Cela fait bientôt cinq mois que je connais Abdou et qu’on vit ensemble. Laissez- moi vous raconter comment tout ceci a commencé…Vers la fin mai, je me rends dans une grande surface d’articles de sport. Comme à chaque fois, je suis attiré immanquablement attiré par le rayon natation, shorts, maillots et slips de bain. En entrant dans le rayon, je croise un vendeur entrain de mettre en rayon des maillots. Il me sourit et me gratifie d’un grand sourire. Tiens, je ne le connais pas celui là. Ca doit être un nouveau qu’ils ont embauché pour l’été.C’est sur, celui là, ils l’ont pris sur son physique. Assez grand, athlétique, short long gris pâle, tee shirt blanc ajusté très court qui laisse voir son nombril, une peau mate hâlée et surtout une gueule d’ange surmontée d’une touffe de dreads. De type maghrébin, je dirais dans les vingt, vingt et un ans. Un super bogosse….Je regarde les nouveautés dans le rayon. De loin, il me sourit. Nonchalamment, il s’approche.« -Je peux vous aider ?-Si vous voulez….Je regarde les nouveautés de cet été-Alors, cette année, ce sont les caleçons ajustés. Comme celui-ci. Ca met bien en valeur les formes…-Le cul ?-La bite aussi ! » On rigole.« -Passez les si vous voulez. Je vous dirai s’il vous vont…-OK ! »On se dirige vers les cabines d’essayage ? A cette heure matinale, il y a très peu de monde.« -Ca va ? Montrez moi ! »J’ouvre la porte. En un clin d’œil il s’engouffre dans la cabine, refermant derrière lui et en mettant un doigt sur ses lèvres et en me fixant droit dans les yeux. Déjà il se baisse , m’empoigne les hanches et vient frotter sa joue contre ma bosse ! C’est à ce moment précis qu’on entend du bout du rayon« -Il est où encore, Abdel, jamais dans son rayon !« -Je suis là ! Je ramasse ce qui traîne… »Il empoigne un caleçon et sort en refermant derrière lui. Pfff ! Il a eu chaud ! Gonflé le mec ! La fougue de la jeunesse… Je me rhabille et repars dans le rayon. Il est à nouveau là. Il me sourit avec un clin d’œil coquin.« -Finalement, je crois que je vais prendre ces deux là-Excellent choix !-Vous dîtes ça à tout le monde !-Pas du tout ! La preuve ! Je nez donne pas mon 06 à tout le monde ! »Et il me glisse un petit papier ! J’avoue que je suis très très troublé… Par son audace mais surtout par son physique et par sa façon très directe de draguer… Toute la journée, je vais me demander si je lui envoie un SMS ou pas en sachant très bien que je vais le faire… Vers 17 heures, je me décide. Aussitôt, il me répond en me fixant rendez vous au café proche du magasin, après vingt heures.A vingt heures cinq, il me rejoint à une table sur la terrasse.« - C’est sympa d’être venu ! Toute la journée je me suis demandé si tu allais me relancer ou pas…-Moi c’est pareil ! Mais je savais que je le ferai… Tu dragues toujours ainsi ?
-Seulement les très très beaux garçons comme toi !-Arrête de déconner !-Je déconne pas du tout. Je suis sérieux. »Déjà, sous la table, je sens sa jambe qui vient se frotter contre la mienne…Hé, il perd pas une minute ! Le serveur arrive.« -Et qu’est ce qu’ils vont prendre les zamoureux ?-Moi une bière, et toi ?-Pareil ! »On se met à causer. Enfin, surtout lui.« -Moi, c’est Abdel, ça tu le sais déjà, j’ai 21 ans, je suis marocain. Je suis en première année de STAPS, je voudrais être prof de gym. L’été je travaille dans ce magasin pour gagner un peu de sous. J’ai un petit frère de seize ans et j’aime que les garçons. Je suis fier d’être homo mais ma mère ne le sait pas. Elle s’en doute peut être mais mon « petit » frère, lui, il a capté. Mon père est parti, il y a longtemps déjà… Et toi ?-Moi, c’est Tom, je vais avoir vingt quatre, je travaille dans un petit magasin de fringues et, moi aussi, j’aime les garçons…. J’ai aussi un appart en ville.-Ca je l’aurais deviné !-Quoi ?-Les deux ! Que tu avais un appart en ville et que tu étais homo-Ca se voit tant que ça ?-Non, c’est juste que les mecs trop beaux comme toi sont souvent homos… -En tous cas, t’as l’air très sûr de toi !-C’est pour cacher mon trac… Et puis, c’est peut être aussi parce que je suis jamais tombé sur un râteau…-Ca, ça m’étonne pas avec ta tête ! -Tu sais, tout le monde aime pas les Arabes, hein-Je sais. Mais moi je les kiffe beaucoup les rebeus. »Tout en parlant, il a posé sa main sur la mienne, me la caresse. Pareil avec sa jambe. Aux alentours de la table, je vois des regards en coin. Mais lui, il s’en fout.« -On va chez moi ?-Ca serait mieux que chez moi avec ma mère ! » On rigole.« -Bonne bourre ! » nous souhaite la table à côté, en partant. Elle n’en a pas perdu une miette…A peine installés dans la voiture, il a déjà posé sa main sur ma cuisse droite, à moitié couverte par mon short et me la caresse doucement ! Du coup, un fois démarré, je glisse ma main droite vers son nombril et je lui titille sa ligne de poils. Sa main remonte lentement le long de ma cuisse et se glisse sous la jambe du short… Je pousse le bout de mes doigts vers la ceinture de son short. Il creuse le ventre pour que je puisse me faufiler… Il recommence à causer.« -Et sinon, tu aimes quoi en baise ?-TOUT ! J’aime autant fourrer qu’être fourré…P… ! Moi aussi ! Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux ! »On appuie tous les deux nos caresses. Ses quatre doigts me caressent le slip. Pareil pour moi. On arrive à mon immeuble. En montant l’escalier, il ne peut s’empêcher de me mettre la main au cul deux fois. Quelle impatience !!! A peine la porte refermée, il se jette sur moi, me colle au mur et m’embrasse furieusement, collé à moi. Je sens sa bite tendue contre la mienne qui l’est aussi. Il se donne complètement dans son baiser. Je lui fais passer son tee shirt par-dessus, il me fait pareil. Nous voilà collés, peau à peau. Trop cool !Déjà, ses mains s’aventurent sur mes fesses, sous mon short. Il va falloir qu’on se débarrasse de ça aussi…. C’est fait ! Il en a profité pour se débarrasser de ses skets. Moi aussi. Nous voilà en slips tous les deux. Je me décolle un peu pour pouvoir admirer son corps. Vraiment beau aussi. Un fin duvet sur le torse, une belle ligne de poils, des abdos fins et des pecs bien dessinés, De longues jambes fuselées, un beau slip blanc qui contient à grand peine un paquet qui enfle, qui enfle…On est reparti dans une séance de dévoration de bouche assez délirante. Mes mains s’affolent sur ses dreads, sur son dos, sur son cul…. Je le serre de toutes mes forces contre moi. Nos bites débordent et se frottent … La sienne dépasse d’un bon cinq centimètres l’élastique de son slip – tiens, il n’est pas circoncis -.« -Viens, on va dans la chambre… » Je lui souffle à l’oreille, d’une voix enrouée par le désir.Collés l’un à l’autre, on se dirige vers le lit. Je le jette dessus et me jette sur lui. S’ensuit une sorte de combat amoureux où l’on roule sur le lit, collés l’un à l’autre, par la bouche, par le corps, par les mains… Je veux le découvrir et lui aussi. On sait aussi, tous les deux, qu’on est entrain, là, de se fabriquer des souvenirs pou plus tard. Car on a senti aussi que cette histoire ne serait pas un coup d’un soir.« -Je voudrais te prendre…Tu veux ? » me souffle-t-il dans l’oreilleComment dire non à ça ?« -J’en meurs d’envie Abdel ! Après ce sera mon tour ! Mais d’abord, stp, laisse moi admirer ton fabuleux cul… Et le caresser un peu aussi.--Ouuuuiii ! »J’adore la première fois avec un nouvel amant. On devine beaucoup de choses de sa personnalité à sa façon de faire l’amour…Avec Abdel, je m’attendais à une tornade, vu la façon dont tout ceci avait commencé. J’avais tout faux.D’un seul coup d’un seul, on aurait dit que son excitation était retombée et qu’il essayait de me faire passer un très bon moment dont je me souviendrai et non pas un assaut brutal et rapide. Etonnant de la part de quelqu’un de son âge.Très langoureusement, il commence à me faire glisser mon slip. Il prend bien le temps de contempler tout ça.« Tiens ! Tu as la touffe taillée comme moi § Mes tes souilles sont rasées. C’est mieux ?-Oui. On sent mieux les caresses-Alors, ça me dirait bien aussi.-Quand tu voudras. » Il me caresse doucement les pecs, les abdos, la ligne de poils. Il m’agace longuement les tétons. J’en suis presque à lui dire « Plus bas, Abdel, plus bas ! »Mais je le laisse faire, curieux. Il va alors me caresser le bas ventre, la bite et les couilles de ses lèvres humides….Puis, il se met à me mordiller la hampe, remonte vers mon gland et l’agace du bout de ses lèvres et de sa langue. Trop bon ! J’en profite pour le soulager, lentement moi aussi de son slip. J’ai trop envie de voir à quoi ressemble sa bite. Je ne suis pas déçu. Longue, plus longue que la mienne, fine, lisse, non circoncise mais avec son gland bien décalotté et ruisselant de mouille. Sa toison est taillée assez courte et bien délimitée, noir de jais. Ses couilles sont noyées dans sa touffe. Tout ce que j’aime.Lentement, il se met à me gober le gland et à descendre, descendre le long de ma tige en un mouvement continu. Je sens la chaleur de sa bouche sur ma pine. Coooool ! Dire que ce matin, on ne se connaissait pas ! Il se met à me pomper avec douceur… Comme il est de côté, j’en profite pour caresser son fabuleux cul, je passe ma main sur ses couilles, en coquille. Il tressaille.Puis il me retourne pour me mettre en levrette. Il commence à me lécher à grands coups de langue ma raie tout en me caressant les couilles par en dessous…« -T’as raison ! Rien qu’au toucher c’est plus agréable ! T’as vraiment un beau cul, tu sais.-Pas aussi beau que le tien, Abdel ! »Je découvre ainsi qu’Abdel est du genre « commentateur sportif » ! Maintenant, il me titille la rondelle du bout de sa langue pointée, par petites poussées, en me tirant bien sur les fesses pour dégager ma raie. Trop bien ! Je gémis de plaisir. Il m’encourage à crier plus fort ! Bientôt, il cherche à me passer un doigt plein de salive. A l’aise.« Tu peux y aller, tu sais-Je vois ça. Tu te dilates facilement. »Maintenant, il est à deux doigts et tourne bien pour m’élargir. Il m’enduit le trou de gel bien froid – le flacon est toujours sur la table de chevet-« -Viens, Abdel ! Mets la moi !!-J’arrive ! ».Je sens son gland contre mon trou. Une petite poussée. Il est passé. Il s’arrête. Je savoure l’instant. C’est toujours un vrai bonheur de recevoir une nouvelle bite.« -Je vais y aller tout doux, tu vas voir…-Fais comme tu le sens, Abdel. J’aime tout ! »Il glisse lentement en moi, de façon continue, on dirait qu’il me fend. Que c’est bon, que c’est doux ! Arrivé aux couilles, il ne bouge plus et me laisse savourer à nouveau. Puis il se recule tout aussi lentement. Il va ainsi faire pas mal de va et vient à cette cadence.« -Woouuuaaah ! Abdel ! C’est trop trop bon ! Je sens bien ta bite ! Elle est super bonne ! »Puis il imprime un rythme qui va en s’accélérant très très progressivement. Il m’a empoigné les hanches et me tire à lui à chacun de ses coups de bite. C’est à ce moment là qu’il se retire, me retourne à plat dos, écarte et relève mes jambes et se glisse entre mes cuisses et en moi à nouveau. Il reprend son limage. J’’adore cette nouvelle position. Elle me permet de l’avoir contre moi, de le voir, de le caresser, de l’embrasser, de l’admirer…Il a encore accéléré. Cette fois sa bite me laboure le ventre, me chauffe, fouille en moi, tape et recommence. Trop trop bien ! Je l’encourage en gémissant de plus belle. Et c’est là qu’il va me surprendre par sa belle endurance. C’est d’ailleurs ce qui me fait aimer les Arabes en général. Leur endurance. J’adore être ainsi bousculé dans mes entrailles, sans fin.Cette fois, il est au max-enfin, je crois-,. Il me bourre à toute vitesse.« Ooooooh ! Tom ! Je jouis ! WOOOOOUUUUUH « Je sens son sperme brûlant qui m’inonde. P….n ! Que c’est bon !. Il ralentit lentement son va et vient jusqu’à s’arrêter complètement. Il reste ainsi en moi, épuisé. Je le caresse, lui murmure des compliments, le couvre de bisous…Je suis aux anges. Je le laisse récupérer doucement. Il sombre assez vite dans un sommeil réparateur.Pour ma part, vu mon état d’excitation sexuelle, il est hors de question que je dorme. Alors, j’en profite, pendant qu’il récupère, pour l’admirer sous toutes les coutures. Quel beau mec ! Quelle chance j’ai de l’avoir dans mon lit ! Mes yeux se régalent d’admirer un tel chef s’œuvre ! Je n’y tiens plus. Il faut que je fasse quelques photos. Je le mitraille sous toutes les coutures. Je lui montrerai au réveil. S’il veut que je les efface, je les effacerai. La tentation est trop forte, J’ai trop envie de son corps, je ne peux m’empêcher de lui effleurer sa peau du bout de mes doigts. J’y vais tout doux car je ne veux pas le réveiller tout de suite. J’effleure ses couilles, son gland, le frein de son prépuce. Il ne tressaille pas. Je lui prends très doucement sa main et la pose sur ma bite raide de chez raide… Rien… Il dort comme un bébé, sur le dos, bouche entrouverte, bras écartés, offert.Il va falloir que je passe la vitesse supérieure si je veux une réaction. Alors, avec mes lèvres je dessine un O parfait et très doucement je les pose sur son gland, encore décalotté. Ah, là ça remue. Il ouvre un œil, me sourit et appuie sur mes cheveux pour que je m’enfonce sur sa hampe qui reprend de la vigueur presqu’instantanément. Quelle bonne bite ! Pas trop épaisse, très agréable en bouche. En plus, elle vibre bien. Bon, maintenant qu’il est réveillé et en forme, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.Du coup, je me déplace et viens me mettre à califourchon sur ses pecs pour lui proposer ma queue à sucer. Ce qu’il fait avec beaucoup d’entrain et moult commentaires. Ses mots gentils sur ma pine m’excitent grave. Il suce bien. Décidément pas un perdreau de l’année ! Mais, j’ai pas l’intention de jouir dans sa bouche tout de suite. Alors, je lui propose de s’empaler sur ma queue. Il est emballé par l’idée !On change donc de position. Je m’allonge, il me tartine copieusement de gel, sans s’en mettre lui-même. Il me dit que, de temps en temps, il aime être forcé. Il se place au dessus de mon sexe et commence à descendre. Je sens une résistance sur mon gland mais pas tant que ça finalement… Je réussis à entrer. Trop bien de découvrir un nouveau fourreau à explorer ! Il descend un peu en force en gémissant. Il est assez serré mais c’est bien agréable aussi ainsi. Il commence une belle séance de monte et baisse, de plus en plus frénétique…Je le relance, alors.« -Abdel, j’aimerais te prendre comme tu m’as pris cette nuit…-Bien sûr, mon…chou ! »Je le remets à plat dos, lui lèves les jambes, les lui écarte et me glisse en lui entre ses cuisses chaudes. Trop bien. Je me mets à le trombonnner au même rythme que lui, avant. Il gémit de plus en plus fort. Il commence à dire des mots en arabe…J’adore le pistonner ainsi, me frotter à lui, le caresser de mon ventre, le voir béat de plaisir…« -Abdou ! Je vais jouir !-Mets moi tout sur la figure ! »A la dernière seconde, je me retire et viens l’asperger copieusement. Les yeux, les cheveux, les joues, les lèvres. Il me remercie. Je me mets à le lécher soigneusement. Il me demande de l’embrasser avec du sperme en bouche. Bien volontiers !On reste ainsi un moment, l’un sur l’autre et, on s’endort pour un moment. Mais la nuit n’est pas finie pour autant… C’est ainsi que tout a commencé. Et depuis, ça dure. Encore et encore. Le plus longtemps possible, j’espère… On s’entend de mieux en mieux à tous point de vue. Sexuel aussi ,surtout…
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