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Daniel et sa fille

Chapitre 16

Inceste
Chapitre 16.
Ce fut encore un sacré repas de midi !
Émilie et Eve ont tout préparé, « de manière à ce que nous perdions le moins de temps possible, tu comprends » m’a appris Émilie. Le repas une fois expédié, elles m’ont entraîné dans le salon où j’ai dû satisfaire tous leurs « caprices » comme me l’a dit ma fille. Il y a pire : je les ai vues s’aimer en 69, je sentais la langue de l’une me chatouiller les couilles tandis que j’étais profondément enfoncé dans l’autre qui était assise ou plutôt empalée sur moi alors que j’étais assis sur le canapé, elles se sont agenouillées sur le canapé et j’ai dû pénétrer dans tous les orifices qu’elles me présentaient, elles m’ont masturbé en me tétant, au total je dois dire que je n’ai pas regretté cette interruption pour le repas de midi !Finalement, j’ai pu enfin me libérer et repartir au travail, après qu’elles m’aient promis de continuer leurs dernières révisions. Là, Christine m’a appris que j’avais l’air un peu fatigué. J’ai profité d’une absence de Brigitte, partie soulager sa vessie, pour lui apprendre succinctement ce que j’avais fait. Elle m’a fait remarquer que je ne souffrais pas trop de son changement à elle. Je lui ai répondu que non et que, fort heureusement pour moi, elle avait maintenant de quoi être satisfaite chez elle parce que je ne pourrais pas soutenir le rythme. Nous avons éclaté de rire. Juste à cet instant, Brigitte est sortie des toilettes et nous a demandé ce qui nous faisait tant rire. Impossible de lui répondre la vérité ! Je lui ai alors raconté une histoire de fou que nous avions vécue avec un client, tant et si bien qu’elle a, à son tour, joint son rire aux nôtres, mais pas du tout pour la même raison !L’après-midi se déroula dans un ambiance joyeuse et le temps passa très vite.Quand je suis rentré, ma fille m’apprit qu’Émilie était partie plus rapidement que prévu parce que sa mère l’avait appelée pour faire quelques courses. Nous avons donc passé notre dernière soirée « d’avant fin Bac », comme le disait Eve, tous les deux, en amoureux.Le lendemain, dernière épreuve, effectivement, pour les deux filles. Eve est partie remplie de mon sperme, ce qui lui a facilité les choses, m’a-t-elle appris après son épreuve orale.
Au jour dit, les deux filles ont eu leurs résultats : reçues toutes les deux avec mention « Très Bien ». Nous avons fait, Émilie et sa mère Agnès, Eve et moi, une véritable « nouba-partouze » au cours de laquelle, entre deux étreintes amoureuses, nos charmantes demoiselles nous ont dévoilé plusieurs choses, qu’elles ont eu l’air de considérer comme définitivement acquises :1 - elles voulaient que nous partions tous les quatre en vacances en même temps, au même endroit. Agnès et moi avons accepté en souriant ;2 - elles voulaient que ce soit dans un camp de nudistes, comme cela ça ne choquerait personne de nous voir nus. Elles nous ont montré tout un tas de documents qu’elles s’étaient procurés à notre insu. Après bien des tergiversations, nous avons réussi à trouver un accueil pour quinze jours qui furent un véritable enchantement pour nous quatre, sur tous les plans ;3 - elle voulaient qu’Agnès et moi nous nous marions, comme cela ce serait normal qu’on soit toujours ensemble. Heureusement, ni Agnès ni moi ne tenions à cela. Elles ont été un peu déçues, elles nous ont beaucoup « travaillé », surtout à ce propos, pendant nos vacances en commun, mais ni la mère d’Émilie ni moi n’avons cédé. Pour ma part, je préférais passer toutes mes nuits avec ma fille adorée, que je trouvais de plus en plus belle chaque jour.4 - elles nous ont appris qu’elles voulaient faire des études de biologie pour pouvoir s’associer et créer ou racheter un laboratoire de biologie. Nous ne pûmes, Agnès et moi, qu’être émerveillés de les savoir aussi déterminées malgré leur jeune âge.5 - elles nous ont appris aussi qu’elles nous préparaient une surprise pour le jour où elles seraient vraiment majeures, dans les deux années à venir. Nous ne savions pas en quoi cela consistait et nous avons dû, Agnès et moi, attendre patiemment qu’elles aient toutes les deux dix-huit ans pour qu’elles nous dévoilent leur vœu : elles voulaient, ni plus ni moins, que je sois le père de leur futur enfant. Les bras m’en sont tombés. Agnès était aussi surprise que moi. Nous avons bien discuté de cela et, finalement, elles ont tout de même renoncé - en apparence tout du moins - à ce projet. Agnès m’a dit qu’elle surveillerait la prise de pilule de sa fille, je m’étais promis d’en faire autant de mon côté, parce qu’avec deux diablesses comme elles, il fallait faire attention.
Aujourd’hui, elles ont un peu plus de vingt ans toutes les deux. Cela fait plus de quatre ans que je vis dans une période heureuse que je n’aurais jamais cru connaître. Christine a démissionné pour se consacrer uniquement à son mari. Sa fille Brigitte la remplace avec beaucoup de compétence et si, au bureau, je suis toujours aussi bordélique - je ne connais pas d’autre expression pour désigner ma manière de ranger mes papiers et de m’occuper de la comptabilité de mon entreprise - elle est fort heureusement encore plus attentive que sa mère. Nous devenons de plus en plus intimes. C’est pour cela que, un beau jour, elle m’a demandé si je pouvais l’aider à apprendre à sa mère qu’elle aimait quelqu’un et qu’elle voulait s’installer avec cette personne. J’ai éclaté de rire en lui disant que je ne voyais pas pourquoi sa mère prendrait ça mal, qu’elle devait s’y être préparée, étant donné que son frère aîné était déjà parti fonder une famille et que sa sœur, d’après ce qu’elle me disait, sortait avec un garçon. Elle a fondu en larmes devant mon éclat de rire ; comme je lui demandais pourquoi, elle m’a avoué qu’en fait elle était follement amoureuse d’une fille qui lui rendait cet amour et qu’elle n’osait pas l’avouer à sa mère, mais que son amie et elle ne supportaient plus de vivre éloignées l’une de l’autre. Je lui ai promis d’arranger ça et, à la sa surprise de Brigitte, Christine accepta immédiatement sa compagne. Le père de Brigitte fut un peu plus difficile à convaincre mais il s’y fit d’autant plus vite qu’il s’aperçut que la compagne de sa fille était très gentille.
Émilie file le parfait amour avec sa mère, tout comme moi je vis le mien avec mon Eve. Nos filles embellissent de jour en jour et je suis très fier de sortir au bras de ma fille. La semaine dernière, alors que nous venions de faire l’amour, elle m’a reparlé de son souhait d’avoir un enfant avec moi. Elle m’a fait miroiter des tas de choses, mais elle m’a assuré qu’elle ne chercherait jamais à me « rouler » et je lui fais une totale confiance. Elle m’a dit :— Tu comprends, papa, c’est une décision qui nous engage tous les deux. Je veux que nous soyons consentants tous les deux et surtout que nous soyons prêts, parce que ce sera notre enfant, l’enfant de l’amour. Tu veux bien, mon papa d’amour ?J’ai beau résister à ses câlineries, je sens bien qu’un jour - peut-être quand elle aura vingt et un ans, mais je préférerais encore qu’elle ait complètement terminé ses études avec son amie Émilie - jamais je n’aurais cru que ça pouvait être aussi long pour devenir docteur en pharmacie - pour lui céder. J’aurai quarante-trois ou quarante-quatre ans. Je connais pas mal d’hommes qui ont un enfant à cet âge-là et qui ne s’en portent pas plus mal. Évidemment, ils ne sont pas dans ma situation : moi je serai à la fois le père et le grand-père de notre enfant. Mais après tout, nous nous aimons, nous l’aimerons, alors où est le problème ?Émilie ne m’a jamais reparlé de son souhait mais elle y a fait allusion une fois, il y a peu, alors qu’elle venait nous rendre visite avec sa mère. Nous ne nous côtoyons pas que pour des parties de sexe, nous nous entendons très bien tous les quatre et Agnès et moi sommes heureux de voir nos filles grandir sous nos yeux.Je lui ai laissé entendre que, finalement, je suis certain que je céderai un jour aux avances de ma fille pour notre futur enfant ; elle est d’accord pour être la marraine. Elle a déjà choisi les prénoms, en accord avec les deux filles : Christelle, comme la maman d’Eve si c’est une fille, Jean, si c’est un garçon. Je sens bien que l’étau se resserre de plus en plus et que je finirai par céder mais après tout ce sera une preuve de plus de l’immense amour qu’Eve et moi nous portons l’un à l’autre.
Et comme tous les gens heureux, nous n’aurons plus d’histoire.
FIN
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