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Le cygne noir

Chapitre 3

Chapitre 3 : Le château du Cygne Blanc

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Chapitre 3 : Le château du Cygne Blanc

Alors que Svetlana rentrait chez elle, il se produisit une situation inédite dans sa vie : elle fut obligée de sonner pour qu’on lui ouvre. Ayant donné les clés de sa vie en même temps que celles de son appartement à Odile, elle en était réduite à se sentir étrangère chez elle... et peut-être même étrangère à elle-même. Devant sa porte, elle marqua un temps d’arrêt ; une musique semblait venir de son appartement... et... une odeur de cuisine également.
Toc Toc Toc.
Elle entendit Odile s’approcher de la porte.
— Oui ? Qui est-ce ?
Drôle de jeu qui exaspéra une nouvelle fois Svetlana qui savait très bien qu’Odile l’observait par l’œilleton.
— C’est moi...— Tu ressembles à quelqu’un de connu, mais je n’arrive pas bien à te détailler. Peux-tu me montrer quelque chose qui me fera savoir à coup sûr à qui j’ai affaire ?
Svetlana approcha davantage son visage de l’œilleton.
— Ouvrez-moi, s’il vous plaît...— Il n’y a qu’un endroit qui me permette de bien t’identifier, et ce n’est pas ton visage.
Svetlana soupira et se résigna à reculer. Elle regarda à droite et à gauche avant de soulever sa jupe et de révéler son sexe nu sur le pas de sa porte dans le couloir de son immeuble. Elle entendit un petit rire étouffé. La porte s’ouvrit et Svetlana s’empressa d’entrer. A peine arrivée, Odile se jeta à son cou et l’embrassa langoureusement.
— C’est toi, ma chienne chérie ? Je t’attendais avec impatience !— Je... cela sent la cuisine ?
— Évidemment ! J’ai pris la liberté de nous faire à manger. Ta niche est minuscule et dans un état lamentable ; cela n’a pas été facile.— Je suis désolée : je n’ai pas l’habitude de recevoir, et je n’ai pas vraiment eu le temps de préparer votre venue...— Oh... comme tu es mignonne ! Je sais bien.
Svetlana commençait à enlever ses chaussures et sa veste quand Odile saisit l’occasion de lui annoncer les nouvelles règles de la maison :
— Bon ! Alors comme tu le sais, nous allons cohabiter pendant quelques jours. Inutile de te rappeler les enjeux ; tu sembles les avoir à l’esprit. Dorénavant, à la maison, les règles pour toi seront les suivantes : premièrement, tu seras nue en toutes circonstances ; deuxièmement, tu m’appelleras "Maîtresse" ; troisièmement, tu obéiras, comme d’habitude, à TOUT ce que je pourrai te demander. Des questions ?— Aucune, Maîtresse.— Bien ! Tu apprends vite. Débarrasse-toi de ces vêtements, et en vitesse !
La musique qui était jouée était le duo des fleurs de Lakmé. C’était une playlist d’Odile, et Svetlana n’en connaissait pas le nom. Cette ambiance de musique classique reflétait bien l’un des côtés d’Odile. On aurait dit une gamine surexcitée. Pendant qu’elle enlevait ses vêtements, Svetlana prit le temps de la détailler : elle s’était changée. Elle portait maintenant une robe noire très sexy, laissant entrevoir un profond décolleté sans rien d’autre pour habiller ses seins parfaits. De même, sa robe fendue sur le côté laissait voir qu’elle ne portait rien en dessous. Elle arborait une flûte de ce qui semblait être du champagne... et elle semblait d’ailleurs ne pas en être à sa première flûte. C’était une forme de classe décadente, comme sorte de noblesse perverse qui se dégageait d’elle. Svetlana apprenait à mieux percevoir tout cela parce qu’elle arrivait de mieux en mieux à se détacher de sa propre condition.
Elle s’étonnait elle-même d’y arriver aussi vite... elle répugnait néanmoins à ne pouvoir travailler dans les conditions optimales qu’elle connaissait jusque-là, mais forte de savoir que son supplice ne durerait plus que neuf jours, elle avait déjà commencé à s’organiser dans son travail pour traiter les urgences et préparer un planning en conséquence. Tout cela ne serait bientôt qu’un souvenir désagréable... qu’elle s’empresserait d’oublier.
Une fois totalement nue, elle attendit la suite.
— Fais comme chez toi ; le dîner est bientôt prêt.
Svetlana dépassa l’entrée et se figea devant la cuisine : un inconnu était en train d’y préparer à manger. Par instinct, elle cacha son sexe et ses seins et se pencha en avant.
— Allons, allons... pas de pudeur mal placée. Je te présente Carl. Carl, voici Sveti, ma chienne temporaire.
Carl semblait à l’aise et faisait comme si tout était normal.
— Bonsoir, Sveti.— ...— Sveti ? Qu’est-ce qu’on dit ?— Bonsoir... Carl.— Arrête un peu de te cacher ! Va plutôt le remercier pour le repas ! Allez ! A genoux devant lui.
Svetlana s’attendait à ce que son supplice soit dur, mais elle ne le pensait pas aussi difficile ni aussi soudain. Elle obéit néanmoins. Elle se mit à genoux devant Carl.
— Je vous remercie pour le repas, Carl.— Tatata ! Pas de ça entre nous ! Enfin... vous. Parce qu’entre nous, Sveti, tu me vouvoieras toujours, évidemment. Mais je ne vois pas d’objection à ce que vous commenciez les familiarités. Carl travaille pour moi de temps en temps, mais ce soir... il nous fera profiter de ses talents de cordon-bleu gracieusement ! Enfin, presque.
Svetlana voyait venir le choc...
— Je lui ai vendu ton cul, Sveti. Tu t’en doutes. Et quand je parle de ton cul, ce n’est pas qu’une image : il pourra t’enculer, mais aussi user à sa guise de tous tes trous. Comme moi, quoi. Obéis-lui comme à moi.— Maîtresse, ce n’était pas dans notre arrangement...
Odile manqua de s’étouffer en buvant son champagne. Elle traversa la pièce en un éclair et gifla Svetlana froidement.
— Répète-moi un peu ça ?
Svetlana se massa la joue tandis qu’une larme se formait.
— Je ferai ce que vous voudrez, Maîtresse.— Carl, baise la bouche de cette pute ; ça lui apprendra à tourner sa langue sept fois autour d’un gland avant de dire des conneries.
Sans plus d’invitation, Carl sortit son membre imposant qui bandait déjà. Il tomba sous le nez de Svetlana qui le prit en bouche avant d’y être plus formellement invitée.
— Et applique-toi bien. Vu comment tu m’as mangé la chatte, je t’en sais capable. Tu préfères les queues ou les chattes ?— Mmmeemme...— Pour l’amour du ciel, entre dire des conneries au lieu de sucer et sucer au lieu de répondre aux questions, que vais-je pouvoir faire de toi ?— Je préfère les queues, Maîtresse.— Vraiment ? Tu préfères la bite de Carl à ma chatte ? N’étais-je pas bonne ?— ... Si, Maîtresse, mais je suis hétérosexuelle.— Tu es surtout en manque d’imagination. Mais ne t’inquiète pas, tu n’en auras plus besoin désormais. Elle est bonne, Carl ?— Elle est parfaite.— T’es un amour...— Ave Maria, chanté par Maria Callas.
Odile s’approcha de son compagnon et l’embrassa aussi fougueusement qu’elle l’avait fait avec Svetlana. Pendant qu’il lui rendait son baiser, Odile s’amusait à appuyer sur la tête de Svetlana pour en guider les va-et-vient.
— Bon ! Allez, trêve de remerciements pour l’instant : nous aurons tout le loisir de la baiser plus tard. Prenons l’apéro ! Sveti, au pied.
Tous les trois se dirigèrent vers le salon.
— Sveti, tu t’assois par terre et tu bascules en arrière. Je veux que ta tête soit sur le canapé, bouche vers le ciel.
Svetlana s’exécuta.
— Brave fille.
Sans la prévenir, Odile s’assit sur le visage de sa chienne qui laissa échapper un petit cri étouffé de surprise. Svetlana remua la tête pour tenter de dégager un passage afin que son nez puisse trouver de l’air, mais cela ne l’enfonça que davantage contre la vulve d’Odile qui mouillait déjà comme une folle. Finalement, après quelques efforts, elle parvint à faire émerger son nez au niveau du cul d’Odile qui en ronronnait presque de plaisir. La poitrine de Svetlana était cambrée en arrière et laissait une vue imprenable à chacun.
— Donc... Carl, à la nôtre.
Les deux trinquèrent.
— Puis-je vous demander ce qu’elle a fait pour mériter un tel traitement ?— Tu veux dire "qu’a-t-elle fait pour avoir l’honneur de me servir de siège" ? Eh bien figure-toi que cette petite conne travaille pour ma famille et qu’elle s’est permis en l’espace d’une matinée de me snober, me dire à demi-mot que je m’habille comme une pute, et qu’elle avait mieux à faire que de s’occuper de moi.— C’est plutôt mal avisé...— En effet, Carl, c’est putain de mal avisé.
Elle remua ses fesses pour étaler encore un peu mieux sa mouille sur le visage de la pauvre Svetlana.
— Gnossienne n° 1 d’Eric Satie.— Combien de temps sera-t-elle comme ça ? Vous avez dit que c’était temporaire ?— Eh oui... les bonnes choses ont parfois une fin. Sveti sera mienne pendant neuf jours... à moins qu’elle ne refasse des conneries d’ici là. Ce qui n’est pas impossible du tout, connaissant cette petite conne...— Et quels sont vos plans pour ces neuf jours ?— Ah ça, Carl... vois-tu, c’est la grande question. Tant de choses et si peu de temps... Cela ne fait que commencer, mais je dois dire que je tiens déjà beaucoup à elle. Je l’aime bien. Et puis... n’est-ce pas un splendide jouet ?— L’un de vos plus beaux, à n’en pas douter. Raison de plus pour en profiter pleinement.— Je sais, tu as raison : je me laisse emporter ; c’est parce que je savoure le temps présent. Mais tu as raison, je dois nous préparer neuf jours mémorables. Des suggestions ?— Eh bien... je peux déjà remplir le trou de cette soirée.— Je ne doute pas que tu en meurs d’envie... hum... Oh, et après tout, pourquoi pas un petit coup vite fait avant de passer à table ?
Odile se releva et enjoignit Svetlana de se coucher sur le sol. Odile s’agenouilla de chaque côté de sa tête et se rassit une nouvelle fois sur sa bouche, puis elle attrapa les jambes de sa victime et les tira vers elle en les écartant largement.
— C’est le moment de voir si ta bite est plus large que le balai qu’elle a l’habitude d’avoir dans le cul.
Carl s’approcha sans se faire prier et sortit son sexe déjà dur. Il décida de l’humidifier en le glissant entre les lèvres de Svetlana avant de le presser contre son fondement. Odile ressentit une certaine panique œuvrer sous ses fesses, mais ne changea rien, mis à part une petite claque sur le sein gauche pour rappeler Svetlana à l’ordre. Carl s’enfonça doucement, avec une certaine retenue tout d’abord, et commença les va-et-vient. Il en profita pour enfoncer quelques doigts dans la chatte béante où il fut rapidement rejoint par Odile qui fouillait la vulve avec brutalité. Ce petit jeu dura quelques minutes. Odile se frottait comme une femelle en chaleur contre le visage de Svetlana qui se faisait fouiller les orifices sans le moindre respect. Carl déchargea directement dans son rectum. Odile attrapa Svetlana par les cheveux.
— Une bonne chienne, ça nettoie après s’être fait passer dessus. Suce.
Svetlana n’avait pas le temps de réfléchir ni d’opposer une résistance; elle avait abandonné toute forme de rébellion.
— Alors, Sveti ? Une queue ou un balai ?— Je...— Tu ne sais pas ?
Ses idées s’embrouillaient. Svetlana était ailleurs.
— Bon ; eh bien je suppose qu’on doit lui rafraîchir la mémoire. Carl, trouve-lui un balai et passons à table.
Odile et Carl mangeaient face à face joyeusement. Pendant ce temps, Svetlana, sous la table, mangeait dans une écuelle pour chien en ayant littéralement un balai enfoncé dans son anus encore lubrifié par le sperme. Odile tapotait quelques coups dessus lorsqu’elle voulait attirer son attention avant de lui donner un ordre.
Vers le dessert, les deux compagnons décidèrent qu’il était temps d’immortaliser la scène par quelques photos : Svetlana, le visage dans sa gamelle, un balai enfoncé... Svetlana suçant Carl, léchant Odile... Svetlana couverte de sperme lors d’une faciale magistrale... Svetlana avec sa gamelle retournée sur la tête et le mot « pute à sperme » écrit sur le visage.
— Fais bien attention au feutre : il faut que ça s’efface. Je lui ai promis que je ne toucherais pas à son job si elle obéissait.— Pas de souci, ça part à l’eau.
La soirée semblait amusante pour les deux tiers des convives. Ce n’est que vers 2h30 du matin que tous allèrent au lit. Svetlana avait été autorisée à prendre une douche. Cette nuit-là, les trois dormiraient dans le même lit.
Svetlana était fourbue et endolorie à chaque orifice. Sa mâchoire était au supplice, son anus dilaté, son sexe endolori et gonflé, et son amour-propre avait disparu. Elle n’était plus la même et réalisait qu’elle ne la serait sans doute plus jamais. Dans ce lit, qui était jadis le sien, elle réalisa qu’elle avait désormais peur de ceux qui dormaient auprès d’elle ; elle se mit à trembler légèrement. Odile s’en rendit compte, et dans un geste tendre qui tranchait avec la cruauté dont elle était capable, elle caressa doucement les cheveux de Svetlana.
— Chuuuuuuuuuut. Là... tout va bien. Gentille, Sveti...
Étrangement, la caresse et la douceur furent une petite aide. Svetlana ne savait plus que faire ou penser. Elle ne comprenait plus rien. Rien n’avait de sens. La douceur, la douleur, la haine, la compassion... tout s’emmêlait. Dans ce lit, elle ressentit une forme d’intimité partagée... quelque chose de nouveau et d’inédit. Elle se lova entre ses amants et posa sa tête contre la poitrine d’Odile, tant pour jouer le jeu et l’amadouer que pour se rassurer elle-même. Le peu de douceur à sa portée, elle voulait l’attraper comme une bouée de sauvetage.
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