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dans le train de nuit

Chapitre 6

Gay
Un soir de fin décembre je prends le train de nuit, mais avec tous les départs en vacances, je n’ai pu obtenir qu’une place en T3. Les couchettes sont aussi confortables, mais comme il y a deux autre occupants, si le contact passe avec un, il est rare qu’il passe avec les deux. Il y a toujours un mec « sérieux ». Je n’arrive pas comme d’habitude en avance car le veux me déshabiller devant les deux autres occupants. J’arrive donc 2 minutes avant le départ. Le contrôleur m’est totalement inconnu, il me sourit. C’est un homme d’une vingtaine d’année, grand, mince, presque maigre.-Bonjour monsieur, quelle place ?-Voiture 14, place 43.Il contrôle mon billet, note sur son document mon nom et mon compartiment.-Vous prenez petit déjeuner ?-Oui, café noir à six heures.-Très bien, c’est noté, bonne nuit monsieur.Il me salue et je rentre dans le compartiment. -Bonjour messieurs.-Bonjour monsieur.-Bonjour.Il y a deux hommes, l’un, déjà dans son lit en bas, d’une petite trentaine d’années, l’autre, assis sur le divan, autour de quarante-cinq cinquante. Je pose ma valise dans le porte-bagages juste au moment où le train démarre. Je pose ma veste sur un porte-manteau et je quitte le compartiment pour aller aux toilettes. Cinq minutes plus tard, à mon retour, le deuxième homme est dans son lit, la couchette du milieu. Ça tombe bien je préfère celle du haut. En enlevant ma veste, je remarque qu’un des porte-manteaux contient une veste, un pantalon, une chemise un pull et un caleçon, l’autre une veste, un pantalon, une chemise et un pull. Je regarde les deux hommes et je remarque que celui en bas laisse dépasser sa jambe droite jusqu’à la ceinture pour bien me montrer qu’il est nu sous son drap. Il me regarde droit dans les yeux. Je lui souris et jette un œil sur celui du milieu. Il me regarde aussi avec un air goguenard. Le chauffage est à fond dans le compartiment, il fait très chaud et l’homme du milieu n’a que le drap sur lui. Une de ses main est sous le drap, mais je ne vois pas où. Je décide de me déshabiller pour me coucher. J’enlève mon pull et ma chemise et les pends au porte manteau. Je m’assois sur le divan, défais mes lacets, enlève mes chaussures et mes chaussettes, le tout assez lentement. Je me redresse, défais ma ceinture, fais descendre le zip de ma fermeture et descends mon pantalon. Et comme je ne porte jamais de sous-vêtements, je me trouve intégralement nu au milieu du compartiment. J’ai le dos tourné au deux autres occupants, mais je ressens un drôle de sentiment, une sorte d’étonnement, ils ne s’attendaient pas à ça. Je pends mon pantalon au porte-manteau et me retourne pour aller me coucher. Là, surprise, l’homme d’en bas qui s’est entièrement découvert, il se branle et bande comme un taureau. Il tend la main pour se saisir de mon sexe. Je m’approche un peu pour lui faciliter la tâche, se faisant, mon regard se porte sur l’autre passager, il se branle sous son drap !! Je vois le drap monter et descendre au niveau de son sexe. Il me regarde droit dans les yeux, je m’approche un peu plus et retire le drap jusqu’à ses pieds. Lui aussi est nu et bande comme un taureau, à la différence que son sexe est deux fois plus gros que son voisin du dessous. Je me plaque contre les couchettes, l’homme d’en bas s’empare de ma bite et commence une lente masturbation. J’attire l’homme d’en haut vers moi et lui gobe la bite. Il pose ses mains sur la tête, sans appuyer, pour me guider. Son sexe occupe toute ma bouche mais ma langue a assez de place pour virevolter autour de ce majestueux vit. Je lui mordille le gland, lui pompe la verge, le titille sur toute la longueur de sa verge. Pendant ce temps, l’homme d’en bas m’a gobé la bite, il me fait exactement la même chose et je le laisse faire. Je commence à monter en pression quand le train freine brusquement. Nous arrivons au seul arrêt du voyage et je me rends compte que le rideau de la fenêtre est toujours levé. Si je ne le baisse pas, tout le quai va pouvoir profiter du spectacle. L’homme d’en haut a le réflexe d’éteindre la lumière, ce qui met le compartiment dans une totale obscurité. Ses mains me guident de nouveau, il n’a nullement l’intention de me libérer. Comme je suis assez exhibitionniste, cela ne me dérange pas du tout. Seul l’homme d’en bas semble hésiter un moment, mais quand le train s’est presque arrêté, il reprend sa fellation. Une fois en gare, le compartiment s’éclaire un peu et je pense que les personnes sur le quai, avec un peu d’attention, peuvent voir ce qui se passe dans le compartiment. Le train doit rester en gare une demi-heure et le fait que je sois debout, là, exposé devant le quai, même si il est difficile de me voir, me fait monter la pression. -Attention, je vais tout lâcher.L’homme ne bronche pas et je me répands dans sa bouche. Ma jouissance doit être communicative car je sens la bite que j’ai dans ma propre bouche commencer à palpiter et l’homme se raidir de plus en plus. Pour bien lui faire comprendre qu’il peut aller jusqu’au bout, j’attrape ses hanche pour plaquer son sexe au plus profond de ma gorge. Je sens tout à coup un puissant jet de sperme m’inonder. J’avale avec un peu de difficulté mais ne laisse aucune goutte s’échapper. Je me redresse, me dégage un peu et me plaque sur la paroi d’en face.-Je pense qu’on peut se présenter maintenant, moi c’est Jean-Claude.-Yves.-Yves, tu es le seul à n’avoir pas joui, tu veux que je m’occupe de toi ?-Et pourquoi pas tous les deux ?-Tous les deux, ça me va, un devant, un derrière.Claude descend de sa couchette, et je vois qu’Yves est très intéressé par la bite qu’il voit devant lui.-Ok, Jean devant, Claude derrière.
-Ok, mais il va falloir attendre un petit moment, je viens de jouir comme un fou.Claude s’assoie sur le divan, je vais m’assoir à sa droite et Yves se lève pour se mettre à gauche. Yves se penche sur sa bite et l’enfourne dans sa bouche. Elle est encore molle et je vois Yves s’activer dessus avec entrain. Je me déplace pour m’agenouiller devant Yves. Je lui écarte les jambes et me penche sur sa bite encore raide. Je ne l’ai pas pompé depuis deux minutes que je sens un jet me remplir la bouche. — Excuse-moi, j’étais top en manque.-Pas de problème, occupes toi de Claude.Je reprends ma place et titille les couilles de Claude pour accélérer le mouvement. Au bout de cinq minutes, Claude est de nouveau en forme. Je prends dans ma valise du gel et des préservatifs, en tends un à Yves et m’occupe de lui enduire le fion de gel. J’en profite pour enfoncer un puis deux doigts pour tester son élasticité. A priori, il a l’habitude, je ne rencontre aucune résistance. J’ajoute un doigt, puis un autre. Je le pistonne de plus en plus vite jusqu’à ce que son cul se détende complètement.-C’est bon, tu peux y aller.Yves se redresse, se retourne et descend doucement sur le pieu de Claude. Claude a mis ses mains sous ses fesses et le guide. Je me saisis de sa bite et la dirige vers la rondelle d’Yves. Quand son gland prend contacte, je la libère et Yves se laisse tomber d’un seul coup sur ce mandrin raide. Il s’appuie sur les cuisses de Claude et commence des montées et descentes rapides. Mes yeux se sont habitués à la pénombre, je m’accroupi devant Yves, et je vois distinctement cette énorme bite entrer et sortir de ce cul élastique. La lueur de l’extérieur jette un halo de lumières blafard dans le compartiment, et donne aux mouvements d’Yves une connotation d’érotisme extrême. Je vois qu’Yves recommence à bander, je m’agenouille devant lui et lui gobe de sexe. Je ne bouge pas la tête, ce sont ses montées et descentes qui le branlent. Son sexe durcit de plus en plus, j’arrive à le titiller avec ma langue.-J’arrive Jean, mon cul et ma bite vont m’envoyer en l’air, je veux sentir ta bite frémir dans mon cul Claude, dit moi quand tu vas exploser.-Ça ne va pas tarder, oui, je sens que je vais jouir très vite, j’arrive, vas y viens avec moi.Je sens un puissant jet de sperme m’envahir la bouche, cette fois ci il y met tout son cœur. Claude se raidi et se vide dans le cul d’Yves. Après un petit moment, je me redresse et jette un œil à l’extérieur, il n’y a presque plus personne sur le quai, mais je vois un homme très grand qui regarde dans notre direction. Je ne sais pas jusqu’où il peut me voir, le quai étant plus bas que le wagon, mais il voit au minimum jusqu’à ma taille et doit bien se douter que je suis nu. Claude se redresse aussi et comme il est nettement plus grand que moi, il montre beaucoup plus que moi. J’observe l’homme qui fixe intensément Claude. Je ne peux me retenir et tends ma main pour m’emparer de sa bite. Je le branle lentement. -Tu ne serais pas un peu exhibitionniste toi ?-Un peu est un euphémisme.-Vas-y.Je m’agenouille et lui gobe la bite, juste au moment où le train s’ébranle. Je tourne la tête vers l’homme. Il me regarde à priori déçu et me fait un petit signe de la main. Je continu de pomper Claude et je constate que sa bite gonfle de nouveau. Décidément, cet homme a de sacrée ressources. Je sens une main m’enduire le cul de gel, c’est Yves qui me prépare.-Un peu de gel et une bonne préparation, voilà ce qu’il te faut.Un doigt s’insinue dans mon cul, suivi d’un second, un troisième, un quatrième. La main tourne sur elle-même et fait de courts va et vient pour me détendre le sphincter. Claude bande de nouveau très fort, je lui enfile une capote et me retourne pour lui présenter mon cul. Sa bite trouve tout de suite le chemin et son gland s’enfonce doucement dans mon fion. Quand ses couilles arrivent au niveau de mes fesses, il marque une petite pause.-Ca va durer longtemps car je viens de jouir et il me faut le temps de régénérer tout ça.-Vas-y, j’ai le temps et surtout l’envie que ça dure.Claude me pistonne doucement pour augmenter le rythme petit à petit. Ses mouvements sont de plus en plus amples et maintenant, je sens sa bite qui sort de mon cul pour s’y enfoncer de nouveau une fraction de seconde plus tard. Il y a longtemps qu’on ne m’avait enculé de la sorte. Je sens cette bite palpiter dans mon cul, sortir, entrer, vibrer. Ma tête commence à se laisser mener par mon cul, mon corps est tout entier centré sur mon cul, c’est lui qui commande, c’est lui le maître des lieux. Je me laisse aller, mais ne résiste pas très longtemps.-Ca y est, je vais jouir.Yves se précipite sur ma bite juste au moment où je largue les amarres. Claude sent que je vais m’écrouler et me ceinture pour me maintenir en position.-Je veux me vider dans ton cul, il est extra, pas question que je te lâche.-Vas-y, vide tout, maintenant ou plus tard, vas-y.Claude me maintient contre lui pendant encore au moins cinq minutes sans arrêter de me pistonner. Je suis épuisé, mon cul est en feu malgré le gel qu’Yves met de temps en temps. Tout à coup, il me sert plus fort, je sens sa bite palpiter dans mon cul, il jouit en me donnant de grand coup de rein. Petit à petit, il se calme et me dépose doucement sur le divan.-Il y a longtemps que je n’ai pas baisé comme ça. Merci Jean, tu as un super cul, juste souple comme il faut, ni trop, ni trop peu.-Je l’entretiens avec des godes pas trop gros, mais assez conséquents.-Ça fonctionne très bien. Ce n’est pas tout ça, mais il faudrait quand même dormir.-Tu as raison, allez, au lit.Chacun monte dans sa couchette et met plus ou moins de temps à s’endormir. Vers quatre heures du matin, je suis réveillé par un petit bruit, c’est Claude qui enfile sa chemise.-Tu vas sortir ?-Oui, j’ai envie de pisser.-Moi aussi, je t’accompagne.Je sors de ma couchette et me dirige vers la porte.-Tu n’oublie rien ?-Non, je fais toujours ça, ça m’excite et le contrôleur dort toujours.-Tu es quand même gonflé, il peut sortir n’importe qui de son compartiment.-C’est justement ça qui est excitant.A suivrezooph34@gmail.com
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