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Dans la piscine au clair de lune.

Chapitre 1

Hétéro
Il est deux heures du matin et dans la nuit étouffante je ne parviens pas à trouver le sommeil. Je tourne la tête vers Charles, mon compagnon, qui dort à poings fermés. Je balaye d’un oeil concupiscent son corps nu, mais je n’ose pas le réveiller. Pourtant je suis terriblement excitée ; ça m’arrive souvent les soirs de pleine lune. Alors j’écarte les jambes et je me masturbe, certaine que mes gémissements et mes ondulations le réveilleront. Bingo ! Il se tourne vers moi et lance d’une voix pâteuse :
— Ça va chérie, tu dors pas ?
Incroyable, Il n’a même pas vu ce que je faisais ! Alors je tente de l’aiguiller en posant la main sur son sexe, mais il marmonne et se retourne. Enervée, vexée même, je me lève et je sors sur le balcon, toujours excitée parce que je ne suis pas parvenue à me faire jouir. Je m’accoude à la rambarde et je contemple le reflet argenté de la lune dans l’eau calme de la piscine puis j’attrape mon paquet de « Benson » et je tire une grosse bouffée. La plupart du temps fumer me calme ; mais pas ce soir. Je tourne la tête vers la chambre. Charles est à plat ventre, les fesses baignées de lumière. J’ai envie de sauter sur lui, de les mordre ; de l’obliger à me prendre mais je ne puis m’y résoudre, alors j’enfile mon peignoir et je descends m’asseoir au bord de la piscine, les pieds dans l’eau.
J’ai encore des envies de luxure dans la tête et je sens ma chatte couler. Alors, d’un geste brusque je rejette mon peignoir et je glisse dans l’onde pour y noyer mes désirs, certaine que quelques longueurs m’épuiseront.
A mi-parcours de la troisième, je me tourne sur le dos pour souffler et aussitôt je suis assaillie par le souvenir de scènes sulfureuses. Je ne suis pas encore suffisamment épuisée pour calmer mes pensées libidineuses et alors que je m’apprête à repartir dans un énergique crawl, je sens une présence près de moi. Paul ! Je ne l’ai pas entendu plonger. Et moi qui suis nue ! Je risque un regard et j’aperçois la peau brune de ses fesses qui affleurent la surface. Je frissonne et poursuis vers l’autre bord du bassin. Il me rattrape, me dépasse, et je le vois brusquement se retourner pour un dos crawlé. Il nage lentement, si bien que je me rapproche, à le toucher, et je vois son sexe frémir à la surface de l’eau. Il est long, épais. Je sens la chaleur dans mes joues, alors par prudence, je m’éloigne un peu. Si j’étais sympa je me retournerais moi aussi. Mais j’ai peur des conséquences. Alors je disparais sous l’eau et lorsque je ressors, j’ai toujours aussi chaud.
Son sexe, une nouvelle fois, aimante mon regard. Il faut que je m’éloigne encore. Je fais une pause au bout du bassin puis je repars en brasse coulée. Je commence à m’épuiser mais mes hormones ne fléchissent pas. Je sais que c’est la présence de Paul, de son anatomie, qui me garde dans la fièvre et je ne veux pas sortir, nue, devant lui. Alors j’attends, je ralentis ma nage que j’alterne avec de fréquentes pauses sur le dos, loin de lui. Il finira bien par remonter se coucher. Enfin je le vois sortir. Je suis sauvée ! Zut ! Il s’assied au bord du bassin, les jambes pendantes et les pieds dans l’eau, dans une attitude impudique.
Mince, je ne peux pas sortir, mon peignoir est à côté de lui, alors je barbotte encore un bon quart d’heure. Il ne se décide pas à partir et moi j’en ai marre, je suis fatiguée. Allez-tant pis je sors, mais qu’est-ce que je cache avec mes mains ? Mes seins ou le reste ? Je le vois qui bouge ; il se lève, attrape son peignoir et se frotte les cheveux. Ses mouvements font ballotter sa verge. Nom d’un chien elle lui descend pratiquement à mi cuisse ! Je frisonne. Il se promène sur le bord de la piscine et se rapproche de moi. Je ne peux détacher mes yeux de son sexe. Ses bourses pendent lourdement. Il est sacrément bien monté le garçon ! J’ai le ventre en feu et des images salaces plein la tête. Il faut que je me ressaisisse et je m’élance une nouvelle fois dans l’eau. Je veux sortir à l’autre bout de la piscine, loin de lui et courir jusqu’à ma chambre, mais il m’accompagne en marchant sur le bord.
Je suis à présent exténuée. Il me tend la main en souriant :
— Vous voulez que je vous aide ?
Je ne réponds pas. J’hésite, mais à quoi bon. J’ai le sentiment qu’il n’abandonnera pas la partie tant qu’il ne se sera pas rincé l’oeil. Après tout je l’ai bien fait ! Alors je saisis sa main. Il me tire sur le bord et je vois ses muscles saillir. Il est beau. Je caresse du regard ses « tablettes de chocolat » puis je sens ses yeux posés sur mes seins. Je frisonne et je rougis comme une ado en sentant mes tétons se dresser. Mon dieu ! Il commence à bander ! Whah ! Elle fait au moins 18 cm. J’en n’ai jamais vu une pareille. Je me force à regarder ailleurs lorsqu’il me tend mon peignoir. Je le saisis mais il ne le lâche pas.
— Tournez-vous.
J’obéis et il commence à me sécher les cheveux. Je ferme les yeux. Il est maintenant sur mes épaules… mon dos… mes hanches. La serviette tombe et je sens aussitôt ses mains sur mes fesses. Je devrais le repousser mais je n’en ai pas la force. Je sens sa queue qui me frôle régulièrement. Il referme ses mains sur mes seins. Je devrais fuir, remonter dans ma chambre en courant mais je ne le peux pas. Tout mon corps n’est plus que braises incandescentes. Pourtant, armant mes dernières forces, je m’esquive et cours vers la maison, mais il me rattrape, me ceinture, et nous tombons dans la piscine. Je tente de disparaître sous l’eau mais il ne me lâche pas. Il m’embrasse dans le cou. Je penche la tête sur le côté puis lorsqu’il cherche mes lèvres je ne les lui refuse pas. Nos langues se goutent… s’enroulent… Le baiser devient ardent. Je sens son sexe palpiter contre ma cuisse. Soudain il me soulève, me pose sur le bord de la piscine puis se hisse à son tour. Sa bite, un moment ramollie, se remet au garde à vous. J’ai chaud.
De plus en plus chaud. Elle se rapproche. Elle n’est plus qu’à quelques centimètres de mon visage. Je craque. Je la saisis, décalotte le gland et y dépose un baiser. Paul laisse échapper un souffle de contentement. Sa bite est tellement grosse que je peux sucer et branler en même temps. C’est bon. Pour lui aussi je crois. Je laisse courir ma langue le long de la hampe puis je descends jusqu’aux testicules. Je les lèche ; je voudrais les gober mais ils sont trop gros alors je les palpe, je les caresse, je les soupèse. Ses couilles sont vraiment lourdes. Pleines ! Je ne peux retirer ma main alors je les garde dans ma paume et je suce. Je tente une « gorge profonde » mais elle est trop longue et je manque de vomir. Je me calme. Je pompe lentement et j’alterne les caresses en fonction de ses réactions. Son plaisir me galvanise. Sucer sa belle queue me donne, à moi aussi, du plaisir, mais je ne veux rien faire d’autre parce que mon copain est là haut dans la chambre.
Non, je ne veux rien faire d’autre. Je vais le faire jouir et ça le calmera. Moi aussi, j’espère. Soudain il me saisit par les bras, me relève, puis il me prend par les hanches, me soulève et place ses mains sous mes fesses. Oh non, Il va… Je n’ai pas le temps d’arriver au bout de ma pensée car il me pénètre d’un grand coup de reins et sa queue qui glisse en moi délicieusement m’ôte toute volonté. Je ferme les yeux et je le laisse faire. C’est si bon ! J’ai la sensation d’avoir un pieux énorme dans mes entrailles. Dieu que c’est bon ! Ça y est je ne contrôle plus ma respiration et je laisse échapper de petits cris de fouine. Il accélère la cadence. Il va me défoncer ! Oh mon dieu je ne vais pas tarder à jouir.
Soudain je sens une présence dans mon dos, puis je reconnais la voix qui murmure :
— Laisse-toi aller ma puce.
Charles ! Depuis combien de temps est-il là ? Finalement, je m’en moque parce que je vais bientôt jouir. Ouiiiii ! Ça y est, je jouis… FORT ! Mon copain m’encourage puis il me saisit les mamelles, triture mes tétons et je jouis encore. Paul me repose à terre. A-t-il joui lui aussi ? Je n’ai rien senti. Non, je ne crois pas car je vois sa queue toujours aussi raide. Je me penche pour prendre celle de Charles en bouche et je le suce, comme il aime, tandis que les mains de Paul se promènent sur mon dos ; puis descendent. Il m’écarte les fesses et je crie :
— Non, non, elle est trop…
Charles ne me laisse pas achever, il m’attrape par les cheveux et replonge dans ma bouche.
— Tais-toi et suce !
Je sens mes fesses s’élargir, se distendre, et Paul s’enfonce doucement. Etrangement, je n’ai pas mal et je trouve la sensation terriblement excitante tant je sens nettement les frottements de son énorme pieu contre les parois de mon étroit fourreau. Ça doit aussi lui plaire. C’est la première fois que j’ai ce calibre dans les fesses et si j’en ai la possibilité, je recommencerai ! Est-ce qu’il va arriver à me faire jouir comme ça ? Je n’y suis encore jamais parvenue lors d’une sodomie, mais peut-être qu’avec cette énorme bite qui me fouille… Je stoppe soudain mes pensées pour me concentrer sur la fellation et je laisse monter le plaisir. Ma respiration s’accélère et mon coeur bat dans mes tempes. Il va y arriver le bougre ! Je tremble, je crie, puis soudain, au bord de l’orgasme, je lâche la queue de Charles pour crier encore :
— Oh mon dieu je vais venir… Oui ! Ouiiiii !
Charles étouffe mes derniers cris en replongeant dans ma bouche puis il me baise ardemment tandis que Paul se retire et éjacule sur mes reins. La tension retombe. Charles m’enlace tandis que Paul disparait, et sur ma peau, quelques frissons s’attardent encore.J’embrasse Charles un long moment, puis je lui glisse à l’oreille :
— J’ai encore envie.— De lui ?— De vous deux, avoue-je, l’oeil brillant.
Charles me claque les fesses en me traitant de salope, ce qui me fait ronronner.
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