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Dans la maison de nos voisins

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Maud et moi étions installés depuis un mois dans ce petit village quand nous avons fait la connaissance des propriétaires de la maison mitoyenne, leur résidence secondaire. Caroline, Julien et leur fille unique Déborah vivaient en région parisienne. Ils ne venaient ici qu’à l’occasion des vacances scolaires ou de week-ends prolongés. Ils avaient à peu près nos âges, une petite quarantaine. Déborah avait dix-huit ans.Nous nous sommes tout de suite bien entendus, à tel point que dès leur venue suivante, fin avril, ils nous confièrent les clés de leur résidence, au cas où quelque chose arrivait en leur absence. De plus, ils nous proposèrent de nous prêter des outils de jardin qu’on ne possédait pas.
Il est très bizarre de pénétrer chez les gens en leur absence, y compris quand on a leur autorisation. Mais nous avons tardé à le faire. Il fallut qu’un violent orage éclate, de grêle puis de pluie, mêlé de puissantes rafales de vent. Une coupure d’électricité nous plongea dans la pénombre pendant presque deux heures ce soir-là. Nous avons allumé des bougies et ouvert un excellent vin rouge, en nous disant que si c’était la fin du monde qui s’abattait sur nous, autant se faire plaisir.L’étrange ambiance qui succéda à l’orage, combinée aux effets de l’alcool, donna envie de baiser à Maud. Elle me le fit savoir en prenant ma main pour la poser sur sa cuisse. J’en avais envie aussi, mais je lui ai dit qu’auparavant, je devais aller faire un tour dans la maison de Caroline et Julien, des fois que le vent aurait causé des dégâts sur le toit ou ailleurs.Elle répondit qu’elle m’accompagnait.L’électricité était toujours coupée. Nous avons pris une lampe de poche chacun et sommes sortis.
La cour et la route étaient jonchées de feuilles et de branches brisées. Nous avons gagné la maison voisine et j’ai ouvert. Maud a refermé la porte et je me suis dirigé directement vers l’escalier qui menait à l’étage, puis au grenier. Maud resta au rez-de-chaussée. Nous n’étions entrés que dans la cuisine jusqu’à ce jour. Elle souhaitait visiter le salon.Là-haut, je me suis mis à examiner les ardoises du toit, puis le plancher, les meubles et les affaires entreposés, en quête d’une éventuelle infiltration d’eau. Pendant ce temps, j’ai entendu les pas de Maud grimper les marches jusqu’à l’étage où se trouvaient les chambres. La poignée d’une porte a couiné et j’ai poursuivi mon exploration du grenier. Apparemment, il n’y avait eu aucun incident.Je suis descendu.
A l’étage, dans la chambre de droite, j’ai trouvé Maud en train d’examiner le contenu d’une grande armoire. Sa lampe était posée au bord d’un lit, derrière elle.
— Qu’est-ce que tu fabriques ? dis-je.
Elle répondit sans me regarder :
— Je fais ma curieuse.
Je me suis mieux avancé. L’armoire était à moitié garnie de vêtements pendus à des cintres. Maud les passait en revue, comme si elle s’était trouvée dans un rayon de magasin.
— Ne touche à rien.
— T’inquiète, dit-elle. Si je touche, je remettrai tout en place, bien comme il faut.
J’ai promené le faisceau de ma lampe autour de nous. Nous étions dans la chambre de Caroline et Julien. Il y avait deux tables de nuit, deux lampes de chevet, deux oreillers. Maud a dit :
— J’adore cette robe.
Je me suis tourné vers elle. Elle avait décroché un cintre pour bien me montrer la robe. Elle était blanche, ornée de grandes fleurs rouges, orange et jaunes, un peu rétro.
— Oui, elle est jolie.
Elle fit pivoter la robe en disant :
— Regarde, elle s’attache dans la nuque avec ces deux ficelles. Le dos est nu, tu ne peux pas porter de soutif. Un peu comme la petite noire que je me suis achetée l’été dernier, tu vois ?
Je voyais très bien.J’ai répondu :
— On rentre à la maison ?
Elle n’a rien dit. Elle m’a adressé un sourire, puis elle est revenue à la contemplation de la petite robe d’été.
— Tu ne vas quand même pas l’essayer ? — Pourquoi pas ? dit-elle.
J’ai soupiré :
— Maud...
Elle a dit :
— J’ai une idée de jeu.
La dernière fois qu’elle m’avait dit ça, nous venions de recevoir la visite d’une jeune femme qui s’occupait du recensement de la population. Une jolie brunette qui devait avoir vingt-cinq ans et qui avait accepté de boire un verre avec nous. Après son départ, nous avions bu un autre verre, puis Maud avait prononcé ces mots : « J’ai une idée de jeu. »J’avais adoré l’idée.Elle était allée changer de tenue dans la chambre, avant de sortir de la maison sans que je la voie, puis elle avait sonné. J’avais ouvert la porte et elle m’avait dit :
— Bonsoir, je m’occupe du recensement de la population.
Elle portait un petit chemisier noir, légèrement décolleté, et une jupe très courte, la plus courte qu’elle possédait, couleur cerise. Je l’avais invitée à entrer, puis à s’asseoir dans le canapé. Elle avait parfaitement joué son rôle. Moi aussi, il me semble. Nous avions fait durer la rencontre et les dialogues, de sorte à bien faire monter l’excitation.Au final, je m’étais donc tapé la nana qui s’occupait du recensement, dans le canapé du salon. Je n’avais pas eu l’impression de baiser avec Maud ce soir-là, tellement nous étions investis dans nos rôles. Inversement, ce n’était pas moi qui l’avais prise en levrette et à poil dans ce canapé, c’était un inconnu qui lui avait ouvert sa porte.
Alors, chez nos voisins Caroline et Julien, dans cette chambre éclairée aux lampes de poche, sous l’effet du vin rouge succulent qu’on avait bu juste avant de venir ici, j’ai laissé Maud m’exposer son idée.Elle l’a fait en ces termes-là :
— Tu vas revenir chez nous et moi je vais rester ici. C’est un soir où il y a eu un gros orage. L’électricité a sauté. Je ne suis pas là, tu es tout seul à la maison. De son côté, Caroline est toute seule aussi. Elle n’est pas très rassurée et elle n’a pas de bougies, alors elle vient sonner chez nous.
J’ai mis quelques instants à répondre.J’adorais l’idée.Je me suis même mis à bander légèrement.J’ai dit :
— Tu vas mettre des vêtements de Caroline ? — Oui, et des sous-vêtements si j’en trouve, mais je doute qu’elle en ait laissé. Je verrai bien, je vais fouiller. Et je te promets que je remettrai tout bien en place ensuite. Tu es d’accord ?
J’ai ravalé ma salive et j’ai répondu :
— J’adore, mais j’ai une suggestion : c’est moi qui viens sonner ici pour demander à Caroline si elle a des bougies. Ça commence à me plaire qu’on soit dans cette chambre. — Moi aussi, dit-elle. J’ai envie de passer un petit moment à fouiller, pour voir ce qu’il y a et quelle tenue je peux mettre. Tu me laisses une petite demi-heure ? — Ça va être long... — Oui, mais ça va être bien excitant. Je vais soigner ma tenue.
J’ai accepté.
Je suis revenu chez nous et me suis servi un verre. J’ai tourné en rond en fumant une cigarette et en surveillant l’heure qu’il était.Deux cigarettes et un autre verre.Puis je suis allé sonner chez nos voisins, avec ma lampe de poche.Caroline a mis une minute à ouvrir.Elle portait sa petite robe rétro à grosses fleurs et elle avait attaché ses cheveux en chignon. Elle était pieds nus.Elle m’a invité à entrer et m’a précédé dans la cuisine. La robe ne tenait effectivement que grâce à deux ficelles nouées dans la nuque. Le dos était nu jusqu’au niveau du coccyx. Je me remis à bander sévèrement, à tel point qu’une fois qu’on s’est retrouvés dans la cuisine à la lueur de nos lampes, j’ai dit à Maud :
— Je ne vais pas tenir. — C’est vrai ? dit-elle.— Oui, ça m’excite trop. Je ne vais pas avoir la patience de mener un long dialogue. — J’avoue que je suis impatiente aussi. Tu proposes quoi ?
J’ai soupiré. Je n’en pouvais plus.J’ai répondu :
— On n’a qu’à se faire des dialogues de mauvaise vidéo porno amateur ? Bien crus et pas crédibles ?
Maud a souri :
— Oui, bien cru, ça me va. Tu commences ?
J’ai fermé les yeux et j’ai inspiré, le temps de me mettre dans la situation. J’ai rouvert les yeux et dit :
— Tu es toute seule aussi ? — Oui, dit Caroline. Julien est allé voir ses parents avec Déborah. Ils seront de retour demain. Toi aussi, tu es seul ? — Oui, Maud passe le week-end chez une copine. J’aime beaucoup ta petite robe. Elle te va très bien.
Elle a baissé les yeux vers sa robe, puis les a relevés :
— Moi aussi, je l’aime bien. Je l’ai achetée dans une friperie pour deux euros. Mais Julien n’aime pas que je la porte. — Pourquoi ? — Parce que je suis obligée d’avoir les seins nus dessous. Avec un soutif, ce serait affreux. Du coup, je la mets quand il n’est pas là. — Elle est vraiment jolie. — Merci, dit-elle en tournant sur elle-même et en riant. Ça me fait plaisir que quelqu’un me voie la porter. J’étais dans la chambre en train de régler la hauteur du nœud dans ma nuque quand tu as sonné. — Il se règle ? — Oui. Ça détermine le dénudé du dos. Tu peux la faire descendre assez bas, mais dans ce cas, il ne faut pas que je mette de culotte, sinon on la voit et c’est de très mauvais goût. — Et là, tu en portes une ? — Non, je suis à poil dessous. Mais quand ça a sonné, je ne savais pas qui c’était, alors j’ai remonté le nœud. — Et si tu le descends, on voit jusqu’où ? — A peu près jusqu’à la moitié de mon cul. Et en même temps, ça fait descendre le devant. Du coup, on voit quasiment mes tétons. Tu veux que je te montre ? — Avec plaisir.
Sur ces mots, elle a dénoué les ficelles dans sa nuque, puis le tissu a glissé sur sa poitrine. Elle l’a ajusté, puis rectifié. Elle a hésité. On voyait ses tétons.Elle a levé les yeux vers moi en disant :
— C’est le maximum. Ensuite je ne peux plus faire le nœud. Mais Julien trouve que ça fait salope si on voit mes tétons. — Tes tétons et la moitié de ton cul, dis-je.— Oui, dit-elle. C’est vrai que ça fait peut-être un peu salope.
J’ai éclaté de rire.Maud aussi.
— Désolée, dit-elle.— C’est ma faute, dis-je. Mais cette robe est terrible. Tu crois que Julien et Caroline s’amusent de cette façon quand elle la porte ? — J’ai un doute. Cette nana me parait très pudique. Voire même un peu coincée. Mais va savoir, si ça se trouve ils se font des gros trips bien pervers quand leur fille n’est pas là. Tu veux vraiment en rester là ?
J’ai fait non de la tête.
— De quoi tu as envie ? dit Maud.
J’ai rassemblé mes mots patiemment, puis j’ai répondu :
— Là, sur le moment, tu veux vraiment savoir de quoi j’ai envie ? — Oui. Dis-moi. — J’ai envie de coucher avec Caroline, dans sa chambre. J’ai envie qu’elle se foute à poil et qu’on aille sous les draps, à la lueur d’une lampe de poche. J’ai envie de la pénétrer sans préservatif.
Maud a souri.Elle n’a rien dit.Elle a pris l’escalier et je l’ai suivie.Moins d’une minute plus tard, j’enfonçais ma queue dans sa chatte. Elle était trempée. Dans la pénombre, Caroline m’a dit :
— Moi aussi, j’avais envie que tu me pénètres sans te protéger.
Nous avons baisé de cette façon pendant un bon quart d’heure, dans le lit de nos voisins, à poil. J’ai pris Caroline par derrière, puis je l’ai enculée. Je me suis retiré pour la reprendre par la chatte, puis j’ai déchargé au fond. Le sperme s’est mis à déborder et à couler le long de ma queue et de mes couilles, mais je bandais encore, alors j’ai continué à baiser ma voisine.
Jusqu’au moment où Maud a fait en sorte que je me retire.Je tenais ses fesses à pleines mains à ce moment-là.Dans la pénombre, elle m’a dit :
— J’ai une autre idée de jeu, mais je ne sais pas si tu vas être d’accord. — Dis-moi.
Je me branlais doucement en attendant. Ma bite était glissante à cause de la mouille et du sperme qui avait coulé.Maud a fini par me dire :— Dans la chambre de Déborah, j’ai trouvé un petit maillot de bain deux-pièces, fuchsia, ravissant. Je suis sûr qu’il va m’aller. Ça te dit de baiser avec la fille de nos voisins ?
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