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Dans le noir

Chapitre 9

la danse des loups

Hétéro
Quatre sonneries avant que Norbert ne décroche. Peut-être dormait-il ? Sa voix pourtant ne me semble pas plus que cela ensommeillée. Dès qu’il me reconnait, il marque un temps d’arrêt. Puis, enfin il se décide à oser poser une première question.
— Ah ! C’est vous ! Je ne vous avais pas remise. Je n’aurais pas pensé que vous m’appelleriez.— Homme de peu de foi ! Vous avez cru que je vous racontais des blagues ?— Non ! Non pas du tout c’est juste que… vous me surprenez véritablement. Une belle jeune femme qui s’intéresse à un type comme moi…— Allons ne faites pas le timide voulez-vous ! Je suis avec mon compagnon, et il me parle, alors attendez une seconde s’il vous plait.
Je pose ma main sur le micro et je t’écoute qui me murmures…
— Demande-lui d’allumer son ordinateur, s’il en a un, et d’aller sur « Skype ».— … ?
Je reprends le bonhomme qui doit être encore à l’écoute.
— Vous avez un ordinateur ?— Ben oui… je suis dessus actuellement.— Skype aussi ?— Oui bien sûr ! De nos jours tout le monde communique par ce moyen très simplement.
Et toi derrière moi qui continue à me susurrer des trucs que je ne pige pas tous.
— Demande-lui son adresse… j’allume notre portable.— Mon ami me demande votre adresse Skype, ça vous gêne ?— Euh… non, mais… pour en faire quoi ?— À vrai dire, je n’en sais fichtre rien.
— Bon la voici…
Suis une adresse que je te vois tapoter sur les touches de notre HP tout neuf. Puis je perçois les bruits que font les ordinateurs lorsqu’ils se connectent ensemble. Et sur notre écran je vois apparaitre le garçon.
— Bon et bien je crois que je peux raccrocher mon téléphone.— Oui ! Je vous vois tous les deux… mais… vous n’êtes guère vêtus !
Et je rougis d’un coup. C’est vrai que je suis nue et que Norbert me voit jusqu’à la taille puisque je suis assise dans notre lit. Toi tu ris de ma panique. Alors, commence entre vous deux une conversation des plus surréalistes. Tu me passes la machine et j’écoute en regardant les réactions de cet homme que je voudrais inviter.
— Alors comme ça ma femme voudrait que vous veniez passer la soirée de samedi en notre compagnie ?— Euh… elle m’en a parlé, mais je crois que c’est à vous d’en décider.— Elle vous plait ? Ce que vous en voyez, vous convient ? J’ai envie de connaitre vos goûts, vos espérances, quoi !— Franchement, je ne sais pas quoi vous dire. Je ne me suis jamais trouvé dans cette position. Je ne sais pas du tout où je mets les pieds…— Vous avez tout de même bien une petite idée de ce que nous voulons ? Ça vous fait quoi d’y songer ?— Vraiment, je crois que j’ai un peu la trouille. Mais j’ai aussi cru comprendre que c’était vous qui souhaitiez… vous n’avez donc pas de crainte que ça ne plaise pas à votre femme ?— Nous en avons beaucoup parlé tous les deux et nous sommes un couple soudé. Amoureux depuis longtemps et la routine reste la pire ennemie des vieux mariés.—Je veux bien vous croire, mais pourquoi moi ?— Là c’est à elle de vous répondre, elle vous a choisi, et je me range à son choix. Il est forcément le meilleur gage de réussite puisque c’est elle qui… a décidé.— Je saisis bien ! De plus j’avoue qu’elle est belle… et ce que je vois me plait plus encore…— Je peux vous poser une question… indiscrète ?— … ? Posez-la toujours on verra bien.— Vous bandez pour elle ? Enfin, elle vous fait bander, tenez, regardez, cela vous donne envie ça ?
Tu as tiré le drap complètement et je suis cette fois entièrement à la vue de Norbert. Je croise mes mains sur mes seins. Idiote que je suis puisque depuis le début de votre dialogue il les contemple sans vergogne. Et il a bien entendu une autre vision de moi. Il doit bien avoir les quinquets rivés sur ma chatte qui est aussi visible qu’un nez au milieu d’une figure. Et du reste il ne parle plus. Mais ce qui se passe ensuite… c’est du grand délire. Tu repousses l’ordinateur sans pour autant couper Skype.
Et tu commences sous les regards du type à me caresser. Mais ce que tu tripotes, c’est mon sexe qui frémit de cette arrivée et surtout mon corps qui réagit à cette situation hors norme. Lentement je te laisse faire et quand tu me présentes ta queue à sucer, je fais comme si nous étions seuls au monde. Mais par le biais de l’écran, je sais, je vois que le mec chez lui a bien compris le message. Il a sorti de son pantalon une trique qui me paraît démesurée.
Et je te taille une pipe alors que sur l’écran un mec se branle devant le spectacle de salope que je dois lui offrir. Puis c’est avec l’œil de la caméra derrière nous que tu m’enfiles en levrette. Je jouis de plus en plus fort, de plus en plus violemment. Je ne me préoccupe plus de savoir s’il suit toujours nos ébats, je subis tes coups de reins et je râle. Mes gémissements sont ponctués par les claquements de ton ventre contre mes fesses…
Quand c’est fini, je suis alanguie sur le plumard et tu reprends ta conversation avec Norbert, comme si elle ne s’était jamais interrompue. Mes oreilles ramassent les miettes de ces mots que vous échangez et je dois être rouge comme une pivoine.
— Le spectacle t’a plu ? On compte sur toi samedi soir. Pour vingt heures ?— Oui ! Vous êtes beaux, tous les deux… oui, oui je serai là pour vingt heures. J’amènerai le champagne !
Et je ne sais pas lequel des deux coupe le premier. Mais notre écran redevient noir, puis tu refermes le capot du PC et tu reviens te caler contre moi. Je suis lessivée et le sommeil me gagne déjà. Alors ai-je bien oui ou était-ce un rêve, mais il me semble bien comprendre quelques murmures remontés du fond de ta gorge…
— Je t’aime ! Tu es ma merveilleuse petite femme !
— oooOOooo —
La semaine, je l’ai trouvé presque trop courte. J’imagine déjà le regard de Norbert encore bien inconnu qui ce soir va venir diner. Si j’avais le choix, je ne l’inviterais plus. Mais toi, tu sembles heureux comme un gamin qui a découvert un nouveau jouet. J’ai bien peur que ce jouet ce soit… moi ! Et mes reins s’en souviennent. Il ne s’est pas passé une soirée sans que nous ne fassions l’amour. Je ne nie pas avoir apprécié cette fougue renouvelée chaque soir. Mais je la soupçonne de n’être que le fruit de ces images qui doivent aller et venir dans ta caboche.
J’ai mis un point d’honneur à préparer ce diner. Je voudrais qu’il vous endorme et que je me réveille d’un mauvais rêve. Mais alors que je prépare le feu dans la cheminée du salon, je sais bien que je ne rêve pas. Il va venir et… mon Dieu que c’est difficile à expliquer, mais je vais devoir… devant toi aller jusqu’au bout ? Je n’arrive pas à croire que c’est moi et moi seule qui t’ai mis dans la tête ce type. Et les heures tournent, me rapprochant de seconde en seconde de cet échafaud.
Tu es rentré de ton atelier et tu m’as trouvé dans la salle de bain. La cuisine est propre, nette, le repas en attente. J’ai pris soin de ce corps qui n’est nullement en manque d’amour. D’amour ou de sexe ? Pourquoi cette question me traverse-t-elle la cervelle ? Aucune idée ! Sans doute parce que je fais le distinguo entre faire l’amour avec toi et baiser avec… l’autre ! La nuance n’est pas très précise. Mais tout n’est qu’histoire de sentiment. Je suis fébrile et dès que pour me taquiner tu tentes une approche subtile, je te rembarre avec force.
— Ah non ! Tu n’en as pas encore eu assez ? Tous les soirs tu t’es servi, donc tu ne devrais pas être en manque.— Ce n’est pas une question de manque mon ange, juste une envie et je te sens tendue. Je te connais si bien, peut-être mieux que toi-même.— Pff ! Vous les mecs ne cherchez donc que cela dans la vie ?— Chut mon amour ! Rien ne t’oblige à faire autre chose que diner. Tu sais notre ami Norbert, ne t’en voudras pas si tu recules…— Notre ami ? Il est devenu bien rapidement un intime pour toi, je me trompe ?— Pas un intime, mais il a déjà assisté à…— Bon ça va, tu ne vas pas en plus me remettre cela en tête. C’est déjà assez compliqué pour moi. Mais je te l’ai promis alors… je ferai comme tu veux.— Je ne t’ai jamais demandé de te soumettre. Je veux, non je désire seulement que la routine de notre couple ne s’installe pas trop vite. C’est toujours un passeport pour le divorce l’ennui dans un couple.— Oui. Tu es bien prompt à me le souligner. Nos amis…— Chut ! Allons ne te fâche pas ! Je passe dans notre chambre pour m’habiller.— Je t’ai préparé tes vêtements sur notre lit… ça t’évitera de mettre la pagaille dans notre dressing.— Tu as toujours été et tu restes mon ange gardien… c’est aussi pour cela que je t’aime.— File ! Vilain flatteur. Laisse-moi au moins me préparer en paix.
C’est avec un grand éclat de rire que tu es reparti vers la chambre à coucher. Je finis donc mon maquillage, toute aussi stressée. J’espère presque que notre invité va se décommander. Quand je me rends également dans la chambre, tu n’as pas touché à ce que j’ai posé sur le lit, mais curieusement tu as rajouté un petit plus. À côté de ma jupe courte, de mon chemisier, de mon porte-jarretelle, coincé entre slip et soutien-gorge, l’écrin de ce fameux cadeau. Le plug est là bien rangé au fond de son étui, avec sa pierre rouge qui semble me narguer.
Je commence par passer les bas, puis la culotte et je range mes seins dans leur gangue de dentelle. Ensuite en me servant du miroir de la psyché, j’aligne correctement la couture des bas avant de les relier au porte-jarretelle. Quand ça me convient, je lisse de mes mains ces jolies jambes bien galbées par les gaines de nylon. Puis j’enfile le chemisier cintré qui fait ressortir ma poitrine. Pour finir par la jupe et l’ensemble dans le reflet de la glace, me fait l’effet… d’une poule. Mais une pute de luxe quelque part.
Donc j’ai l’air de ce que je vais être pour la soirée. Ta salope ! Le claquement de ta langue dans ton palais à mon arrivée dans le salon me conforte dans cette idée. Au moins suis-je à ton goût et digne de tes attentes. Tu me regardes, sans un mot, comme scotché par cette vision de moi que j’offre à ta vue. Je voudrais être dans ta caboche pour savoir ce à quoi tu penses en me voyant ainsi attifée. Ça n’a pourtant rien de vulgaire, c’est seulement que la situation me fait le penser. Décidément non ! Ton cadeau va rester dans son écrin que je pose sur ma table de nuit.
— Oh ! La vache… c’est… tu es sublime mon amour. Il ne va pas être déçu notre hôte.— Ce n’est pas pour lui, c’est pour moi que je me suis habillée ainsi. Je ne veux pas paraître misérable et puis… après tout je suis dans les normes de ce que tu me demandes non ! J’ai l’air d’une pute ?— … pas du tout, tu es… comment te dire… désirable ! Un appel au viol et personne ne saurait rester insensible à cette femme qui est là, belle comme un cœur.— Arrête ! Ne parle pas comme ça. Je ne veux pas que ça devienne autre chose qu’une histoire… une histoire de cul.
— oooOOooo —
Tu n’as pas insisté et je crois que tu as rudement bien fait. Tu t’es collé sur notre canapé et c’est devant la télé que tu laisses passer l’orage. Cette hargne qui pour une obscure raison m’habite ne t’est pas vraiment destinée. Elle est juste dirigée contre moi, moi la gourde qui avance vers le moment où je devrai forcément décider. Continuer et aller jusqu’au bout, ou alors reculer et dans les deux cas, je me sens coupable de je ne sais quoi. Cette rage froide qui m’envahit n’est en fait que l’émanation de ce dilemme insoluble. Je me suis piégée toute seule.
Je suis devant mon four où j’ai remis chauffer mon plat. La sonnette de la porte d’entrée est comme un coup de poignard qui m’atteint droit au cœur. Je vacille sur mes jambes et je dois faire un effort incroyable pour me rendre à la porte. Dans l’encadrement de celle-ci que je viens d’ouvrir, je ne remarque tout d’abord qu’un énorme bouquet aux fleurs multicolores. Puis caché derrière ce paravent fleuri, Norbert. Un Norbert sur son trente-et-un qui a d’un coup le souffle coupé. Il reste sur le pas de la porte, dans l’entrée. Et ta voix qui m’arrive, un peu éraillée.
— Eh bien ! Entre Norbert, ne reste pas planté là ! On ne mange personne… enfin pas comme ça…
Et tu ris. Lui aussi esquisse un sourire, mais je sens que tu viens de le mettre en confiance. Il avance vers toi, une bouteille à la main.
— Tiens… le vin pour toi ! Les fleurs sont pour… vous.
Il me tend la gerbe et je songe soudain que c’est bien en gerbe que vous allez me mettre, tous les deux, tout à l’heure. Mes tremblements sont toujours aussi présents. Je m’efface et pour me donner une contenance, je pars à la recherche d’un vase. Je vous entends qui discutez, déjà amis, trop à mon sens. Je retrouve un semblant de calme, mais c’est en moi que la tension se bloque. Puis la simple idée, la plus petite image qui me traverse la caboche me donnent des frissons. La folle que je suis mouille rien que d’imaginer…
Les choses ensuite ne s’améliorent pas vraiment. Notre dinette tourne au calvaire pour moi, et pourtant, je tente désespérément de ne rien montrer. Toi, et bien toi tu devises gentiment avec ce type que j’ai invité au festin. Une autre gourmandise, qui me donne ces soupirs que j’ai de plus en plus de mal à retenir. Il m’est compliqué aussi de faire bonne figure et me dire que je vais devoir, qu’il va falloir que je touche, que je suce ce type… pire que je le fasse devant toi, c’est… impressionnant comme j’en crève de peur.
Par contre je sais que cette pensée de prendre la bite de ce mec en bouche, surtout si tu regardes, ça me fait dégouliner la chatte et ma culotte ne me dit pas merci. Je suis perdue dans cette marée d’images folles. Comment faire pour affronter vos regards ? Ceux de Norbert sont constamment posés sur moi et ma poitrine qui monte et descend l’hypnotise au plus haut point. Plus il me reluque, plus je suis mal à l’aise et plus je mouille. C’est totalement contradictoire, mais tellement réel. Et le flou de cette attente bizarre me crucifie. Drôle comme d’un côté j’ai une peur panique et de l’autre je suis trempée !
Je retarde le plus possible ce moment qui va fatalement arriver. Vous deux, vous êtes au salon, et moi, je reste dans ma cuisine à desservir. Vos voix me parviennent parsemées de rires. Vous semblez comme deux larrons en foire. Mais n’est-ce pas un peu le cas ? Et j’ai la nette impression que l’animal qui va être palpé, tripoté, dont vous allez flatter la croupe… eh bien, c’est moi ! Mais je ne peux éternellement repousser cet instant fatidique où je vais bien devoir vous rejoindre. Alors, je prends trois verres à eau de vie, un plateau pour les poser et la bouteille de Mirabelle.
Mon entrée au salon attire les deux paires d’yeux. Toi tu me souris et pour Norbert, je ne sais pas trop si ses mirettes suivent le plateau ou… ma poitrine. La table basse accueille ce que je tiens dans les mains. Je m’apprête à servir la gnôle, mais tu me fais signe de ne pas le faire.
— Attends ma chérie ! Je vais m’occuper de cela. Viens donc t’assoir près de notre ami Norbert.
Tu t’es levé pour me céder la place que tu occupes. Je sens monter le rouge à mes joues et mon sang va finir par bouillir dans mes veines. Ça y est, je crois que je suis dans le vif du sujet. Je colle mes fesses là où c’est encore chaud de ta présence, alors que tu remplis les minuscules godets. Si proche de moi, il y a la jambe de ce Norbert, MON invité, puisque je dois bien admettre que c’est sur ma suggestion qu’il est là. Il n’ose plus tourner sa tête vers moi. Moi non plus je ne sais pas, plus trop ce que je dois faire.
Le contenu des mini verres est avalé par vos deux gosiers quasiment cul sec. Et moi la Mirabelle me râpe la gorge, a du mal de passer et pour finir, je n’en ai ingurgité qu’une petite moitié de mon dé à coudre. Tu me jettes de fréquents regards insistants. Question malaise, tu contribues largement au mien, en me reluquant de cette manière.
— Ben vous ne comptez pas rester comme deux statues de sel ! Nous ne sommes pas là pour quelque chose d’un peu plus spécial ?— … !— Ben… pour ta femme et pour moi ça n’a rien de simple… je croyais que… — Tu pourrais peut-être nous aider toi, c’est bien pour ton plaisir aussi que…— D’accord ! Alors, vient ici mon amour !
Je ressens dans ta voix moins ferme que d’habitude tout ton état d’excitation. Ta main tendue me fait comprendre que je dois m’en saisir. Je suis donc debout maintenant et tu viens d’inviter notre ami à se relever également. Quand tu me lâches, c’est pour mettre la platine en marche. Une musique en sourdine nous inonde d’un coup. Surprenante et obsédante, elle donne du coup, le la de ce que vous espérez. Norbert comprend donc qu’il doit me prendre dans ses bras. Et nous voici sur la moquette, moi en escarpins vernis et lui en chaussures de ville à danser.
Je le devine tout aussi stressé que moi. Et tu adoptes la solution de venir te coller à nous deux. Ce faisant tu me presses contre l’invité et bien sûr, ma hanche frôlant son ventre, je ne peux que savoir, que sentir sa virilité déjà bien enflée. Quand tu t’écartes pour que nous puissions respirer et surtout que tu es certain que je ne vais pas reculer, l’autre approche sa tête de la mienne. Une fois encore, je repousse le danger d’un baiser que je devine, en plaquant ma joue contre son cou. Mais je sais que je ne pourrai pas tout le reste de la soirée me défiler de la sorte. C’est dans un coton bizarre que je te vois reprendre ta place sur le fauteuil.
Il est face au canapé et tu nous épies, guettant ce couple enlacé que nous formons. Enfin je tressaille sous la main de Norbert qui de mon épaule est descendue sur ma chute de reins. Mon Dieu, je voudrais trouver dans tes yeux un réconfort, un signe qui me dirait que tu renonces, que tu ne veux plus. Je n’y trouve qu’excitation et jubilation. Pire ! Je m’aperçois que tu as ouvert ta braguette. Et si moi je peux le constater… mon cavalier aussi. Du reste sa patte vient de retrousser le bas de ma jupe. Et la chaleur de sa paume est bien sur la frange qui va de mon bas à… ma culotte.
La musique traine ses langueurs et je me raidis à l’arrivée de ces doigts qui flirtent déjà à l’orée de mes dentelles. Je recule le visage. L’intention première est de lui dire d’arrêter, mais il se méprend sur mon idée. Ce sont donc deux lèvres étrangères qui s’abattent sur ma bouche. Curieusement je ne trouve rien d’autre à faire que de répondre à ce baiser. Le mélange de langues n’est pas désagréable, loin de là. Et je me pique au jeu finalement. Lui a dû découvrir, sentir que le fond du chiffon qui me couvre le derrière est plutôt… détrempé. Je panique un peu et les pas de notre slow se trouvent bien décalés.
— oooOOooo —
A suivre…
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