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La culotte de bain

Chapitre 7

Travesti / Trans
Sans commentaires, elle ouvre les deux du haut et cela me permet de voir la dentelle de son soutien-gorge. Puis elle s’occupe de ceux du bas. Dès qu’elle a fini, ma main droite s’insère entre ses cuisses. Elle s’enfonce davantage dans son siège. Je me sens bien et détendu. Je bande.
J’appuie sur l’accélérateur et nous voilà partis. Je sens sous ma main ses cuisses se détendre, cela me permet de monter mes doigts plus haut. Elle essaye d’écarter les jambes, mais la robe les bloque.
— Si tu veux que ma main remonte encore, tu vas devoir retirer encore des boutons.— Mais on va voir ma lingerie.— Oui et alors, il n’y a que moi qui la verrai et j’adore cela.
Elle retire 3 autres boutons et je peux amener mes doigts au contact de sa dentelle. Je jette un œil sur la lingerie noire qu’elle porte.
— Jolie vue, tu as mis quoi ?— C’est le body en dentelle que vous m’avez offert.— Tu es très sexy comme cela.— Merci Monsieur.
Elle écarte complètement les jambes et je peux jouer avec sa petite cage où je sens son clito gonfler sous mes caresses. Je bande de plus en plus. Je ne me souvenais pas que je pouvais avec autant d’érection en si peu de temps. A son contact, je rajeunis.
— Regarde l’effet que tu me fais.
Elle me regarde et je lui montre la bosse sous mes vêtements. Elle pose sa main dessus avec un sourire de satisfaction.
— Ne joue pas trop avec sinon je vais jouir.
Elle retire sa main et s’enfonce dans son fauteuil. Elle est complètement détendue.
— On va où ?— Je vais prendre du pain et de quoi manger, tu as envie de quelque chose.— Oui j’ai envie de vous.— Ta chatte va mieux ?— Je ne sais pas, mais ce que vous me faites me donne très envie de sexe.— Si tu es sage en rentrant, je te baise.— Trop gentil, je ne voudrais pas vous forcer.
Elle me dit cela avec un petit sourire coquin super sexy et qui donne envie de lui arracher ses vêtements pour la prendre sur le capot de la voiture tout de suite. Mais je me retiens, j’en profiterais tout à l’heure.
Nous arrivons en ville pour faire nos achats et je me dirige vers le parking à côté des rues piétonnes. Je me gare et coupe le moteur. Je sors et me dirige vers sa porte. J’ai une vue plongeante sur la belle lingerie noire. J’ouvre sa porte.
— Non je vous attends là.— Ne sois pas bête, viens avec moi.— Non j’ai honte.— Mais ne t’inquiète pas, je suis fier que tu m’accompagnes.— Allez, sors de là tous de suite, ne fais pas ta timide.
Je me penche vers elle et lui prends la main, je m’approche de son oreille.
— Remets tes boutons avant de sortir sinon il va y avoir une émeute.
J’attends qu’elle remette deux boutons et avant le dernier, je la tire à l’extérieur de la voiture. Elle redescend sa robe. Je ferme la porte et lui tends la main. Elle la saisit et nos doigts s’entremêlent comme deux jeunes amoureux. Elle marche avec difficultés sur les pavés et doit s’accrocher à moi.
J’adore la sensation d’avoir une jolie femme à mon bras. Je ne savais plus ce que cela faisait. Nous nous dirigeons vers le boulanger.
— Tu as un gâteau préféré ?
En chuchotant, elle me demande une religieuse. En se retrouvant dans la rue et loin de toute autre personne, je l’interpelle.
— Tu peux me parler normalement.— J’ai peur que ma voix soit trop grave.— N’est pas d’inquiétude, depuis 24 heures, tu parles avec une voix douce et sensuelle très sexy.— Ah bon, vous vous moquez de moi.— Non je te jure.
Nous arrivons chez le boucher qui est un ami avec je partage beaucoup d’activités dont surtout la chasse et la pétanque.
— Salut Christian, tu vas bien.— Oui merci et toi ça a l’air d’aller bien, qui est cette charmante personne.— C’est une copine de Charlotte avec qui j’ai beaucoup sympathisé.— Tu me présentes.— Brianna, voici Christian un ami.
Il lui mit une main sur l’épaule et lui claque deux bises sans qu’elle n’ait pu réagir.
— Bonjour belle demoiselle, je suis enchanté.— Bonjour, je suis ravie.— Et je vous sers quoi ?— Donne-nous une côte de bœuf et des steaks s’il te plaît.
Le boucher retourne dans son arrière-boutique et revient avec une magnifique côte. Il doit y avoir à manger pour 10 personnes.
— Elle est beaucoup trop grosse pour nous.— Tu n’auras qu’à la manger en plusieurs fois et inviter des amis pour la manger.— Tu n’aurais pas l’intention de t’incruster dis moi.— Pas du tout, mais te voyant avec l’air si enjoué que je ne voyais plus, je me dis que l’on pourrait refaire des soirées entre potes.— Pourquoi pas, j’en parlerais avec Brianna, nous sommes qu’au début de notre histoire et nous avons besoin d’intimité.— Vous avez aussi besoin de faire la fête, hein ma jolie.
En disant cela, il l’attrape par la taille et la colle à lui
— Heu, oui Monsieur.— Tu vois elle est d’accord.— OK on en reparle, bonne journée à plus tard.— Salut les amoureux.
Nous sortons rapidement de ce traquenard
— Tu vois, il t’a pris pour une jolie femme.— Oui en effet, je stresse moins. Merci de m’avoir obligé.— C’est un plaisir pour moi de t’obliger.
Nous déambulons dans les petites rues et passons devant différents magasins fermés ce dimanche. Je fais exprès de m’arrêter devant les vitrines de vêtement féminin pour connaître ses goûts et ses envies.Nous finissons devant un magasin de lingerie et tous les modèles exposés sont plus jolis les uns que les autres.
— Tu vois des choses qui te plaisent.— Oui beaucoup, j’aime les portes-jarretelles et les guêpières, je trouve cela très féminin et sexy.— Moi aussi nous avons donc bien les mêmes goûts.— Il y a aussi ce corset et ce serre-taille que je trouve hot.— Je vois que tu connais très bien ces dessous, c’est avec Charlotte que tu as appris.— Non pas du tout, elle c’est des culottes toutes simples qu’elle aime porter, cela me frustrait d’ailleurs. Toute la lingerie que je lui ai offerte, elle ne l’a jamais mise.— Ne sois plus frustrée, c’est toi qui les porteras pour moi maintenant.
Je lui prends la main et nous regagnons la voiture. Je lui ouvre la porte, elle prend le temps de s’asseoir comme je lui ai dit, je m’assois et nous démarrons. Je pose ma main sur son genou. Immédiatement, elle retire tous les boutons de sa robe jusqu’à sa taille. Main prend possession de ses cuisses et je les caresse avec délectation. Je bande.
— Regarde ma bite petite cochonne.
Elle pose ses deux mains sur mon érection et fait sortir ma bite à l’air libre. Elle me branle doucement pendant que ma main glisse sous son périnée pour atteindre sa chatte. Je sens quelque chose de dur sous mes doigts.
— Tu portes le rosebud.— Oui Monsieur, pour votre plaisir et le mien.— Tu es vraiment faite pour le sexe ma belle salope.— Oui, je suis faite pour le sexe, vous avez raison.— Enlève ta robe.
Elle fait sauter les derniers boutons pour l’ouvrir complètement sur son body très échancré au niveau de la poitrine et des cuisses.Je joue avec son jouet en le faisant sortir et rentrer en douceur. A chaque intromission, elle pousse un râle de plaisir qui augmente mon érection déjà bien entamée avec sa main qui fait des va-et-vient sur mon sexe.
— Comme tu es bandante.— Je vois cela.
Nous arrivons enfin. J’actionne le portail électrique et gare la voiture. Nous restons de longues minutes à nous caresser doucement. Je la libère de ma main et sors de la voiture. Je retire mon jeans et mon boxer. Je m’approche de sa porte. Je l’ouvre. Elle pose ses deux pieds à l’extérieur en ouvrant très grandes ses cuisses blanches.
Elle pose ses mains sur mon cul et gobe ma bite directement. Que c’est bon, doux et chaud ! Je veux sa chatte. Je pousse sur ses épaules pour retirer sa bouche de mon sexe. Je lui prends les mains et la lève du siège.
Je la retourne pour qu’elle pose ses mains sur la carrosserie. Elle se cambre. Je retire les pressions de son entrejambe pour découvrir ce magnifique cul tendu vers moi.
Je me penche et écarte les deux belles fesses pour voir le rosebud. Je commence à lécher sa raie de l’entrejambe jusqu’au bas du dos en insistant quand je passe sur le jouet. Je continue en faisant entrer et sortir le cône de son fondement. Je continue à lécher.
Enfin, je retire l’objet et le remplace par ma langue. Je n’ai jamais léché qui que ce soit de cette façon. Mais j’y prends goût. Ce parfum unique que je ne connaissais pas augmente mon excitation et j’enfouis mon visage dans sa raie.
Elle ne gémit plus, elle pousse des petits cris de femelle en chaleur. J’abandonne mon jeu de langue et me redresse.
— Tu veux que je te baise.— Oui Monsieur, baisez-moi, je veux sentir votre grosse bite dans ma chatte.— Ecarte tes jambes SALOPE.
Je prends ma bite et la présente devant son orifice. Mon gland est en contact. Je pousse un petit coup, mon gland est gobé par sa chatte. Je rentre le reste de ma bite. Elle râle. Je commence mes va-et-vient tout en douceur, je veux que ça dure le plus longtemps possible.
— Ta chatte m’a avalé entièrement ma jolie.— Je sens bien ta bite en moi, que c’est bon.— Tu as aimé notre balade.— Oui ça m’a excitée.— Je vois tu es toute mouillée, tu as laissé une tache sur le siège de la voiture.— Ouiiiii, je suis désolée, je nettoierais.— Bien sûr, avec ta langue.
Je lui attrape les tétons à travers la dentelle et comme à les caresser.
— Tu bandes des tétons comme une bonne cochonne.— Oui, je suis ta cochonne, encore.
Je lui pince un téton, elle gémit davantage. Je lui pince les deux en même temps, elle pousse un cri.
— Tu as mal.— Oh noooooooooooon, encore.
Je continue à les triturer pour l’entendre crier. Mes va-et-vient dans sa chatte sont de plus en plus forts. Je descends ma main vers son clito encagé pour sentir son excitation. Il est tellement gonflé qu’il va éclater. Je le serre. Elle pousse un cri et jouit dans ma main.
Je continue de la pistonner et lui mets la paume de ma main devant sa bouche
— Lèche cochonne, tu m’en as mis plein la main.
Elle me nettoie la main et très vite elle reprend ses petits cris. Je lui mets une claque sur les fesses.
— Tu en veux encore.— Ouiiiii, encoooore.— Tu veux quoi, dis-moi ce que tu veux ?— Je veux de la bite, je veux du sexe.— Et encore.— Je veux que tu me claques le cul et que tu me pinces les seins.
J’obéis à ses demandes et je m’en prends à ses seins et à son cul. Je sens que je ne vais plus tenir très longtemps.
— Tu es à moi complètement.— Oui Monsieur, je suis à vous.— Et tu m’obéiras tout le temps ma saloooope.
Je jouis dans avec ce mot dans ma bouche.
— Oui, je vous obéirais, je suis votre saloooope.
En même temps que moi et sur le même mot, elle jouit à nouveau. Je la retourne et lui roule une pelle.
— Merci Monsieur.— Merci à toi.
Elle se colle à moi et je la prends dans mes bras
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