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Dans la cabine du routier

Chapitre 1

Gay
C’était un dimanche en fin d’après-midi et j’avais décidé d’aller faire un petit footing, tranquillement, profitant de la chaleur qui diminuait légèrement. J’essayais le plus possible de prendre les passages ombragés pour diminuer l’évaporation et garder mes forces. La sensation était malgré tout relativement agréable. Je n’étais vêtu en tout et pour tout que d’un petit short moulant sans slip. Je n’avais pas mis de haut et j’appréciais de ressentir la chaleur sur tout mon corps, ce qui m’excitait un peu, il faut le dire.
À un moment donné, j’ai décidé de prolonger par la zone industrielle. Cela ne faisait qu’un ou deux kilomètres en plus et j’avais encore quelques réserves. Il y avait sur un parking une rangée de poids lourds stationnés. Les chauffeurs devaient patienter jusqu’à 22 heures pour pouvoir reprendre la route. Je suis passé devant, ne faisant pas attention aux routiers assis à l’ombre de leurs engins, et discutant pour faire passer le temps. L’un des camions a fait des appels de phare, mais je n’y ai d’abord pas prêté attention. Lorsqu’il a recommencé, j’ai ralenti et j’ai jeté un œil dans la direction. Je distinguais vaguement quelqu’un dans la cabine, mais sans voir de quoi il s’agissait. Le chauffeur a à nouveau allumé ses projecteurs et cette fois, il a fait un petit signe de la main passée à travers la fenêtre ouverte.
J’ai fait un détour et je me suis approché de l’avant du tracteur. Le gars s’est penché vers moi et commencé à parler en souriant.
— Schön, sehr schön.
Il parlait allemand, et je ne comprenais pas tout. Tout en continuant de discuter, il m’a fait signe de faire le tour. Il voulait apparemment que je monte à bord. J’ai d’abord hésité, regardé autour de moi, puis je ne sais pas exactement pourquoi, j’ai contourné le véhicule et je suis monté.
C’était un homme d’une quarantaine d’années, blond, pas trop mal physiquement, musclé, la peau tannée par le soleil. J’essayais de comprendre ce qu’il disait, mais mes rudiments d’allemand ne suffisaient pas, d’autant plus qu’il parlait un dialecte avec un fort accent.
Je voyais cependant qu’il n’avait pas l’intention de parler de la pluie et du beau temps. Il passait sa main sur le haut de sa cuisse, et soudain sans prévenir, ou peut-être avait-il prévenu, mais je n’avais pas compris, il a sorti son sexe de son short, tout en continuant de parler en souriant. Il a commencé à se branler en me regardant. Il se caressait doucement, mais fermement et son sexe, d’une bonne taille était devenu bien dur. Me faisant signe, il a dit :
— Komm, komm !
Toujours sans trop savoir pourquoi je faisais cela, je me suis approché et me suis installé sur le siège du milieu pendant qu’il continuait à se tripoter et je les laissais faire pendant un moment. Il me regardait et regardait son sexe alternativement et je sentais sa respiration accélérer.
Il a alors pris ma main et l’a posée sur son sexe. Je suis d’abord resté ainsi sans bouger, un peu surpris. Je sentais les soubresauts de son sexe provoqués par l’afflux de sang dans les veines et j’ai commencé instinctivement un mouvement de va-et-vient. Il a basculé la tête en arrière en poussant un petit cri. J’ai continué à masser sa colonne de chair en me penchant un peu pour mieux voir. Il avait un beau sexe bien proportionné et droit, et entièrement rasé. J’ai caressé ses testicules que je sentais rouler entre mes doigts. Ma deuxième main est venue en renfort pour le branler pendant que l’autre le caressait. J’aurais pu continuer ainsi, mais telle n’était apparemment pas son intention. Quand il a posé sa main sur ma joue en disant : « Bitte, Bitte ! », j’ai tout de suite compris ce qu’il voulait. Je n’ai pas obtempéré tout de suite, hésitant encore sur la suite à donner et j’ai continué à le caresser. Il s’arc-boutait sur son siège, soulevant son sexe pour l’approcher de moi.
Finalement je me suis décidé à faire ce qu’il attendait de moi.
J’ai d’abord pris son gland entre mes lèvres en donnant des petits coups de langue, ce qui a provoqué de nouveaux afflux de sang et affermi son érection. J’ai continué de le branler pendant que j’ai enfoncé son sexe entièrement dans ma bouche et j’ai commencé à le pomper vigoureusement. Il avait mis sa main sur ma nuque et accompagnait le mouvement en gémissant. Puis il a mis ses deux mains de chaque côté de mon visage sur mes joues et a réglé le rythme guidant les allers-retours de ma bouche à son rythme.
Je devais souffler de temps en temps, et laisser ma main prendre la relève pour ne pas laisser retomber l’excitation. Mais rapidement, je le reprenais en bouche pour le sucer de plus belle. Je m’amusais avec son sexe, promenant mes lèvres le long de sa hampe, mordillant ses testicules ou bien encore donnant des coups de langue tout autour de son gland gonflé.
De son côté, il avait réussi à passer une main entre mes jambes et saisir mon sexe sous mon short. Il me massait alors pendant que je continuais de m’occuper de lui. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme, excité par ce que j’étais en train de faire et cette main qui allait et venait sur moi. Je sentais une jouissance rapide, monter sûrement en moi.
Lui non plus n’allait pas tenir encore longtemps. Je sentais ses testicules se contracter, signe d’une jouissance proche. Je ne savais pas encore si j’allais le faire jouir comme ça dans ma bouche, je n’étais pas sûr d’être prêt à cela. Ou bien si j’allais le faire jouir entre mes doigts. Mais les choses se sont passées un peu indépendamment de ma volonté, car j’ai senti soudain un liquide chaud se déverser dans ma bouche pendant que son sexe se contractait et que des mouvements de bassin accompagnaient et intensifiaient les giclées suivantes qui arrivaient ainsi directement au fond de ma gorge. J’ai dégluti plusieurs fois en continuant de le sucer jusqu’à ce qu’il se soit entièrement vidé en moi. C’est à ce moment que j’ai joui également, très fort, déversant mon sperme sur la main qui me caressait.Nous sommes restés un moment ainsi, respirant fortement et riant, nos sexes respectifs dans la main de l’autre, vidés, et heureux de ce moment de plaisir intense.
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