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Dans le placard de mon patron

Chapitre 1

Trash
Je tire une chaise vers moi et jette un coup d’œil à mon partenaire de crime. Sélim est mon collègue de travail. J’admets que je me sens un peu coupable de l’entraîner dans le bureau du patron, mais on s’entend plutôt bien.
— T’as bientôt fini grosse vache ?

Ah j’oublie, il a un sens très personnel de ce qu’est la politesse.
— Oui oui je vois le carton tout en haut, il faut juste que je l’attrape, mais si tu flippes, tu peux toujours t’en aller.— Et m’asseoir sur une soirée en tête à tête avec toi ? Jamais de la vie.

Alors que je monte sur la chaise afin d’atteindre mon objectif haut perché, je sens son regard enrouler mon corps. Je suis assez flattée, car Sélim est un beau garçon : bien bâti, grand et bronzé, avec des yeux couleur océan. Il doit avoir pas mal de succès, mais depuis que je suis arrivée ici, je me suis juré de ne pas mélanger le sexe avec le boulot. Et puis de toute façon, je m’en sors bien mieux toute seule. Je suis Eléa, j’ai vingt-quatre ans et je me destine à une carrière de journaliste. Je suis brune aux cheveux longs, mais pour être honnête, je ne me suis jamais trouvée spéciale physiquement. Pourtant, le regard de Sélim s’attarde sur mes jambes. Je porte des escarpins noirs vernis avec une jupe moulante jusqu’en haut des genoux.
— Tu comptes me mater toute la journée ou faire ce pour quoi je t’ai appelé ?— Oh ça va, t’as des jambes magnifiques, sérieux, pourquoi t’arrêtes pas de me recaler ?

Je tire le carton vers moi, il est toujours un peu haut alors je le penche afin d’avoir une meilleure vue sur ce qu’il recèle.
— Je ne suis pas intéressée. — T’as vraiment un cœur de pierre !

Je roule des yeux et lui rétorque « Peut-être que si tu arrêtais de me traiter de grosse vache et que tu me ramenais mon café le matin, t’aurais une chance ». Et merde. Si je commence à flirter, c’est mal barré. « En fait non, même en faisant ça, t’aurais aucune chance. Je suis attirée par un certain standing en matière d’homme, tu comprends ». OK ça va, je m’en sors bien.
Il bougonne « Pourquoi tu souris ? Ça te fait plaisir d’être aussi froide ?
— Franchement, oui. » Dis-je en rigolant.

Soudain, la tête de Sélim devint pâle.
— J’entends des bruits de pas.— Tu déconnes.— Non non, je déconne pas putain, le boss arrive, on est dans la merde. T’as trouvé ton truc ? — Non même pas ! On fait quoi ?! — Viens !!

Sélim accourt vers moi et m’attrape par le bras. J’échappe de peu à l’entorse de cheville en basculant, mais ma jupe ne supporte pas l’écart de mes jambes et se déchire sur quelques centimètres. Le haut de mes bas se fait alors deviner.
— Attends ! soufflais-je. La chaise !
J’arrache mon bras de sa poigne et replace la chaise, ni vue ni connue. Il me reprend instantanément par l’épaule et me tire vers lui. Avant même de comprendre où il m’entraîne, je me retrouve derrière un rideau de placard en même temps que j’entends la poignée de porte se tourner. Mon cœur palpite. J’ose un regard à travers la fente du tissu et l’odeur de mon supérieur emplit la pièce. C’est une odeur boisée teintée de musc et de jasmin. Il referme la porte derrière lui, tout en se brossant cheveux vers l’arrière, puis se dirige vers son bureau. Je sens la respiration de Sélim s’accélérer derrière moi. Le pauvre, il doit me détester.
— Je te déteste, me souffle-t-il dans les cheveux.— Je suis vraiment désolée Sélim...— Il va falloir plus qu’un "désolée" pour te faire pardonner Eléa.

Je le sens changer d’appuis sur ses jambes. On est un peu compressés dans ce placard et ça n’est pas très confortable.
— T’en fais pas, il reste jamais très longtemps dans son bureau.

Je commence à avoir un peu chaud.
— Tu peux pas te décaler un peu ? J’étouffe.

Il relève son bras gauche et le coince entre moi et le bord du placard, son index me donne une pichenette sur la joue.
— Désolé princesse, je suis au maximum.

Je prends alors mon mal en patience et tente de respirer correctement, cette proximité m’intimide. La respiration de Sélim pulse légèrement dans mon cou. Son bras droit me traverse sur le côté et écarte discrètement le rideau. Je le sens dégager mes cheveux en utilisant son nez.
— Et moi j’me mange tes cheveux dans la bouche, t’es relou.

La vibration de son chuchotement dans mon cou me donne un frisson.
— Mais t’en fais pas, je les aime beaucoup tes cheveux, comme tout le reste de ton corps d’ailleurs... Sans déconner, qu’est-ce que t’es bonne, ça fait longtemps que je te regarde, tu sais.

Je me fige. La main gauche de Sélim me caresse la joue du bout des doigts.
— Si tu savais le nombre de fois où je me suis imaginé te prendre par-derrière quand tu passes devant moi le matin, tu flipperais.

Je sens son regard me déshabiller. Sa main droite lâche le rideau et se pose sur ma taille. Elle est à la fois ferme et chaude. Il m’attire alors un peu plus contre lui et murmure :
— J’ai envie de te baiser. — Quoi ?! je souffle.— Tu adorerais ça, j’suis sûr que t’es une vraie salope au lit.

Je sens sa queue durcir derrière moi et sa main droite remonter vers ma poitrine. « Rien que de l’imaginaire ça me fait bander. » Ma respiration s’accélère. Ses lèvres se collent à ma nuque et il râle « allez sois gentille et laisse-moi m’occuper de toi, ça fera passer le temps ». Ses dents mordillent mon cou et deux doigts de sa main gauche caressent ma bouche, pendant que je sens son bassin se contracter d’avant en arrière. « Tu ne le regretteras pas tu sais, allez ouvre la bouche ma belle ». Sa main droite commence à me caresser les seins par-dessus mes vêtements. Je n’ai mis qu’un soutien-gorge en dentelle et il remarque très vite que mes tétons pointent déjà.

Je sens son souffle devenir plus bruyant tandis qu’il se frotte contre mes fesses. Ses doigts sont dans ma bouche. Je les suce assez timidement de temps à autre, sous prétexte d’avoir besoin de salive. « Putain, j’aimerais tellement que tu me suces la queue là. » Son bassin se presse plus fort. « Regarde comment tu me rends dur, petite pute ». Sa main droite masse ma poitrine, puis pince fortement mon téton entre ses doigts. Je laisse échapper un gémissement. « Par contre, tu fermes ta gueule ». Il presse mon sein un peu plus fort et se met à baver dans mon cou. « T’es délicieuse, je bande à mort putain regarde ça ». Son bras gauche passe devant ma gorge et il referme son emprise, m’étranglant doucement.

Sa main droite redescend sur ma hanche et cherche à remonter ma jupe. « Petite coquine, t’as mis des bas, tu sais que j’adore ça hein ». Sa main caresse allègrement mon entrecuisse. « Avoue que tu l’as fait exprès pour m’exciter. » J’acquiesce. « Tu l’auras cherché, écarte les jambes maintenant », me dit-il d’un ton autoritaire. Alors que sa main remonte vers ma culotte, je resserre les cuisses et compresse ses doigts contre mon sexe. Cette sensation me fait mouiller. « Écarte j’ai dit putain. Plus que ça. » Je desserre légèrement et sens ses doigts se frotter à ma chatte. « Dis donc t’es une vraie salope toi, t’es déjà trempée. » Il utilise son pouce pour enfoncer le tissu de ma culotte à l’entrée de mon vagin. Une fois. Deux fois. J’inspire et expire profondément. Je suis totalement soumise à l’emprise qu’il a sur moi. « Touche ma queue », me dit-il dans l’oreille. Mon bras se fraye un chemin dans mon dos. « Allez dépêche-toi, prends-la et branle-moi.
Putain t’es trop lente, je tiens plus ». Il attrape mon poignet et ramène ma main sur la bosse de son jean. « Branle-moi chérie, tu me rends tellement dur. » Il utilise ma main comme un sex-toy en la frottant contre son jean quelques minutes, puis ouvre sa braguette. Il attrape ensuite sa queue et la frappe plusieurs fois contre mon cul. Elle est énorme. Ses doigts qui étaient précédemment dans ma bouche viennent la lubrifier. « Branle-moi maintenant. Tout de suite. Allez sois pas timide ma belle, tu vas adorer ça. Mmh c’est bien, n’aie pas peur. Ta main est douce comme une peau de bébé. T’es bonne, tu sais. Serre-la entre tes doigts, plus fort, oui comme ça. Hann. Un peu plus vite. » Ma main coulisse fermement sur son membre pendant qu’il me doigte et m’étrangle désormais sans retenue. J’échappe un gémissement quand ses doigts se recourbent sur mon point G. « Ta gueule putain, tu vas nous faire repérer ». Sa main gauche qui m’étranglait se pose alors sur ma bouche.
Il me bâillonne d’une main de fer et susurre « je vais te défoncer le cul ma belle. » Je me débats en faisant mine de protester. « Tiens-toi tranquille, je sais que t’aimes ça ». Je le sens empoigner sa queue et décaler ma culotte sur le côté. J’attrape les rideaux pour garder l’équilibre. Son gland frotte contre ma chatte et chaque passage sur mon clito me fait crier intérieurement. Sa main sur ma bouche étouffe mes gémissements. C’est alors que je sens mon portable vibrer dans la poche de ma veste tailleur. Sélim libère ma bouche, me permettant de relâcher un peu la pression. Il prend mon portable.
— Le boss t’appelle, dit-il en faisant les gros yeux.

Il écarte le rideau. Je réalise alors la situation dans laquelle je suis. Mon patron est assis dans son fauteuil en cuir, son ordi ouvert devant un film porno, sa queue dans la main gauche et son portable dans la main droite. Il m’appelle pendant qu’il est en train de se masturber ! Et il est plutôt sexy... Ses cheveux retombent devant ses yeux noirs et sa queue paraît bien pleine. Elle est aussi grosse que celle de Sélim. Il se branle du bout des doigts et marmonne « putain qu’est-ce qu’elle fout Eléa, j’ai envie de l’engueuler pour me faire jouir. Bordel sa petite gorge a l’air tellement délicieuse. » Sélim pouffa « bah dis donc ma vieille t’as une touche avec le grand chef ! Dommage pour lui, c’est moi qui profite. » Il reprend alors ses frottements contre ma chatte et entre mes fesses, tout en passant mon portable vibrant contre mes tétons. Je suis hypnotisée par la vision de mon chef en train de se branler.
Il regarde une vidéo de gangbang où la fille se fait littéralement baiser la bouche. « T’aimerais que je baise ta petite bouche comme ça hein ? » me dit Sélim. « Tu sais j’adore les gorges profondes, j’appuierai sur ta tête jusqu’à ce que tu sentes mes couilles contre tes lèvres ». Sur ces paroles, je sens sa queue écarter la chair de mon vagin. Mon corps se tend tout entier. « shhhht ça va calme-toi, c’est juste ma bite, détends-toi ma belle. » Il l’enfonce un peu plus en me serrant contre lui. « Putain ce que t’es serrée ! C’est trop bon de te baiser, si j’avais su, je t’aurais défoncée bien plus tôt. » J’ai l’impression que sa queue entière est en moi alors que c’est à peine le tiers. Puis il avance son bassin d’un coup et je sens tout son sexe rentrer en moi. « Hannn t’es une bonne fille Eléa. » Sa main droite lâche sa queue et attrape mes cheveux. « Viens par là ». Il me tire la tête en arrière et m’embrasse langoureusement.

Je lui mords la lèvre. « T’es sérieuse petite pute ?! » Je ris intérieurement. « Tu vas voir comment je vais te déchirer » il commence alors un va-et-vient en profondeur, chaque coup de reins me faisant serrer les dents. « Ta bonne chatte là mmh ». Je tente de me mettre sur la pointe des pieds pour diminuer sa pénétration. « Eh, reste là toi ! » Ses deux mains se posent sur mes épaules et il appuie fermement afin de me faire redescendre sur sa queue, malgré mon semblant de résistance. Je finis par le laisser faire et il me repénètre tout entièrement. « C’est bien t’as compris ce que je veux. T’es une bonne salope toi hein ». Il me baise en m’entourant de ses bras. « En plus t’es vraiment mouillée ». Je me raccroche autant que je peux aux rideaux pendant qu’il me serre et me donne des coups de bassins de plus en plus forts. « Tu pourrais me faire jouir ». Il accélère ses mouvements et je sens sa queue gonfler en moi. « Elle est trop bonne ta chatte, le boss sait pas ce qu’il rate ».

Pendant ce temps, le film porno continue de tourner en arrière-plan et Sélim calque son rythme sur celui d’un des acteurs. « Regarde comment elle tend son cul cette salope, j’aimerai bien te prendre comme ça et te claquer les fesses comme la bonne petite pute que t’es ». Je me cambre un peu plus. « Haha c’est ça que tu veux hein, que je te prenne en levrette et te défonce le cul en t’attrapant par les cheveux ! Putain t’es trop excitante ». Une de ses mains se remet sur ma gorge pendant que l’autre masturbe mon clito. « Je vais gicler dans ta petite chatte ma belle, tu m’en donnes trop envie ». Sa queue va-et-vient de plus en plus rapidement et sa respiration se fait plus bruyante. Il est trempé de sueur. Sa main relâche ma gorge pour attraper mes fesses et les malaxer. « Ton cul aussi a l’air divin, laisse-moi le défoncer un peu ». Son énorme queue se retire de mon vagin pour se planter entre mes fesses.

Je mords le rideau sous l’effet de la surprise. « Incroyable c’est encore plus serré, je peux même pas la rentrer entière ». Sélim est très attentif et mon corps tendu à l’extrême montre bien que je ne peux pas prendre plus de la moitié de son sexe. Il s’en accommode et me baise en alternant pénétration profonde dans ma chatte et semi-pénétration dans mon cul. Je commence à me détendre. « Ah bah voilà tu vois c’était pas compliqué. » Sur ces paroles, il enfonce entièrement sa bite dans mon cul tout en bâillonnant ma bouche. Je crie intérieurement. « Les choses sérieuses peuvent commencer », me souffle-t-il dans l’oreille. Mon cul est en feu, il le baise fortement. Il alterne mouvements rapides, sa bite rentrée jusqu’à la garde, et mouvements amples sur toute la longueur de sa queue. « Prends ça dans ton cul. Han ! Putain qu’est-ce que t’es bonne ! Finalement, je vais jouir dans ton cul petite pute.
T’as vu comme ma bite est dure pour toi, elle te défonce hein ? » Il accélère le mouvement. « Tu vas me faire jouir putain » il m’attrape par les cheveux et la taille. « T’as pas intérêt à t’échapper. » Je me sens perdre des cheveux tant il tire fort. Ma nuque est renversée à l’extrême. Je suis moi aussi au bord de la jouissance. « Putain ouais, hann, hann ouais » il va de plus en plus vite et la sueur de son corps glisse sur mes fesses « prends ça ! han, han, je vais jouir salope, qu’est-ce que t’es bonne. T’aimes ça hein ?! Hann, han, je vais gicler dans ton cul putain, hann, HAN ! HAN ! » Il se contracte et se vide totalement sous plusieurs convulsions. Enfin, il se retire dans un râle de plaisir et relâche ses derniers spasmes sur mes fesses. A ce moment-là, le rideau qui supporte mon poids depuis le début, craque et je m’écroule à plat ventre devant le regard stupéfait de mon patron.
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