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dans le train de nuit

Chapitre 8

Gay
Le vendredi après-midi, je me libère assez tôt pour pouvoir me préparer. Comme d’habitude, j’ai gardé ma chambre pour la journée, ce qui me permet de rester dedans jusqu’au dernier moment. Je sais que souvent elle est louée après mon départ, mais ce n’est pas mon problème. Donc, juste avant d’aller à la gare, je me fais un lavement anal très approfondi. De plus je me prépare à des pénétrations importantes avec mon gode de six centimètre de diamètre sur vingt-cinq le long. Cela me permet de pouvoir supporter de grosses bites voir même de me faire fister par de petites mains.Je suis dans le hall de la gare depuis cinq minutes, il y a un monde infernal, mais tout à coup, j’aperçois Claude en compagnie d’une ravissante femme d’une quarantaine d’années. Il se dirige vers moi, me serre la main.-Je te présente Françoise, une amie de longue date, qui a participé à pas mal de mes frasques.-C’est peu de le dire, enchantée Jean.-Enchanté Françoise. Nous avons trois quarts d’heure devant nous, que faisons-nous, on boit un coup dans un bar de la gare, mais vu le monde, où on va tout de suite dans le train, il est à quai depuis un quart d’heure.-Je suis un peu fatiguée, et je préfère aller dans notre compartiment.-Ok.Nous allons vers le train et comme nous l’espérions, nous tombons sur le même contrôleur.-Bonjour madame, bonjour messieurs, quelle bonne surprise, je ne pensais pas vous voir ce soir. La semaine a été bonne ?-Excellente merci. J’espère que vous êtes en forme.-Pas de problème.Le contrôleur prend nos billets, commande les petits déjeuners et nous allons dans notre compartiment. Claude range les bagages dans le porte bagage pendant que Françoise va s’assoir sur le divan. Un léger flottement se fait sentir, la situation est un peu tendue car personne ne sait quoi faire. Je ne connais pas les intentions de Françoise et ce qu’elle sait sur nos rapports avec Claude.-J’ai fait une copie de l’enregistrement vidéo de lundi pour toi et je me suis rendu compte que nous avons été filmé par plusieurs personne avec leur smartphone.-Je m’en fou.-Moi aussi, on ne peut absolument pas nous reconnaitre, mais il y a certainement des gens qui se sont amusés à nous regarder, je suis même sûre que nous sommes sur internet.-Tant mieux, mais je vais essayer de vérifier sur un site que je connais ou il passe que des vidéo hard. Au fait, je ne l’ai pas vu cette vidéo.-Pas de problème, je te la montre.Claude sort le portable de sa valise et branche la clé USB qu’il m’a fait. Le film est d’excellente qualité vu les conditions de tournage. On voit très bien la longue bite de Claude entrer et sortir de mes entrailles avant de voir les passagers des autres trains. C’est vrai que plusieurs personnes, y compris des femmes, nous ont filmés.Le train démarre pendant la projection, c’est là que je remarque que Françoise a remonté sa jupe à la ceinture, qu’elle a écarté son string et se masturbe devant notre spectacle. Claude le voit aussi et me fait signe de me déshabiller. Deux minutes plus tard, nous sommes nus devant la fenêtre, et comme d’habitude, Claude bande comme un âne. Françoise lève la tête, nous voit à poil, sourit et se lève. Le corsage, la jupe, le soutient gorge et le string vont rejoindre nos fringues sur les porte manteaux. Elle a de très beaux seins, en poire mais assez fermes, un ventre plat et un sexe complètement épilé.-Moi, j’aimerai bien revoir en vrai le début de la vidéo entre toi et Jean.-Pas de problème.Je sors le gel et les préservatifs. Françoise s’occupe de Claude, bien qu’il n’en ai pas besoin. Je lui tends une capote qu’elle lui enfile sur la bite avec sa bouche. Je m’enduis le fion de gel et me plaque contre la fenêtre du compartiment. Nous sommes toujours en région parisienne, le train ne roule pas encore très vite et ne cessons de traverser des gares. Je sens une main venir me caresser les fesses, un doigt me titiller la rondelle. Il est très vite suivi d’un second, troisième, et même un quatrième. Comme je me suis bien préparé, tout ceci se passe sans problème. La main me libère et je sens un membre venir se positionner sur mon fion et pousser doucement. Le gland franchi sans difficulté le sphincter, il est suivi d’une belle bite qui me remplit les entrailles. Claude est un peu plus brusque que la dernière fois, mais cela ne me dérange pas, car aujourd’hui j’ai envie d’un peu plus de virilité. Ses mouvements sont rapides et amples. Françoise s’est assise sur le divan et se masturbe les jambes grandes ouvertes. Elle se pince un sein avec son autre main. Ce spectacle, plus la bite dans le fion me font jouir immédiatement. J’inonde la vitre de mon sperme juste au moment où le train traverse une gare. Heureusement, j’ai les mains plaquées sur la vitre avec mon visage dessus, donc caché pour l’extérieur. Françoise pousse un grondement, elle vient de jouir, suivi par Claude qui se vide en moi. Il se retire et enlève sa capote. Françoise lui prend la main et l’attire à elle. Elle lui nettoie la bite et, une fois fini se tourne vers moi pour m’en faire autant. Nous nous asseyons de chaque côté de Françoise pour pouvoir s’occuper un peu d’elle.-Doucement les mecs pour l’instant je ne veux que m’occuper de l’un de vous, en particulier Jean qui me parait avoir de bonnes dispositions anales.-Que veux-tu dire par là.-J’ai l’impression qu’on peut y faire entrer pas mal de chose, entre autre une petite main comme la mienne.
-Si tu veux essayer, je suis à ta disposition, d’autant que je me suis préparé pour ce genre d’exercice.-Ok, comment on fait.-Je vais me mettre à quatre pattes sur le divan, cela m’ouvrira au maximum.-Exécution.-Je vais faire une vidéo, d’accord ?-Ok, tu m’en feras une copie.-A moi aussi.Je me mets à quatre pattes sur le divan. Claude m’enduit encore un peu de gel. Il m’excite un peu le fion avec un doigt, mais libère la place pour Françoise. Je sens un groupe de doigts venir se positionner sur ma rondelle. Ils sont enduits eux aussi de gel. En fait, Françoise s’est enduit de gel jusqu’au coude. Elle fait tourner ses doigts sur eux même en poussant doucement. Petit à petit, mon sphincter se dilate et les doigts entrent de plus en plus profondément. Elle pousse encore un peu et soudain mon sphincter se resserre sur son poignet. -Ca y est, je suis dedans, je lui défonce le cul avec ma main. Je peux continuer ?-Bien sûre, fait toi plaisir, défonce moi le cul.Françoise enfonce son bras de plus en plus, -Dis donc, je suis arrivée au coude, jamais je n’aurais pensé aller si loin.-Tu as de petits bras.-Ok, mais quand même, ils font dans les vingt-cinq à trente centimètre.— Pistonne-moi maintenant. Françoise commence des va et vient, d’abord doucement et pas très amples, puis de plus en plus vite et de plus en plus profonds.-Un peu de gel. Françoise ajoute du gel sue son bras et continue de me pistonne. Je sens mon cul chauffer, il prend le dessus sur mon cerveau et mon corps me pense plus qu’à jouir. Ma plante des pieds s’électrise, mes jambes flageolent, mon ventre se crispe, mon cœur s’emballe et mon cerveau explose dans une jouissance dantesque.je ne peux plus tenir et je m’écroule sur le divan que je viens d’inonder de mon sperme. Françoise s’arrête de me pistonner et retire son bras doucement. Mon sphincter met un petit moment à se refermer et elle en profite pour me lécher l’intérieur de mon trou béant qui se referme sur sa langue. Elle me lèche pendant un petit moment, ce qui a pour effet de me calmer.-Quel pied.-J’ai vu ça. J’espère que tu as bien tout filmé ?-Ne t’en fait pas, tu es une grande artistes porno et je n’en ai pas perdu une miette.Au bout d’une minute, je me redresse, Françoise voit la tache de sperme sur mon ventre et vient la lécher pour me nettoyer. Une fois nettoyé, je prends un essuie-tout pour nettoyer la vitre et le divan.-Ce n’est pas tout ça, mais j’ai envie de pisser.-Moi aussi. -De même.Je me dirige vers la porte.-Tu ne vas pas y aller comme ça, tu es nu.-Ici, c’est la tradition, je vais toujours pisser à poil, surtout à cette heure, tout le monde dort.-Toi aussi Claude ?-Oui, il faut juste vérifier qu’il n’y a personne quand on sort.-Oui, mais si quelqu’un sort quand tu es dans le couloir, que se passe-t-il ?-C’est tout l’intérêt de la chose, le frisson de l’interdit.-Vous êtes tous les deux fous, mais je crois que je le deviens aussi, je vous accompagne dans la même tenue.J’ouvre la porte pour m’assurer qu’il n’y a personne dans le couloir. Nous sortons sans bruit et nous dirigeons vers les toilettes. En passant devant la cahute du contrôleur, je vois qu’il lit toujours les mêmes revues. Comme il n’y a que deux toilettes et qu’elles sont très exiguës, j’attends mon tour dans le couloir. Je vais voir le contrôleur qui sursaute en m’entendant.-Toujours les mêmes lectures ?-Oui, je n’ai que ça pour me distraire, mais vous, je vois que vous vous amusez toujours autant.-Cette fois ci, c’est un homme et une femme, ça vous intéresse de venir un moment ?-Pourquoi pas dans une demi-heure, je dois faire quelque chose avant.-Ok. Au fait, qu’a pensé votre copain de la vidéo de la dernière fois.-Super, il regrette de ne pas pouvoir venir avec moi.-Vous lui avez dit que c’était vraiment exceptionnel.-Oui bien sûr.A ce moment, Françoise sort et est très surprise de me voir discuter nu avec le contrôleur qu’elle a vu tout à l’heure.-Ne t’en fait pas, tu dois bien reconnaître le contrôleur de la vidéo.-On voit surtout sa très belle bite.-Je dois dire qu’il est très bien monté, avec Claude, cela fait un beau duo.-Oui, et j’aimerai bien le tester.-Ne t’en fais pas, il va venir nous rejoindre dans un moment, pour l’instant, il faut que j’aille pisser.Je vais aux toilettes au moment où Claude sort. Il retourne au compartiment avec Françoise qui balise. Je viens juste de finir de pisser et m’apprête à sortir quand la porte des toilettes s’ouvre. Je ne l’avais pas fermée. Un homme se trouve devant moi. Il n’est pas à poil, mais peu s’en faut. Il porte juste une chemise ouverte devant. Il hésite, mais voyant que je ne réagis pas s’enhardi et me pose une main sur la bite. Il me regarde droit dans les yeux. Je vois que la sienne se redresse doucement. Je m’accroupi et je l’embouche. Il pose doucement ses mains sur ma tête. Je le pompe vigoureusement devant le contrôleur médusé. L’homme ne résiste pas longtemps, il tente de se dégager, mais je le tiens fermement par les fesses et il finit par se vider en moi. Une fois sa bite bien nettoyée, je me redresse. Il tente de m’embrasser mais j’esquive car j’ai horreur ça. J’aime me faire enculer, pomper un mec, mais c’est tout. Je ne suis pas un pur homosexuel, je suis bi.A suivrezooph34@gmail.com
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