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Dans la jungle

Chapitre 1

Trash
La respiration haletante, je m’échappai enfin, caché parmi les fougères de l’île. J’en croiserai d’autres c’est certain, il ne reste seulement qu’à ne pas me faire prendre. J’avançai, accroupie, toujours de buisson en buisson en longeant la route pour ne pas me perdre dans l’immensité de l’île. Mon pantalon beige, large à la manière des treillis militaires et mes rangers me permettaient de progresser sans me blesser dans les ronces sauvages. Mon t-shirt noir laissait deviner ma poitrine libre, dont le tissu frottait contre la pointe de mes seins, les faisant ressortir. Je portais une petite hachette à ma ceinture que j’avais prise à un de ces gars pour me défendre dans le cas où j’aurais à le faire. Un petit nombre d’animaux sauvages avait croisé ma route depuis le début de mon périple et aucun ne m’a véritablement repéré, je n’avais par conséquent, pas encore usé de mon arme.Un bruit arrivait de loin derrière moi, se rapprochant à une vitesse folle. C’était le moteur d’une de leur jeep, puisqu’il n’y avait qu’eux sur cette partie de l’île. Je restais accroupie, j’hésitais même à me coucher totalement dans l’herbe mais il était désormais trop tard pour faire un seul mouvement. La jeep passa devant moi. Ils étaient trois dedans: un au volant et deux autres qui guettaient à l’arrière. Ils ne m’ont pas vue, heureusement pour moi. Mais ils devaient sûrement me rechercher parmi ceux qui se sont échappés.Je continuai ma lente progression, je ne savais même pas où j’allais. Un rire s’éleva dans les airs et une voix l’accompagna. Je me collai contre un arbre, dans un buisson à feuille douce qui me caressait la peau. J’entendais des bruits de pas qui se rapprochaient, leurs bottes en cuir qui s’enfonçaient dans les graviers. Ils ne parlaient plus, mais j’entendais toujours leurs pas qui arrivaient dans ma direction.Un premier passa devant moi, l’arme dans le dos, d’un pas sûr et décisif, semant son coéquipier d’une dizaine de mètres. Le deuxième dépassa l’arbre où j’étais caché de quelques mètres puis se retourna dans ma direction. Merde, j’étais foutue. Un foulard couvrait sa tête et sa bouche, j’apercevais avec peine ses yeux depuis mon emplacement, impossible de dire s’il m’avait vu. Il s’approcha de l’arbre à côté de moi. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette. Il fourra ces mains dans son caleçon en continuant d’avancer et sorti son membre juste devant moi. Au dernier moment il se stoppa net, il venait de me repérer.
Et merde, les prisonniers qui s’échappent, ils les achèvent à vue et la menotte accrochée à mon poignet ne peut que l’inciter à le faire. Je dus réagir vite pour éviter tout conflit.J’attrapai de ma main menottée son sexe toujours sorti que j’engouffrai dans ma bouche. Il me regardait avec de grands yeux sans avoir pu faire aucun mouvement et se laissa finalement faire. Lorsque je rabaissai mes yeux, je vis que son membre était déjà bien gonflé de désir. Alors je recommençai. Je pris son érection en main et léchai avec avidité le bout de son gland. Il descendit son foulard avec sa main pour laisser entrevoir sa bouche à moitié ouverte, comme pour mieux respirer, ses yeux toujours fixés sur moi. Je serai mes mains encore plus fort autour de sa verge gorgée de sang. Quelques gouttes sortaient, que je léchai sans hésitation. J’enfonçai son membre jusque dans ma gorge, il gémit un cri de surprise au vu du plaisir que ça lui procurait.Il ne parlait pas, il se contentait de regarder ma bouche faire des allers et retours sur sa verge en insistant sur les lèvres lorsqu’elles arrivaient au gland. Je laissai couler quelques filets de salive le long de son organe pour me faciliter la tâche. Je posai mes mains sur sa ceinture pour me rapprocher de son caleçon, que je descendis un peu plus pour attraper ses bourses bien remplies que je fis glisser entre mes doigts. Il avait l’air d’aimer ça. Il posa ses mains sur ma tête pour pouvoir suivre mes mouvements. Le son de ma bouche qui suçait son membre le fit serrer ses mains sur mes épaules. Il descendit ses doigts jusqu’à atteindre mon décolleté. Mes tétons raidirent sous le coup de l’excitation. Je m’étonnais à me sentir mouiller. Il continuait de descendre jusqu’à la pointe de mes tétons. Il remarqua leur dureté et les caressa doucement par-dessus le tissu. Je laissais sortir un petit cri de plaisir qui lui plut, puisqu’il s’éternisait dessus. Je continuai de le sucer tout en jouant avec ses boules pleines. Il laissa sortir des légers sons de plaisir. Puis il retira entièrement son foulard, qui laissa apparaître une tresse de cheveux bruns.Il redescendit sa main avec douceur mais cette fois, il passa sous mon débardeur et empoigna fermement mon sein gauche. Il mit sa deuxième main derrière ma tête comme pour accélérer son plaisir. Je faillis m’étouffer mais je réussis à me dégager pour lui faire comprendre de se mettre autrement. Puis, il ferma les yeux, au bord de l’extase, et je sentis les saccades de la fin se cogner contre ma langue. Pendant que j’engloutissais, il commença à s’asseoir et se coucha sur le dos devant mon regard étonné.
— Aaah, ça faisait longtemps.
Je ne sus quoi répondre, je commençai à bouger lentement pour partir et il enchaîna:
— Tu fais partie de ces gens qui se sont échappés du camp des pirates ?
Je le regardai, étonnée, je ne comprenais pas, pourquoi s’excluait-il de ces monstres ?
— Ne t’inquiète pas, je fais partie des rebelles, je suis en infiltration, c’est pour ça que tu m’as vu marcher avec l’autre.— C’est vrai ? — Oui, dit-il en souriant, si tu veux que je t’amène au camp, il va falloir qu’on se donne rendez-vous dans un endroit à l’abri des pirates, ça sera plus facile et je ne serais pas vu en train de les "trahir". Je m’appelle Wart.— Bah salut moi c’est Keyne, répondis-je confuse et un poil gênée.
Il sortit une carte et y plaça une croix puis me la donna.
— Bien, je vais me dépêcher, l’autre tardera pas à faire demis tour s’il ne me voit toujours pas arriver. C’était bien sympa de te connaître, rajouta-t-il avec un air joueur.
Ce fût une présentation tout ce qu’il y avait de plus rapide et bizarre, je ne savais pas quoi rajouter d’autre. Il me donna un lieu de rendez-vous, en haut d’une colline à 2 kilomètres d’ici à la nuit tombée, où seraient situés des vieux débris d’un ancien temple pour que je puisse m’y cacher en l’attendant. Nous nous séparâmes chacun de notre côté. Mais je ressentais encore ce désir en moi, je devais trouver un moyen pour arriver à ma fin, ne serait-ce que pour être à égalité avec Wart.
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