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La culpabilité d’Eva.

Chapitre 1

Trash
Eva Girard, 35 ans, cadre supérieur dans une grande entreprise. Femme de caractère, elle avait sous ses ordres tout un service qu’elle menait d’une main ferme. Arriviste, elle n’avait pas hésité à marcher sur certains de ses camarades puis collègues pour arriver à ce poste de Directrice des Ressources Humaines. Elle ne comptait pas ses heures. Faisant partie du comité de direction, souvent, les soirs, elle sortait avec le staff, diner, boire quelques verres. Elle aimait se faire bien voir du board. Eva affichait fièrement sa réussite. De beaux habits, une petite maison en bordure de Paris, déjà payée. Une belle voiture. Elle venait de s’offrir une Porsche. Toujours tirée à 4 épingles, elle affichait encore un corps de rêve, sculptée par des sessions quotidiennes de fitness et par une nourriture diététique et équilibrée.   Elle aimait attirer les regards et attiser la convoitise. Ses seins, entièrement naturels, avaient une très jolie forme de poire avec des petits tétons turgescents. Ses fesses, bodybuildées par les séances de fitness, se révélaient être un atout formidable, rendant le regard des hommes, lubrique. Elle en jouait. Surtout qu’elle était grande. Ses jambes fines, mais galbées par ses muscles, lui permettaient fréquemment de porter des tailleurs bien serrés.   Elle se faisait manucurer toutes les semaines et tous les mois, se rendait chez son coiffeur afin de parfaire sa chevelure brune mi-longue. En un mot, pour Eva, tout allait bien... jusqu’à ce 2 septembre. Putain de vendredi 2 septembre ! Il était tard, elle sortait justement d’un dîner avec le staff du board. Pour décompresser de leur semaine difficile, ils s’étaient mis à boire, plus que de raison. Elle les quitta vers 23h30, prenant le volant avec sa Porsche.   N’ayant qu’une petite trentaine de kilomètres à faire pour rentrer chez elle et ne se sentant absolument pas saoule, elle prit donc la route. Très imbue d’elle-même, il ne pouvait rien lui arriver. Elle roulait, appréciant d’autant plus le caractère sportif de sa voiture. C’est au détour d’un virage, à la sortie d’un village que l’accident se produisit.   Il était minuit 10. La Porsche percuta de plein fouet la petite Peugeot 207 dans laquelle la famille Durand avait pris place. Eux aussi rentaient de soirée. Ils étaient chez des amis. Christian, le mari de Rachel, avait beaucoup bu. De ce fait, c’est Rachel qui conduisait. Lui, se trouvait sur le côté passager. Erica, leur jeune fille de 5 ans, était à l’arrière. La Porsche conduite par Eva Girard percuta la Peugeot au niveau de la portière conducteur, à une vitesse proche de 105 km/h. Rachel Durand fut tuée sur le coup. La petite Erica décéda des suites de l’accident, quelques heures plus tard à l’hôpital. Christian s’en tirait avec un traumatisme crânien et quelques fractures. Enfin, s’en tirait... C’est un bien grand mot ! Toute sa famille était morte dans l’accident. Il était détruit psychologiquement. Eva Girard n’eut que quelques ecchymoses. La majeure partie du choc ayant été absorbée par sa voiture, qui elle était détruite.  
 Au sortir de l’hôpital, Christian Durand porta plainte contre Eva Girard. Ayant pu s’attacher le service d’avocats très haut de gamme, Eva s’en sortit finalement avec une amende de 1500 euros, un retrait de permis de 3 mois. L’accident avait été classé homicide involontaire.   Le verdict de ce procès plongea Christian dans un profond désespoir. Il s’enferma chez lui, ne répondant plus à personne. Une profonde déprime l’envahit. Eva, elle, retourna à son travail, à ses occupations. Cependant, petit à petit, elle revit la soirée dans sa tête, l’alcool bu. Petit à petit, le doute l’envahit... jusqu’à ce qu’elle se sente fautive. Elle alla voir un psy. Rien n’y fit. Plus le temps passait, plus elle se sentait fautive. Petit à petit, elle commençait à tomber dans une espèce de déchéance psychologique. Elle se sentait coupable de la mort de cette famille et cette douleur devenait insupportable.   Un soir, c’était un vendredi, elle se présenta au domicile de Christian Durand. Elle voulait s’excuser, elle voulait lui parler. Elle se présenta à son domicile dès qu’elle sortit du travail. Elle était habillée d’un tailleur chic, serré aux jambes, d’escarpins rouges à hauts talons, d’un chemisier blanc un peu transparent, qui laissait entrevoir une lingerie en dentelle noire. Devant la porte, elle tapa à cette dernière. Aucune réponse. Pourtant, elle savait qu’il y avait quelqu’un, la lumière étant allumée. Puis elle sonna. Toujours pas de réponses. Alors, elle sonna encore et encore. Ce n’est qu’après 10 bonnes minutes que la porte s’entre-ouvrit. Un homme, le regard abattu, la barbe hirsute, en robe de chambre et puant la clope se trouvait devant elle.   — Monsieur Durand, je suis...   Il la coupa net.   — Je sais qui vous êtes. Vous êtes la salope qui a tué ma femme et ma fille !   Elle ne pouvait qu’acquiescer.   — Monsieur Durant, s’il vous plaît. J’aimerais vous parler. J’aimerais m’excuser. Donnez-moi 15 minutes s’il vous plaît. — J’en ai rien à foutre de ce que tu peux raconter. Regarde-toi dans tes fringues de bourge ! Putain, tu me débectes ! — S’il vous plaît, Christian, 10 minutes. Donnez-moi 10 minutes de votre temps. Ensuite, je repartirais. — Vas-y, crache ce que tu as à dire ! — Ne pourrait-on pas rentrer, s’il vous plaît ?   Dépité, il ouvrit la porte en grand, l’invitant à entrer. La maison était dans un bordel phénoménal. Des restes de repas partout dans la cuisine, des tas de vêtements partout sur le sol, une odeur de clope envahissait toute la maison. Des bouteilles d’alcool, presque toutes vides, étaient amoncelées sur la table basse. La télé en fond, sur une chaîne quelconque. Christian ramassa un journal, le roula, et donna un petit coup sur les fesses du berger allemand qui siégeait dans le fauteuil.   — Asseyez-vous là !   Elle regarda avec un certain dédain le fauteuil, couvert de poils de chien, puis s’assit. Lui, s’installa en face d’elle, totalement vautré dans le canapé. Dans sa position avachie, jambes écartées, elle pouvait apercevoir qu’il était nu sous sa robe de chambre. En effet, les testicules et le sexe de Christian pendaient.   — Alors, qu’est-ce que je peux faire pour vous, Madame... je ne sais plus ! Ah si, la salope qui a tué ma femme et ma fille ! — Girard. Eva Girard. Voilà ! Je me sens fautive, je me sens coupable des malheurs qui vous sont arrivés. Je me sens mal de vous avoir fait ça. Je vois un psy, mais cela ne change pas les choses. — Oui, et ? — J’aimerais faire quelque chose pour vous, ce que vous voulez. Je sais que je ne pourrais pas me racheter, mais j’aimerais essayer de vous aider... et de m’aider par la même occasion. — Ouais ! Et tu proposes quoi ? De me racheter une femme et une fille ? De les faire revivre ? — Non, ça, bien sûr, je ne peux pas. Mais je suis prête à faire tout ce que vous souhaitez pour vous aider. Vous voulez de l’argent, j’en ai. Je peux vous trouver un travail. Dites-moi. — J’en sais rien ! Je ne suis pas en état. Laissez-moi, s’il vous plaît. — OK. Je vous laisse ma carte avec mon n° de téléphone personnel. Appelez-moi si vous changez d’avis. Je suis prête à tout pour vous. Pour vous aider. Au revoir.   Elle posa sa carte de visite sur la table basse, se leva et s’en alla. Christian se servit un verre d’alcool, regarda la carte, la reposa et but...   Quelques jours après, Eva reçut un SMS, concis et sibyllin.   Bonjour Madame Girard, Suite à votre venue et notre conversation, j’ai réfléchi. Si vous êtes vraiment prête à TOUT faire pour moi, je suis prêt à vous pardonner. Pour ce faire, il faudra TOUT me donner. RV chez moi, ce soir, pour plus d’explications. Christian Durand.   Elle répondit en retour :   Bonjour Christian, Je serais chez vous, ce soir, à 19h30. Eva Girard.   Eva ne savait trop que penser de cela. Mais rien que le fait qu’il accepte de la pardonner, lui faisait chaud au cœur et la réconfortait. C’est donc le cœur plus léger qu’elle passa la journée.   Sortie du bureau, elle prit son véhicule et s’en alla retrouver Christian. Elle sonna à la porte. Elle n’eut pas à attendre. La porte s’ouvrit illico. Christian était métamorphosé. Lavé, rasé de près, habillé, il la fit entrer.   — Bonjour Madame Girard. — Bonjour Monsieur Durand.   Il la fit s’installer dans le même fauteuil que la fois dernière. La maison était bien plus propre. Il s’installa en face d’elle, toujours dans le canapé. Sam, le berger allemand, se coucha aux pieds de son maître. Il lui demanda si elle voulait boire quelque chose. Elle répondit par l’affirmative en demandant juste un verre d’eau, pétillante si possible. Il la servit et se rassied. Elle démarra la conversation.   — Votre SMS disait que vous seriez prêt à me pardonner si j’étais prête à tout ? — C’est exactement ça, oui. TOUT ! — Que voulez-vous alors, dites-moi ? — Tout ! Tout de vous. — Je ne comprends pas. Qu’entendez-vous par tout de moi ? Tout mon argent ? — J’entends pas tout de vous, tout de vous ! Votre argent, votre patrimoine, votre corps, votre esprit. TOUT ! — Mon patrimoine, mon corps, mon esprit ? — Exactement. Vous m’avez tout pris. Ma femme, ma fille, mon travail. Si vous voulez que je vous pardonne, tout ce que vous avez sera à moi, vous compris !   Eva fut surprise. Elle ne savait que penser. Etait-elle prête à tout abandonner pour se faire pardonner ?   — J’ai besoin de réfléchir à ce que vous me demandez. Je vais rentrer et je vous fais un retour. — Très bien. Sachez cependant que nous sommes mercredi. Mon offre tient 48 heures. Vous avez jusqu’à vendredi soir. Si vous êtes devant ma porte vendredi soir, c’est que vous acceptez, SANS condition, de TOUT me donner. Sinon, tant pis. — C’est noté Monsieur Durand. Au revoir. — Au revoir, Madame.   Eva se leva, sortit, prit son véhicule et rentra chez elle. Elle était pleine de questions, elle ne savait que faire. Une chose était sûre cependant, le fait d’être pardonné lui faisait un bien fou." Quelle décision allait-elle prendre ???   — Chapitre 2 -     Les 48 heures passaient finalement à une vitesse assez folle pour Eva. Elle tournait et retournait la question dans sa tête. Elle acceptait de tout donner, de se donner, pour être enfin soulagée ou elle refusait et se trouvait piégée avec ses angoisses permanentes. Sa culpabilité faisait des ravages dans sa tête. Elle prit sa décision. Vendredi soir, en sortant de son travail, elle n’alla pas boire de verres avec ses collègues. Non, elle prit sa voiture et se rendit chez Christian. Elle acceptait donc le deal. Elle se présenta à son domicile et sonna. Christian lui ouvrit.   — Je ne savais pas du tout quelle serait votre décision. Mais maintenant que vous êtes là, je sais. Entrez !   Elle entra, et s’installa, une fois n’est pas coutume, dans le fauteuil. Christian récupéra sur son bureau quelques feuilles de papier imprimées et un stylo. Il déposa l’ensemble devant elle.   — Je vous laisse signer ces documents. — Je peux les lire avant ? — Si vous êtes là, c’est que vous avez bien conscience que je veux TOUT de vous, et tout, c’est TOUT. Ces papiers sont juste présents pour stipuler noir sur blanc que tout ceci émane de votre propre volonté, qu’un aucun cas vous n’êtes forcée, que tout ceci émane de votre propre initiative. Maintenant, si vous voulez lire, lisez... Mais de toute façon, c’est ça ou rien !!   Elle pensa que si effectivement elle était là, c’est qu’elle avait étudié toutes les possibilités. Elle signa donc le contrat. Christian le récupéra, le contresigna, en fit une copie (qu’il scanna en même temps) et envoya par mail le contrat à son avocat. Puis il se retourna vers elle et lui dit tout en s’asseyant dans le canapé.   — Voilà, c’est fait. Vous êtes entièrement à moi jusqu’à la fin ! — Oui, je sais Monsieur Durand. — Tu peux m’appeler Christian. Cependant, dans tous les cas, n’oublie jamais qu’à partir de maintenant, je suis ton maître et tu es mon esclave.   Esclave. Ce mot résonna comme jamais dans la tête d’Eva. Jamais elle n’avait pensé à ce que le fait de tout lui donner la rendrait esclave. Christian enchérit à nouveau.   — Esclave, soumise. Tu seras tout ce que je te dirai. Ceci étant, tu vas me donner tout de suite tous tes papiers d’identité, tes moyens de paiement.   Elle prit son sac et chercha dedans. Voyant que cela traînait, Christian attrapa le sac et vida son contenu sur la table basse. Il fit le tri de ce dont il avait besoin. Il récupéra aussi son téléphone portable.   — Bien. Maintenant, tu vas écrire. Première lettre, lettre de démission à effet immédiat. Tu dis ce que tu veux, mais tu n’iras plus travailler. Ensuite, tu feras une lettre à ton notaire dans laquelle tu mets ta maison à mon nom. Tu payeras bien évidemment les frais. Ensuite, tu vas me faire procuration totale sur tous tes comptes bancaires. Enfin, tu vas faire effectuer ton changement d’adresse. C’est désormais ici que tu habites. — Habiter ici. Mais je n’ai aucune affaire. ! — On ira chez toi, enfin, dans ma nouvelle maison, récupérer certaines de tes affaires. Tu vas remplacer ma femme, Rachel. Tu t’habilleras comme elle... Quand tu t’habilleras.   Eva ne savait que penser de tout cela. Elle était un peu interloquée. Voyant son air interrogateur et pensif, Christian la rattrapa au vol.   — Je ne te demande pas de penser. Juste d’obéir. Sur ce, lève-toi !   Eva se leva.   — Déshabille-toi !   Eva hésita. Il la rappela à l’ordre.   — Les papiers que tu as signés indiquent qu’à compter de ce jour, tu es une esclave, une soumise, qui a fait ce choix de son plein gré, abandonnant son corps et son âme à son maître, moi !. Donc, à poil !   Eva ôta doucement sa veste de tailleur, puis déboutonna un par un les boutons de son chemisier. Trop lentement pour Christian qui se leva et lui balança une gifle.   — Ça, c’est parce que tu es lente. Puis il déchira en lambeaux le chemisier de la jeune femme, dévoilant une superbe lingerie noire en tulle. Il arracha ensuite la jupe, dévoilant la suite de la lingerie, un tanga noir, toujours en tulle.   Eva pleurait mais restait inerte.   — Arrête de pleurer. Réponds à ma question : qu’est-ce que tu es ? — Je suis votre esclave, Maître Christian. — Bien. Allez, enlève le reste !   Elle dégrafa alors son soutien-gorge qui tomba par terre. Elle tenta de couvrir ses seins, mais fut encore reprise de volée.   — Fais-moi voir tes seins. Je te rappelle que tu es comme ma femme maintenant, soumise et esclave comme elle pouvait l’être.   Eva enleva donc ses mains, laissant paraître ses seins. De jolis seins, en forme de poire, tenant très bien tout seul, sans aucun besoin de soutien, avec de jolis tétons, bien turgescents.   — Voilà. T’as de beaux seins en plus. Je vais bien en profiter. Allez, tombe le bas maintenant !   Eva continua dans sa lancée et fit tomber son tanga, dévoilant son sexe orné d’une toison bien taillée en forme de ticket de métro.   — Ma femme était entièrement épilée. Tu vas donc me faire le plaisir de faire pareil. Demain, je ferai venir une copine, esthéticienne à domicile. Elle s’occupera de toi.   Puis Christian se leva et alla récupérer un carton. Il en sortit une perruque blonde et la lui lança.   — Maintenant, mets ça. Rachel était blonde.   Eva tenta d’enfiler la perruque, mais sa chevelure, brune et épaisse, faisait tomber la perruque. Eva s’y reprit plusieurs fois, avec le même résultat. Ce qui énerva Christian.   — Putain, mais t’es conne ou quoi ? — Elle ne tient pas Christian !   Il se leva et essaya lui aussi de faire tenir la perruque sur sa tête. En vain !   — C’est parce que t’as trop de cheveux dessous. Attends !   Christian s’absenta un instant en cuisine et revint armé d’une paire de gros ciseaux. Eva se sentit effrayée.   — Non, pas ça Christian, s’il vous plaît, pas ça ! — Ta gueule ! Mets-toi à genoux. — Non, s’il vous plaît. Pas ça !   C’est une nouvelle gifle qu’elle reçut dans la joue.   — Je t’ai dit. Tu fermes ta gueule et tu fais ce que je te dis. Rachel était blonde, pas brune. Donc, tu vas porter cette perruque.   Vaincue, elle s’agenouilla. Christian s’empara des mèches brunes d’Eva et les coupa. Sa chevelure tomba en lambeaux... mais sa tête ne ressemblait plus à rien. Il y avait des trous, la coupe était inégale. Bref, du grand n’importe quoi. Cependant, lui était content, car quand il mit la perruque sur la tête d’Eva, elle tenait.   — Ben voilà, là, ça tient !   Eva pleurait...   — T’es bien bonne quand même, surtout en blonde ! Tu m’as donné une DME !   Eva le regarda avec un air interrogatif, ne comprenant le terme DME.   — Une Demi Molle Exploitable. Tu comprends mieux ?   Eva acquiesça du regard.   — Eh ben, t’attends quoi ? lui dit-il en s’asseyant dans le canapé.   Toujours à genoux, elle s’approcha de lui. Arrivée à hauteur de ses jambes, il lui tâta et lui malaxa ses jolis seins, jouant aussi avec ses tétons.   — Je dois dire que tu as de plus beaux seins que Rachel. Chez elle, ça pendait un peu. Toi, ça tient tout seul et c’est bien ferme !   Il déboutonna son pantalon.   — Enlève-moi mon pantalon et mon caleçon. Ensuite, tu viendras dire bonjour à Popol.   Elle s’exécuta, faisant tomber les remparts qui la séparaient de l’inéluctable. Elle découvrit alors un sexe, rasé de près, long et épais. Première bonne surprise de la soirée ! Pas encore complètement bandé, quand elle le prit en main pour le masturber, elle dut employer les 2 mains.   — Ah, ça, Rachel, elle ne s’en plaignait pas. Elle aimait ça même. On verra si tu aimes autant. Allez, fais pas ta timide, et suce-moi !   Eva prit le sexe en bouche. Maintenant qu’il était bien bandé, il prenait tout l’espace de sa cavité buccale. Ses lèvres étaient distendues par le montre de chair. Elle ne pouvait sucer que le gland.  "T’es pas très douée... Rachel, elle, faisait beaucoup mieux. Elle arrivait à me prendre en entier, faisant entièrement disparaître ma bite. Je vais t’apprendre à faire pareil.   Soudain, une sensation de fraîcheur venant de son sexe la fit sursauter. Mais elle ne put se retourner car Christian lui tenait fermement la tête.   — " Ah, mon bon Rex. Tu es là. Tu as vu, on a une nouvelle chienne à la maison... Eh oui, mon chien, tu pourras aussi la prendre, comme avec l’autre."   Eva n’en revenait pas. L’ex-femme de Christian, en plus d’être une soumise, une esclave, pratiquait aussi la zoophilie. Et c’était bien la truffe du chien, puis maintenant sa langue qui lui léchait la chatte. Et aujourd’hui, Eva devenait Rachel... Elle était toujours contrainte de sucer pendant que le chien lui léchait la moule. Sans vraiment le vouloir, cela l’excitait. Beaucoup. Cette langue râpeuse sillonnait ses lèvres. Parfois le chien forçait sa langue un peu plus loin, léchant l’entrée de son vagin et surtout son clitoris. Elle ne le pensait pas, mais être avilie de la sorte, être traitée comme une chienne soumise la faisait mouiller. Elle semblait même y prendre du plaisir, s’essayant à avaler encore plus loin, le gland turgescent de Christian. Ce dernier commençait même à entendre des bruits de plaisir sortant de la bouche d’Eva.   — Bonne petite chienne. Je pense qu’on va bien s’amuser tous les deux. Je te voyais pas comme ça... comme quoi, les apparences sont trompeuses. Tu veux que je demande à Rex d’arrêter ?   Eva fit non de la tête.   — Je m’en doutais. Quand on a goûté à la langue de Rex, on ne peut plus s’en passer. Tu n’imagines même pas quand il va te sauter !   Être une chienne en chaleur, baisée par le chien. Des images ragoûtantes mais oh combien excitantes pour Eva à cet instant. Cependant, elle continuait de sucer, encore et toujours. Christian sentait la sauce monter.   — Oh, bonne chienne, c’est bien. Tu suces bien ton maître. Tu vas avoir droit à ton su-sucre. Surtout, avale bien. N’en laisse pas tomber une goutte !   Christian lui éjacula dans la bouche. Ça faisait des mois qu’il n’avait pas baisé. La quantité de foutre était ahurissante. Il lui remplissait la bouche tant et plus. Eva avala chaque rasade. Cela n’en finissait pas. Quand la source eut été tarie, Christian lui demanda de nettoyer parfaitement sa queue. Ce qu’elle fit. Christian ordonna alors à Rex d’aller se coucher. Eva, elle n’avait pas joui. Puis, il pinça et ses tétons, se relevant et les étirant. Elle ne pouvait que suivre et se relever.   — Ta première séance t’a plu ? — Je n’avais jamais avalé autant de sperme de toute ma vie. Je n’ai jamais été fan de cette pratique, mais j’avoue que là, ce soir, cela ne m’a pas dérangé. — Ca, c’est parce que tu as goûté à la langue de Rex. Et quand tu goûteras à sa bite, tu ne pourras plus t’en passer.   Eva rougit, confuse.   — Tes seins sont trop beaux. Je pense que je ne vais pas les garder ainsi... J’ai envie que tu aies, comme Rachel, des mamelles de chienne. Je vais réfléchir à ça. En attendant, tu peux aller prendre une douche. Tu redescendras nue, chatte rasée et tu resteras nue tout le temps, de toute façon ! Allez, file.   Eva partit dans la salle de bain. Quand elle ôta sa perruque, elle ne put que constater les dégâts. Elle n’avait plus de cheveux. Que des petites touffes éparses... Elle se mit à pleurer et rentra sous la douche, résignée... mais excitée. Elle se doigta...
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