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Dame Erika

Chapitre 9

Voyeur / Exhibition
Chapitre 9 : Le dîner-spectacle – 2ème partie

LIOUBOV

Les troubadours jouent un air inconnu mais agréable à entendre ; c’est Élise qui l’a appris aux ménestrels qui ont réussi à adapter sur leurs instruments d’époque le célèbre morceau de Joe Cocker, « You can leave your hat on » (l’accompagnement musical de la quasi-totalité des strip-teases, mondialement connu mais pas encore écrit à cette époque) ; c’est cette musique qui accompagnera la suite du spectacle, plus compliquée à réaliser mais qui le sera moins grâce au claret.
Le retour des acteurs – qui ne passe pas inaperçu – est accueilli par des cris et un tonnerre d’applaudissements grâce à Dame Erika qui a endossé le rôle de chauffeuse de salle.
Les belles, enroulées dans une immense cape au bras de leur cavalier, font le tour de la salle, remontent sur la scène ; quelques pas de danse, une sorte de valse où les couples tournoient. Entraînées par les garçons, les filles tournent sur elles-mêmes puis, au dernier tour, lancées par les garçons transformés en magiciens qui déroulent leur cape pour laisser apparaître les belles sans la chemise qui a disparu comme par enchantement.
Un foulard noué sur un côté des hanches forme une minijupe transparente ; comme dessous il n’y a rien et qu’elle est fendue jusqu’à la ceinture, elle dévoile largement une partie de la fesse. Un autre foulard aussi transparent que le premier, noué entre les seins, fait office de soutien-gorge. La réaction du public est immédiate : après un nouveau « Waouh ! », c’est une salve d’applaudissements qui encourage la performance.
Dame Erika, le regard coquin et la main baladeuse, souffle à son mari :
— Alors, mon ami, cela vous plaît-il ?
Le regard et les applaudissements du seigneur d’Aquitaine lui suffisent largement. Connaissant la suite, elle est ravie.
Les filles s’attaquent au pantalon des garçons qui ne résiste pas longtemps à cette agression, libérant les cuisses musclée des deux sportifs ; un foulard noué en string de sumo cache leur virilité. Un « Waouh… » féminin envahit la salle de banquet dont la température monte progressivement.
Les plats se succèdent mais le service est lent, alors les acteurs disparaissent en courant vers les cuisines, générant un « Oh… » de déception. Quelques instant après ils réapparaissent, les bras chargés de victuailles, et se lancent dans un service digne d’un grand restaurant. Le jeune couple servi en premier se régale du repas, mais surtout de l’idée de ce service surprenant. Dame Erika félicite les serveurs et serveuses d’un clin d’œil et d’un hochement de tête complice.
Le service continue. Tous les hommes ont vérifié personnellement que les serveuses sont bien nues sous la minijupe ; quant aux femmes, elles se sont intéressées de très près à la qualité du string des serveurs… Concrètement, quatre paires de fesses viennent de se faire peloter par plus de cinquante paires de mains.

Le service terminé – du moins celui-ci – il faut préparer le numéro suivant. Un signe aux musiciens ; ils entament le morceau de musique tout juste appris. Pleins de bonne volonté, ils suivent le rythme donné par la danse des filles, encouragés par le mouvement des hanches et de ces deux corps qui ondulent. La musique devient fluide : la répétition en direct porte ses fruits ! On n’entend plus que la musique : les convives sont captivés par les filles qui commencent un effeuillage des plus torrides.
La main de l’une défait le nœud du soutien-gorge de l’autre, qui dépourvu de tout maintien s’échappe doucement. Elles se retournent pour ne pas se dévoiler immédiatement : il faut être patient, toutes les belles choses doivent savoir se faire attendre. Les foulards tournoient au-dessus des têtes, puis chacune rejoint son partenaire et entame un corps-à-corps langoureux. La ficelle du « string sumo » des garçons se détache ; les minijupes remontent sous les caresses des mains masculines, dévoilant les fesses rondes et rebondies des filles. La danse continue, le mouvement s’accélère ; la musique aussi. Chacun tient le nœud du vêtement de l’autre. Ils valsent sur la scène, tournent et tournent encore et encore, et enfin un dernier tourbillon emporte le maigre vêtement. Ils sont nus, créant la stupeur générale rapidement suivie d’un : « Waouh ! » Les convives se lèvent dans un tonnerre d’applaudissements qui font fuir à nouveau les danseurs en direction des cuisines.
Là, leur arrivée jette la stupeur ; tout le personnel reste bouche bée. Certes, ils les ont vus perdre leurs vêtements au fur et à mesure de leur venue, mais là c’est le comble ; ils n’ont jamais vu chose pareille. Ils mettent cela sur le dos du seigneur, connu pour ses penchants un peu pervers par moments.
Le jeune couple échange un baiser ; la moitié des mains des convives ont disparu, sans doute parties en exploration sous la table. Le temps est venu de se désaltérer avec du claret pour se donner des forces, mais surtout pour faire tomber les derniers complexes, si complexes il y a encore. Les dernières consignes ont été parfaitement exécutées, et les danseurs reviennent, portant le dessert qu’ils vont présenter au couple. Le seigneur duc d’Aquitaine ne regarde plus les danseurs – mais surtout les danseuses – avec le même regard, subjugué par ce qu’il voit. Celui de Dame Erika est tout à la fois coquin, complice et heureux ; ravi, aussi. Le service se termine après mille mains aux fesses, pelotage de nichons, palpations de testicules et de verges qui ont fini par faire bander les garçons ; les convives mâles également.
Pour le dessert, pas de service : les plats sont garnis de tartes, de biscuits, de crèmes et de flans ; de fruits aussi. Pour nos acteurs, le temps est venu d’apporter la cerise sur le gâteau.
Alors que la musique de Joe Cocker reprend, quatre silhouettes encapuchonnées dans d’amples capes noires traînant sur le sol remontent sur scène. Tel des fantômes, ils entament une danse lente, glissant sur le sol, tournant et se retournant. De dos, les capes s’ouvrent ; les pans se soulèvent comme des ailes de chauve-souris puis se referment. Ils se déplacent, tournent. Des quatre danseurs encapuchonnés, il n’en reste que deux : les autres ont disparu. Ils se déplacent lentement puis s’arrêtent face au public. Un mouvement sous les capes ; les capuches basculent en arrière, découvrant des visages masculins. Le public est suspendu à chaque mouvement. Les capes s’ouvrent doucement au rythme de la musique, et peu à peu la forme de corps féminins se fait deviner. Les capes glissent jusqu’au sol. Les quatre corps entièrement nus s’offrent en spectacle ; les filles sont agenouillées, en pleine fellation.
Pour les convives, le choc est terrible. Le personnel, alerté par les applaudissements, les exclamations et cette musique inconnue et entêtante s’est massé à l’entrée de la salle et, le regard médusé, assiste à ce spectacle inédit.

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ÉLISE

Quelle soirée ! On s’est fait tripoter le cul, les miches, je ne sais combien de fois. Il y en a qui m’ont même pincé les fesses et les tétons aussi. Qui ? Où ? Je n’en sais rien. À un moment, j’ai eu mal ; j’ai failli lui filer une baffe, mais je me suis ravisée : je crois que cela aurait gâché la fête. D’autres m’ont caressé la minette, sans doute pour savoir pourquoi elle est toute nue ou pour goûter mon jus qui coulait entre mes cuisses. Hum, ça me fait penser que tout à l’heure, le seigneur – comme dit Dame Erika – va être vachement surpris quand il va voir sa minette toute nue elle aussi. Il vaut mieux qu’elle soit en forme…
Pendant que je faisais le service, je ne sais plus à qui, j’ai senti des doigts se faufiler dans ma chatte baveuse et aussi dans mon cul ; je ne vous dis pas l’effet que ça m’a fait ! Je me suis pris comme une décharge électrique dans la moule ; ça m’a toute retournée.
Avec Tania, on s’est mises d’accord : on va faire la même chose ensemble ; comme ça, pas de jaloux. On s’est déplacées dans les coins de la scène, un peu de profil ; comme ça, tout le monde voit bien.
Je crois qu’on est devenues complètement dépravées… Voyons : j’ai été attachée, j’ai aimé ; fouettée, j’ai eu mal mais j’ai aimé aussi. Après, avec Dame Erika, alors là j’ai super bien aimé. Avec les garçons… je vais remettre ça. Et maintenant, c’est carrément de l’exhibition ; je pense que je vais adorer.
J’ai la bite de Pat juste devant le nez ; hum, je me régale d’avance… Un coup de langue, et c’est parti. Je commence à doucement la lécher autour du gland, puis au milieu ; le trou est trop petit : ma langue ne rentre pas dans le petit conduit. Dommage. Pas grave, j’enfourne son engin dans ma bouche. La vache, il est bon ! Il a un goût de fraise, il est sucré. Il l’a trempé dans la confiture ou quoi ?
Du coin de l’œil, je surveille l’assemblée : pas un mot, pas un geste, ils en oublient de manger. Attends, tu vas voir… Je pousse un gémissement de plaisir, Tina aussi. La musique s’arrête ; il n’y a plus que nos soupirs. Un regard vers les garçons : eux aussi gémissent, ondulent, se caressent, les fesses et le reste. C’est bon ; tous ces guerriers, on va les faire éjaculer dans leurs braies (pantalons) comme ils disent.

[à suivre]
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