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Dans les bois avec vieux bien membré

Chapitre 1

Gay
J’ai mis en ligne des photos de ma queue bien dure et bien rasée sur un site où les hommes peuvent le faire. Il y a aussi une photo de mes fesses.
Je demande dessus si quelqu’un de 70 ans ou plus voudrait venir dans ma ville et m’emmener dans sa voiture pour la sucer à fond.
Il y a des bois et des coins tranquilles près de chez moi que je connais car je fais beaucoup de vélo. Je ne peux pas recevoir chez moi.
Un vieux prêtre de 75 ans se caresse souvent la queue derrière son ordinateur en regardant mes photos, surtout mes petites fesses même si je demande juste à me faire sucer.
Sa queue se dresse grave en voyant mes photos ; une bite poilue de 20 centimètres de long au moins avec de grosses couilles et qui a de gros besoins ; ça lui arrive de se branler une bonne quinzaine de fois par jour. Mais là depuis une semaine, il ne se branle plus, laissant ses couilles grossir au maximum, car il veut répondre à mon annonce et les avoir bien pleines et là elles sont vraiment grosses; il veut me les montrer bien pleines de jus.
Un soir, il me répond et il vient me chercher à la gare où j’habite. C’est un vieux assez bedonnant et quand je suis monté dans sa voiture je vois une grosse bosse dans son pantalon ; il a pris un bon fortifiant avant de venir.
Il me met tout de suite la main dans le slip et je baisse mon pantalon ; ma queue est fraîche et bien rasée ; je bande comme un âne ; il la serre fort pour bien me montrer qu’elle est à lui maintenant ; il me tient par les couilles pendant qu’il conduit sa voiture ; on arrive dans un endroit discret et je suis complétement à poil dans sa voiture.
Il sort de la boîte à gant une crème pour la rendre encore plus dure et me met un collier qui met ma queue bien en avant et il serre bien; ma queue est dure comme du bois avec mes couilles bien en évidence pour qu’il puisse bien les attraper.
Il sort sa queue aussi en se la caressant quand je sors de la voiture pour aller dans les bois; je dois marcher à poil (avec mes chaussures) pour le suivre et il me tient par les couilles.
Il me caresse les fesses pendant que je marche devant lui sa bite à l’air qui dépasse de sa braguette avec ses grosses couilles qui dépassent aussi ; c’est vraiment une grosse bite d’homme avec des poils partout; il s’est juste rasé les couilles; elles sont vraiment grosses; la mienne ressemble vraiment à une queue de minet à côté de la sienne et ça lui plait beaucoup.
— Mets-toi contre l’arbre, m’a-t-il dit, et je dois poser mes mains sur l’arbre.Tu vas être un bon minet ? Et je mets mes fesses en arrière ; il les caresse et me met un doigt dans le cul ; je me suis fait un lavement avant et j’ai le cul bien propre aussi. Il en profite pour mettre deux doigts et les enfonce bien profond.— Bon lapin ; j’ai envie de voir bouger ta queue ! a-t-il dit.
Il me met une fessée et regarde ma bite bouger dans tous les sens; il en profite pour me mettre des claques sur ma queue dure et bien dressée et j’aime bien ça; j’avoue que ça me fait bander encore plus et je la mets le gland bien en avant. Je n’ai jamais bandé autant.

— C’est bien mon lapin ; maintenant je vais te l’astiquer ; je veux la voir cracher. C’est mon sperme maintenant ; je vais te vider à fond et de plein de façons ; j’ai faim ; je vais me nourrir à ta bite aussi ; tu la donnes tant que j’ai faim.
Il m’astique à fond avec le gland à l’air pendant une bonne heure et il la regarde en train de gicler en la mettant bien en avant quand je viens; ça l’excite encore plus de voir mon sperme partir en l’air.
Je suis de dos contre l’arbre et il me tient par les hanches et je sens sa queue dans mon sillon ; il va de haut en bas avec son gros gland qui fouille le sillon de mes fesses et je l’entends cracher dans sa main et il s’ enduit le gland avec.
Il m’encule d’un coup sec pour me montrer que c’est lui l’homme et ça me fait du bien j’avoue ; j’ai toujours fantasmé là-dessus. J’ai sa grosse queue enfoncée au fond du cul ; c’est la queue au fond des fesses qu’il m’attrape la queue et l’astique pendant qu’il fait des allers et retours avec sa queue.
Il la maintient fermement et la serre à la base le gland décalotté ; il me trait plus qu’il ne me branle et j’éjacule à au moins trois mètres.
— C’est bien t’es une bonne vache à sperme ; à quatre pattes ; j’ai envie de te traire.
Je le laisse me traire comme une vache.
Je voulais me faire sucer, mais je suis maintenant sa vache à sperme ; c’est sa façon de vider les couilles, alors je me mets à quatre pattes, le cul bien en arrière.
Il veut m’enculer comme ça en fait. Il prend son pied à me prendre le cul en arrière et les jambes ouvertes avec ses grosses couilles qui se balancent sur les miennes; je les sens taper contre les miennes et il tape fort; c’est ma première fois dans le cul et il le sait car mon petit trou est très serré et ça lui plaît de le dilater avec sa grosse queue. Il la sort et la remet pour bien me dilater.
Je suis maintenant devenu sa femelle et il me prend vraiment comme une chienne ; il m’entend crier et ça l’excite encore plus ; il me prend comme ça pendant deux bonnes heures et se vide entièrement les couilles dans mon cul. Il m’astique en même temps et je sens son sperme couler en même temps entre mes fesses.
— Bonne chienne ; tu vas me servir de vide couille.
Après il sort sa queue pleine de sperme et je lui nettoie entièrement la queue en la léchant en commençant par les couilles et en remontant jusqu’à son gland, il a aussi envie de se faire sucer ; je lui pompe la queue et lèche ses couilles pendant un bon moment.
J’ai du sperme plein la bouche et je dois tout avaler.
Je ne peux pas remettre mon slip avec tout ce sperme dans mon cul ; j’éjecte tout devant lui en mettant la main pour tout récupérer et en mettant tout son sperme dans ma bouche en n’oubliant pas une goutte ; il veut que je boive tout son sperme et je le suce encore quand il me laisse à la gare. J’ai sa queue dans la bouche et je le pompe à fond pendant que je le branle.
Dès qu’il a les couilles pleines maintenant je dois retourner dans ce bois directement et l’attendre à quatre pattes et à poil les jambes écartées pour qu’il m’encule et se vide tant qu’il veut. 
Bonne journée ; SEBDU78.
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