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Dans mes montagnes

Chapitre 1

Erotique
Le torrent
— Lise, ma grande, il va falloir que tu te bouges un peu !
Voilà cinq jours que je suis rentrée de trois mois d’opération extérieure, et depuis je fais la marmotte. Il faut dire que ça a été plutôt éprouvant avec la chaleur tenace, le sable qui s’insinue partout et vie en autarcie sans intimité, et avec les tensions dans le pays, les sorties touristiques étaient interdites.
Bref, aujourd’hui il faut que je me bouge.
J’ouvre les volets du chalet, ciel azur, pas de vent et le soleil bien qu’il ne soit pas levé depuis longtemps nous promet une douce chaleur estivale. Temps parfait pour une rando.
Rapide passage à la douche, je tresse ma longue chevelure rousse, léger maquillage pour faire souligner mes yeux bleus. Un petit short et un crop top suffiront bien. J’attrape le sac à dos, la veste chaude de pluie, un bon bouquin, le jambon, le fromage, les fruits secs, me restera plus que le pain à prendre sur le chemin.
Je pourrais partir à pied de chez moi, mais je préfère m’avancer en voiture pour monter un peu plus haut vers les alpages et gagner en quiétude. Je décapote mon Jimmy et en route pour le grand air.

Je suis née ici dans les Hautes Alpes il y a 28 ans, y est passée toute ma jeunesse et ne quitte mes vallées qu’au gré de mes missions. Je ne me vois pas vivre ailleurs, au milieu de ces sommets qui vous rappellent que quelle que soit la saison, le décor n’est jamais le même. On y est bien, pas trop loin de Gap, des petits commerces pour la vie de tous les jours, mais un peu excentré du principal grand axe ce qui permet de ne pas subir la circulation pendant les vacances. Je vis dans un chalet typique du coin, que j’ai presque fini de restaurer dans une ambiance contemporaine du moins à l’intérieur. Traditionnel en façade et tout le confort à l’intérieur ; le spa est livré en fin de semaine.
En ce début de vacances d’été, les touristes sont là. Il va falloir ruser pour se trouver un petit coin tranquille.
Direction le fond d’une vallée enclavée, sur une petite route pas bien large et qui tournicote à souhait. Vu le profil, peu de monde s’aventure ici. Enfin en théorie, le parking de l’aire de retournement est déjà bien rempli. Il y a de tout, ceux qui sont venu jusqu’ici pour sortir glacière, table et chaises, un jeune couple qui s’éloigne main dans la main, la petite famille qui vient faire découvrir la montagne à ses enfants, et les traditionnels Bidochon qui vont attaquer la rando en tennis de ville, tenues complète du club de foot, des provisions qui tiennent dans une banane et une bouteille d’eau à la main. Pour compléter le tableau, les gamins et leurs chiens courent partout ; des clients pour le PGHM.
Je m’installe pour mettre mes chaussures de rando, assise sur le seuil du coffre. Penchée en avant, ma volumineuse mais ferme poitrine se balance au gré du laçage, offrant une vue plongeante qui n’échappe pas aux deux guignols déguisés en traileurs professionnels qui se sont garés à côté de moi. Apparemment, mes « deux obus qui ne demande qu’à être tirés » les attirent beaucoup et me le font savoir à grand renfort de remarques graveleuses. Je ne sais pas si c’est mon mètre 81 et mon entraînement militaire, mais quand je me redresse les deux Télétubbies qui font une tête de moins coupent court à leur drague lourdingue.
La montagne est grande et le chemin que j’ai choisi est bien moins connu. Il mène à une petite cascade, à deux heures de grimpette. Malheureusement j’emporte les deux nouilles avec leurs bâtons de marche dans les sacoches. J’avoue que pour m’amuser un peu, mais aussi parce que j’aime bien ça, je roule du cul plus que de manière outrancière. Un cul bien rond qui remplit parfaitement le shorty moulant que je porte sans lingerie ; je n’aime pas les échauffements. Mes deux globes sont bien moulés et le côté élastique du tissu les sépare bien, créant une vallée jusqu’à mon intimité bien charnue.
Mon allure s’adapte aux deux winners, un peu de distance soutenue mais pas trop, afin de leur faire tirer la langue sans les décourager ; la fierté du mâle fait qu’ils s’accrochent. Une petite partie accidentée se présente avec quelques marches qu’il va falloir franchir en levant bien haut les jambes. Ils sont proches et j’en profite pour tortiller mon postérieur à hauteur de leurs yeux et feignant un déséquilibre, je pose délicatement mon sillon fessier sur l’appendice nasal du premier. Leur concentration sera plus portée sur mon entrejambe que sur le reste des marches. Arrivée sur le promontoire, je me retourne pour m’excuser de les avoir ralenti. On distingue bien une bosse qui tend le tissu de son short et le deuxième à le regard d’un gars qui regrette de ne pas être le premier. Si encore ils étaient attirants, il y aurait certainement eu moyen de passer un bon moment, mais là, je force l’allure pour les distancer.
Les mélèzes commencent à laisser place aux rhododendrons. Au loin, les moutons surveillés par les patous paissent sous le regard des borders qui se chargent de maintenir les troupes. Il est temps de quitter le sentier et de rejoindre le torrent. Dans dix minutes je serai à destination. Une grande dalle ensoleillée qui surplombe les eaux tumultueuses. Ce ne sont pas les chutes du Niagara non plus, mais disons que ça participe à l’ambiance zen des lieux. Rien ne mène ici, c’est uniquement connu des initiés et protégé des regards grâce aux dernières hautes végétations buissonnantes.
Je m’installe, mange un petit morceau et sors mon bouquin. Le soleil est bien présent, et bien que nous soyons en altitude il fait bien chaud. C’est le moment parfait pour profiter du soleil. Je laisse tomber les bretelles de mon top et le retire. Dépose mon soutien-gorge libérant ma poitrine de son carcan. Je soulève mes fesses, glisse mon shorty sur mes jambes pour retrouver mon corps libéré de tout accessoire.
Ma peau blanche de rousse, parsemée d’une multitude de tâches de rousseurs, n’étant pas compatible avec les brûlures du soleil, je sors ma crème solaire pour protéger ma peau. Je me positionne à genoux, fesses sur les talons, mes mains parcourent mon corps pour n’en négliger aucune parcelle Je n’oublie pas la fine peau de mes seins, mes doigts s’enroulent autour de mes pointes pour couvrir mes petites aréoles rosées. J’étends mes jambes une à une pour remonter de mes pieds à mes cuisses, tourne sur mes hanches, caresse mon ventre pour redescendre à l’intérieur de mes cuisses. Je finis par mes grandes lèvres desquelles s’échappent mes petites lèvres roses très proéminentes. Je m’allonge sur le dos, jambes entrouvertes, et tombe mes lunettes de soleil sur les yeux. La somnolence est là, la sieste m’appelle.
Je me réveille l’esprit embrumé. Toujours aucun bruit, mise à part l’eau du torrent et les moutons qui se sont rapprochés. Une légère brise circule entre mes cuisses se heurtant à mon mont qui sous ce courant d’air commence à se gonfler et s’ouvrir. Mon esprit s’égare sur plus de trois mois sans contacts charnels. Une de mes mains effleure mon cou alors que l’autre caresse délicatement les pointes de mes seins. Mais aréoles commencent à se friper sous l’excitation. J’explore maintenant mes seins à pleine main et les malaxe sans retenue. L’autre est descendue sur mon ventre et mes doigts se perdent dans la fine bande de poils qui trône encore dans le prolongement de ma fente, alternant avec la douceur de ma fleur lisse comme au premier jour. Toujours les yeux fermés, je ne pense à rien. Je me concentre uniquement sur la pulpe de mes doigts qui d’un côté pincent et étirent mes tétons dans une légère douleur et d’autres qui font rouler le capuchon de mon bouton. Le mélange chaud froid accumulé ces derniers mois de caresses discrètes, me font monter très rapidement. J’en veux plus, mais je n’ai que ça pour me satisfaire. Je plonge dans ma fente, je suis trempée, cette liqueur m’aide à insérer directement deux doigts au plus profond de ma vulve en les agitant frénétiquement. Mon bassin se soulève, prémices de ma jouissance. Ma main qui s’occupait jusque-là à torturer mes tétons passe sous mes fesses, profite de l’abondance de lubrifiant pour pénétrer mon petit anneau de trois phalanges. Il ne m’en fallait pas plus. Cette dernière introduction me lance un tremblement qui parcourt tout mon corps, mes muscles se crispent autour de mes doigts à m’en faire mal, j’expulse en grande quantité un liquide qui trempe les doigts. Je suis tellement terrassée par cette onde de plaisir qu’aucun son ne sort de ma bouche.
Mon corps se détend, je tombe lourdement sur mes fesses. Mes doigts sortent délicatement de ma vulve en recueillant le plus possible du produit de ma jouissance et se portent à ma bouche pour goûter mon intimité. Je les lèche, les suce, ne perd aucune goutte. J’ai toujours été folle de ces liquides de jouissance, que ce soit les mien ou pas.
La pression est retombe, j’expose mon sexe au soleil, jambes écartées, une auréole bien humide se propage sur la pierre entre mes jambes. Il me reste mon petit péché mignon à accomplir. Je remonte mes genoux, plaque mes pieds au sol, deux doigts écarte ma fente et je me libère en puissance d’un long jet d’urine. Je me vide ainsi en tout impudeur et me surprend à regarder le filet descendre en rigole pour se mélanger aux eaux pures du torrent. Je reste ainsi, quelques minutes, à étaler le mélange de mes jus.
Le bruit des moutons qui se rapprochent de plus en plus me ramène à la réalité . Il va être temps de reprendre le fil de ma rando. Je descends nue jusqu’au torrent, m’accroupis au-dessus de l’eau et entreprends de nettoyer le résultat de mon abandon. L’eau est fraîche, voire glaciale, mais ce n’est pas pour me déplaire. Un bruit de végétation me surprend derrière moi et lorsque je me retourne, j’aperçois un des borders du troupeau qui me regarde puis file rapidement. Étonnant qu’il s’éloigne seul comme ça du troupeau.
Je me glisse dans mon shorty, enfile mon top mais range le soutien-gorge dans mon sac à dos. J’aime bien me sentir libre, même si dans la descente ça risque de se balancer dans tous les sens.
Il n’est pas trop tard, les orages ne sont annoncés que pour le début de soirée, j’ai le temps pour voir si c’est toujours Mathieu qui garde le troupeau de ses parents. Un petit détour par la bergerie.
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