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Dans de beaux draps...

Chapitre 1

Hétéro
Lorsque je suis allé chez les beaux-parents pour la première fois, je l’ai aperçu alors qu’elle était allongée sur le canapé. Elle était jolie, très agréable à regarder bien que son corps était encore en plein changement. En fait, lorsque je l’ai connu, elle n’avait à peine que 18 ans et sa poitrine, bien que d’un respectable 34C, complémentait agréablement son corps de sportive. Dotée de lèvres charnues qui invitent à la pure folie, elle n’était restée à ce moment qu’un simple fantasme passager. Après tout, j’étais bien occupé sexuellement et affectivement avec ma copine, alors j’ai simplement conservé avec ma belle-sœur une relation amicale sans arrière-pensée. C’était une jeune femme timide et agréable à côtoyer. Malheureusement, elle prit l’initiative de partir seule pour explorer le pays pendant quelques années et je la perdis de vue.Deux ans plus tard, au début de ses études universitaires, elle dû, pour des raisons financières, venir habiter dans notre appartement à moi et ma copine. Je ne m’y suis pas opposé, sachant que cela était également bénéfique pour ma copine et que le montant de notre loyer s’en verrait répartit. Elle arriva à sa nouvelle demeure par une pluvieuse journée d’été. J’accueillis à la porte une demoiselle complètement trempée qui dégageait une telle sensualité que je ne puis me retenir de la reluquer. Elle arborait une poitrine un peu plus volumineuse qu’avant son départ (34D), et son corps était mieux sculpté que jamais. J’eue croire qu’elle ne perdit pas son temps alors en jouant au globetrotter. Je repris mes esprits et je l’aidai à entrer ses effets personnels et les quelques meubles qu’elle apportait avec elle.Avec les semaines, nous nous côtoyèrent davantage et elle demandait fréquemment à ce que je l’aide pour une raison ou une autre (par exemple, problèmes avec le matériel informatique, l’aider à aller faire les courses) ou d’aller jouer au tennis avec elle, ce qui ne me déplaisait pas. Je pouvais ausculter du regard son corps parfaitement formé et la sueur y ajoutait un « je-ne-sais quoi » qui me faisait vibrer. Je me surpris même à faire des incursions nocturnes dans sa chambre alors qu’elle était chez son copain, me masturbant à même son lit et touchant aux sous-vêtements qu’elle laissait éparpillés sur son lit. Je ne sais pas pourquoi, mais cet « interdit » m’excitait au plus haut point.Un jour, en « réparant » un bug informatique dont elle fut victime, je me permis d’aller fouiner quelque peu sur le contenu de son ordinateur. Elle devait bien y avoir un bon millier de photos prises à l’aide de divers appareils : Paysages, fêtes, photos d’amis ou de vulgaires inconnus, et à ma grande stupéfaction, photos et vidéo de partouzes. Ces dernières photos et vidéos étaient manifestement prises à partir d’un téléphone portable : la résolution laissait quelque peu à désirer, mais il ne laissait nul doute sur le contenu. Ma belle-sœur avait filmé ce genre d’événements ou quelqu’un avait filmé le tout à l’aide de son téléphone. Je ne compris pas vraiment d’où tout ça sortait, mais je me mis à les regarder plus en détails pour en avoir le cœur net. C’est alors que dans l’un des vidéos sur lequel un jeune homme se branlait en passant d’une « scène » à l’autre d’une orgie, je vis une demoiselle qui ressemblait trop à ma belle-sœur pour ne pas l’être. Entièrement vêtue, elle s’approcha du jeune homme au téléphone et lui saisit le sexe. Je fus déçu de voir qu’en à peine quelque secondes, le jeune homme éjacula sur les vêtements de ma belle-sœur. Cette dernière, sans doute également déçue à ce moment, lui arracha le téléphone des mains et la vidéo fut coupée.Je continuai ma recherche afin de trouver un contenu plus croquant. Je trouvai dans un répertoire une série de photos d’elle en tenue d’Ève : elle affichait fièrement une poitrine généreuse et d’apparence ferme, des mamelons de petite taille dressés par le froid ou l’excitation, des courbes incroyablement sexy et un pubis rasé. Sur la dernière d’entre-elles, elle affichait un sourire coquin et on apercevait clairement sur sa poitrine une petite quantité de sperme qui dégoulinait. À ce moment, je ne puis m’empêcher de sortir ma queue de mon pantalon et de m’imaginer être celui qui répande ma semence sur son corps de déesse. Une fois soulagé, je fermai son ordinateur et j’allai prendre une douche. Pendant ce temps, je ne puis penser à quoi que ce soit d’autre qu’à elle et je me masturbai de nouveau.Lorsqu’elle revint à l’appartement près d’une semaine plus tard, je lui remis son ordinateur. Elle sembla ravie que son outil de travail soit fonctionnel à nouveau et s’enferma dans sa chambre. Pendant le diner, elle me regarda différemment d’à l’accoutumée. Elle demanda à ce que l’on prenne une bière, et je ne me fis pas prier tellement la journée avait été difficile. Nous mangeâmes en silence, ce qui était d’autant plus anormal. À un moment, elle prit la parole et dit :— Qu’est-ce que tu penses de moi?Stupéfait par une telle question, je lui répondis que j’appréciais beaucoup sa compagnie. Elle rétorqua :— Physiquement, je veux dire. Comment tu me trouves?Je pensais aux photographies dans ma tête et je ne pus m’empêcher d’avoir un début d’érection. Devant mon manque de réponse, elle afficha un léger sourire, se leva de sa chaise et vint se planter à mes côtés.— Avoues que tu me désires, dit-t-elle, très sûre d’elle.— Euh… s’il-te-plait. Je ne comprends pas ce que tu dis, bafouillais-je.Elle ricana légèrement et prit un ton autoritaire :— Alors pourquoi viens-tu faire des tours dans ma chambre et toucher à mes soutiens-gorge? Est-ce que tu te branles dans ma chambre?— De quoi tu parles?— D’accord… Alors pourquoi as-tu regardé mes photos?— Quelles photos?— Tu as laissé une fenêtre ouverte : on y voit clairement les répertoires dans lesquels tu es allé fouiller. Ça ne sert à rien de le nier, tu as vu mes photos.<Quel con, pensais-je à ce moment. Elle se mordit la lèvre et me dit :— Tu t’es branlé en regardant mes photos nues?En absence de réponse de ma part, encore une fois, elle regarda mon entre-jambe qui se saisissait davantage avec le temps. Elle passa une main dans ses cheveux et posa une main sur mon sexe, le palpa et voyant sans doute que son toucher faisait effet, se mis à genoux et entrepris de retirer mon pantalon.— Oui, répondis-je, incapable de résister à la tentation de dire la vérité. D’ailleurs, j’avais l’impression que ça ne changerait plus grand-chose.Elle retira complètement mon pantalon, et du même coup, mes sous-vêtements. Mon pénis, dressé, était gorgé de sang. Ma belle-sœur le regarda, le palpa, et retira sa camisole, la laissant en soutien-gorge et en jeans. Elle commença à me branler lentement, et je gémis tout en tentant légèrement de me débattre. Après-tout, c’était ma belle-sœur et j’étais toujours en couple. Afin de calmer mes ardeurs, elle inséra mon gland dans sa bouche et le titilla légèrement avec sa langue. Je me débarrassai de mon t-shirt et sentant mon pénis enfler de plus belle, je me mis à gémir davantage. Elle avait sans doute senti qu’elle avait gagné et elle le retira de son étreinte. Je ne pouvais m’empêcher de regarder sa poitrine. J’étais, et je suis toujours d’ailleurs, fanatique des petites poitrines fermes, mais sa généreuse poitrine me rendait à ce moment, extrêmement fou. J’avais envie d’y glisser ma queue en branlette espagnole ou simplement les voir bouger avec l’impact de nos mouvements. Alors qu’elle retirait son jeans, j’entrepris de libérer ses seins de leur prison. Ses seins tombèrent légèrement, mais je fus surpris de voir que malgré leur forte taille, leur galbe était sculpté à perfection par le sport. Lorsque j’y apposai une main maladroite, je sentis une fermeté au-delà de mes attentes. Le mamelon pointé était agréable au toucher, et elle me le rendit en gémissant doucement. Elle me saisit le bras et nous quittâmes la salle à manger pour nous diriger vers sa chambre, lumière d’ambiance allumée. Elle ne prit pas la peine de fermer la porte et elle retira ses petites culottes avant de m’enfiler un condom, malheureusement légèrement serré. Apparemment, elle n’avait pas peur de la taille de mon engin puisqu’elle me poussa sur le lit et m’enfourcha rapidement. Dans une série de va-et-vient, elle sembla prise d’une telle vivacité qu’elle savait exactement quoi faire pour me faire plaisir. Ses mouvements de bassin étaient si bien coordonnés que je me sentis rapidement à l’extase. Je pensai à quelque chose d’autre pour me retenir d’éjaculer, et je la poussai sur le côté. Je saisi ensuite ma belle-sœur en levrette, ce qui ne fut pas sans lui déplaire. Je lui mentionnai ensuite, à travers les ébats, que j’aimerais venir sur ses seins, comme sur l’une de ses photographies. Elle me répondit, à la fois en ricanant et en haletant:— Fais-toi plaisir, mais pas sur le visage ni les cheveux.Lorsque je me sentis exploser, je me retirai de sa féminité, enlevai rapidement le condom complètement humide et prévenu, en me retenant du mieux que je pouvais, que j’allais venir. Elle se tourna sur le dos et alors que je gémis pendant de longue secondes, je déversai sur sa poitrine et son ventre une quantité agréable de sperme, qu’elle qualifia de fontaine. Je me laissai tomber sur le côté droit du lit et ébahit par la situation catastrophique générée par mon manque de contrôle, je me dis, à ce moment, que j’étais dans de beaux draps.
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