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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Cyclisme

Chapitre 1

Divers
Le printemps éclatant de soleil m?incitait à sortir, aller respirer l?air pur du renouveau de la nature et profiter du vtt tout neuf que je m?étais offert quelques jours plus tôt. J?avais revêtu la tenue adéquat, casque, maillot et? cycliste en lycra. Après quelques kilomètres je vis , au détour d?un chemin, une jeune personne pédalant en douceur. Une promeneuse, pas une cyclotouriste, dont je me rapprochai en raison de nos vitesses opposées. Si j?avais continué à la même allure je l?aurais vite dépassée? mais un imprévu me fit rester derrière elle. Et ça valait le coup ! Une très légère brise ajoutée à la faible vitesse de la cycliste m?offrit soudain le cadeau d?une vision sublime. Une jupe qui vole au vent et dévoile une affriolante petite culotte moulant une croupe splendide. Une vision bandante? au sens réel du mot car mon ? cycliste ? en lycra ultra moulant ne pouvait pas cacher que je bandais à bloc. C?est à ce moment qu?elle se retourna, me vit et esquissa un sourire en guise de bonjour.
Elle mit pied à terre, j?en fis autant, sans oser toutefois relever le torse, je préférais rester penché, mains au guidon, pour la raison que j?étais vraiment indécent ! En riant elle me demanda si j?étais perdu. Après lui avoir répondu par la négative je lui expliquai ma passion pour le vélo et les longues randonnées que j?effectuais. Dans mon élan verbal je me relevai, les deux pieds au sol. J?entendis alors un rire cristallin plus près de la roucoulade que du rire du sergent !
Je n?eus pas longtemps à attendre pour en avoir l?explication. Pointant un doigt vers la protubérance qui distendais mon cycliste elle me demanda si le vélo était la cause de ce gonflement. Je ne sais si j?ai rougis mais je me sentis plus bête que gêné. Je pris le parti de rire tout en lui expliquant la raison de mon? ? émoi ?. Au lieu de le prendre mal elle rit de plus belle tout en s?étonnant qu?une vision aussi fugitive ait pu provoquer ma visible réaction.
Tout en marchant, chacun avec son vélo à la main, je lui expliquai cette réaction, masculine en général, et la mienne en particulier, ma libido s?alimentant plus d?entrevu, de suggéré, d?aperçu, de transparence que de brutale exposition. La vulve écartelée, m?excite beaucoup moins que la vision ? flash ? d?une petite culotte entrevue sous une jupe, entre deux jolies cuisses. Quant aux ? petits derrières ? je lui avouai mon faible pour ce charme féminin, un charme d?autant plus agréable au regard qu?il est précédé d?une chute de reins prononcée.
Notre conversation se poursuivi sur ce thème comme s?il se fut agi d?une discussion philosophique, le plus sérieusement du monde. De l?émotion masculine nous sommes passés à l?émotion féminine et de sa manifestation. La petite culotte mouillée fut bien entendu au centre du sujet. Le plus naturellement du monde elle m?avoua qu?elle était une ? mouilleuse ? patentée. Me payant d?audace je lui demandai si c?était le cas présentement. A ma grande stupéfaction, avec un naturel étonnant, elle me répondit par l?affirmative, avec un petit sourire à faire fondre un bloc de granit. Je sentis que je pouvais pousser mon avantage. Je lui fis alors observer que ce n?était pas juste, elle pouvait voir ma réaction sexuelle mais je n?avais pas la même chance. Et alors là ce fut une tempête qui traversa ma tête car, prenant sa robe par le bas elle remonta la bordure jusqu?à son menton ce qui me permit de constater qu?elle ne m?avait pas menti : une tache d?humidité étoilait le fond de sa petite culotte, genre Sloggi. En riant je lui fis remarquer que ce n?était pas ainsi que j?allais recouvrer un aspect décent. Répondant à mon rire, le sien, véritable cascade musicale, me démontra qu?elle me suivait sur ce terrain quelque peu scabreux. Ce fut à ce moment que je reçus le plus grand choc lorsqu?elle me répondit : ? on peut arranger ça, non ? ?. Pour toute réponse je posai mes lèvres sur les siennes en un très léger bisou. Elle habitait une fermette arrangée en résidence secondaire, tout près de notre lieu de rencontre et proposa de nous y rendre.
Sur sa proposition j?allai prendre une douche? toujours tendu avant, pendant et après. Je revins dans ce qui était le séjour, elle avait retiré sa robe et déambulait en slip et soutien-gorge. Je pus ainsi mieux admirer ses formes : corps superbe, admirablement proportionné, seins haut perchés, pointes vers le haut, taille fine, fesses admirables, bref, une beauté. Elle me servi un verre d?eau glacée avant de se retirer en disant ? je reviens de suite ?. Drapé dans la serviette de bain j?avais retrouvé une certaine dignité? si l?on peut dire !
Après quelques minutes elle réapparut? entièrement nue. Du coup je fis disparaître la serviette de bain, elle put du même coup constater que j?étais toujours en bonne disposition, toujours au ? garde à vous ?. Elle s?approcha, se colla littéralement à moi, mon sexe durement dressé, coincé entre nos ventres. Sa bouche s?ouvrit à la mienne, mon genou s?insinua entre ses cuisses à la douceur velouté. Je sentis son sexe humide contre ma cuisse, d?autant qu?elle se frottait en mouvements lents en appuyant sa vulve qui glissait le long de ma chair. Sa poitrine aux pointes durcies de désir s?écrasait contre mon torse. Avidement mes mains se promenaient de sa taille à ses fesses souples et fermes à la fois. C?est elle qui souhaita mettre fin à ces délicieux préliminaires, elle n?en pouvait plus, selon son propre aveu.
Un épais tapis nous accueillit. ?tendue sur le sol elle s?ouvrit, son sexe était en partie masqué par une toison brune. Je me plaçai sur elle et commençai à lui faire le ? coup du pinceau ?. Mon sexe fermement tenu en main je badigeonnai son joli minou du haut en bas et de bas en haut. Elle me supplia de la prendre de suite car, selon ses dires, elle n?en pouvait plus, ajoutant qu?après nous prendrions tout notre temps pour nous livrer à des jeux divers autant qu?agréables. D?une poussée lente et régulière je la pénétrai, jusqu?à ce que mon pubis rencontre le sien. Puis je m?immobilisai, j?étais trop excité et j?aurais éjaculé séance tenante si j?avais continué à bouger. De son côté le plaisir montait aussi, ma verge dégoulinait de son abondante cyprine? elle gémit et me supplia d?en finir. Ses jambes me ceinturaient, ses pieds croisés sur mon dos. Dans cette position elle était largement ouverte et m?accueillait de toute sa chair offerte. Ses soupirs se firent plus forts et plus accélérés, peu à peu des petits cris se mêlèrent à ces soupirs dont le rythme augmenta de plus en plus, à l?image de mes coups de reins de plus en plus amples mais aussi de plus en plus forts.
Et tout à coup le bonheur, l?extase, le nirvana. J?attendis les premières manifestations de sa jouissance avant de m?abandonner et c?est parfaitement synchrones que notre plaisir nous submergea, tempête d?un orgasme intense qui nous fit parvenir au fameux septième ciel, sommet du bonheur charnel, et c?est en plusieurs giclées que me répandis en elle. Il nous fallut longtemps avant de reprendre pied et retrouver un souffle normal et des battements de c?ur plus calmes.
Ce qui se passa après un temps de repos mérite d?être raconté, ce fut tout simplement sublime, toute la gamme sexuelle fut passée en revue, de la masturbation au cunilingus, de la fellation à l?anulingus. Ma promenade à vélo se transforma en un week-end de sexe inoubliable. Depuis nous avons un but pour chaque fin de semaine, nous nous aimons, nous baisons, nous branlons et connaissons un bonheur qui va devenir quotidien puisque nous avons décidé de vivre ensemble.
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