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Dans le noir

Chapitre 6

Les jours d'été

Hétéro
Les images, les sons, les odeurs qui avaient accompagné ce moment si spécial sont tous restés ancrés dans ma mémoire. C’est comme une bande de magnétophones que l’on ramène au point de départ et qui restitue à l’infini ce qu’on y imprime. Avec aussi parfois des imperfections inhérentes à ce genre de souvenirs, je revis de temps en temps dans mes rêves cette matinée tellement débridée. Je ne te demande rien, mais je me doute que toi aussi tu ressasses les scènes de ces corps à corps libertins. Depuis presque deux mois que ces gens-là, purs inconnus, sont venus à la maison et nous n’en avons pas ou peu reparlé.
Pas reparlé oui ! Y songer sans le dire, je crois que ça nous arrive souvent. Nos amours sont toujours aussi délicieuses et je me donne avec une délectation profonde qui n’a finalement d’égale que ton bonheur de me prendre. Nous devrions compter les jours sans sexe plutôt que ceux avec, car les premiers sont moins nombreux que les seconds. Et les jours de printemps qui nous allongent les heures de lumière sont autant de prétexte à se retrouver la culotte en l’air. Parfois c’est double, voire même triple ration et pourtant, la fringale ne semble pas vouloir trouver de fin.
Je ne demande rien, me contentant de prendre ce que généreusement tu offres. Mais je sais que sous ton apparente placidité, tu es en attente. Je le suis également et le premier de nous deux qui abordera le sujet rallumera un feu qui couve depuis des semaines. Mais qui va craquer l’allumette ? L’été est revenu, avec ses taches multiples, mais ses bons moments qui nous tiennent toujours proches l’un de l’autre. De longues balades en forêt, de grandes sorties sous un soleil éclatant. La montagne, la nôtre revit avec passion. Le temps des grands froids s’oublie vite.
La vie nous donne au centuple aux beaux jours, ce qu’elle s’ingénie à nous reprendre durant les saisons mortes. Ce matin c’est jardinage depuis l’aube. Tu dors et je ne veux pas faire de bruit dans la maison, alors autant profiter de ce moment somptueux où la nuit se bat encore contre les lueurs incertaines d’une journée qui va finir par vaincre. Deux bonnes heures durant, j’arrache, coupe nettoie les fleurs de ces herbes dites mauvaises, à tort souvent. J’aime les senteurs de la terre qui se réveille. Et je suis dans mon monde, loin de tout, loin des préoccupations du quotidien.
Je n’ai pas entendu ni entrevu l’ombre qui parcourt les vingt bons mètres qui me séparent de notre nid. C’est la main qui me remonte le long d’une jambe alors que je suis à demi baissée pour cueillir quelques roses, qui me surprend. Je sursaute, prise en défaut par ce frissonnement dû à l’arrivée intempestive de je ne sais quoi.
— Eh ! Tu m’as fait peur ! Mon Dieu… mais tu n’as pas passé ne serait-ce qu’un slip ?— Bonjour mon amour ! Tu crois que les voisines sont toutes à guetter derrière leurs fenêtres ? Allons, tu t’es levée de bien bonne heure !— Oui ! La nouvelle lune qui me travaille. J’ai du mal à dormir bien, et comme je ne voulais pas te réveiller…— Dommage parce que… tu vois dans quel état je suis ?—… ! Et puis quoi encore ? Tu es insatiable ma parole. — Dis que tu n’aimes pas ! Je ne te croirais pas de toute façon…
Et ta main est partie, remontant entre la fourche de ce pont que ma position au bord du jardin garde ouvert. Je ne fais rien pour la dissuader d’aller plus haut. Cette fois encore la chair de poule qui gagne mon corps n’a rien à voir avec une quelconque fraicheur matinale. Non ! La trique que tu trimballes sous mes yeux n’est pas non plus étrangère à l’entrée en action de mes muscles horripilateurs. Et tes doigts découvrent sans relever mes vêtements l’absence de dessous. Mais ils frôlent également autre chose.
— Ouah ! Je vois que tu aimes bien mon bijou pour finir. Madame n’a pas de culotte et apprécie mon « plug » ! Je t’adore ma chérie.
Je me sens fondre pour de bon. Et tu ne retires pas cette patte qui cherche quoi par là ? Tu es si proche que je sens bien que ma tête avance toute seule vers ta frimousse. Bien sûr que tu as compris et que tu n’attendais que cela. Ce baiser qui nous réunit est le déclencheur épidermique d’une série de sensations indomptable. Tu me pousses doucement et j’ai bien saisi où tu veux me faire aller. L’escarpolette n’est pas très éloignée de notre position. Mais je suis réticente, pas pour ce que tu veux faire, non… plutôt pour l’endroit. Je me laisse donc couler à genoux au milieu de la pelouse rase. Et évidemment que mes lèvres sont à la bonne hauteur pour une pipe préméditée.
Tu n’as rien d’autre à faire que me laisser agir et tu ne t’en prives pas. Tes deux paumes sont appuyées sur mon crâne et me retiennent la bouche pleine. Je suce, lèche tout en caressant les deux petites boules velues qui pendent sous ce grand foc déployé. Oh ! Mon marin tu apprécies le roulis et le tangage que mon visage décline à vitesse plus ou moins maitrisée. Tu souffles, fermes les yeux alors que moi je garde les miens grands ouverts pour ne pas perdre une miette de tes mimiques si démonstratives. La séance de bachotage dure un bon moment.
Mais ton impatience grandissante me laisse penser qu’il est temps de te laisser commencer les grandes manœuvres et je lâche enfin le cigare avant que la fumée n’apparaisse. Tu ne tiens plus en place, te jette, toi aussi à genoux et c’est bien comme deux bêtes en rut que nous faisons l’amour. À quatre pattes au milieu de notre verdure. Nos râles sont autant de soupirs envoyés à la cantonade. Mais nos plus proches voisins sont si loin… qu’ils leur fraudaient des jumelles pour saisir la chevauchée fantastique qui se passe aux abords de notre jardin.
Nous sommes quasiment les bras en croix, couchés depuis deux heures sur le terrain. Pas plus envie que cela de bouger, mais il faut tout de même se remuer. C’est à regret que je quitte la première, cette couche immense que nous offre le sol verdoyant de l’arrière de la maison. Toi tu restes encore un instant à faire corps avec la nature. Faire corps… c’est-à-dire une tache blanche sur un rectangle coloré et vu de dessus, puisque je suis désormais debout, ça me semble risible. Je file avec un sourire moqueur sur les lèvres.
La seule direction possible s’appelle la douche. La salle de bain m’accueille et je me débarrasse du peu de vêtements que tu ne m’as pas retiré. Je les jette en boule dans la panière de linge sale et je me coule sous le jet bien chaud. C’est là que je te vois me rejoindre. Il n’y a toujours rien qui te gêne pour venir me coller contre le fond de la cabine, avec ce sourire de loup qui découvre tes canines. Tu as l’air presque joyeux et je n’en reviens pas. Ta queue est de nouveau raide comme un piquet.
— Tu n’es pas possible ! Une véritable bite sur pattes. — Plains-toi ! Tu en profites bien un peu, non ?
Ma réponse se perd dans les chatouillis que tes doigts se font un plaisir de me dispenser. Et je me trémousse pour de bon, m’accrochant à ton cou dans un geste de protection. Celui-ci est perçu bien différemment pour ton cerveau. Et me revoilà soulevée comme une plume par tes bras costauds. Je me sens empalée sur ce sexe qui n’a donc jamais de trêve. Et à la force de tes poignets, tu m’envoies en l’air dans un jaillissement et une profusion de gémissements. Mais qu’est-ce que j’aime cette manière rude de me baiser ! Là encore ce n’est pas très long. Par contre, tu sors précipitamment ta queue de ma gaine et en appuyant sur mes épaules. Je crois savoir avec exactitude ce que tu espères.
Une énième prière à ce Dieu Priape durant laquelle tu m’asperges bien le gosier de cette semence dont j’avale une grande partie. Puis chacun notre tour nous savonnons le dos de notre partenaire. Je me sens toute molle, et mon envie s’est envolée une bonne fois pour toutes. La tienne aussi si j’en juge par la nouille qui pend, gland vers le sol, entre tes deux guibolles ruisselantes de flotte. Je t’embrasse sur le coin des lèvres et file vite, avant que tes pulsions redonnent une autre vie à la poupée désarticulée. Il est déjà bien tard quand tu sors de la salle de bain.
— Si nous allions manger une pizza ? Après tout, tu mérites bien un peu de repos, qu’en penses-tu ?—… Pourquoi pas ? C’est une bonne idée.
— oooOOooo —
Les évènements parfois vous tombent dessus sans crier gare. Et dans la salle de notre pizzeria favorite, une femme vient de s’installer. Je n’ai rien vu d’elle dans un premier temps. Mais le silence qui s’est fait lors de son passage pour aller se placer à table nous a surpris toi et moi. Les conversations ont soudain cessé et un bruit de talons claquant sur le sol accompagnait l’arrivante. Ton regard s’est seulement détourné dans la direction de la fille, la femme ? J’ai réagi au quart de tour.
— Elle est si belle que ça ?—… !
Visiblement ma remarque t’a mouchée. Mais de ta voix neutre tu m’as seulement rétorqué.
— Oui ! C’est une chouette nana. Elle devrait aussi te plaire. Je te vois bien lui manger la…
Tu t’es arrêté avant de me dire ce que cette vamp avait de si délicat à déguster. Pas besoin de dessin. J’ai compris que pour stopper net toutes les conversations, ce doit être une bombe. Alors, par bravade, j’enchaine non moins nonchalamment…
— Eh bien ! Dis-moi si elle va aux toilettes. Que je m’y rende aussi. Après tout on peut aussi partager.
Là, c’est toi que je scotche par mon aplomb et mon à-propos. Tu replonges le nez dans ta « Margarita » et moi je finis ma « Texane ». Le tout arrosé d’un vin rosé assorti à nos plats. Avec un soupçon de recul, je me rends compte que cette mèche qui pourrait tout rallumer, je viens maladroitement de la placer sous l’allumette. Et dans tes yeux, il y a comme une fièvre que je reconnais. Tu déglutis lentement, mais tu épies discrètement tous les faits et gestes de la cliente esseulée. Et je prie pour que tu n’aies pas relevé la phrase que je viens de lancer.
Mais il est trop tard pour la rattraper et si je comprends trop bien mon erreur, je me dis que je vais encore devoir l’assumer.
— Je vois qu’à toi aussi, ça te manque. Tant mieux, au moins la routine ne nous atteindra pas.
Donc visiblement tu as bien entendu et tu t’apprêtes à me le rappeler. J’esquisse un rictus que je voudrais décrire comme un sourire. Mais il est tellement crispé qu’il s’apparente plus à une grimace, je crois. Et tu verses le reste de la bouteille dans mon verre.
— Tiens ! C’est du courage liquide ça ma belle. Quand on a une grande bouche, on se doit de respecter sa parole.
Tu jubiles, j’en mettrais ma main au feu. Au fond de toi, tu es aux anges. Notre déjeuner est pratiquement terminé. Le dessert… sous la forme de profiteroles est en bonne voie d’engloutissement. Je ne veux plus penser à rien et surtout me taire… sacré bon sang ! Pourquoi ai-je encore ouvert les mâchoires pour dire une bêtise ?
— Allons, ma belle, c’est donc à toi de jouer.— De jouer ? — Oui, la demoiselle ou la dame vient de se lever et se dirige vers les « pipi-rooms »… c’est bien là-bas que tu veux aller la draguer ! Montre-moi de quoi tu es capable.—…
Mon sang ne fait qu’un tour et dans ma poitrine le moulin se met à cogner. Mais je l’ai dit, je le fais. Me voici qui emboite le pas à la silhouette qui pousse la porte des toilettes. Je ne suis certaine que d’une chose, elle est blonde comme les blés. Je me rends donc à l’espace de soulagement sous les quinquets de tous ces mangeurs de pizzas. Il ne me semble pas que je fasse tout à fait la même sensation que la drôlesse qui vient de me précéder. Cette fois je suis dans le feu de l’action. À la main, ma pochette pour donner le change, je pénètre à mon tour dans la pièce où la femme a disparu.
C’est d’une propreté irréprochable. La dame en question n’est pas visible, volatilisée ou confortablement installée dans une cabine fermée. Alors je m’installe devant un lavabo et le reflet dans le miroir montre les box dans mon dos. L’un d’eux s’ouvre pour laisser sortir une dame monumentale. Pour elle, la nourriture semble bien profitable. Elle me déshabille de la tête aux pieds, soupçonneuse de je ne quel méfait dont je me serais rendue coupable. Puis quand elle se sent observée, elle se passe un rouge criard sur les lippes et retourne dans la salle.
Le second cagibi délivre la jolie blonde. Elle aussi me dévisage, mais c’est plus discret, moins ostentatoire. Puis elle s’approche d’un autre lave-mains pour passer se laver les avant-bras. Comme je finis moi aussi de me sécher les pattes, je lui souris et lui tends mon paquet de Kleenex. Elle en prend délicatement un et entreprend d’essuyer ses doigts.
— Merci ! C’est gentil. Les serviettes en éponge me font toujours peur dans ce genre d’endroit.— Vous avez raison, c’est pourquoi j’ai toujours des mouchoirs jetables dans ma pochette.
Et je fais mine de me passer un peu de gloss. Nous sommes deux à avoir la bouche en cul de poule pour les badigeonner de couleur. Et à voir nos moues pour œuvrer, nous nous suivons mutuellement des yeux avant d’éclater ensemble de rire. La glace est rompue entre nous et c’était bien mon objectif.
— Vous aimez les pizzas de cette maison ?— Oui ! J’y viens de temps à autre. Vous aussi je suppose ?— Oui ! Avec mon mari nous apprécions la nourriture de ce restaurant.— Vous êtes donc accompagnée, c’est surement mieux à plusieurs pour déguster…
Elle me tend la perche ? Ou bien un besoin de se confier, de parler se fait-il sentir chez cette dame à qui je donnerais entre trente-cinq et quarante ans. Elle est bien jolie, avec un corps qui me fait pâlir de jalousie quelque part.
— Vous avez fini de déjeuner ?— Pas tout à fait, mais bientôt…— Nous pouvons vous convier à notre table. Ce serait sympa de prendre le café tous les trois avec mon mari. Vous verrez, c’est un homme gentil.—… ? Vous… voulez dire que vous m’invitez à prendre le café en votre compagnie ?— Oui… si vous le voulez bien, évidemment.
Elle me scrute. Je dois lui paraitre un peu comme une extraterrestre. Je ne sais pas si elle va accepter, je la sens hésitante. Puis sur son visage, nait un large sourire.
— Oui ! Oui, bien sûr. Ça pourrait être amusant. D’accord, mais c’est moi qui offre les digestifs.— Eh bien ! Soit… suivez-moi !
Et nous revoici dans l’assemblée faite de tables où des couples nous observent avec intérêt. Les messieurs, dont celui de la femme énorme qui se trouvait aussi au petit coin, ne perdent pas une miette du spectacle. Deux femmes pas trop mal gaulées, pas trop mal fringuées, qui ressortent en même temps de cet endroit, ça doit leur sembler suspect. Mais je m’en contrefous comme de ma première liquette. Reste cependant à la convier à la maison, mais ça ce n’est pas encore gagné. J’ose espérer que toi qui nous vois venir vers toi, tu vas m’y aider.
Dès les présentations, je sais qu’elle te plait, mais la réciprocité est aussi visible. Tu es à son gout et elle n’a pas envie de le cacher. Mais cette pointe de jalousie que m’avait assaillie à l’entrée de la gazelle dans l’établissement s’est dissipée. Et puis, je n’avais pas besoin d’aller la chercher après tout. Le café se prend donc à trois et le cognac que nous sirotons ensuite ne peut que délier les langues et nous rapprocher. Moi, j’observe cette blonde. Elle a des seins qui par rapport aux miens doivent bien être d’un volume double.
Puis elle a une petite fossette au menton et ses cheveux coupés au carré lui donnent une touche de femme sage. Elle nous explique gentiment qu’elle n’est pas vraiment en couple, mais pas totalement esseulée non plus. Son « casse-croute » comme elle le nomme en riant est pour le moment à l’étranger et ne sera de retour que dans une semaine. Alors en attendant, elle ne se refuse pas un intermède gourmand. De toute manière, elle nous raconte qu’ils vivent chacun séparément et ne se voient que pour les bons moments.
Je crois qu’en la travaillant bien au corps, nous devrions parvenir à la recevoir dans notre nid facilement. Ensuite ce qui pourrait se passer, c’est une tout autre histoire. Mais qui ne tente rien de toute façon n’a forcément rien en retour. Et tu te lances dans l’arène, la courtisant sans le montrer et je sais, je sens que ça marche. Elle boit tes paroles, elle te bouffe des yeux. Moi… et bien j’attends l’estocade et il ne parait pas impossible qu’elle soit aussi un peu attirée par les femmes. Je me dis que pour une tentative avec quelqu’un de mon sexe… elle ferait bien l’affaire.
Quand elle accepte un second cognac, je suis quasiment certaine que nous allons remporter la partie. C’est au moment où je me prépare à l’inviter pour la soirée que son téléphone vient me perturber par sa sonnerie stridente. Elle s’excuse et se lève pour s’isoler un peu. À son retour elle a les yeux rouges, comme si elle avait pleuré. Avec mille précautions, je commence à lui parler.
— Ça va ? Rien de grave j’espère ! — Non, non rassurez-vous. C’est mon copain… il va rester quatre jours de plus absent. Son stage… est prolongé d’autant. Pff ! les soirées sont trop longues et par ce beau temps…— Oui vous avez raison. Ça vous dirait de venir diner en notre compagnie ce soir… nous ferions un barbecue. Vous aimez la viande grillée ?— Oui j’aime… mais je ne veux pas vous déranger. Vous n’avez pas besoin d’une folle comme moi dans vos pattes… — Mais ne pensez pas cela, c’est un bonheur de vous recevoir. Et puis une soirée de moins à passer seule, ça ne peut que vous faire du bien. Mon mari se fera un plaisir de nous cuire, merguez et poulet, lard et saucisses. C’est un as du barbecue…— Bon ! Dans ce cas, si Alain est un expert, alors…
Ce regard qui traine sur toi… c’est déjà une provocation et je profite donc de l’occasion pour en rajouter une couche.
— Prenez aussi un maillot. Notre propriété longe le lac et nous avons, comment expliquer cela, une plage très privée.—… ! Oh ! Mais l’eau doit être fraiche non ?— C’est excellent pour le teint et la fermeté de la peau. Quoiqu’apparemment vous n’en ayez pas encore vraiment besoin.
Elle a simplement souri. Se doute-t-elle de nos mauvaises intentions ? Elle n’a pas l’air si bête que cela. Le mythe de la blonde idiote n’est que dans les blagues françaises. Quand elle se lève alors que nous nous préparons à sortir, sa poitrine qui se balance sous son chemisier me laisse rêveuse. Je parierais bien quelques euros sur le fait qu’elle ne porte aucun soutien à sa laiterie imposante pourtant. Le round d’observation est à notre avantage. Les derniers clients doivent en baver dans leurs assiettes de nous avoir vu entrer à deux et que par un prompt renfort nous sortons à… trois. Le reste est encore à modeler…
— oooOOooo —

À suivre…
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