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dans le train de nuit

Chapitre 9

Gay
Arrivé au compartiment, je les rejoints sur le divan pour récupérer un peu et leur raconte ce qui vient de m’arriver. au bout d’un petit moment, j’ai un peu soif et je ressors acheter des boissons fraîches au contrôleur. Je le trouve accroupi, le pantalon baissé. Il est empalé sur un gros gode.-Vous vous entrainez.Il sursaute et est soulagé de voir que c’était seulement moi.-J’aime avoir quelque chose dans le cul, je peux difficilement m’en passer plusieurs heures, ça fait un moment que j’en ai envie.-Mais vous venez nous voir.-Oui, mais je ne sais pas dans combien de temps, jusqu’à quelle heure je peux venir ?-Vous pouvez venir à n’importe quelle heure, je ne crois pas que nous allons dormir cette nuit, demain nous pouvons tous nous reposer tranquillement et récupérer. Venez dès que vous pouvez. Pour l’instant, j’ai soif.Je prends trois boissons fraîches et retourne au compartiment. Nous buvons tranquillement nos boissons pendant une bonne demi-heure en discutant de choses et d’autres, mais surtout de cul. J’apprends que Françoise et Claude étaient ensemble pendant plusieurs années il y a dix ans, mais qu’ils sont restés très amis et complices, que Françoise aime autant les femmes que les hommes et ainsi de suite.On frappe à la porte, c’est le contrôleur qui arrive.-Je ne peux rester qu’une demi-heure.-Alors pas de temps à perdre, à poil !Sur ces mots, Françoise se précipite sur lui et le déshabille et en rien de temps. Je n’avais pas remarqué la dernière fois qu’il était épilé.-C’est bizarre, je n’avais pas vu que vous étiez épilé.-C’est normal, je me suis fait épiler hier car j’avais bien aimé la douceur de votre peau la dernière fois.-Je vous veux tous les deux, vous devant et Claude derrière, Jean, prépares les.Je m’agenouille devant le contrôleur et m’occupe de sa bite. Ça ne dure pas longtemps tellement il est excité. Quant à Claude, il bande tout le temps et je n’ai pas besoin de m’en occuper. Françoise, qui s’est enduit le fion de gel, pousse le contrôleur sur la couchette basse, elle le positionne sur le dos, l’enfourche et se plante littéralement sur son sexe.-Ouah ! Que c’est bon une bonne bite, mais c’est encore meilleur avec une autre dans le fion.Claude comprend et se positionne derrière Françoise. Elle écarte les fesses avec ses mains et Claude se guide vers sa rondelle. Il pousse et sa bite s’enfonce doucement dans le cul de Françoise. -O lala, doucement, oui vas-y maintenant, enfonce toi encore un peu, oui comme ça, c’est bon, encore, encore. Allez-y mes mignons, bourrez moi, faites-moi monter au ciel.Le contrôleur et Claude s’actives dans les entrailles de Françoise.-Jean, vient t’occuper de mes seins.Je m’approche et lui prends le bout des seins entre mon index et mon pouce. Je les fais rouler, les pinces doucement.-Plus fort.J’accentue la pression petit à petit tant qu’elle ne me demande pas d’arrêter. Je les refais rouler entre mes doigts, les repince.-Oh oui, allez-y, faites-moi jouir, c’est bon trois hommes qui s’occupent de moi. Continuez, je viens, je vais partir au septième ciel, continuez, je viens, je viens, oui, ça y est, je joui, oui c’est bon.
Elle pousse un grondement sourd qui la tétanise. Le contrôleur et Claude jouissent aussi et tout le monde se calme. Au bout de quelques minutes, Claude se dégage de Françoise qui libère le contrôleur. -Il vous reste combien de temps ?-Encore un quart d’heure.-Ok, à quatre pattes.Je sors de ma valise mon gode, l’enduit d’une graisse spéciale, en enduit le fion du contrôleur. Je présente le gode devant le fion du contrôleur et lui plaque sur la rondelle.-Doucement, je n’ai jamais pris un truc aussi gros.-Oui, mais vous vous êtes entrainé tout à l’heure. Je pense que vous êtes prêt. Toutefois, si vous voyez que ça ne passe pas, j’arrête tout de suite.-Ok, allez-y.Je pousse doucement sur le gode. Je vois la rondelle du contrôleur se dilater au fur et à mesure que le gode avance. J’avance lentement pour permettre au sphincter de d’adapter. Le gland e ce gode est assez prononcé et je le vois disparaitre de plus en plus jusqu’au moment où il disparait entièrement dans le fion du contrôleur.-Olala, quelle sensation, je suis rempli, mon cul va éclater.-Non, pas de problème, maintenant au tour du reste du gode.Je pousse de plus en plus et le gode entre sans problème dans ce fion offert. Je commence des allers-retours quand Françoise s’empare du gode et accélère le mouvement.-Oui, encore, plus vite, plus vite c’est super, plus vite, plus vite.Françoise accélère de plus en plus, je vois la bite du contrôleur de plus en plus raide, il va jouir, il faut que j’en profite. Je me positionne sous lui avec ma bite vers sa tête et lui gobe la bite. Il descend un peu pour me faciliter la tâche et en profite pour me gober ma propre bite. Il est en 69 avec un énorme gode dans le cul. Il ne résiste pas longtemps et part dans une superbe jouissance. Il se vide en long jets dans ma bouche tout en me pompant le sexe, puis il s’écroule sur moi. Françoise lui enlève le gode et se redresse. Je me dégage et je vois Claude qui vérifie sa caméra.-Tu as filmé ?-Tout est dans la boite. Si vous voulez une copie, il faut aller chercher votre clé USB.Le contrôleur sort de son coma jouissif et regarde Claude un peu hébété. Il regarde sa montre, il lui reste cinq minutes pour s’habiller, c’est amplement suffisant. Une fois habillé, il sort pour rejoindre son poste.-Je vous amène ma clé dans cinq minutes.Il est plus de cinq heures du matin et je n’ai pas sommeil, j’ai encore envie de jouir, ou de faire jouir quelqu’un. A priori, Claude et Françoise sont sur la même longueur d’onde.-J’ai beaucoup aimé ce que t’a fait Françoise tout à l’heure, est ce que tu crois que je peux te faire la même chose.Je regarde la main de Claude, elle est nettement plus grosse que celle de Françoise.-Je ne sais pas, mais je te fais confiance et si tu veux, tu peux essayer, par contre on arrête si je ne supporte pas.-Evidement.-Je vais tout de même prendre un produit plus performant pour ce genre d’action.Je récupère ma boite de graisse spéciale pour le fist. Je ne l’utilise que pour mes godes car elle est incompatible avec les préservatifs. Je m’en enduis le fion en introduisant deux doigts pour graisser l’intérieur. J’enduis la main de Claude jusqu’à mi bras. Je me positionne à quatre pattes sur le divan. Claude passe derrière moi pendant que Françoise règle la caméra.-Allez, moteur.Claude pose ses doigts en flèche sur ma rondelle et pousse. Je sens mon sphincter s’ouvrir. Au début, pas de problème, la main progresse lentement mais sûrement. Au bout d’un moment, je sens qu’on arrive à la limite acceptable.-Doucement.Claude s’arrête pour laisser mon sphincter s’habituer à l’intrus qui essaie de le forcer. Petit à petit, la gêne s’estompe, je sens mon cul se dilater un peu plus.-Vas-y doucement.Claude reprend prudemment sa progression, le sphincter se détend et soudain englouti la main de Claude.-Elle est dedans, je n’aurais pas cru ça possible !!-Moi non plus, je dois avouer que c’est la première fois que je me fais fister avec une si grosse main.Claude bouge sa main et pousse de plus en plus profond. Sa main est certes grosse, mes son avant-bras ressemble plus à une cuisse, ce qui fait que mon cul est de plus en plus dilaté. -vas-y, baise-moi.Claude bouge son bras d’avant en arrière dans mon cul. Je sens très bien son poing à l’intérieur de mes entrailles. Cette sensation me fais perdre un peu mes esprits, j’envoie mon cul à la rencontre de ce bras de plus en plus violement. Claude s’en rend compte et fait en sorte d’atténuer le mouvement. Il écarte les doigts et caresse la paroi interne avec ses doigts. Je vois l’emplacement de sa main par les bosses faites par ses doigts sur mon ventre quand il les bouge. Il retire un peu son bras et sa main arrive au niveau de ma prostate. Il la titille avec ses doigts, ce qui a pour effet de ma faire couler un liquide blanchâtre de la verge et de m’exciter encore plus. Comme d’habitude, mes pieds s’électrisent, mes jambes flageolent, mon ventre se crispe, mon cœur s’emballe et mon cerveau est aux abonnés absents. N’y tenant plus, je jouis dans un grondement sourd, je ne veux pas ameuter tout le wagon. Je m’effondre sur le divan le cul en l’air. Claude retire doucement son bras, quand il est complètement dégagé, je sens une sorte de courant d’air sur mon fion. Il y a des mouvements derrière moi et une langue se pose sur ma rondelle. C’est Françoise qui me lèche le sphincter tant qu’il ne s’est pas entièrement refermé, ce que filme Claude.Une fois calmé et de nouveau détendu je m’assoie sur le divan en oubliant que je l’ai maculé de sperme. Je me lève et prends de l’essuie-tout pour nettoyer le divan. Nous devrions arriver dans une demi-heure, le jour commence à se lever. On frappe à la porte. C’est le contrôleur qui amène les petits déjeuners.-Bonjour madame et messieurs. Les petits déjeuners et vos billets. Il nous donne nos notes de supplément à régler. -Vous êtes les derniers servis.-Ca veut dire que vous avez un petit moment ?-Juste une petite dizaine de minute.-Mais c’est plus qu’il n’en fautFrançoise se jette sur lui, lui descend le pantalon en deux secondes et lui gobe la bite. Claude prend un préservatif, se l’enfile pendant que j’enduis de gel le cul du contrôleur. Je guide la bite de Claude vers son fondement. Il se penche un peu en avant pour faciliter la tâche de son baiseur. Claude pousse et s’enfonce sans résistance dans le fion du contrôleur. Je filme la scène en gros plan. Je vois la rondelle du contrôleur complètement ouverte sur la bite de Claude.-Oui, c’est bon, une bite dans le cul, une bouche sur ma bite. Je ne vais pas résister longtemps.Effectivement, il se vide dans la bouche de Françoise qui n’en laisse pas échapper une goute. Claude se dégage, il bande toujours, il n’a pas joui. Je donne la caméra à Françoise, m’enduit le cul de gel, change la capote de Claude et m’empale sur son mandrin raide comme un bout de bois, le tout sous l’œil de Françoise qui filme. Avec ce que je viens de subir, je sens à peine sa bite. Une fois son pantalon remonté, le contrôleur s’agenouille devant moi pour me gober la bite. Moi aussi je ne résiste pas longtemps, je joui en sentant la bite de Claude palpiter dans mon cul. Le contrôleur avale tout, se lèche les babines et nous quitte en nous laissant sa clé USB. Claude s’occupe de faire une copie du film sur la clé, Françoise est assise sur le divan et se masturbe, elle n’a pas joui et veux une dernière jouissance entre nous. Je lui caresse les seins en faisant rouler ses tétons entre mes doigts. Elle se raidie soudain et joui en s’exprimant assez fort. Les personnes dans le couloir, qui attendent l’arrêt du train, doivent en profiter. Nous sommes maintenant pratiquement à quai et le rideau de la fenêtre n’est toujours pas baissé. Françoise s’en charge juste au moment où l’on passe devant de ouvriers travaillant sur l’une des voies. Le train s’immobilise et nous devons nous habiller, ce que nous faisons à contrecœur. Une fois tout le monde prêt, nous sortons du compartiment et rejoignons le contrôleur sur le quai. Claude lui donne sa clé USB.-A bientôt peut être, faites en profiter votre copain. Il y a toutes vos turpitudes ainsi que les nôtres, cela fait au moins deux heures à deux heures et demie de film.-Il va bien se régaler, mais je vais d’abord le regarder cet après-midi dans mon hôtel. Je pense que je vais bien me sodomiser avec mon gros gode en pensant à vous. Encore merci.-De rien.Nous nous séparons en sortant de la gare en échangeant nos mails et nos téléphones. Claude m’a envoyé le film par mail. Je l’ai revu plusieurs fois, de temps en temps avec Françoise, nous avons fait un voyage en voiture mémorable, mais ceci est une autre histoire.zooph34@gmail.com
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