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Dans la femme d'un copain

Chapitre 1

Divers
Je connais Jacques et Marie-Paule depuis plusieurs années. Notre première rencontre eut lieu sur une plage de Tunisie où ils passaient des vacances tranquilles avec leurs deux enfants, lycéens à l’époque. Depuis, nous nous voyons régulièrement, pour un pot en ville après le travail ou pour un dîner, plus souvent chez eux que chez moi.
Jacques est informaticien dans une grande entreprise, elle a abandonné son poste d’infirmière libérale pour se consacrer aux enfants. Il n’y a jamais eu d’équivoque dans notre relation : nous sommes amis. Mon itinéraire professionnel chaotique, ma vie sentimentale compliquée et mes nombreux voyages auraient pu développer en moi un instinct de chasseur et susciter la méfiance d’un couple comme le leur, mais ma timidité et ma réserve donnent généralement l’image d’un homme discret, courtois et serviable . Ce que suis en réalité.
Ceci étant, je n’ai jamais été indifférent au charme – et aux charmes – de Marie Paule. Sans être un canon, elle est, à 49 ans, ce que l’on appelle une belle femme. : plutôt petite avec quelques rondeurs sur le ventre, les fesses et les cuisses... D’un naturel doux voire docile j’ai assez vite remarqué qu’elle attirait la convoitise des hommes... Je ne faisais pas exception. Plus d’une fois, de retour chez moi, je me suis masturbé en pensant à elle, sans aucun complexe.
Au début de l’année, ils m’ont proposé de passer les grandes vacances avec eux, sans les enfants devenus étudiants, dans un camping de l’Hérault qu’ils avaient découvert l’année dernière. La perspective de passer une nouvelle fois plusieurs jours aux côtés d’un fruit aussi appétissant que la femme de Jacques m’enchantait et m’effrayait à la fois. Je dis oui et nous partîmes début août nous poser dans un camping somme toute sympa, en bord de rivière et pas trop surpeuplé.
Un matin après le petit déjeuner, Jacques déclara tout de go qu’il se chargeait des courses et partit seul, sa femme ayant manifesté l’envie de rester au bord de l’eau pour profiter du soleil. Nous restâmes tous les deux allongés et silencieux au bord de la rivière pas loin des tentes, bercés par le bruit de l’eau. Je ne sus jamais si cela était un fait exprès, mais je m’aperçus vite que Marie-Paule m’offrait une vue plongeante sur ses cuisses ouvertes et que sa courte jupe ne les recouvrait plus. Je fus pris instantanément d’une érection difficile à cacher. Prenant son attitude comme une invitation et perdant toute retenue, je m’approchai d’elle et posai sans hésiter ma main au-dessus de son genou. Le contact de sa peau m’électrisa. Comme elle ne disait rien et gardait les yeux fermés. Je commençai à lui caresser la cuisse en remontant jusqu’à sentir le contact de son autre cuisse au dos de ma main, puis, sous mes doigts, celui de sa petite culotte mal ajustée. Je me penchai sur son visage et l’embrassai. Sa bouche s’ouvrit immédiatement pour livrer passage à ma langue pendant que mes doigts s’aventuraient avec précaution dans l’échancrure de sa culotte. Je jouai quelques instants avec les contours de son sexe bordés de poils soyeux, Mon index trouva rapidement son clitoris, et des trois doigts suivants, je l’ouvris comme un fruit mûr.
J’avis du mal à réaliser ce qui se passait. J’étais enfin en train de goûter à l’objet de ma concupiscence : le corps doux, chaud et généreux de la femme de Jacques. Marie-Paule mouillait abondamment. Mes doigts exploraient ses plis intimes et s’enfonçaient par deux ou trois dans le vagin large et profond. Je me servais de mon pouce resté sur l’aine pour contrôler l’écartement des lèvres de son sexe. Je continuais par ailleurs à lui rouler une succession de pelles magistrales l’écoutant gémir doucement et monter vers le plaisir.
Au bout de quelque minutes et, me semble-t-il, après un premier orgasme, Marie Paule plaça ses mains sur mes épaules pour m’obliger à descendre le long de son corps. Je l’entendis balbutier : — « Bouffe moi la chatte… lèche moi… lèche moi salaud…»
Je lui léchai au passage les seins puis le ventre avant d’atteindre sa moule alanguie et moite dans laquelle je m’attachai à enfouir l’essentiel de mon visage. Le nez sur la toison abondante, j’humais la forte odeur de sexe qui émanait d’elle. Ma bouche goûtait les chairs ruisselantes et, avec la langue, je tâchais de lubrifier encore plus, pour autant que cela fut possible, la vulve de la femme. J’étais dans un rêve liquide et je sentais couler un délicieux mélange sur mon menton. Des deux mains j’écartais les lèvres de son sexe, lui pressais le bouton du clitoris et lui tâtais avidement les cuisses, tout au bord du con, là où la chair, plus brune qu’ailleurs, est si douce. Elle se mit à bouger le bassin pour mieux gluer sa fente à mon visage et se masturber contre ma bouche. Rapidement, je l’entendis jouir une deuxième fois, prise de tremblements …
Etait-ce la première fois, me demandai-je, qu’un autre homme la lèche ? Est-ce que, une fois son mari au travail et ses enfants à l’école, d’autres hommes la fourgonnaient comme je m’apprêtais à le faire ? Où ? Chez elle ? Chez eux ? Dans leur voiture ? Dans des parkings ? En plein air ou souterrains ?
Ma bite tressautait à l’étroit dans mon slip et pantalon, cela me faisait mal, il fallait que je la libère, que je m’enfonce au plus profond de cette femme offerte... Je me redressai pour la pénétrer. Elle était trempée de salive et de mouille et j’entrai en elle comme dans du beurre. Quelle facilité ! Littéralement avalé, j’appréciai de toute la longueur de ma bite les dimensions de la cavité chaude. Marie-Paule se tendit et respirait de plus en plus vite. Ses gémissements reprirent de plus belle. Je la labourais à grands coups de bassin, les mains calées sur ses cuisses, lui écartant les jambes de tout mon poids. Je ne pouvais détacher mes yeux de la fente grande ouverte happant mon membre comme un mollusque glouton. Dieu qu’elle était large ! Je m’attachais à la pénétrer jusqu’à la garde pour mieux la posséder, frottant mon gland contre ses parois, à gauche, à droite, à gauche, à droite … et me retirant parfois entièrement pour mieux me voir replonger dans la balafre. Les yeux rivés sur nos sexes emboités j’écoutais, à chaque coup de boutoir, les clapotis obscène de son vagin.
J’étais en rut. Je m’imaginais taureau baisant une vache en plein champ. Ou bien partouzard dont le tour arrive d’enfiler, après bien d’autres, une grosse pouffe inondée sur le canapé d’un club échangiste. J’imaginais Jacques, revenu en catimini, en train de se masturber devant sa femme prise par un autre.… Au risque de refroidir Marie-Paule je me laissai aller à lui proférer des mots que je n’emploie pas d’ordinaire avec mes partenaires sexuelles :— « Oh Marie-Paule, c’que tu es bonne !… J’aime ta chatte … j’aime te baiser … J’te baise bordel … » agrémenté de : « t’aime la queue ? Tu aimes ma queue ? Oh salope ! J’te baise ! Laisse-moi te baiser comme une salope ! »Et elle de haleter, une main sur le ventre, l’autre devant la bouche :— « Oui… j’aime ta queue, t’as une grosse queue, fourre moi… fourre moi ta grosse queue … J’suis une putain… Prends moi comme une putain ! »

Elle jouit assez vite, bruyamment, cessant ses coups de rein et agitée de tremblements : — « Je jouis ! Oh je jouis ! ooooh ! oooooohhh ! décharge ! décharge salaud ! fourre moi ! »
J’accélérai le mouvement en la pilonnant comme un forcené, à lui dévisser le con. Je lui annonçai que j’allais venir. Sur quoi elle se redressa en posant ses mains sur ma poitrine et me demanda de la prendre dans la bouche. — « Laisse moi te sucer, je veux te boire… Viens par là… Je veux boire ton sperme. »
A genoux je lui présentai ma bite dressée, pulsante, luisante de jus. Elle se pencha et l’engouffra goulûment. Je lui pris la tête entre les mains pour lui imprimer un furieux mouvement de va-et-vient, concentré sur les incroyables bruits de succion de la fellation. Très vite je sentis mon sperme sourdre de mes testicules qu’elle tenait sur sa paume et j’éjaculai dans un grognement. Elle m’astiqua avec application, pressant du pouce le conduit sous ma verge afin de me vider de tout mon foutre. Elle déglutit avec un petit hoquet, en fermant les yeux, la tête baissée.
Les préliminaires et la séance de baise n’ont pas duré en tout plus d’une demi-heure. Il nous fallut dix bonnes minutes supplémentaires pour reprendre une respiration normale et nous calmer. Je la regardais et la pris dans mes bras avec tendresse éprouvant une joie intérieure intense et une grande gratitude. Mais elle évita mon regard, se dégagea assez vite de mon étreinte et entreprit de rajuster ses vêtements. — « Va-t’en, Jacques va arriver d’un moment à l’autre »
Son mari arriva effectivement cinq minutes plus tard alors que j’achevai juste la vaisselle du petit déjeuner, tâche entreprise dans l’unique souci d’être occupé à son retour et éviter ainsi d’avoir à croiser trop franchement son regard.— « Dis donc la vaisselle c’est avec les mains pas avec la tête ! » dit il en riant.
J’en avais effectivement profité pour me rincer la figure. Je lui souris idiotement comme un petit garçon peu habitué aux tâches ménagères. Je ne pouvais tout de même pas lui dire que c’était pour éviter qu’il sente l’odeur de la chatte de sa femme sur moi ou qu’il trouve un ou deux de ses poils pubiens dans mes narines ! Cette pensée faillit me faire rire mais je m’en suis abstenu.
Si nous parlâmes peu cette journée là, le reste du séjour se déroula sans aucun incident. Nous reprîmes nos plaisanteries à trois, les baignades et les grillades. J’évitai toutefois de les accompagner systématiquement aux soirées du camping, consolidant ma réputation de garçon discret soucieux de les laisser passer du temps entre eux. J’avais la tête un peu vide et ne pensais en fait qu’à une chose : la toison et la fente de Marie-Paule. J’espérais qu’à la faveur d’une nouvelle course en ville, je me retrouverai à nouveau seul avec Marie-Paule. Je voulais la prendre rapidement, debout contre un mur, une jambe enroulée autour de ma taille et sa balafre goulue ouverte de guingois. Je voulais qu’elle se jette sur ma bite comme une affamée et me prodigue une longue fellation sonore que j’aurais conclue sur son visage. Je voulais à nouveau transformer cette femme douce et mignonne en putain.
L’occasion ne s’est pas présentée et nous nous sommes dit au revoir à la fin des vacances lorsqu’ils m’ont déposé en bas de chez moi. Je m’apprêtais à les recontacter après un silence inhabituellement long de leur part, lorsqu’un jour je reçu un courrier électronique de Jacques qui disait en substance :
« Salut vieux, C’est assez difficile pour un mec d’écrire à quelqu’un qui a tronché sa femme. Mais bon, il faut que l’on se mette d’accord sur une ou deux petites choses : la première c’est que nous ne souhaitons pas te revoir, ni elle ni moi. Tu en as bien profité, tu as pris du bon temps, maintenant tu es prié de ne pas nous contacter et de lui foutre la paix. La seconde c’est que tu es un pauvre mec et que tu finiras tout seul. Si tu étais moins tordu peut-être que tes employeurs et tes soi-disant copines te garderaient. Allez, adieu pauvre con ».
Je ne les ai donc plus revus. Peut-être un jour qui sait ? En attendant, je me demande toujours combien sont-ils ceux qui ont goûté à la femme de Jacques ?
… et Je me masturbe encore très souvent en pensant à elle.
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