Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 1 Commentaire

dans le train de nuit

Chapitre 7

Gay
J’ouvre la porte et regarde du côté du contrôleur. Rien ne bouge, il doit dormir. Je sors du compartiment suive de Claude en chemise ouverte et nous nous dirigeons en silence vers les toilettes. Arrivée au niveau de la cahute du contrôleur, je remarque qu’en fait il est en train de lire un magazine. Je fais un signe à Claude et regarde d’un peu plus prés. Le contrôleur lit un magazine de cul, nous pouvons voir un magnifique mec, les jambes écartées, un gode dans le cul en train de se masturber. Ce qu’il fait lui aussi. Nous distinguons nettement sa bite sortie de son pantalon. Claude me donne un coup de coude et me désigne sa bite. Le contrôleur est grand et mince, mais sa bite est grande et énorme. Il peut à peine enserrer sa bite avec sa main, ces doigts ne se touchent pas, pourtant il a de grandes mains. Je ne sais comment il s’est aperçu que nous étions là, mais il s’est brusquement retourné et nous a vu derrière la vitre de sa cahute. Il est devenu blême et s’est redressé brusquement en essayant de cacher son sexe qu’il ne pouvait pas rentrer dans son pantalon. Claude intervient en parlant doucement.-Cool, cool. Vous voyez bien que nous sommes à poil. Nous n’allons pas faire de scandale ne vous en faites pas. Nous allons aux toilettes, vous pouvez venir nous rejoindre dans notre compartiment ?-Je n’ai pas le droit, je dois rester ici pendant tout le voyage, mais je vais voir ce que je peux faire.-Ok, on vous attend.Après avoir pissé, nous retournons au compartiment ou Yves dort toujours. Quelques minutes plus tard, le contrôleur arrive. Il est un peu intimidé, la situation doit être nouvelle pour lui. Claude va vers lui et défait sa ceinture de pantalon. Il le fait descendre ainsi que le slip. Le contrôleur se retrouve la bite à l’air. Sans que nous n’ayons à intervenir, sa bite se redresse doucement. Il est au paroxysme de l’excitation. -Tu es homosexuel ? J’ai vu le magazine que tu lisais.-Oui, j’aime les hommes, mais je me fais de temps en temps une femme, elles aiment mon équipement.Je sens qu’il se détend.-Moi, je ne suis pas homosexuel, je suis marié, mais j’aime bien me faire un cul de mec de temps en temps, et je dois dire qu’aujourd’hui je suis gâté. Ça va faire le troisième de la nuit.-Moi par contre, je suis bi, mais j’adore me faire mettre un engin comme le tien dans le cul. Tu veux bien honorer ma rondelle.-A votre service monsieur, mais j’aimerais aussi avoir quelque chose dans le cul en même temps.-Pas de problème, je suis là.Cette conversation a excité tout le monde, toutes les queues sont au garde à vous. Me met du gel sur le fion du contrôleur ainsi que sur le mien. Claude et le contrôleur enfilent un préservatif, je me retourne devant le contrôleur, m’empare de sa bite et le dirige vers mon cul. Je la positionne bien et me l’enfonce doucement dans le fion. Une fois contre mes fesses, le contrôleur ne bouge plus, en me penchant, je peux passer ma main entre ses jambes pour contrôler ce que fait Claude. Il se présente devant l’entrée qui ne demande qu’à être forcée. Il appui et sésame s’ouvre pour le laisser entrer. Quand je sens ses couilles contre ma main, je me redresse. -Allez les mecs, au boulot.Le contrôleur, au milieu de nous deux, doit donner le ton. Il s’active doucement dans mon cul, se faisant, il se baise avec la queue de Claude qui reste immobile. Soudain la lumière s’allume, c’est Yves qui s’est réveillé.-Je ne vais pas rater ce spectacle quand même.Il se redresse sur son lit et se masturbe en nous regardant.Le contrôleur continue ses va et vient quand le train ralenti.-Nous arrivons dans une gare que l’on ne doit pas franchir trop vite, le train va passer au ralenti. Si nous nous mettions devant la fenêtre ?-Ça c’est une bonne idée.Nous nous mettons devant la fenêtre et continuons notre petit jeu. Yves nous rejoint et vient enfourner ma queue. Effectivement, le train franchi la gare au ralenti et comme seul notre compartiment est allumé, tout le monde nous regarde, ce qui ne nous empêche pas de continuer de plus belle. Le contrôleur est déchainé, ses mouvements s’accélèrent de plus en plus.-Oh, ça y est, je viens, je vais jouir dans ton petit cul.Je sens son sexe palpiter dans mon cul, ce qui me fait jouir aussitôt et je me vide dans la bouche d’Yves. Claude jouit à son tour et tout le monde se calme.-Maintenant, au dodo.Le contrôleur se réajuste et sort du compartiment.
Nous nous endormons tous jusqu’à ce que le contrôleur nous amène mon petit déjeuner à six heures.-Je suis désolé, mais nous allons avoir trois quart d’heure de retard, mais je dois vous dire que j’ai passé un des moments les plus agréables de ma vie, jamais je n’avais joui comme ça. Merci beaucoup.Claude et Yves demande qu’il leur amène aussi leurs petits déjeuners. Une fois le contrôleur parti, nous déjeunons et faisons une petite toilette dans le lavabo. Yves s’habille et sort du compartiment.-Salut et à bientôt peut être.-A plus.-A bientôt. Nous restons Claude et moi toujours nus dans le compartiment. Ce mec bande toujours, depuis son réveil, sa queue est constamment en l’air. Je m’approche de lui et lui caresse les couilles.-Tu sais Claude, le train arrive bientôt dans la banlieue parisienne et il va rouler lentement, à la vitesse des TER. D’habitude je baisse le rideau juste pour qu’on ne puisse voir que mon bas ventre et mes fesses et je me masturbe jusqu’au dernier freinage. Je ne m’habille qu’une fois le train arrêté. Malheureusement, je ne peux pas voir si les passagers des TER me voient et comment ils réagissent.Claude fouille dans son sac et en sort une petite caméra et un ordinateur portable.-J’ai une idée, je vais placer cette caméra de façon à filmer les passagers des trains que nous doublerons lentement pour voir leurs réactions s’ils nous voient baiser.-Nous avons le temps, d’abord filme nous.Claude positionne la caméra de manière à nous filmer devant la fenêtre. Je vois mes fesses en gros plan devant le paysage qui défile. Il enfile une capote, je m’enduis de gel et nous nous positionnons de manière à ne rien rater du spectacle. Claude m’agrippe les hanche et s’enfonce doucement jusqu’à la garde. Il me pistonne doucement pendant un bon quart d’heure. Je suis étrangement calme, je sens ses va et vient autant que je les vois sur l’écran du portable mais au lieu de m’exciter ils me procurent une impression de douceur qui fait que je résiste à l’emballement. Le train arrive dans la banlieue et nous décidons de positionner la caméra autrement et de filmer les trains que nous doublons. Nous baissons le rideau de manière à ce que l’on ne voit qu’en dessous du nombril. Claude me pénètre de nouveau et me sodomise doucement pour faire durer le plus longtemps possible. Sur l’écran de l’ordinateur défile le paysage quand l’arrière d’un train qui roule un peu plus doucement que nous apparait. Nous le doublons lentement, l’auto focus de la caméra fait le point et nous pouvons très bien voir les passagers. Au début les gens regardent ailleurs mais une jeune femme, dans le deuxième ou troisième wagon doublé, qui regarde dans la direction du train, s’aperçoit tout à coup de nos agissement et ouvre de grands yeux, je la vois se lever et parler en désignant le train. Tous les passagers se retournent dans notre direction et nous nous amusons des expressions diverses et variées que prennent les visages. Certains ont l’air outrés, d’autres rigolent, d’autre encore semblent être envieux. Il y a même une femme qui applaudi. Une fois le wagon passé, nous dépassons un à un tous les autre. La plupart des passagers ne nous voient pas, mais ceux qui nous voient regardent avec insistance dans notre direction le plus longtemps passible. Le train est maintenant dépassé et Claude accélère ses mouvements quand on frappe à la porte. Sachant que c’est le contrôleur qui nous rapporte les billets je crie.-Entrez.Le contrôleur ouvre et en nous voyant se précipite à l’intérieur pour fermer prestement la porte derrière lui.-Messieurs, vous n’êtes pas sérieux, il y a du monde dans le couloir.-Nous, on aime bien qu’on nous voit.-Je vois, c’est le cas de le dire.Il dépose nos billets pendant que Claude continu ses mouvements. Cette situation m’excite tellement que je suis sur le point de jouir.-Ca y est, je vais jouir.Le contrôleur se précipite sur ma bite juste au moment où je largue tout. Je sens Claude qui m’imite dans le cul. Quand j’ai fini de jouir, le contrôleur se lève en se léchant les babines. -Décidément, quelle voyage, mon copain ne va pas me croire.-Il n’y a qu’à lui en amener la preuve.-Comment ?-Est ce que vous avez une clé USB ?-Oui, j’en ai une sur moi.Je lui montre l’écran du portable où il se voit avec moi. Il comprend qu’il a été filmé. Cela me permet de remarquer la bosse dans son pantalon.-Si ça vous gêne, on efface.-Pas du tout, faites-moi une copie, je pourrais la montrer à mon copain.Je déboutonne la braguette du contrôleur, pendant que Claude nous filme.-Je ne sais pas si..-Taratata, j’ai envie d’une dernière dose de sperme.Je m’agenouille et lui fait une super pipe dont j’ai le secret. Dans sa situation, il ne met pas longtemps à jouir, au moment où je me rends compte que nous dépassons un autre train et que tout le monde nous regarde. Je me redresse et me retourne pour leurs montrer mes fesses. Le train ralenti de plus en plus.-Messieurs, nous sommes presque arrivés, il vous reste cinq minutes. Je dois vous quitter. Au revoir et encore merci pour tout.Le contrôleur sort, Claude copie la vidéo pour lui. Nous plions l’ordinateur et la caméra et nous rhabillons. -Je rentre vendredi prochain, et toi ?-Moi aussi par le train de nuit.Nous comparons nos billets de retour pour constater que nous ne serons pas dans le même compartiment.-Je dois te dire que vendredi, je rentre avec une amie un peu spéciale, nous voyageons dans le même compartiment.-J’ai une secrétaire très efficace, si tu veux je fais changer ton billet pour que vous soyez avec moi, ok ?-Bien sûre, je te donne mon billet.Il me donne son billet et son numéro de téléphone et nous sortons du compartiment. Sur le quai, le contrôleur nous salue avec un grand sourire. Claude lui remet sa clé USB.-Au revoir messieurs et merci.-Vous serez dans le train de 22h57 vendredi prochain ?-Non, je fais celui d’après, qui part une heure plus tard.-Dommage.Je quitte Claude un peu fatigué par cette nuit, mais très heureux de ce qui s’est passé.Deux jours plus tard, je téléphone à Claude.-Je ne peux pas changer les billets pour notre train, mais il est possible d’avoir un compartiment complet dans le train suivant. Il est plus long et il y a de grandes chances que nous retombions sur le même contrôleur.-Ok, le principal, c’est que nous soyons ensembles, je ne suis pas pressé d’arriver si nous voyageons ensemble.-Ok, je m’en occupe, rendez-vous vendredi à vingt-trois heures trente dans le hall de la gare.A suivrezooph34@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live