- Histoire érotique écrite par Jeanne Hello
- Histoire vraie
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Mon cycliste croisa ses bras derrière la tête et ferma les yeux un instant. Je l’observai avec envie, détaillant longuement son corps étendu sur la couverture. Son torse sec et finement musclé remuait au rythme de sa respiration. Son ventre plat, aux abdominaux saillants, accompagnait le mouvement de ses petits pectoraux. Un fin trait de poils descendait de son nombril à son pubis au milieu duquel trônait sa verge imposante qui pendait sur le côté, surmontant ses bourses légèrement velues. Son gland rougeoyant et luisant sortait de son prépuce épais. Ses jambes de sportif étaient écartées. Sa posture était une véritable invitation à l’amour. Tout son corps m’attirait, comme un aimant sur du métal. Ce type me faisait un effet dingue. Un frisson me parcourut le dos, de l’échine à mon entrejambe en feu.
Il redressa la tête, se sentant observé et me détailla à son tour. Je baissai les yeux sur moi. J’étais encore assise sur le capot de la voiture, les jambes écartées, vêtue de ma simple jupe entièrement retroussée sur ma taille. Je vis alors que de gros traits de semence légèrement blanchâtres zébraient encore mon minou ouvert et cramoisi. En temps normal, j’aurai immédiatement serré les jambes de honte, mais là, face à lui je ne fis rien, le laissant se délecter de cette vision qui lui fit de l’effet car je vis alors son sexe se dresser par à coup.
Je lui souris en regardant sa verge se raidir et j’écartai encore plus les jambes, mine de rien. Il répondit à mon sourire et se redressa sur les coudes. Lorsque sa queue fut à nouveau bien raide, je glissai le long du capot et m’approchai de lui d’une démarche féline. Je fis glisser ma jupe à mes pieds, me retrouvant aussi nue que lui. Je sentis que je me remettais à mouiller en faisant cela. Il continuait de sourire.
J’arrivai au dessus de lui et restai debout, les jambes bien écartées, les mains sur les hanches. Mon regard longea son visage, son cou, son torse, son ventre jusqu’à son sexe turgescent. Je glissai à ses pieds, me mettant à genoux puis à 4 quatre pattes en avançant ainsi entre ses jambes écartées. Je me plaçai au dessus de lui, face à son beau visage, en m’appuyant sur les mains et je déposai un long baiser humide sur ses lèvres. Rapidement, nos langues s’unirent, entamant une danse suave. Son souffle chaud se mêlait au mien. Je sentais son sexe incandescent qui appuyait sur mon entrejambe bien ouvert. Je sortis la langue de sa bouche et démarrai une descente léchée le long de son corps. Démarrant le long de son cou, j’arrivai sur son torse et m’attardai sur ses petits tétons en souriant. Il ferma les yeux tandis que je me dirigeai jusqu’à son nombril en laissant une longue traînée de salive sur sa poitrine. Sa verge rigide se glissa entre mes seins. J’appuyai dessus avec mon torse, la plaquant sur son ventre. Son gland dépassait son nombril. Il avait vraiment un sexe d’une taille plus qu’honorable. J’avais connu plus petit…
Je le saisi entre mes seins et l’enserrai entre mes deux globes de chair blancs. Il poussa un gémissement de plaisir. Son gland rougeoyant était comme un joyau rubicond posé sur mes 2 coussins de velours albâtre. Je lui prodiguai alors une lente "branlette espagnole" qu’il sembla apprécier. Sa queue allait et venait entre mes seins de plus en plus en plus vite. Il remua son bassin afin d’accompagner le mouvement de mon buste et poussa un peu plus afin de faire pénétrer son gland dans ma bouche à chaque montée. Je le laissai faire d’un air ravi, heureuse de lui donner du plaisir. Dans le même temps, je sentis ma chatte s’inonder de désir, dégoulinante d’excitation.
La petite gâterie dura un bon moment, jusqu’à ce qu’il ait le sexe hyper bandé et dégoulinant de liquide séminale. Ma poitrine était trempée et gluante de sucs amoureux jaillissant de son gland gonflé en coulées généreuses.
Il se redressa alors et reprit les choses en main, me faisant reculer. Il se plaça à genoux et, appuyant sur ma tête, il enfourna sa queue dans ma bouche. J’étais ainsi à quatre pattes, le fessier bien ouvert, à sucer mon cycliste. Il agita à nouveau son bassin en serrant son petit cul, baisant littéralement ma bouche. Son gros gland pénétrait ma bouche en va et vient incessants. Je me mis à me caresser, appuyant sur mon clitoris toujours aussi gonflé et humide, jouant avec mes lèvres du bas, triturant l’ourlet brûlant en mouvements rotatifs qui me prodiguaient un bien fou.
Il se retira alors de ma bouche, mais me fit rester dans la même posture. Je continuai à me toucher fébrilement. Il vint se placer derrière moi et, après avoir fermement enserré ma taille, me prit immédiatement en levrette. Il entra en moi comme dans du beurre. Me sentir pénétrée par ce bel inconnu, ce délicieux amant était exquis. Je recommençai à gémir de plaisir.
Il cracha vraisemblablement sur mon anus qui lui faisait face et l’écarta en y plaça ses deux pouces dessus. Il commença alors à les tourner, m’ouvrant le rectum de plus bel. Je ronronnais, sentant le plaisir monter doucement. J’adorai me faire totalement soumettre par cet homme que je ne connaissais pas. Je voulais qu’il fit de moi ce qu’il désirait. J’avais ainsi l’impression de franchir un interdit. A cet instant précis, j’étais totalement à lui et j’aimais ça.
Il sortit sa verge moite de mon minou et la posa de tout son long dans la raie de mes fesses, tout en enfonçant ses pouces dans mon anus. Je posai mon visage sur mes avant-bras en gémissant de plaisir, m’offrant définitivement à lui. La colonne de sa queue rigide et bouillante allait et venait entre mes fesses, longeant pleinement le sourire de ma croupe. Ses pouces fouaillaient maintenant mon anus et s’y perdaient, me dilatant ainsi les parois de bronze. Je bougeais la tête de droite à gauche en criant de plaisir, mordant mon poing. Ma main droite gagna ma chatte en feu instinctivement et commença un mouvement de rotation rapide.
Mon amant sortit alors ses pouces de mon rectum et les remplaça par son gland ardent qui franchit immédiatement l’entrée de ma caverne secrète. Je redressai la tête, le souffle coupé une fraction de seconde tandis que sa grosse bite pénétrait centimètre par centimètre mon antre le plus sacré. Je poussai un long cri rauque, haletante. Il me pénétra lentement jusqu’à la garde. Il était entièrement en moi, sa grosse queue était entièrement dans mon petit cul… Une fois qu’il fut bien au chaud, il y eut alors un bref moment de silence et d’immobilisme. Mon cycliste m’observa une fraction de seconde afin de voir ma réaction. J’étais sans voix. Sa verge était énorme et elle était entrée entièrement en moi. Je la sentais au plus profond de mes entrailles, elle me remplissait, me procurant un sentiment de douleur et de plaisir mélangés. J’étais totalement à sa merci.
Il démarra alors un interminable mouvement de va et vient. Les mouvements de son bassin furent d’abord de petits mouvements souples, puis ils prirent plus d’ampleur. La douleur s’estompa et ne laissa la place qu’à un plaisir grandissant. Je me masturbai de plus en plus vite, perdant la notion de la réalité. Il n’y avait plus que cette grosse bite inconnue et turgescente qui m’enculait, oui c’est bien le terme, qui m’enculait ! Et j’adorais ça !
Il accéléra la cadence, me ramonant le cul de plus en plus en vite - je ne vois pas d’autre mot à ce niveau de baise. Il devait me prendre pour une vraie chienne car je l’aidais à s’enfoncer encore plus profondément et je remuais le popotin afin d’accélérer avec lui. Je l’avoue honteusement, j’étais une vraie chienne à cet instant précis, mais quel pied !
Je devins alors sa chose sexuelle. Je me laissai complètement aller au désir de ce fougueux amant, acceptant tout, anticipant même et il en profita bien. Moi aussi…
Cette sodomie mémorable dura un long moment durant lequel il me malmena amoureusement, allant jusqu’à me tirer la tête en arrière par les cheveux. Le ballet passionné perdura ainsi, puis, sans même sortir de mon cul, il me tira par les épaules en arrière et m’assit sur lui. Je me retrouvais de 4 pattes à allongée côté pile sur son côté face. Ses mains me maintenaient solidement contre lui. Il continua à me sodomiser férocement jusqu’à atteindre une vitesse à la limite de la frénésie. Je ne sentais plus mes fesses. Je peux dire qu’il me défonçait la rondelle, qu’il me trouait la chouette, qu’il me liquéfiait les parois anales… et moi je me masturbais car j’aimais ça.
La jouissance est montée soudainement quand mon amant s’est contracté en hurlant. Il fut pris de tremblements et fut agité de soubresauts brutaux. Il jouit bruyamment en se vidant intégralement dans le fond de mon cul. Je criai à mon tour en me masturbant, sentant la cyprine couler à flot entre mes doigts. Nous avons joui quasiment ensembles, chacun en levant les yeux vers le ciel bleu de la Provence.
Nous sommes ensuite restés un long moment dans cette position. Dos à lui, il gardait ses mains sur ma taille et son pénis était entièrement enfoui dans mon fondement. L’effet de la jouissance passé, j’avais peur qu’il ne se retire de mon anus car je craignais avoir mal.
Il fallu le faire néanmoins et c’est avec un grand dépit que je le sentis se retirer de moi. Sa verge trempée et nettement moins ferme laissa un vide en moi. Un flot de semence chaude coula de mon anus et le relia à son gland par un long fil baveux. Je n’arrivais plus à serrer les fesses ! Nous restâmes ensuite allongés l’un contre l’autre, entièrement nus et épuisés, un long moment.
L’après midi était passé à une vitesse incroyable. Nous nous sommes ensuite rhabillés, échangeant peu de mots finalement. Je le regardai enfiler maladroitement son shorty de cycliste moulant avec un ultime petit sentiment d’envie et de désir. Son petit cul moulé était toujours aussi craquant. Nous étions vidés et heureux.
On s’est séparés aussi vite qu’on s’est rencontré. Il a enfourché son vélo et je l’ai vu disparaître sur le ruban du chemin forestier. Je me suis alors rendue compte que nous n’avions même pas échangé nos coordonnées. Je ne savais rien de lui et il ne savait de moi. C’est peut-être mieux ainsi.
Je ne vous cache pas que je ne désespère pas de le rencontrer à nouveau un jour. Aix en Provence est une petite ville et il n’est pas improbable que nos corps se recroisent sur le Cours Mirabeau où près d’un passage à niveau, pourquoi pas…
Si je le revois un jour et que mon aventure vous a plu, je vous raconterai ça en détail ;)