoire que je connais bien, mais je regarde une rubrique jamais explorée, les histoires de travestis. C’est également super bandant de voir ces hommes se transformer en femelle pour le plaisir de leur amant, maître ou mentor. Je me plonge dans les histoires et quand j’arrête je suis garé depuis plus d’une heure avec une énorme gaule.
Il faut vite que je regarde autre chose si je veux sortir de la voiture avec une bite au repos. Je passe sur mes mails pros et très vite je débande. Ouf je peux sortir, mais je suis assez mal à l’aise. Que dois-je faire pour que cela aille plus loin ? Comment va-t-il réagir ? De toutes les façons s’il est resté il se doute que je ne vais pas m’arrêter. Allez je sors de ma voiture avec une idée en tête.
Je vais le provoquer pour le transformer en objet sexuel pour mon plaisir et peut-être le sien, il en a peut-être autant envie que moi. Je vais essayer de prendre un ascendant sur lui pour cela. Je piloterais à vue en fonction de ses réactions.
Je rejoins mon domicile. J’ouvre la porte. Visiblement il m’attend. Il n’est pas aussi sexy qu’hier avec son jogging, son sweat et son catogan. Il a les bras croisés et essaye d’avoir un regard sévère.
— Il faut que nous parlions, Monsieur.— Tu veux parler de quoi ?
Je me rapproche de lui, il recule et se retrouve collé au mur. Je pose mes mains de chaque côté de lui sur le mur. Je le domine d’une tête.
— De... de... ce qu’il s’est passé hier soir.— Pas maintenant ma jolie j’ai d’autre chose à faire.
— Arrêtez de parler de moi comme cela, ça me met mal à l’aise.— Je suis chez moi et je parle comme je veux..... ma belle salope.
Il se libère de la position et commence à partir. Je l’attrape par sa queue-de-cheval. Il s’arrête. Je me colle à lui comme hier soir dans la cuisine. Je me penche à son oreille pour parler tout doucement.
— Tu veux qu’on parle de ce qui s’est passé hier, du fait que tu as joui dans un maillot de bain de fille, du fait que tu es resté, du fait que tu me fais bander, du fait que tu vas devenir ma salope.
Je laisse passer 30 secondes, il ne dit rien, il ne réagit pas. Je lâche ses cheveux, il reste sur place.
— Si tu veux parler de tout cela, je te donne rendez-vous au bord de la piscine à 11h30. On ne parlera que si tu viens ......... en portant......... quelque chose de sexy. Tu as de la chance, Charlotte a laissé ses affaires.
Je lui passe la main sur les fesses pour le pousser en avant. Il s’échappe vers sa chambre. Je pars vers la cuisine pour me faire un bon café et reprendre mes esprits. Le jeu commence.
Je regarde ma montre, il est 10h, j’ai le temps de me détendre en l’attendant. Je me fais un café et je me pose à l’extérieur. Je regarde ma montre toutes les 5 minutes, je suis impatient. Je l’imagine regardant les fringues de ma fille, réfléchissant sur qu’il doit faire ou ne pas faire. Son cerveau doit être en ébullition.
10h50, je me rapproche de la piscine et m’installe face à la baie vitrée de la maison sur un transat. J’ai encore 10 minutes à patienter. Je suis plutôt optimiste, car la voiture est toujours là.
10h58 toujours personne, il finit peut-être sa valise pour partir loin d’ici.
11h00 rien, mon excitation est à son comble.
11h05 mon érection retombe. Tant pis j’aurais au moins des fantasmes pour me branler.
11h07 la baie vitrée s’ouvre, il sort de la maison. Il a les jambes nues et des tongs. Il a un T shirt long rose avec une licorne qui lui arrive à mi-cuisse. Il a les cheveux détachés qui tombent de chaque côté de son visage. Il vient vers moi avec la tête baissée. Hummm je suis satisfait de ce look, il ne me reste qu’à découvrir ce qu’il cache dessous.
Je m’assois sur le transat dans sa direction.
Il s’avance doucement vers moi, il regarde toujours ses pieds. Il s’arrête à 3 mètres de mon transat.
— J’aime ce que je vois ma jolie tu es obéissante.— Merci Monsieur.— Enlève ta robe, je veux voir le reste.
Il retire sa robe et je découvre la culotte de bain noir de Charlotte, celle qu’elle portait hier. Elle remonte haute sur ses cuisses presque jusqu’aux hanches. Il est belle et excitante. En dehors de la culotte, il ne porte rien d’autre.
— Viens jusqu’à moi.
Je tends mon bras vers lui. Il vient jusqu’à la distance de ma main. Je pose délicatement ma main entre ses jambes, je remonte jusqu’aux genoux. Je termine ma progression entre ses cuisses. Il frémit, je sens sous mes doigts la "chair de poule" de sa peau et ses quelques poils qui se hérisse.
— Il faudra enlever tous ces poils ma beauté.— Pardon Monsieur.— Je te veux toute lisse sauf un ticket de métro comme une femelle.— Mais......
Je ne le laisse pas répondre
— Chut, c’est comme cela.
Pendant tout ce temps, mon regard a suivi ma main. Je relève les yeux doucement vers son visage. Pendant la progression de mes yeux, je remarque que sa bite est partiellement dure, mais confinée dans son maillot très serré. Je m’attarde sur ces tétons qui sont tout dur. Et j’arrive enfin à son visage toujours baissé. Je lui prends le menton et le regarde.
— Montre-moi ton cul maintenant.
Il se retourne. Le tissu moule parfaitement son joli cul de femelle et rentre partiellement dans sa raie. C’est trop excitant je ne peux m’empêcher de bander. Je recommence la progression de ma main depuis ses jambes, puis les genoux, les cuisses, mais je remonte encore plus haut pour atteindre sa raie.
Il a un nouveau frisson avec mes deux mains je remonte les côtés sur maillot de bassin sur ses hanches pour que le tissu rentre dans le sillon de ses fesses et que je puisse admirer la peau nue de son cul.
Je pose une main sur chaque lobe charnu et je découvre une peau très douce. Il est imberbe à ce niveau. Je les caresse doucement. Il frissonne encore plus et se cambre vers moi.
Quelle salope, je ne m’attendais pas à ce qu’il se laisse faire comme cela. Dans un moment de lucidité, je réalise que je caresse le cul d’un mec et que j’y prends beaucoup de plaisir.
Je me lève, l’attrape par la taille et le pousse dans l’eau avec moi. Il y a un énorme plouf et nous nous retrouvons dans la piscine. Je suis toujours dans son dos et je le colle à moi. Une main sur son torse et une main sur son cul. Je bande comme un âne. Il doit bien le sentir.
J’avance dans l’eau pour le ramener vers le bord. Il pose ses bras sur la margelle, je le retiens, passe ma main droite dans sa culotte et j’attrape sa petite bite. Elle est toute dure et je la branle doucement. Pendant ce temps la gauche lui malaxe les fesses. Il se cambre à nouveau.
— Descends ta culotte sur tes cuisses.
Il la baisse immédiatement. Il commence à gémir doucement en poussant son cul vers moi. Je me rapproche et me colle à ses fesses. Je continue les va-et-vient sur sa bite et je donne des coups de bassin sur cul, heureusement que ma bite est coincée dans mon boxer. Il râle de plus en plus fort, sa bite se gonfle et son cul me colle.Il va venir et moi aussi. Je lui mordille le cou. Il explose avec dans un cri, je l’accompagne. Nous restons haletants dans cette position plusieurs minutes.Je le lâche. Il se dégage, ne se retourne pas et rejoint l’extrémité de la piscine.
— On mange à 13h, comme ça tu as le temps de te faire belle. Charlotte a laissé sa valise, prends ce que tu veux.
Maintenant il faut que récupère. Je n’ai pas joui aussi fort depuis mon adolescence.Quel pied j’ai pris ! Je suis dingue.
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