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dans le train de nuit

Chapitre 1

Gay
Pour mon travail, je suis obligé de me rendre à Paris toute les semaines pendant 9 mois, de février à octobre. Au début je prenais l’avion le lundi matin et je rentrait le vendredi soir. Mais un lundi en arrivant à Orly je suis pris d’étourdissement et je m’écroule par terre. Heureusement il y a un médecin juste derrière moi qui me demande de ne pas bouger et qui m’occulte sur place. Tout va bien, ne ne suis pas blessé mais le médecin me demande de consulter car ceci n’est pas normal. Il insiste pour que je passe des examens des oreilles et me donne l’adresse d’un ORL de ses amis et sa carte. Je suis pris le jour même et les résultats font que j’ai un problème aux oreilles et que je ne peux plus prendre l’avion sur de courtes distances. Une question de pressurisation et de dépressurisation trop fréquentes. Je décide donc de prendre le train. Malheureusement, devant être le lundi matin à Paris je doit partir de Toulouse le dimanche soir et rentrer le vendredi soir ce qui me fait arriver le samedi matin à Toulouse. Quand je prend le train de nuit, je me prépare toujours comme si je devais baiser. Lavement et nettoyage approfondi.
Un dimanche soir de juillet, il faisait une chaleur torride. Encore plus de 30° le soir à 23 heures. Je prends toujours un T2, c’est un wagon composé d’une douzaine de compartiment avec chacun de deux lits. Les lit sont fait avec de vrai drap, pas un sac de couchage. Ça coûte un peu cher mais c’est la boite qui paye et en définitive c’est moins cher que l’avion. Je réserve toujours un compartiment avec les deux lits au même niveau. Le train partant à 23 heures, j’arrive toujours une demie heure avant pour me déshabiller et me coucher. Évidemment je dors nu. Il fait très chaud dans le compartiment et il n’y a pas de climatisation. J’ouvre donc la fenêtre en espérant que l’air qui s’engouffrera finira par rafraîchir l’atmosphère. Le train part et je suis seul dans le compartiment.
Premier arrêt Montauban.
Je suis dans mon lit, en train de lire un livre porno, que l’on achète dans les gares, quand un homme d’une quarantaine d’années entre. Je n’ai mis que le drap sur moi jusqu’au niveau de mon bas ventre avec une jambe découverte, ce qui laisse bien voir que je suis nu. L’homme me regarde.— Bonjour.— Bonjour.Il commence à se déshabiller et voyant que j’étais à poil sous le lit, se dévêt entièrement. Là surprise, il a un membre gigantesque. Il monte sur son lit, l’ouvre complètement et se couche sur le dos sans se recouvrir. Il est à poil devant moi. Au bout de très peu de temps je me découvre et fait constater à l’inconnu que je bande. Le train repart et là je m’aperçois que toutes les personne devant la fenêtre nous voient du quai car le compartiment est éclairé et le store levé. Les têtes nous suivent quand le train s’ébranle. L’homme prend un livre et fait semblant de lire. En fait il ne quitte pas des yeux ma bite, nettement moins imposante que la sienne. Je me caresse doucement comme j’aime le faire et cela peut durer très longtemps. Je jette un œil de temps en temps en direction de l’homme et je m’aperçois que sa queue commence à prendre d’autre proportion. Il me faut cette bite dans le cul. Je me décalotte la verge et je vois qu’il réagit. Je descends de mon lit et mets l’échelle qui sert à monter dans les lits au niveau de son sexe et je monte. Je me penche sur lui et commence à lui lécher la bite. Elle réagit doucement, il faut beaucoup de sang pour la faire gonfler et je sais que pas mal de mec qui ont de très grosses queues ont d’énorme difficultés à bander quand ils y arrivent. Lui y arrive et je sens sa bite gonfler. J’ai beaucoup de mal à la prendre en bouche une fois qu’elle bande, mais avec un petit effort j’y arrive. Je le suce mais je ne veux pas le faire jouir de peur qu’il ne puisse pas rebander avant l’arrivée à Paris. Au bout d’un moment j’arrête ma fellation et je fini de monter sur son lit. Je lui montre une capote et il fait oui de la tête pour accepter. Je l’encapuchonne non sans mal et me présente sur sa bite. Je me suis lubrifié à mort en insistant à l’intérieur de mon puits. Je pose mon cul sur son gland et le fait de connaitre ses mensurations, j’en ais un frisson qui me parcourt le corps. Je descends doucement. Mon sphincter se lâche petit à petit mais je suis obligé de m’arrêter un moment. La position est assez inconfortable, je suis sur lui, les jambes à moitié repliées et les mains de chaque côté de ses jambes. Les secousses du train n’arrangent rien. Je reprends ma progression quand mon cul s’est habitué au diamètre du mandrin et au bout d’un moment je sens ses couilles sous mes fesses. Je suis à fond. Je reste un moment immobile pour apprécier l’instant. Je sais que je n’en vivrai pas beaucoup avec un tel engin dans le cul. Je commence mes va et vient et il me saisi les hanches pour me guider. Il accompagne mes aller retours en poussant de petits soupirs. Là les secousses du train sont intéressantes et accentue mon plaisir, je suis ballotté de droite et de gauche, en avant et en arrière. En bref mon cul en voit de toutes les couleurs mais il aime. Ce qui devait arriver arriva, il joui en donnant de violent coup en avant et là j’ai l’impression qu’il va me déchirer. Le plaisir reprend le dessus et je joui avec lui. Je lui enlève sa capote et le nettoie ce qu’il a l’air d’apprécier. Il me sourit et dit.— Je ne comprends pas ce qui m’arrive. D’ordinaire je t’aurais renvoyer dans tes 22 mais là, la chaleur, toi entrain de te caresser, j’ai perdu la tête et je me suis laissé faire. C’est la première fois que je fais ça et je pense que se sera la dernière.— Sauf si on retombe une nouvelle fois dans le même compartiment. — Ce serait étonnant, je prend le train 2 fois par an au maximum.— Alors j’ai eu de la chance.Il me sourit et je rejoins mon lit. Il fait tellement chaud, l’air qui rentre dans le compartiment est au moins à 30° et je ne peux pas dormir. Je reprends mon livre et recommence à me caresser. Le train s’arrête à Limoge pendant une heure et les gens qui passent nous voient à poil sur notre lit. J’aime. Quand le train repart, je descends de mon lit et je vais aux toilettes, elles sont au fond du couloir. J’ai juste mis ma chemise non boutonnée qui me couvre tout juste les fesses. Je la croise un peu sur le devant et je me dirige vers les toilettes. Le contrôleur dort dans sa petite cahute et au moment ou j’arrive aux toilettes, j’entends une porte de compartiment s’ouvrir. J’aperçois un homme qui se dirige aussi vers les toilettes. Je fais durer le moment de rentrer dans les toilettes en lâchant ma chemise pour que l’homme voit que je suis nu dessous. Quand je me retourne pour entrer, je me rends compte que lui aussi est à poil sous sa chemise, qui est à peine fermée avec un bouton. Son sexe, de taille moyenne, dépasse et se balance. Il me sourit, je rentre dans une toilette sans fermer la porte et il me suit. Je ferme la porte sans la verrouiller et je me retrouve avec un mec qui se presse contre moi tellement l’endroit est exiguë. Sans hésiter il m’enlève ma chemise se baisse et me fait une pipe d’enfer en me caressant les fesses. Je me laisse aller au plaisir et attends que ça monte. Je joui et me baisse pour lui rendre la pareil. Il me retient et en souriant me fait non de la tête. Il sort et va dans le chiotte d’à côté. Je pisse un coup, me rince dans l’évier et retourne à mon compartiment sans remettre ma chemise après m’être assuré que le contrôleur dormait toujours. Je rentre dans mon compartiment à poil mon voisin me regarde ébahi.— Tu va pas me dire que tu te balade à poil dans le train?— C’est la première fois, mais je pense que je recommencerai, le fait de pouvoir être surpris à poil dans un lieu public me fait bander.Il me regarde et constate que c’est le cas.Le jour se lève et maintenant le compartiment est baigné de lumière. nous arrivons à Paris. L’arrivée à Paris est toujours très longue et se fait à petite vitesse. Le train double beaucoup de train de banlieue et j’en profite pour faire de l’exhibition. Je baisse le store jusqu’à 15 cm de bas et je fait semblant de faire ma toilette. On ne voit que le bas de mon corps, mes fesses et ma bite. Mon voisin me voit faire.— Tu ne trouve pas que tu exagère?— Non pourquoi, je ne fait de mal à personne et je peux te dire que pas mal de gens apprécient. — Comment tu peux le savoir?— Je jette un coup d’œil de temps en temps et je vois beaucoup de monde regarder vers moi.— Là tu m’épates.Le train est presque arrivé en gare que je suis toujours à poil. Je ne m’habille que quand je sens qu’il est sur le point d’arrêter. Je baisse complètement le store et mon voisin, toujours à poil lui aussi descend et s’habille. Il ne porte pas de slip comme moi.Nous descendons du train, il m’invite à prendre avec lui un petit déjeuner. Je me dit qu’il veut me demander quelque chose mais qu’il n’ose pas tout de suite et pense qu’après un moment à discuter il osera. En fait nous discutons de nos boulots, il ne me pose aucune question particulière et nous nous séparons. Je le remercie de ce petit déjeuner et je prend un taxi. Je suis sûre qu’il voulait qu’on se revoit mais qu’il n’a pas oser me le demander.
J’ai eu en 9 mois quelques autres aventure dans le train, mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
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