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Curiosités

Chapitre 1

Bisexuel ?

Avec plusieurs hommes
Je suis fébrile, en franchissant l’entrée de l’hôtel. La main de Marine, ma petite amie, serrée dans la mienne, peine à me calmer. Elle semble un peu stressée, mais surtout excitée. Moi, je suis excité, mais surtout stressé.

Couple complice et ouvert à l’expérimentation, nous étions ensemble depuis quelques mois quand est arrivée cette fameuse soirée. Une soirée au calme, avec Charlotte et Cédric, ce couple d’amis proches avec lesquels on peut tout se dire. Les verres s’évaporant au rythme des heures, c’est passablement éméchés que nous commençâmes, plus ou moins sous forme de jeu, à parler de choses intimes… principalement sexuelles, évidemment.Un des joueurs pose une question, les trois autres doivent répondre. Celui qui pose la question est exempté d’y répondre.
— Position préférée ? annonçai-je.— Andromaque, déclara Cédric du tac au tac. J’adore la vue !J’approuvai en silence.— Levrette ! rétorquèrent les filles en même temps, réponse immédiatement suivie d’un petit rire complice. Marine l’explique par les sensations et la profondeur de la pénétration, son amie par son affection pour les fessées.Charlotte a beau ne pas être mon genre, inévitablement une vision d’elle prise dans une levrette endiablée surgit dans mon esprit à cet instant.
— Combien de partenaires différents fréquentés en même temps ? interrogea ma compagne.Une pour moi. Une pour Cédric. Mais le “trois” de Charlotte déclenche des exclamations de surprise, impressionnées et amusées— Coquine ! s’exclame Marine.Dommage, j’aurais bien aimé savoir la réponse de ma chère et tendre. Je soupçonne qu’elle aurait eu une réponse intéressante à nous donner.
Le jeu se poursuit avec des questions de plus en plus intimes, jusqu’à...
— Votre fantasme le plus inavoué ? lança Charlotte.Question difficile, chacun hésitait, réfléchissait à sa réponse. Assez logiquement, le fantasme le plus inavoué est aussi le plus difficile à avouer.
C’est Cédric qui se lança en premier, avouant qu’il avait souvent des fantasmes de soumission et de bondage, parfois agrémentée d’un peu de SM soft, pourquoi pas.— Oh, mais ça peut s’arranger ça, mon chéri ! s’amusa immédiatement sa compagne.
Après quelques nouvelles secondes d’hésitation, sous l’insistance de nos compagnons de soirée, Marine et moi prîmes la parole simultanément. Devant l’inintelligibilité de la réponse, rapidement interrompue, je pris mon courage à deux mains et annonçai d’une voix tout à fait tremblotante:— Sucer un mec.
Après quelques secondes de blanc, seulement commentées par un “Ohhh !” silencieux et appréciateur de Charlotte, et une surprise plus qu’évidente sur le visage de Cédric, c’est mon amour qui rompit le silence:— Ok, j’ai changé d’avis, c’est ÇA mon plus grand fantasme secret !
Après un long moment d’hilarité générale, nous discutâmes longuement de ce sujet pour le moins inhabituel. Bi ? Je n’en sais rien. Je ne me sens généralement pas tellement attiré par les hommes. Mais certaines… possibilités du rapport sexuel avec un homme m’attirent, en revanche. Prendre un homme, ou me faire sucer par un homme, ne m’intéresse pas trop, pour le moment. L’inverse, en revanche… L’acte, de sucer, voire même (et l’excitation fut palpable dans les yeux de ma compagne à ce moment) de me faire prendre par un homme… Oui, la simple pensée de cet acte peut parfois m’exciter au plus haut point !
Si j’avais su à quoi cette discussion allait mener… Marine n’a pas lâché le morceau. Elle a ramené le sujet pendant des jours. Elle était visiblement très intéressée. Elle se rendait aussi bien compte que, même si je l’étais aussi, il s’agissait pour moi de faire sauter un certain nombre de barrières. Avoir une relation sexuelle avec un homme. Le faire sous les yeux de ma copine. Qu’elle puisse également profiter de lui… Évoquer tout cela m’excitait énormément, l’envisager sérieusement était plus difficile.
A force, cependant, j’ai fini par vraiment avoir envie de me lancer moi aussi, et nous avons entamé les recherches. Je ne voulais surtout pas faire ça avec quelqu’un que nous connaissions.Un inconnu.De ce côté-là, la richesse infinie d’Internet a évidemment beaucoup aidé. Nos critères: un homme qui m’accorderait plus d’attention qu’à elle; une taille de sexe moyenne (au cas où je déciderais de passer un certain cap, notamment); peu de pilosité. Et dépistage complet, évidemment !
Nous avons bien sûr essuyé de nombreuses déceptions. Les trop jeunes, les trop vieux, ceux qui n’étaient intéressés que par l’idée de se taper Marine, les moqueurs, les dominateurs machos… La recherche prit plusieurs mois, mais nous finîmes par trouver la perle rare, Théo, un jeune homme en fin de vingtaine, châtain, taille moyenne, “taille” moyenne. Nous nous sommes très rapidement bien entendus avec lui, j’ai tout de suite apprécié sa bienveillance et sa voix douce, rassurante… et le trouvais attirant, au teint pâle de son visage, à la fine musculature qu’on devinait sous ses vêtements. Ma chère et tendre semblait également conquise.

C’est ainsi qu’après une première rencontre brève pour apprendre à se connaître un peu, nous avons fixé un rendez-vous ce dimanche après-midi, dans cet hôtel dans lequel nous découvrons en ce moment même, fébriles, la chambre que nous avons réservée.
Ma chérie se vautre immédiatement sur le grand lit trônant au centre de la pièce, fortement éclairée par le soleil s’invitant à travers les grandes fenêtres. J’en baisse tout de suite les volets, supposant qu’une lumière plus tamisée m’aidera à être plus détendu, ou du moins, sera plus adaptée à l’ambiance recherchée.
Nous avons convenu d’arriver quelques minutes avant notre compagnon, ce qui est censé nous permettre de prendre nos marques avant qu’il nous rejoigne.Mon amour m’aguiche depuis le lit. Elle porte pour l’occasion un rouge à lèvres bordeaux du plus bel effet, qui magnifie superbement son visage rond, encadré d’une longue et épaisse crinière de cheveux bruns ondulés. Elle a ouvert quelques boutons de son chemisier, élargissant du même coup un décolleté déjà fort accueillant pour le regard. Elle me fixe d’un regard brûlant, assise au bord du lit, les jambes croisées, nues sous sa jupe. Elle est irrésistible.
Elle me fait signe de la rejoindre d’un mouvement du doigt, et j’obéis dans l’instant. Je me penche vers elle, un baiser scelle nos lèvres et nos langues pendant de longues secondes. Je résiste à l’envie de déjà commencer à la déshabiller.
— Tu es prêt ? m’interroge-t-elle dans un murmure, en me regardant dans les yeux. J’acquiesce d’un hochement de tête.— Et toi ?
Pour réponse, elle prend ma main et la glisse sous sa jupe. Elle est complètement trempée ! Elle me regarde avec un sourire en coin, en se mordillant la lèvre inférieure. Impossible de lui résister quand elle est comme ça ; je me saisis à nouveau de sa bouche pour un baiser fougueux, tandis que ma main s’invite auprès de ses autres lèvres. Je peux la pénétrer immédiatement de deux doigts sans résistance tant sa cyprine abonde.
Je la caresse ainsi quelques minutes. Elle se garde bien d’en faire autant, elle veut que mon excitation soit au maximum quand…Justement, la porte s’ouvre sur notre invité. D’un bond, elle le rejoint et l’accueille d’un long baiser appuyé. Je peux deviner leurs langues s’effleurer brièvement et une pointe de jalousie perce, me perturbe et m’excite en même temps.Après un instant, elle se rend compte que je n’ai pas bougé et vient me chercher. Je me sens hors de mon corps quand elle m’accompagne doucement vers lui. Nous sommes maintenant tous les trois debout au centre de la pièce, très près l’un de l’autre. Elle m’embrasse. Attire les lèvres de Théo vers les nôtres. Un étrange baiser à trois bouches se forme un instant. Puis elle se retire et ce n’est plus que lui et moi.
À ma surprise, je trouve assez rapidement du plaisir dans ce baiser, un plaisir augmenté en sachant qu’elle nous regarde et que ça l’excite. Nos langues sortent pour se caresser ostensiblement, visiblement, et je trouve une familière félicité dans ce premier baiser. J’ai les yeux fermés mais je peux deviner qu’elle apprécie. Mon partenaire a l’air de réagir positivement également.
Quand je les rouvre, elle s’est installée sur le lit, adossée contre le mur; une de ses mains joue déjà négligemment avec le bas de sa jupe. Elle me laisse prendre les choses en main pour le moment. Je commence alors très vite à déshabiller mon partenaire: il sait ce que je veux et se laisse faire sans protester. Sa chemise tombe rapidement au sol, suivie par mon T-shirt, puis son pantalon. Je constate déjà une belle bosse dans son boxer, notre baiser et la situation ont déjà commencé à faire leur effet. Cela fonctionne sur moi aussi d’ailleurs: je peux me sentir à l’étroit dans mes sous-vêtements, je sens mes poils se hérisser, mes tétons, ma peau devenir plus sensibles.Je me colle à lui, nos torses nus directement en contact cette fois, le baiser se fait plus intense, plus charnel, plus intime. J’ose poser mes mains sur lui, sur son torse, descendre jusqu’à ses fesses pour serrer son bassin contre le mien. Nos érections se pressent l’une contre l’autre, ce contact nous électrise.
Je le pousse doucement vers le lit, il s’y allonge, à côté de Marine. Sa main est remontée plus haut sous sa jupe, elle fixe elle aussi le renflement sous le dernier vêtement de notre invité. Après un instant d’hésitation, je les rejoins sur le lit, me penche au-dessus de lui et entreprends de finir de le dénuder. Sa queue retient un instant le boxer quand je tire dessus, puis jaillit, déjà bien en forme, quand je parviens à l’en débarrasser. Je m’arrête un instant, pour l’observer. Après tout, c’est la première bite en érection, à part la mienne bien sûr, que je peux voir en vrai. Elle semble un peu plus droite que la mienne, le renflement de son gland un peu plus prononcé. J’ai l’impression qu’elle doit être un peu plus grande aussi, mais je n’ai jamais eu le compas dans l’œil. Il faudrait que je l’aie en main pour bien comparer.Je rougis à cette pensée; et en même temps, mes derniers vêtements se font encore un peu plus étroits. Je décide qu’ils me gênent de trop désormais, et m’en débarrasse, sans détacher mon regard de l’objet de mon désir.
— Dépêche-toi, ou j’y vais à ta place ! annonce ma belle avec malice.
Nous sourions. Mais je ne pense plus avoir besoin d’encouragements maintenant : mon envie prime sur mes hésitations.Je m’approche lentement mais sûrement ; monte sur le lit; ma main se pose sur sa cuisse, caresse, monte, droit vers sa cible. Mon pouce la touche en premier, se posant sur la base, glisse jusqu’à ce que la paume de ma main s’y dépose. Elle est chaude. Je la tâte du bout des doigts pendant un moment, j’en apprécie la dureté, les aspérités, les muscles, les veines. Puis je la prends véritablement en main, comme je le fais habituellement avec la mienne. J’avais raison: un tout petit peu plus longue, légèrement plus épaisse également.
Je monte lentement le long de cette verge érigée, apprécie la sensation sous mes doigts, puis refais de même en redescendant. Lentement, je me mets à le branler en de lents mouvements amples, soigneux, je ne veux pas lui faire mal. Je ne serre pas trop fort, je n’accélère pas, je veux que ça dure. Cela semble lui plaire, il me caresse la main qui s’affaire sur lui.Je dépose maladroitement mais très prudemment les doigts de mon autre main sur ses bourses, commence très doucement à les malaxer, je vois que je ne lui ai pas fait mal et me rassure.
Mes caresses durent ainsi plusieurs minutes, jusqu’au moment où je ne résiste plus à l’envie d’assouvir mon fantasme. Après un regard complice du coin de l’œil à mon amour - désormais un sein sorti, la jupe entièrement relevée sur les hanches, deux doigts plantés dans sa belle chatte - j’approche au plus près mon visage de la verge gonflée. J’en sens au plus près l’odeur, pas très forte mais entêtante. Je dépose mes lèvres dessus, l’embrasse, en apprécie la douceur et la chaleur. Puis sans crier gare, j’ouvre grand la bouche et la gobe le plus loin possible.
Mes lèvres l’enserrent complètement, j’en sens la raideur sous elles. Je sens le sang de sa grosse veine pulser doucement sous ma langue. J’adore cette sensation, je me sens brûlant d’excitation, mon sexe prêt à exploser tant il est dur. Sans bouger la tête, je balade ma langue partout où elle peut passer, afin d’enduire au mieux de ma salive le vît qui m’emplit la bouche. De petits gémissements commencent déjà à échapper à mes deux partenaires, Théo sous mes caresses, Marine sous sa propre masturbation. C’est donc ravi de donner, directement et indirectement, du plaisir à deux personnes que je commence lentement à parcourir la hampe de haut en bas, à lécher, à sucer le pieu qui me pénètre la bouche.
Je ne bouge pas mon autre main pour le moment pour ne pas mettre au supplice trop vite mon amant, elle fait seulement office de butoir pour éviter à son gland de percuter ma glotte, car je crains un peu cette éventualité. Mon autre main a lâché sa prise sur ses bourses et s’affaire maintenant doucement sur mon propre sexe: je n’y tenais plus.Lentement, mes va-et-vient accélèrent. La situation s’impose dans mon esprit: je suis en train de sucer la bite d’un homme, avec envie, passionnément, et j’adore ça. Cette pensée provoque un mélange confus d’émotions: un brin de confusion, d’amusement, submergés de plaisir, de fierté, d’énormément d’excitation.
J’entends le souffle de ma femme s’accélérer, s’intensifier sous l’effet de sa masturbation. Quand je lève les yeux pour la regarder, je reste un instant bouche bée: elle est en train de me filmer ! La perverse !Malgré son plaisir, elle filme de manière très soigneuse, cherche les meilleurs angles depuis sa position, tient bien le téléphone des deux mains… des deux mains ?Je réalise alors que ce n’est pas sa main qui s’affaire à présent entre ses cuisses, mais celle de Théo ! La jalousie me dévore à ce constat, mais semble surtout alimenter mon excitation, et c’est avec un nouvel entrain que je poursuis mon entreprise.
Le traitement dure ainsi plusieurs nouvelles minutes, toujours sans que ma main vienne en renfort. Je sens que je fatigue assez vite en revanche; Marine l’a remarqué également, c’est donc à l’occasion d’une pause pour me détendre la nuque et reprendre mon souffle qu’elle décide de déposer son téléphone pour venir me prêter main forte.Sa main glisse sur la mienne pour venir s’emparer de la verge offerte. Sa bouche reproduit l’approche que la mienne a prise quelques minutes plus tôt, et après quelques baisers, ses lèvres bordeaux enserrent à leur tour la queue tant désirée.
Là encore, la jalousie brûle en moi comme un feu ardent, m’envahit, décuple mon désir, mon envie. Je la trouve plus désirable que jamais, je voudrais lui faire l’amour sur le champ et ne plus jamais arrêter jusqu’à la fin de mes jours. Mais je préfère pour le moment me concentrer sur cette nouvelle expérience que nous avons si ardemment attendue.
Je la laisse exercer son art quelques instants, puis profite d’un moment de respiration pour m’inviter. Je m’empare de ses lèvres, sa bouche sent le sexe, j’adore. J’y plonge ma langue un instant, avant de l’égarer à nouveau sur le pieu dressé entre nous. Elle m’y rejoint, nos lèvres l’enserrent à deux, s’y cherchent et s’y fuient. Chacun à son tour reprend en bouche le veinard; il a l’air aux anges. Ses manifestations vocales se font plus fortes et plus fréquentes, il nous indique sans le dire qu’il est prêt à jouir.
Ma belle me laisse la place pour ce moment, et je donne tout ce que j’ai pour offrir un orgasme digne de ce nom à notre amant. Je suce, pompe, aspire, le plus loin possible, branle avec énergie. Dans une série de spasmes, il explose alors dans ma bouche résolument fermée autour de son sexe. J’apprécie la sensation de sentir ses giclées se répandre avec force sur mon palais, dans mes joues, sur ma langue. J’adore sentir cette queue se contracter brusquement entre mes lèvres à chaque jet de sperme. J’avale rapidement, pas sûr de continuer à aimer si je le garde trop longtemps en bouche.
Notre amant s’effondre, momentanément satisfait. Je garde les dernières gouttes de sa semence en bouche et les partage avec mon amour dans un baiser torride, sa langue me fouille avidement la bouche pour en récupérer le maximum, et nous partageons avec passion ce fluide de plaisir que nous avons obtenu au prix de nos efforts.
J’ai maintenant besoin de m’occuper de mon aimée, un besoin vital, incontrôlable; je veux lui rappeler que je suis à elle, et qu’elle est à moi. Je lui arrache ses vêtements plus que je ne les lui enlève, à l’exception de sa jupe retroussée autour de sa taille: j’adore l’effet que cela produit, elle m’apparaît encore plus torride, allumeuse. Je la couche avec force sur le lit, lui écarte les jambes et me jette sur sa vulve pour la dévorer. Ma langue s’impose partout, s’invite le plus loin possible entre ses lèvres, ressort pour les caresser sur toute la longueur, mes lèvres s’en emparent, les baisent, font l’amour à son clitoris, mes doigts s’insèrent loin en elle, s’y agitent. Elle me tient la tête entre ses mains, me dit qu’elle m’aime, encore et encore, et elle jouit, encore et encore, et je suis le plus heureux des hommes.
Quand elle n’en peut plus - et que ma bouche n’en peut plus non plus, d’ailleurs - je remonte vers elle, elle me prend dans ses bras, m’embrasse avec amour.Ses mains se baladent dans mon dos, viennent me caresser les fesses. J’ai un léger sursaut quand je sens une troisième main les rejoindre. La sensation d’être ainsi caressé, au centre des attentions de deux personnes, est purement exquise. J’en profite pour me détendre un instant, même si je pressens le prochain traitement qui m’est réservé avec appréhension.
En effet, ma chère et tendre s’applique désormais à m’écarter les fesses, avec douceur et un grand sourire aux lèvres, et je sens les doigts de notre invité s’inviter entre elles, déposer un fluide tiède sur mon anus offert. Je contorsionne ma nuque pour regarder ce qui se passe derrière moi: c’est ma compagne qui s’occupe désormais de masser ma rondelle pour la détendre. Notre partenaire, lui, est en train de branler avec ampleur sa belle queue qui a repris de la vigueur, l’enduisant abondamment du même lubrifiant qu’il vient de m’appliquer. Mon cœur s’emballe, mon souffle s’accélère, l’anticipation me fait frissonner, et en même temps redonne une nouvelle vigueur à ma verge qui avant cela s’était brièvement calmée. Mon gland vient alors tout naturellement se glisser contre la vulve encore ouverte et humide de Marine, qui en frétille de plaisir sous moi.
Elle sent mon trouble, elle me couvre de petits baisers, de mots doux, pour me rassurer. Elle fait bien son travail, car je me rends seulement maintenant compte qu’elle a déjà inséré deux doigts en moi. Je me le suis déjà fait plusieurs fois à moi-même, et ne suis donc pas surpris que ce soit passé aussi bien. Une bite de quinze centimètres, en revanche…Justement, la voilà qui se retire pour lui laisser la place. Mon appréhension monte d’un cran, mon anticipation aussi. Elle me demande si je me sens prêt, si je le veux toujours, je réponds par l’affirmative aux deux questions. Elle fait alors un signe approbateur à notre ami, et je sens alors son gros gland se déposer sur mon anus… et pousser, lentement.
Le calibre est bien plus imposant que deux doigts, l’insertion se fait donc à grands renforts de patience. Heureusement, nous avons bien choisi notre partenaire : il est doux, très attentionné, très attentif à mes réactions. J’avais très envie de pratiquer cette pénétration depuis un moment, je réussis donc sans trop de peine à me détendre et à accepter un autre homme en moi; c’est donc quelques instants plus tard que je sens le bassin de Théo buter contre mon fessier. Sa bite est rentrée, toute entière !Il ne bouge plus désormais, il me laisse m’habituer à cette présence intruse. Chaque infime mouvement fait frotter son sexe contre ma prostate, c’est une sensation très étrange et en même temps physiquement excitante. J’aime énormément cette sensation d’être pénétré, d’être rempli. J’en veux plus désormais, je veux me baiser, me faire baiser!
Je commence alors à faire de lents va-et-vient. Je me laisse sentir coulisser l’engin en moi à chaque mouvement, profiter du glissement, surprenant mais agréable. Je sens de petites vagues d’un plaisir nouveau me parcourir le corps à chaque aller, chaque retour, chaque stimulation de ma prostate. Ce faisant, mon sexe, si dur qu’il me fait mal, frotte contre celui de mon amour, toujours allongée contre moi, sous moi. Elle profite un instant du frottement, en me regardant me faire pénétrer ainsi, fascinée; puis elle glisse une de ses mains entre nous et me guide en elle.
Je pousse un gémissement sonore. Enfin ! Je n’ai presque pas pu me soulager depuis le début de nos ébats, et la frustration accumulée par ma verge vient de se libérer en une décharge de plaisir incomparable. Je suis même surpris de ne pas avoir éjaculé sur le champ. J’arrête un instant mes mouvements pour reprendre mes esprits, pour tenir le coup face à cette double stimulation sans pareille. Théo me caresse doucement les fesses, Marine m’embrasse, me murmure des encouragements. “Tu aimes ça mon amour ?”. “Tu es magnifique comme ça !”. “Je t’aime !”.
Je sens Théo se pencher vers nous, dans mon dos, il m’embrasse le cou, les épaules, s’empare à l’occasion des lèvres de ma bien-aimée. Je tourne la tête vers lui, l’embrasse également, maladroitement au vu de notre position. Nos trois langues se rencontrent en chœur. Lorsqu’il se relève, je reprends mes mouvements, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Quand il voit que je me suis bien habitué, c’est lui qui prend l’initiative: s’emparant de mes fesses des deux mains, il se met à imprimer lui-même les mouvements de mon bassin, des mouvements amples, de plus en plus énergiques. Il me baise complètement le cul en de puissants allers-retours, que je reproduis à l’identique dans la chatte de Marine. Comme s’il baisait indirectement ma femme, avec moi comme seul intermédiaire.
Cette pensée, ajoutée à cette divine double stimulation, me fait complètement perdre les pédales, et je ne tiens pas plus de quelques secondes avant de me sentir une éjaculation démentielle traverser mon sexe et remplir celui de mon aimée. Chaque giclée de ma semence m’arrache un cri, me secoue d’un spasme et me fait l’effet d’un nouvel orgasme. Marine ne me quitte pas des yeux pendant tout ce temps, elle ne veut pas rater ce moment.
Épuisé par cet orgasme hors du commun, je m’effondre sur le côté à la seconde où Théo sort de moi et me lâche, et perds un instant conscience. Quand je reviens à moi, à peine quelques minutes plus tard, le visage de mon aimée, sa masse de cheveux en désordre, est près du mien, une expression de tension et de plaisir mêlés sur le visage. Je remarque qu’elle est à quatre pattes, ses seins ballottant sous les coups de boutoir qu’elle subit: mon regard se déplace enfin sur notre amant, en train de la prendre dans une levrette sauvage. Elle me “rassure” d’un regard: sa chatte est toujours mienne. Il est donc en train de l’enculer, comme il m’enculait il y a quelques minutes.
Je l’embrasse, elle, à pleine bouche, l’encourage, lui, à la prendre. Je me glisse sous elle pour lui lécher les seins, prendre ses tétons entre mes lèvres, descends le long de son ventre. Je passe la langue dans la pilosité de son pubis, puis sur son clitoris, encore poisseux de mon sperme. Au-dessus de moi, les couilles de notre homme viennent buter à un rythme soutenu contre sa vulve, et j’observe, fasciné, coulisser son pal dans le petit anneau serré de mon aimée. Il a remarqué ma présence, et ralentit; j’en profite pour happer ses bourses dans ma bouche, les lécher, les malaxer doucement pendant un instant.
Il reprend sa pénétration quelques secondes, mais semble visiblement à bout. Marine et moi nous allongeons alors côte à côte face à lui, en une invitation à laquelle il ne tarde pas à répondre. Quelques mouvements de plus sur sa queue, et le voilà qui déverse sa semence sur nos poitrines. Je l’étale un instant sur ma peau, la fais goûter du bout des doigts à mon amour, qui me rend la pareille, et nous nous serrons l’un contre l’autre, échangeant un baiser glissant et odorant de sperme. Nous invitons Théo à nous rejoindre pour une longue étreinte, après ces merveilleux et torrides ébats.
Un long moment de repos plus tard, nous nous retrouvons tous les trois sous la douche pour nous débarrasser de tous les fluides dont nous nous sommes couverts. Bien sûr, difficile de rester sage dans ces conditions, et c’est ainsi que de simples ablutions deviennent une belle séance de masturbation à trois. Théo est encore une fois à l’honneur, et c’est cette fois à deux que nous venons avaler sa semence à la source.
Il est désormais l’heure de partir pour lui, après quelques baisers chaleureux et la promesse de remettre ça bientôt.Marine et moi gardons la chambre pour la nuit. Nous sommes tous deux ravis de cette expérience, et maintenant plus qu’heureux de nous retrouver seuls, intimes, tous les deux, en amoureux.
Nous commandons à manger.Nous reparlons de ce que nous venons de vivre.Elle monte sur moi pour me faire passionnément l’amour, le plus simplement du monde. Je lui dis que je l’aime. Elle me dit qu’elle m’aime. Nous nous endormons tôt, enlacés, serrés l’un contre l’autre.
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