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Dame Erika

Chapitre 17

Orgie / Partouze
Chapitre 17 : Le plaisir de Dame Erika

PAT

La répétition de la pièce est saluée par un tonnerre d’applaudissements et d’embrassades pour saluer le magnifique spectacle réalisé par tous et le courage des deux nouvelles actrices.
— Je vous félicite pour votre représentation : c’était fabuleux ! Je pense que nos valeureux chevaliers vont largement tacher leurs braies…
Dame Erika, présente depuis le début – mais qui, cachée derrière une tenture, s’est faite suffisamment discrète pour ne pas se faire remarquer – ajoute :
— Vous me faites le même spectacle demain soir pour l’anniversaire de mon époux et je vous fais conduire chez le magicien, je vous le promets. Toutefois, après-demain vous serez partis, et cela me rend triste. Je voudrais seulement vous demander une dernière faveur…
Ou Dame Erika est une bonne actrice, ou la faveur est délicate à demander. Elle prend un air timide, la tête basse, comme une petite fille demanderait d’aller jouer avec son petit amoureux de classe, ou bien encore un cadeau impossible à obtenir. Je l’interroge :
— Eh bien, Dame Erika, qu’avez-vous de si important à nous demander ? Allez-y. C’est si compliqué à demander ?— Oui, mais… mais avant, il faut me jurer que mon époux n’en saura rien ; s’il apprend ce que je…, je suis bonne pour le bûcher. Promettez-moi, s’il vous plaît, et vous, mes servants, je vous ferai de belles épousailles et vous logerai dans le château.
Ils promettent tous de garder le secret sur tout ce qu’ils vont faire, jurent que même sous la torture ils ne diront rien.
— Oh, merci, merci… Vous êtes des amours ! Je voudrais… enfin, j’aimerais que vous me fassiez ce que vous venez de faire à Sara et à Ode.
Après un long moment, le temps de réaliser l’ampleur de la demande et d’évacuer la surprise, de se consulter à voix basse, la décision est prise. Je reprends la parole :
— Dame Erika, c’est d’accord. Mais à une condition…— Oui, tout ce que vous voudrez, je vous l’accorde ou le ferai. Tout.— C’est nous qui dirigeons. Vous vous laissez faire et ne dites rien ; si : juste crier quand vous allez jouir ; et vous allez jouir, c’est moi qui vous le dis ! Putain, vous allez voir ce qu’on va vous mettre dans le con, con !— Oh merci, merci ! Venez, les filles, venez m’aider à me préparer et tout fermer à clé. Je reviens vite !
Elle vient d’appeler ses servantes « les filles » ! Elle est visiblement ravie de la bonne nouvelle et part telle une fusée. Le temps qu’elle aille faire ses ablutions, nos six acteurs établissent un plan d’action pour qu’elle soit pleinement satisfaite.
Pour les jeunes servants, c’est une vie de rêve qui se dessine à l’horizon pour eux et leur famille : ils savent que personne ne manquera de rien. Non seulement ça, mais ils vont baiser avec leur patronne, et peut-être baiser la patronne tout court.
Dame Erika fait son entée, nue sous une cape ouverte. Le pubis lisse, parfumée, coiffée – pauvre coiffure qui ne va malheureusement pas tenir longtemps… La jambe qui passe par l’ouverture de la cape, découverte jusqu’en haut, donne une touche d’érotisme torride. Je m’empresse d’aller l’accueillir, lui donne le bras, et annonce avec l’air d’un majordome :
— Dame Erika vient prendre son plaisir. Pour fêter notre départ, je vous prie d’être à la hauteur ! Dame Erika, donnez-moi votre cape, je vous prie.
C’est vachement bien, elle joue le jeu. Je dégrafe le fermoir de son unique vêtement et le prends. Elle apparaît nue, comme nous d’ailleurs. Oh con ! C’est vrai qu’elle est bien foutue ! Par contre, tu vas voir ce que tu vas te prendre dans le cul tout à l’heure, ma cocotte, je te dis pas ! Je la conduis au milieu de la pièce. Élise lui bande les yeux, et nous formons un cercle autour d’elle. Nous la faisons tourner dans le cercle en nous la passant de mains en mains, de l’un à l’autre, avec toujours un maximum de mains sur elle.
Je lui enlève son bandeau pour qu’elle puisse maintenant voir ce qui se passe ; une série de huit pelles et galoche termine cette mise en condition avant de démarrer la phase cruciale.
— Dame Erika, cette entrée en matière vous convient-elle ?— Oh oui, vous m’avez terriblement excitée. Vite, la suite !— Très bien, venez.
Je la conduis sur le lit, puis Tom et moi nous équipons de la capote maison : je n’ai pas envie de me ramasser un truc – enfin, une maladie – et il ne faudrait pas que Tom l’engrosse. Donc protégeons-nous, même si au niveau des sensations ce n’est pas ça.
Pendant ce temps, les six autres s’occupent activement : elle est couverte de baisers, de caresses, de palpations en tout genre. Je constate avec plaisir qu’elle est en train de monter en pression : ça ondule, ça respire fort et ça couine. Elle est fin prête !

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LIOUBOV

Pat, allongé sur le lit, porte-drapeau à la verticale, attend la venue de cette femme qui fait preuve d’une extrême gourmandise depuis ses premières expériences. Guidée par Élise, elle se place à califourchon sur mon complice, puis Élise l’oblige à descendre, plaquant le phallus entre son vagin et le ventre de Pat. Son clito frotte sur le membre et les couilles gonflées à bloc. Le plaisir commence à l’envahir. Tina, debout devant la dame penchée en avant, lui offre la vue de son intimité. Élise lui prend la tête à deux mains et l’oblige à aller lécher le con et l’anus de sa copine. Toutes les mains disponibles palpent, caressent, tripotent ce corps à leur merci. Des bouches viennent sucer les seins et les tétons de la belle qui mouille tant et plus. Son sexe glisse sur celui de Pat ; elle respire fort, elle gémit. Des dents viennent de lui mordre les tétons ; la tête en arrière, les mains dans les cheveux, elle glousse.
L’heure est venue. Pat, les mains sous les fesses, la soulève et place son gland à l’endroit prévu. Docile, elle se laisse descendre jusqu’à entrer en contact avec Pat. Une grimace : l’orifice résiste, visiblement pas habitué à cela. Elle attend ; trop longtemps au goût d’Élise qui lui appuie sur les épaules. Les mains sont affairées, plus présentes partout à la fois, lui faisant oublier que son anus est en train de s’ouvrir doucement. Le gland pénètre le sphincter qui cède ; elle crie, râle, se tord avec un « Ah… ! Arrr… ! » qui l’emporte dans un vibrant orgasme.
Le passage est ouvert ; les cris laissent place aux gémissements de plaisir. Dame Erika s’enfonce la bite jusqu’à la garde puis, assise sur le bas-ventre de Pat, elle respire avec force. Les mains et les bouches s’activent encore plus. Sara n’y tient plus : pliée en deux, elle offre son cul à sa patronne qui, dans un état second, avale le con de sa servante. La petite jubile : elle se fait bouffer le cul par Dame Erika ! Quel bonheur ! De plus, elle le fait très bien, si bien que Sara a un orgasme qui la secoue comme un chiffon.
Pat attrape Dame Erika par la poitrine ; elle se couche de bonne grâce sur le torse puissant de Pat, toujours empalée sur lui. Élise et Tina ouvrent les jambes de la belle au maximum pour laisser Tom la pénétrer, ce qu’il fait. Ce sont à présent deux phallus qu’elle a en elle. Caressée, léchée, pincée de partout, elle crie, couine.
À quatre pattes et les fesses en l’air, ses deux serviteurs lui lèchent les seins, mordillent ses tétons. Ode, en face-sitting sur sa maîtresse, se fait copieusement aspirer la vulve pendant que Sara l’embrasse goulûment tout en la pelotant généreusement, lui suçant les seins, lui mordant les tétons.
Les mains baladeuses d’Ode fouillent l’entrejambe de sa copine qui, excitée par cet attouchement, se retourne et, courbée en deux, lui présente son anatomie. Ode, trop heureuse de cette proposition soudaine, saisit Sara par la taille et lèche goulûment les deux entrées aussi joliment offertes.
Élise et Tina, peu occupées, motivent les deux jeunes servants occupés à téter avec délicatesse les seins de leur maîtresse en les masturbant avec douceur. Saisissant de petites courges doubeurre en forme de phallus – plus destinés à la décoration – elles les enduisent d’huile d’olive et les introduisent dans le rectum des jeunes hommes. Cette intromission inopinée leur procure un plaisir jusqu’alors inconnu qui entraîne un gonflement et un durcissement plus important de leur verge, toujours massée et aussi enduite d’huile d’olive.
Dame Erika, qui ne peut résister plus longtemps aux assauts répétés des ses tortionnaires – enfin, s’il est possible de les appeler ainsi – est emportée par un orgasme d’une puissance rare et communicative à Sara et Ode. Une quantité incroyable de gloussements et couinements se terminent par des « Ouiiii… ! Oh oui ! Je jouis ! Oui… Ouiiii… »
Tous se retirent pour laisser à Dame Erika le temps de reprendre ses esprits et de dire :
— Oh, merci ! Merci à vous tous : c’était extraordinairement bon…
Élise l’interrompt :
— Mais, Dame Erika, ce n’est pas encore terminé : maintenant, le plat de résistance vous attend. Levez-vous et venez.
Dame Erika, ébouriffée, se lève, les jambes en coton. Tina, autoritaire :
— Dame Erika, à genoux ! Les garçons, restez en forme.
Docile, elle s’exécute. Ode et Sara l’accompagnent, mais assises sur le sol en tailleur, une devant, l’autre derrière. L’une s’occupe du clito, l’autre des seins de la belle. Les quatre garçons l’encerclent, la matraque à la main. Donnant l’exemple, Pat enfourne son sexe dans la bouche gourmande qui le suce avec délectation, puis à tour de rôle les autres hommes le remplacent ; une tournante, en fait. Elle suce et re-suce les bites qui se présentent à elle. Les deux filles la pelotent partout où elles peuvent. Dame Erika gémit… Sara lui enfonce un doigt dans le vagin, Ode dans l’anus, et elles fouillent les deux orifices. Pat interroge les autres :
— Bientôt prêts ?
Un oui général lui répond. Pat se masturbe avec force, éjacule dans la bouche ouverte. Élise ordonne :
— Avale !
Dame Erika avale tout ce qu’elle peut tandis qu’un doigt supplémentaire entre en elle. C’est au tour d’Étienne de nourrir sa maîtresse qui avale une partie de l’abondante semence, le reste s’écoulant le long de sa poitrine. Un nouveau doigt la pénètre ; l’anus et le vagin encore dilatés acceptent sans problème ces introductions. Maintenant, c’est Renaud qui décharge abondamment ; elle ne peut plus avaler, le goût ne lui plaît pas. Alors qu’elle recrache, un troisième doigt vient la fouiller. Tom termine : sans lui demander quoi que ce soit, il lui prend la tête à deux mains et la baise par la bouche. Son gland tape au fond de la gorge, force. Dame Erika est à la limite de vomir ; elle s’étouffe à moitié, crie, râle. Un quatrième doigt force le passage de l’un de ses orifices. D’un signe, Élise encourage à mettre la main entière. Tom éjacule au fond de la gorge de Dame Erika qui s’étouffe, recrache tout, le sexe et le sperme. Des mains fines et huilées s’immiscent dans les orifices distendus et provoquent un gigantesque orgasme à l’épouse du duc d’Aquitaine.
Maintenant, sa poitrine et son ventre sont couverts de sperme. L’ayant raccompagnée sur le lit, ses deux servantes lèchent cette mixture qu’elles apprécient à sa juste valeur. Élise et Tina pratiquent une tendre fellation sur Pat et Tom juste au-dessus de la Dame, qui à la vue de ces deux culs placés là ne peut s’empêcher de se retourner ; et nul ne sait si c’est par envie ou par vengeance qu’elle fiste les deux vagins à sa portée. Surprises, les filles crient, râlent. Pour venir en aide à leurs formatrices, Ode et Sara fistent le vagin et le cul de leur patronne qui crie aussi. À la vue des jolis petits culs de leurs promises, Étienne et Renaud ne peuvent que les honorer ; ils les besognent comme des forcenés.
Le dessert est prêt : les deux servants éjaculent dans le derrière de leur bien-aimée, les embarquant dans un orgasme digne de ce nom. L’orgasme contamine Dame Erika qui atteint un nouvel orgasme, communicatif à Élise et Tina, et faisant éjaculer Pat et Tom.
Dame Erika, le derrière en feu, le vagin foudroyé par les spasmes du plaisir, crie de bonheur – ou de douleur ? – exténuée par tant d’attentions. La chevelure en bataille, encore couverte de sperme, elle reste étendue, inerte, les yeux clos. De temps à autre, son ventre se contracte sous les derniers spasmes de plaisir.
L’orgie s’arrête là. Dame Erika, aux anges, remercie ses faiseurs de bonheur et renouvelle les promesses déjà faites. Son chevalier de mari étant absent pour la soirée, elle décide de passer la soirée avec les huit complices. Le repas sera servi dans ses appartements, et ils mangeront nus car ils trouvent cette tenue agréable en cette saison, et envisagent même qu’elle pourrait devenir habituelle. Ses servants vont chercher les plats.
Dame Erika mangeant nue, elle est palpée sur toutes les parties de son corps – même les plus intimes – par ses serviteurs qui vont lui procurer un nouvel orgasme au dessert, et c’est allongée sur la table, les pieds sur un siège et les cuisses grandes ouvertes, que chaque garçon va lui offrir un orgasme, après un bon repas riche en sensations de toutes sortes.
Le temps de reprendre des forces est arrivé ; la nuit sera bonne, et la journée suivante chargée en préparatifs pour le spectacle.

[à suivre]
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