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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Dans le train -b

Chapitre 1

Divers
J’avais 31 ans à l’époque, etant marié depuis quelques années, je collectionnais quelques aventures à gauche à droite, mais un jour je devais partir pour mon travail sur Paris. Je pris le train à Mulhouse à 7h10, première classe, compartiment 1. , cette place était réservée pour moi. Hélas en entrant dans le train, ce compartiment était occupé par un vieux Monsieur avec un gros cigare, cela m’ennuiais quelques peu et je decidais de changer ce compartiment. Je m’avancais dans le train et un peu plus loin, je remarquais une place tranquille dans un compartiment fumeur certes mais vide, sur la porte aucune reservation n’y été inscrite. Je m’installe près de la fenetre et prend un livre, je lis souvent la revue union, on y trouve de belles histoires érotiques. Bref, cette revue je la cache toujours dans un journal, j’aime etre discret. Avant le départ, la porte du compartiment s’ouvre. Un couple demande: Pardon Monsieur, Y-a-t-il de la place de libre ici ? Oui bien sur leur repondis-je. Madame devait avoir environ 40 ans, quand à son mari il était proche de la cinquantaine. Elle etait blonde d’apparence, un vrai fausse blonde, je l’ai remarqué à ces racines de cheveux bruns. Lui tres grisonant, d’apparence severe. Elle avait de beaux yeux verts en amandes. Elle etait vetue d’un tailleur gris clair et montrait une classe certaine. Lui plutot BCBG. Le train partit. Le monsieur me demanda: Vous allez sur Paris ? Oui et vous ? Eux aussi, la conversation etait entammée. Mais je ne pouvais pas continuer a lire ma revue. Pour le moment. Madame ne parlait pas, de temps en temps lorsque nos regards se croisait elle me souriait et tourna sa tete à nouveau vers la fenetre. Assise en face de moi je ne pu m’empecher de tenter de regarder entre ses jambes. Mais je n’y apercu rien, elle les avait serrer. Nous discutons de tout et rien avec son mari Jacques. Pas tres interressant. Aline, elle se prenomait Aline suivait notre conversation sans s’en meler, j’avais l’impression quelle etait en colere contre son homme. Je continuais de mater ses jambes et d’un coup elle le remarqua. Je me sentis rougir. Elle tourna la tete vers la fenetre. Apres quelques instants, ayant repris ma couleur naturelle, je retentais un regard furtif sur ses jambes. Elle souriait discretement, puis s’amusa avec moi. Elle ecarta legerement et discretement ses jambes qui me laissa entrevoir un tissu blanc. Tout cela sans que son mari s’en rende compte. Au bout de quelques instant elle sortit en pretextant un besoin naturel, en passant elle effleura mon genou avec sa jambe ce qui m’exita rapidement. Elle revint 3, 4 minutes plus tard et se remie à sa place d’origine. Elle me regarde, me sourie et moi toujours par couriosité jette un regard entre ses cuisses, mon dieu, je remarquais une toison brune, elle avait enlevée sa culotte. Je sentais monter en moi une etrange sensation. Il me fallait à boire. Je proposais de suite, ’ Je vais me chercher à boire, voulez vous que je vous ramene quelque chose Jacques, Oh oui volontiers, j’aimerais un cafe et il demanda à Aline et toi tu veux aussi quelque chose. Oui mais pas forcement un café, je vais accompagner Jean-Luc au wagon restaurant et voir ce qu’ils proposent. OK, nous sortames tous les deux du wagon et nous dirigeament vers le compartiment Restaurant. Entre deux wagon, ou plutot a la fin de chaque wagon se trouve les toilettes. Rapidement, en arrivant au niveau des WC je saisi Aline par le bras et l’entraina dedans. Dites donc, que faites vous me lance t-elle. Tu n’atends que cela ou bien, en meme temps je glisse ma main sous sa jupe et decouvre un minou tout trempé. Elle ferma la porte derriere nous et m’embrassa en pleine bouche. Un baiser fougeux qui me fit bander durement. D’une main elle sortit mon penis de son logement et se met à le sucer. Mon dieu je croyais exploser , tres vite je lui giclais au fond de sa gorge, je voulu la prendre mais elle n’oublia pas son mari qui doit se demander ou nous sommes passer. Nous sommes donc aller chercher les deux cafes et une tisane pour Aline , afin quelle puisse se rincer la gorge. Jacques nous attendais deja, apparement un homme tres jaloux. Une bonne heure plus tard, Jacques s’endormait lentement. Un desir remonta en moi, discretement je lancais ma jambe en avant pour toucher celle d’Aline. Elle ferma les yeux. Elle avait tres envie de se faire baiser, cela se lisait sur son visage.
Je lui fait un signe, allez viens on sort !! Elle hocha la tete, je decidais alors d’y aller au culot, j’etais decider à baiser cette femme coute que coute. Le train freina un peu , ce qui reveilla Jacques. Il etait vraiment fatigué. Je proposa: Jacques si vous voulez je vous laisse la place de ce cote, vous pourrez ainsi vous coucher et dormir plus à l’aise. Ce pauvre Jacques accepta et me remercia pour ma gentillesse. Nous echangeames nos place et Jacques se coucha par de la les trois sièges. Je prenais place à coté d ’Aline, apres quelques instants, juste le temps pour Jacques de s’endormir profondement, il se mis à ronfler, je decidais de passer à l’attaque. Ma main fut rapidement sur la cuisse d’Aline, qui la repoussa aussitot. Je recommencais en lui disant à l’oreille laisse toi faire. J’insista et finalement fatiguée elle me laissa faire, je caressais sa cuisse en remontant lentement vers son clitoris, au premier contact de celui-ci elle sursauta et retena difficilement un petit cris. Je bandais à nouveau comme un turc. Je lui caressait les seins, en tournant legerement ses mamelons, elle a mis sa main sur sa bouche. Ma main glissa vers sa chatte trempée. J’ai fais glissé le majeur dans son trou chaud, elle etait exitée comme une vrai salope. Nous avions presque oubliés son mari qui dormait à coté. Tant pis, arrivera ce qui arrivera. J’ouvre ma braguette et sors mon penis de son fourreau. Sans nous deshabiller , je la prends par la main et la fait enjamber mon penis. Elle est la , empalée sur ma verge tendu, son mari derriere elle qui ronfle, et commence un mouvement d’avant en arriere, de gauche a droite , d’en haut vers en bas. Elle grimace fortement, mais n’ose pas se laisser aller, Je lui mets la main sur la bouche et elle laisse aller un petit cri furtif, qui ne reveilla pas son mari. Remis de cette baise rapide, elle se rassois a cote et nous discutames un peu. Nous avons aussi echanger nos telephones et nous nous sommes promis de nous revoir, sans personne evidement.
Cela fera l’objet d’une prochaine histoire
Jean_luc
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