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Curiosity killed the cat

Chapitre 1

Trash
La vision de Diane m’ouvrant la porte me fait sursauter. J’ai devant moi une jeune femme tout à fait mignonne et désirable dans son pyjama shorty plutôt sexy. Même ses lunettes ne sont pas les mêmes que d’habitude, grandes et en corne, loin des cerclages métalliques qu’elle porte habituellement. Je n’avais même pas remarqué la couleur de ses yeux, bleus, alors que je la côtoie depuis près de vingt ans dans notre copropriété. Lorsque je la croise, c’est toujours avec de longues robes informes, les cheveux tirés, le regard baissé, un côté mormon qui n’a jamais éveillé en moi le moindre regard. Il est vrai qu’elle a été élevée dans un milieu catholique plus que traditionnel surtout depuis le décès de sa maman il y a cinq ans. Alors la voir là, souriante, sexy et très décontractée me décontenance.
Elle me fait entrer avec le couvreur qui m’accompagne. Il vient réparer une fuite dans le toit, sachant que l’appartement est au dernier étage et doit passer par la terrasse aménagée. Diane file s’habiller, tandis que son frère termine de ranger le petit-déjeuner. Lui non plus je n’ai jamais entendu le son de sa voix, mais il est plutôt tendance morbide et gothique, collier de cuir, toujours en noir, boucles d’oreille, le rebelle de la famille à ce que j’ai pu comprendre, qui végète en faculté. Il ne me dit même pas bonjour. Je suis là pour accompagner le couvreur en tant que responsable de l’immeuble. Les deux enfants partent vite, Diane me confiant un jeu de clés pour fermer quand tout sera fini.
Le temps passe et je m’ennuie vite. Poussé par la surprise de la tenue de Diane, je rentre dans sa chambre, juste regarder à quoi elle ressemble. A celle d’une étudiante en Art, remplie de livres, tout bien rangé. Son lit est un lit d’enfant avec des peluches, et un crucifix ! Je décide de ne toucher à rien, mais bon, je regarde quand même dans le tiroir du chevet. Surprise ! Un préservatif ! Cela doit être interdit chez les catholiques cela, non ? Et un drôle d’engin à côté, cela pourrait être un thermomètre, mais avec une grosse bouche, c’est curieux. Cela vibre, je sursaute et le remets bien en place, certain qu’il s’agit d’un sex toy. Je ne suis pas expert du tout.
Stressé, je ressors rapidement pour voir où en est le couvreur. Rien de nouveau. J’en profite pour faire une recherche sur cet instrument que j’ai trouvé. La lecture de la fiche descriptive me donne des frissons d’excitation. Un womanizer, machine vendue pour donner des orgasmes à répétition aux petites filles vicieuses. Diane cache bien son jeu de prude vierge. Evidemment je n’arrive pas à en rester là. Je vais regarder dans sa penderie qui a l’air aussi ennuyeuse que prévu. Les robes longues à motifs de fleurs s’empilent, les sous-vêtements sont à bâiller. Même les pyjamas semblent traditionnels, et je ne trouve pas d’autres shorty. Les plus hauts talons font deux centimètres, rien à se mettre sous la dent.
En haut de l’armoire, je vois plusieurs cartons bien rangés, sans doute les affaires d’hiver. Comme je n’ai rien à faire, je prends la chaise et je monte regarder dedans. Et ce ne sont pas les affaires d’hiver. Mon cœur bat à tout rompre, j’ai super peur. Mais je suis trop curieux. Les cartons contiennent un nombre d’objets et de vêtements incroyables. Et ils n’ont rien à voir avec ceux de la penderie. Des tenues en cuir, en vinyle, des chaussures avec des talons dingues. Je découvre tout un attirail de gadgets que je ne connais pas trop, sinon les godes bien entendu, qui me paraissent bien gros et grands quand même. Dans un autre carton, je trouve corset, petites culottes osées, porte-jarretelles et plein de tenues affriolantes et sexy. C’est vraiment fou ! Les deux faces de Diane. Je suis certain que si j’arrivais à allumer son ordinateur, je trouverais des choses vraiment croustillantes.
Je suis super excité, je prends une de ses culottes en dentelle, et sans même réfléchir, je me caresse le sexe avec. Je jouis très vite, et je me retrouve hyper honteux. Que faire de la culotte souillée ? Je la mets dans ma poche, et rempli de fébrilité, je remets tout en place, en veillant à ce que rien ne paraisse avoir bougé. Je me précipite dans le salon, le cœur battant, me traitant d’idiot fini.
Quand je me calme, je réalise que je n’ai rien fait de bien grave, et que Diane ne se rendra compte de rien. Je reviens dans la chambre l’inspecter, et je me dis que tout est OK. A part la culotte manquante, mais elle doit bien en avoir une dizaine, avant de s’en rendre compte, cela sera compliqué. Mon esprit galope dans tous les sens, je l’imagine dans ces tenues, à genoux, se faisant défoncer ainsi, se faisant fouetter avec la petite canne que j’ai vue. Je bande déjà à nouveau. Heureusement le couvreur a fini, nous pouvons redescendre. J’ai la tête qui tourne, je suis complètement affolé. Je vais la regarder de façon bien différente.
Je mets un message sur son répondeur pour lui dire que j’ai ses clés et qu’il ne devrait plus pleuvoir dans son salon. Elle m’invite à passer à 19 heures ce soir, je n’ai rien de prévu. J’ai jeté la culotte dans une poubelle loin de la maison, après l’avoir rincée.
— Voilà les clés Diane.— Merci beaucoup Jean. Entrez prendre un verre, ne serait-ce que pour vous remercier. Deux mois qu’il pleut dans le salon !— Oui merci. Je ne comprends pas pourquoi ton père ne nous a pas avertis avant ?— Il n’est jamais là, vous savez ? Maintenant il est tout le temps dans notre maison de famille et je suis seule avec Philippe.— Alors n’hésite pas à me contacter quand tu as besoin !— Merci ! Tout le monde vous apprécie dans la copropriété, heureusement que vous êtes là.— Je ne suis pas certain que cela soit le cas de ton père.— C’est vrai, il dit que tu le fais par intérêt et qu’il faut se méfier de toi.— Oui, il a raison, mais ne faisons-nous tous pas tout par intérêt ?
— Et c’est quoi votre intérêt ?— Que tout se passe bien dans la copropriété, que personne ne vienne m’embêter, et qu’il n’y ait pas de tension.— Il n’y a rien d’autre ?— Non, pas vraiment ? Tu penses à quoi ?— La curiosité par exemple ?— La curiosité ? Mais de quoi ?— D’entrer chez les voisins, de voir comment ils vivent, de fouiller dans leurs affaires...
Là je blanchis, Diane dit cela sur le même ton, mais je sens son regard se durcir, ou alors c’est ma culpabilité qui me fait penser cela ?
— Je, je non voyons pourquoi ferais-je cela.— Vous êtes entré dans ma chambre ce matin, je le sais.— Oui j’avoue, répondé-je penaud, c’était pour voir la vue qu’il y avait de ce côté et oui, la curiosité de savoir comment était l’appartement.— Je ne me souviens pas de vous avoir autorisé à rentrer dans ma chambre.— Je, je suis désolé, vraiment.— Vous croyez que les gens dans la copropriété vont réagir comment en apprenant que vous avez fouillé dans mes affaires intimes.— Mais je n’ai pas fouillé dans tes affaires !
Je suis en mode panique totale, j’ai presque envie de pleurer, c’est tellement bête, elle est tellement calme, déterminée).
— Ne bougez pas, ma mère avait une technique bien à elle pour nous faire avouer.

Elle revient de sa chambre avec une règle métallique à bout carré qu’elle pose par terre.
— A genoux sur la règle.— Voyons Diane, je ne suis pas un enfant.— Mais si, vous me mentez et j’ai horreur de cela. Vous vous mettez sur la règle et vous me dites tout, sinon je préviens mon père et toute la copropriété, je crois que vous serez obligé de déménager.

Résigné, je comprends qu’elle a raison. Je m’installe à genoux sur la règle. La souffrance vient vite. Elle m’intime l’ordre de rester bien droit et de ne pas chercher à me soulager et repose ses questions.
— Bien alors qu’avez-vous fait dans ma chambre ?— Comme je te l’ai dit, j’ai regardé par la fenêtre.— Pourquoi avoir ouvert ma table de chevet ?— (Oh mon Dieu !) Je ne sais pas, je suis désolé, je ne voulais pas.— A l’insu de votre plein gré ! rit-elle.— Je, je non bien entendu, je suis tellement désolé, comme je peux faire pour me faire pardonner ?— Vous confesser puis expier, c’est comme cela que cela marche chez nous.— D’accord.— Mais il faut d’abord te confesser et être sincère, je trouve que c’est lent.— Oui tu as raison. Je confesse d’avoir regardé dans ta table de chevet, d’avoir aussi regardé tes tenues tant j’étais surpris de te voir en shorty sexy ce matin.— Et après.— Et après j’ai regardé les cartons que vous avez stockés en haut de ton armoire.— Et qu’as-tu vu dedans ?

A ce moment, Philippe entre dans le salon, il était là depuis le début. Il ne me regarde qu’à peine, ne semble pas étonné de me voir sur la règle et va dans la cuisine préparer le dîner pour eux deux. Je suis humilié, je tremble de souffrance, je n’en peux plus. Je ne me suis pas rendu compte qu’elle est passée au tutoiement et moi au vouvoiement.
— Je répète alors ma question, qu’est-ce que tu as trouvé dedans ?— Des articles sexuels et des vêtements sexy.— Cela t’a excité ?— Oui c’est vrai.— Qu’est-ce que tu as imaginé ?— Que vous aimiez les jeux sm et que vous deviez avoir un partenaire dominant.Elle rit.— Oui, c’est presque cela. Et puis ?— J’ai tout remis en place et je suis parti.— C’est vrai ?— Oui c’est vrai.— D’accord alors si tu n’as plus rien à me dire, je te laisse vingt minutes ainsi, sauf si tu veux bien me dire toute la vérité.— Oui, oui, c’est vrai, j’ai pris une de vos culottes et je me suis masturbé avec !— Eh bien il t’en aura fallu du temps pour tout me dire. Tu peux descendre de la règle, tu vois c’est magique !

Je ne peux pas me relever et c’est à quatre pattes que je me traîne jusqu’au canapé. Je suis profondément humilié, mais aussi honteux. Mais qu’est-ce que je suis allé faire dans cette galère ? J’ai une sexualité simple et épanouie avec quelques amies, et je n’ai jamais demandé plus.
— Bien tu vois toute ta confession a été enregistrée par mon smartphone là. Et je sais que tu as dit la vérité, car il se trouve que la caméra de mon iMac a également tout filmé. Je savais que tu étais un pervers et papa aussi, il avait bien raison de me dire de me méfier.— Mais non, c’est juste un égarement.— Tu vas expliquer cela à qui ? Je me demande même si je ne peux pas porter plainte.— Oh je vous en supplie, je ferai tout ce que vous voudrez.— Tu as intérêt, vraiment. Il se trouve que j’ai déposé une main courante cette après-midi. Tu vois je ne plaisante pas.
Je suis absourdi, pourquoi ai-je donc fait cela. Il aurait simplement fallu que je redescende chez moi en attendant que le couvreur ait fini ! — Maintenant tu as une seule règle, enfin deux. Tu obéis immédiatement quoi que je te demande, et tu ne parles que si je te le demande, est-ce que c’est clair ?— Oui. Vous allez faire quoi ?— Je te l’ai dit, je vais te faire expier. Pour commencer, tu te mets tout de suite intégralement nu, et je ne veux aucun mot de ta part !

C’est idiot, elle m’impressionne. De toute façon, je ne sais pas quoi faire, je suis dans un cauchemar, aussi je me dis que le mieux est de laisser l’orage passer. Une fois sa colère calmée, je pourrais sans doute retourner à ma vie tranquille. Et surtout ne plus m’occuper de la copropriété. Une fois nu, elle m’inspecte, surprise que je sois si peu poilu, et épilé sur le sexe et les fesses. C’est vrai que je n’aime pas les poils et il y a une dizaine d’années, je me suis fait épiler au laser. Un autre bénéfice, c’est que cela rend mon sexe plus gros en apparence. Là il est grave replié.
— Je veux voir à quoi ressemble ton sexe, fais-toi bander. Et tu n’ouvres pas la bouche.

Gêné, je me masturbe doucement. Mon sexe commence vite à réagir, tandis qu’elle va dans sa chambre se changer. Elle en ressort dans une robe de cuir démente, qui la moule et met en valeur sa petite poitrine. Elle a changé ses lunettes, est montée sur des talons aiguilles, et j’ai une autre femme devant moi. A la canne dans sa main, je réalise ma méprise de macho, elle est de ce côté du manche et non de l’autre. La vision achève de m’exciter et mon sexe pointe droit.
— Arrête maintenant. Je dois dire que tu as un très beau sexe. Pour ce que tu vas en faire maintenant ceci dit, cela n’a pas grande importance. Philippe vient voir. Et toi ne t’avise pas à débander.

Son frère rentre dans le salon et vient se mettre à genoux aux pieds de sa sœur ! Mais je suis dans une maison de fous. Je n’ai rien à faire ici. Je dois m’enfuir. Il a les mains posées sur les cuisses écartées, la tête baissée. Diane me demande de regarder la position et de la mémoriser, je vais être souvent ainsi à l’attendre. Elle ordonne alors à Philippe de me faire jouir dans sa bouche.
— Mais je ne suis pas homo !— Tu n’as que deux règles à suivre pour le moment et tu viens d’en enfreindre une. Cela implique une punition, et sache que les punitions, comme me l’a appris ma mère, sont là pour être mémorables. Je te garantis que tu vas t’en souvenir tout le reste de ta vie, déjà que tu dois être puni pour ta curiosité malsaine. Non tu n’es pas homo, et cela je m’en moque. Tu fais ce que je te dis de faire. Est-ce compris ?— Oui.
En fait je suis mort de peur, et je me dis qu’une pipe d’un mec ou d’une femme, c’est pas trop différent.

En fait cela l’est. Ou en tout cas Philippe est un expert. C’est d’une douceur, et d’une délicatesse, je ne peux me retenir de jouir très vite, et lui de m’avaler docilement avant que Diane ne le renvoie à la cuisine.
— Avant que tu n’aies tes deux punitions, sans doute une ce soir et une demain matin, car cela prend du temps, je vais te faire découvrir le plaisir d’être battu. Comme un avant-goût. Penche-toi sur la table du salon, écarte les jambes, je veux que tu t’offres. Tu peux faire du bruit, les voisins sont absents et sinon ils sont habitués. Ah une règle : si tu bouges je recommence à zéro le compte. Là j’ai juste prévu vingt coups pour me chauffer pour le dîner.

Une punition ! Par une gamine qui pourrait être ma fille ? Je voudrais me relever et partir, et je pense à la main courante. C’est curieux, mais je suis certain que c’est ce qu’elle a fait. Comme les enregistrements. Je ne peux pas. Bah je dois pouvoir supporter, vivement ces deux punitions et que je sois tranquille.
Je me trompe du tout au tout. D’abord j’attendais le coup sur les fesses, et il frappe en diagonale mon dos. Ensuite la brûlure est insoutenable. Je n’arrive même pas à crier, ni même à me redresser. J’ai le souffle coupé. Déjà un deuxième puis un troisième coup m’assomment de douleur, je n’arrive qu’à hurler pitié.
— Tu ne bouges pas je t’ai dit. Philippe, va lui mettre un bâillon, je crois qu’il est plus chochotte que toi !

Elle décide de repartir de zéro. J’ai la bouche forcée par une boule énorme qui me dévisse la mâchoire. Les coups reprennent, curieusement j’ai un peu moins mal. Diane prend son temps, frappe plus fort, voyant que je résiste, et cherche à me faire craquer. A dix coups, je me raisonne de ne pas bouger, pour pas que cela recommence. Les brûlures suivantes sont insoutenables, je m’agrippe à la table. Quand enfin le vingtième coup tombe, je flotte dans une torpeur étrange. Je souffre terriblement, mais en même temps je me sens bien. Diane vient caresser mon sexe qui pend au bord de la table et qui réagit immédiatement à ma grande honte.
— Tu es un bon garçon, tu vas voir, je vais faire de toi quelque chose de très bien.

Ces mots me rassurent un peu. Je sens ses doigts sur mon dos, les boursouflures émergent, elle gratte un peu me faisant rugir. Je la regarde de côté, comment ne me suis-je pas rendu compte comme elle est magnifique. Elle a une main sous sa jupe, l’autre me labourant le dos, elle semble se nourrir de mes cris étouffés. Sa jouissance est discrète, elle semble satisfaite et me fait me positionner comme son frère tout à l’heure aux pieds de la table. Il est temps qu’elle dîne.
Philippe dresse rapidement la table juste pour elle et lui apporte un dîner qui sent vraiment très bon. Dans une gamelle, elle met ses déchets et ses restes et la posant à ses pieds et donne l’ordre à Philippe de tout manger. A cet instant, je ne semble pas exister. Bâillonné de toute façon, je ne pourrais rien manger. C’est surtout à boire dont j’ai besoin, mais je n’ai ni le droit ni le pouvoir de m’exprimer, je me dois juste d’attendre. Quelle journée délirante.
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